35 résultats pour "prémisse"
- prémisse, n .
- Prem Tinsulanond
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logique - philosophie.
Comme l’avait esquissé prudemment Frege, mathématiques et logique, sans être à proprement parler identiques, ne peuvent plus être séparées « nettement » l’une de l’autre. L’application des langages logiques à la cybernétique, c’est-à-dire à la programmation des ordinateurs, resserra encore les relations entre la logique et les mathématiques. Les langages binaires utilisés pour faire fonctionner les ordinateurs sont des applications de système de transformation de signes, qui découlent des connai...
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Qu'est-ce qu'une démonstration vraie ?
conclusion à laquelle on aboutit soit vraie, partir de prémisses vraies. Il ne suffit pas que le syllogisme soitformellement valide , il faut aussi que les prémisses soient matériellement vraies . Le moyen terme et la cause D'autre part, tout syllogisme se compose de trois termes (par exemple : mortels, hommes et Socrate). L'un de cestermes est commun aux deux prémisses, et permet d'établir un lien entre les deux autres termes, dans la conclusion.Ce terme commun se nomme le moyen te...
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Y a-t-il des limites à la démonstration ?
Aristote dans les Topiques dit : « Le syllogisme est un discours dans lequel, certaines choses étant posées,une autre chose différente d'elles en résulte nécessairement, par les chosesmêmes qui sont posées. C'est une démonstration quand le syllogisme partde prémisses vraies et premières, ou encore de prémisses telles que laconnaissance que nous en avons prend elle-même son origine dans desprémisses premières et vraies ». On voit ainsi qu'une démonstration est un syllogisme particuli...
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Qu'est ce que la science de Alan F. Chalmers
I) L’inductivisme A) L’inductivisme naïf : présentation (p : 23 à p : 34) Définition de l’induction : partir du cas atypique pour remonter jusqu ' à une généralité, ou d 'une conséquence pour trouver la cause . 1 ère étape : observation et induction Science commence par l’observation. Les énoncés produits par l’observation forment la base. Plusieurs types d’énoncés : Énoncé singulier : se réfère à un évènement ou...
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RUSSELL: Croyance et connaissance
II/ Illustration :Pour prendre un exemple très vulgaire: si un homme croit que le nom de dernier premier ministre commençait par unB, il croit ce qui est vrai, puisque le dernier Premier ministