2276 résultats pour "scientifique"
- L'inconscient peut-il constituer, au sens strict, un objet scientifique ?
- Qu'est-ce qu'une théorie scientifique ?
- ÉTUDES D’HISTOIRE DE LA PENSÉE SCIENTIFIQUE, 1966. Alexandre Koyré
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LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
l'autonomie en matière grise, ils restent tributaires des autres pour le développement de leurs propres richesses. Leurs meilleurs éléments formés dans des universités étrangères européennes ou améri caines, ne reviendront pas le plus souvent dans leur pays d'origine, préférant s'expatrier vers les pays riches qui pratiquent à leur profit le
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qu'est-ce qu'une théorie scientifique ?
IV. — RÔLE D'UNE THÉORIE SCIENTIFIQUE. Dans l'histoire des sciences, les théories furent longtemps considérées comme ayant pour but de chercherl'explication dernière des phénomènes dans la nature intime et cachée de la matière et de l'univers. Mais cettenature de la matière, on la demandait moins aux leçons directes de l'expérience scientifique qu'à des conceptionsphilosophiques à priori sur le monde : théories physiques et cosmologie métaphysique étaient, indiscernablementunies. Ain...
- Richardson, sir Owen Willans - savants et scientifiques.
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LA CONNAISSANCE SCIENTIFIQUE
n'est pas necessaire comme pour l'intuition, mais pluat qu'elle recoit en un sens sa certitude de la memoire. D'oa it resulte qu'au sujet des propo- sitions, qui sont la consequence immediate des premiers principes, on pent dire, suivant la maniere differente de les considerer, qu'on les connalt tantot par intuition, tant8t par deduction; mais les premiers principes eux-memes ne peuvent etre connus que par intuition; et au contraire, les consequences eloignees ne peuvent l'etre que par deduction...
- le progrès scientifique
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- Y a-t-il intérêt, pour la culture scientifique, à connaître le passé de la science ?
- Karl POPPER (1902-1994) L'invention scientifique
- Rumford, Benjamin Thompson, comte - savants et scientifiques.
- Laplace, Pierre Simon, marquis de - savants et scientifiques.
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Qu'est ce qu'une hypothèse scientifique ?
l'aider à rendre son observation plus complète. Photographe passif des phénomènes, l'observateur« écoute la nature et écrit sous sa dictée ». § L'interprétation ou hypothèse . Le fait constaté et le phénomène bien observé appellent l'idée. § L'expérimentation . Le savant institue une expérience qui puisse confirmer ou infirmer l'hypothèse. L'expérience n'est qu'une « observation provoquée ou préméditée dans le but de vérifier la validité d'une hypothèse ». Claude Bernard mo...
- Qu'est-ce qu'un objet scientifique ?
- Les Écrivains scientifiques.
- « Rien n'arrive au hasard » est-ce, selon vous, le principe de la connaissance scientifique ?
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- N'y a-t-il de vérités que scientifique
- La connaissance scientifique prolonge-t-elle la connaissance vulgaire ou s'y oppose-t-elle ?
- La persistance des croyances religieuses est-elle, à notre époque, incompatible avec le progrès scientifique et technique ?
- L'imagination joue-t-elle le même rôle dans la création littéraire et dans la découverte scientifique ?
- Quels que soient les immenses services rendus à l'industrie par les théories scientifiques, quoique (.
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Faut-il encore apprendre les théories anciennes ?
Une théorie ancienne et dépassée ne mérite plus d'être appelée scientifique ·~[·]~· La scientificité est une noti on relative. Notre scientificité n'est pas celle des Anciens. Ainsi, une théorie comme celle des quatre éléments ne mérite-t-elle plus, à nos yeux, d'être appelée scientifique. Le progrès ticulier la vision de l'uni- Les théories scientifique n'est vers. C'est ce que Tho- de l'Antiquité pas cumulatif mas Kuhn expose dans n...
- Qu’est-ce qu’une preuve? et comment prouver une affirmation d’ordre scientifique ou d’ordre moral? PLAN.
- Commentez ce mot de H. Poincaré : « Il ne peut pas plus y avoir de science morale qu'il ne peut y avoir de morale scientifique. » ?
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- Helmholtz, Hermann Ludwig Ferdinand von - savants et scientifiques.
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Synthèse personnelle de TPE - Thème: Avancées scientifiques et réalisations techniques
Les problèmes majeurs rencontrés: Nous avons rencontré quelques problèmes notamment lors de l'expérience du sténopé: notre révélateur avait un pH trop élevé ( 12) car nous avions mis trop de soude. Nous avons alors recommencé mais nous n'avons alors pas eu assez de solution pour révéler la photo. De plus, nous n'étions pas dans l'obscurité. Nous avons alors recommencé cette expérience la séance suivante et nous avons réussi a obtenir deux photographies. Ensui...
- Vincent DESCOMBES (1943-) Cerveau du philosophe, cerveau du scientifique
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L'erreur peut-elle être scientifique ?
L'erreur ne joue aucun rôle dans la connazssance scientifique Les théories fausses conduisent à la découverte de leur fausseté. Ce n'est pas tant la théorie du phlogistique qui a entraîné la découverte de l'oxygène, mais plutôt ce que le phlogistique n'expliquait pas. L'erreur du XVIIIe siècle: elle en évidence, qui a freine le progrès satisfaisait les cartésiens, conduit à la découverte Dire que l'erreur les newtoniens et les ato...
- « Le pouvoir n'est pas actuellement dans les mains des scientifiques… Ils ne peuvent pas toujours savoir à quoi vont servir leurs découvertes. »
- CONJECTURES ET RÉFUTATIONS, la Croissance du savoir scientifique, Conjectures and Refutations, 1963. Karl Raimund Popper
- PHILOSOPHIE DU NON (LA), Essai d une philosophie du nouvel esprit scientifique, Gaston Bachelard
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En sciences, l'expérience est-elle maîtresse de vérité ?
inconnue exerçant une attraction sur Uranus. Cette hypothèse a pu être ensuite vérifiée expérimentalement. Onvoit ici que théorie et expérience ont besoin l'une de l'autre et que leur association peut être fructueuse etindispensable pour accéder à la vérité dans les sciences. 3ème partie : L'expérience en sciences peut aussi être soumise à l'erreur. - S'en remettre à l'expérience pour établir des vérités n'est pas toujours scientifique, et l'on s'aperçoit au contraireque la science...
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- L'idéal d'objectivité scientifique exige-t-il que la personnalité du savant n'intervienne en aucune façon dans son travail de recherche ?
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Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société qui accorde toute sa confiance à la raison scientifique et à la réussite technique?
-Plus la science se développe, plus la philosophie interroge non seulement ses méthodes (méthodologie), mais son mode de constitution, sa cohérence et ses retombées (épistémologie). On constate ainsi que le développement de la science, loin de supprimer le questionnement philosophique, lui fournit de nouveaux terrains. - Le positivisme lui-même est une philosophie. III. LES FAITS, LES V ALE URS, LE SENS -La science ne s'intéresse, par définition, qu...
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Hypathie
par René Taton
Maître de recherches au Centre National de la Recherche Scientifique
Dans l'histoire de la pensée humaine, le nom d'Hypathie est demeuré
célèbre à un double titre.
par René Taton Maître de recherches au Centre National de la Recherche Scientifique
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Lois naturelles, lois scientifiques, lois sociales, loismorales : le mot « loi » a-t-il toujours le même sens ?
mesure, les volontés des humains s'exerçaient par des lois générales, suggérèrent à nos lointains ancêtres une autreidée : les puissances dont dépend le cours des choses terrestres, elles aussi, n'agissent pas seulement par décisionsparticulières plus ou moins capricieuses ; elles ont fixé une fois pour toutes le code régissant normalement l'actiondes êtres qui constituent la nature. On avait acquis alors la notion de loi générale régissant le monde matériel. B. La connaissance de la loi fut ap...
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Maurice Blondel
par Henry Duméry
Attaché au Centre National de la Recherche Scientifique, Paris
Rien ne serait plus facile que d'esquisser de Maurice Blondel un portrait
conformiste.
par Henry Duméry Attaché au Centre National de la Recherche Scientifique, Paris
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Le désir de savoir est-il comblé par la science ?
indéfiniment « en sursis », elle ne saurait satisfaire l'exigence d'un savoir catégorique. 2. Limites externes. — Les limites de la connaissance scientifique ne sont pas seulement internes ; l'homme se posedes problèmes que la science est incapable de résoudre ; la science connaît donc aussi des limites qu'on pourraitappeler externes ; indiquons les plus importantes : a) Connaissance phénoménale et connaissance ontologique. — La science a pour objet l'être en tant qu'il se mesureou se nombre (ma...
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Un scientifique peut-il être superstitieux ?
98 faudrait que la connaissance scientifique puisse lever toute ignorance et que la superstition s'explique par la seule ignorance. Or. s'il est vrai que la superstition est liée à l'ignorance (ce sera la première partie du devoir), et si, par conséquent. la science élabore une connais sance objective qui réduit sensiblement les causes de la superstition (deuxième partie), il est vrai aussi que la superstition ne se confond pas avec l'ignora...
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Philosophie des sciences : Qu'est-ce que la science ?
D’une part parce que tout n’est pas fondé sur la science et le calcul. Depuis le XVIIe siècle, la connaissance repose sur la quantification des calculs mais ce n’est pas la seule forme de rationalité disponible. Il y a d’autres moyens que le calcul pour établir la vérité d’une proposition, il y a aussi l’argumentation qui permet de rendre raison de quelque chose qui est distinct du calcul. Cf : Phédon - Platon Les sciences expliquent le comment mais pas le pourquoi des choses. On pe...
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Le recours à des pratiques irrationnelles. voire superstitieuses. vous paraît-il explicable à notre époque caractérisée par le développement des connaissances scientifiques ?
et de chercher les ressorts profonds de son audience et de sa pérennité (4). Contrairement aux médecins qui tiennent leur légitimité d'un diplôme, conféré par une institution extérieure à leur personne, les guérisseurs tirent leur justification d'eux mêmes, c'est-à-dire de leur« don ». L'aptitude qu'ils auraient de guérir, personne ne la leur a conférée. Elle est innée. C'est leur propre corps qui est la source de leur pouvoir. Et...
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L'inconscient est-il scientifique ?
-Existence d'une histoire de la discipline scientifique: or Freud aurait tout dit, une fois pour toutes; il s'agirait au mieux de «faire retour» (Lacan) à l'esprit de ses découvertes. On a ainsi un fondateur fournissant la version définitive de ce qu'il y a à savoir- ce qui n'est jamais le cas dans une science normale. - Rappeler l'argumentation de Popper: pour qu'il y ait science, il faut que puisse être posé le problème de la falsifiabilité des...
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Faut-il ne tenir pour vrai que ce qui peut être prouvé ?
Alors faut-il réduire le champ de notre croyance à ce qui est scientifiquement prouvé ? Ou alors peut-on sedispenser de la preuve scientifique, et prendre le risque d'avoir des croyances fausses ? Pour répondre à ces questions, il faudra aussi s'interroger sur les « preuves scientifiques ». N'y a-t-il pas uneévolution aussi à propos de ce qui est « prouvé » par la science ? En soupçonnant d'abord ce qui n'est pas scientifiquement prouvé, ne peut-on pas en arriver à...
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Connaître, est-ce le privilège de la science?
Seule la science permet d'accéder au savoirOn ne doit reconnaître comme vrai que ce que l'on connaît évidemment être tel, nous dit Descartes. Le jugement vrai se reconnaît à ses caractères intrinsèques : il se révèle vrai par lui-même, il se révèlevrai par lui-même, il se manifeste par son évidence. C'est le point de vue de Spinoza (« Ethique », II, 43). « La vérité est à elle son propre signe » (« verum index sui »). « Celui qui a une idée vraie sait en même temps qu'il a cette idée et...
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scientifique, technique o u d idactique (plus larg e et correspondant à un niveau de discours).
sic ilie n D ia le cte s ita lie ns m érid io naux p arlé s e n S ic il e . L e sic il ie n r e v êt u ne im porta nce p artic uliè re d u f a it d e l 'o rig in alité cultu re lle d e l 'î le : l a l itté ra tu re e t l e c in ém a ita lie ns e n p orte nt l e s tr a ces. sig nif ic a tio n, s ig nif ie r C es m ots s 'e m plo ie nt à p ro pos d u p ro cessu s q ui r e lie u n s ig ne d u l a ng ag e ( ic i, u n m ot, u ne l o cutio n, un s y nta g m e l e x ic alis é ) e t s...
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Une connaissance certaine est-elle impossible ?
parties, cela est impossible selon Popper. Par contre, elle suppose que selon le modus ponens (si p implique q et non-q, alors non-p) si une des conséquences de la théorie est fausse, toute la théorie l'est aussi.C./ On peut donc dire que les seules théories qui sont encore en vigueur sont les théories qui ont survécu àl'ensemble des tests empiriques, mais qui pourraient, un jour, être réfuté par l'un d'entre eux. Lorsqu'une théorie estréfuté par des faits expérimentaux, alors apparaît...
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Albrecht von Haller
1708-1777
Aucun médecin, au XVIIIe siècle, n'a donné aux fondements scientifiques de la médecine.
nombre de ses élèves, faisant connaître au loin les résultats de ses recherches, les continuèrent eux-mêmes dans le même esprit. Sa présidence à l'Académie des sciences de G œ ttingue, qu'il créa, fut également féconde et le mit en relations avec tous les milieux savants de l'époque. Mais tous ces succès, d'ordre extérieur, ne purent retenir le grand savant à G œ ttingue ; sa santé précaire et le mal du pays l'obligèrent, en 1753, à regagner sa patrie, où il occupa plusieurs postes officiels....
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La vérité n'est-elle que scientifique ?
Si la métaphysique était une science, elle mettrait tout le monde d'accord, comme on le voit en mathématiques eten physique. Or, les métaphysiciens se chamaillent comme des chiffonniers. Une idée est-elle à peine lancée qu'uneidée contraire lui est aussitôt opposée. En lice à ma gauche les chevaliers du caractère fini du monde, à ma droiteceux du caractère infini. Les lances sont les arguments, les armures sont la rhétorique, mais tous les chevaliersfinissent à terre. C'est à cela d'ailleurs que...
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La science ne fournit-elle que des certitudes ?
Dans le domaine des sciences, comme d'ailleurs dans tout autre domaine, les vérités sont historiquementdéterminées. Si elles ne sont pas pour autant purement subjectives, elles sont en effet conditionnées par des déterminants qui,parfois, n'ont rien de scientifique. Ainsi l'astronomie ptolémaïque se nourrit-elle de la cosmologie platonicienne et sera considérée, jusqu'à Copernic,d'autant plus certaine qu'elle semble nourrir et justifier l'anthropocentrisme chrétien. La certitude scientifiq...
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La science nous délivre t-elle des mythes ?
universelle. En effet, le mot « science » vient du latin « scientia » voulant dire le « savoir ». C'est le fait d'expliquer rationnellement les phénomènes naturels par des lois mathématiques en excluant toute explication par des éléments surnaturels. La science exclurai alors toute part de mythologie, croyance imaginaire, voire mensongère, exprimant une conception ou une idée abstraite. La mythologie est donc l'inverse de la rationalité philosophique et scientifique. Ainsi, nous pouvons dire que...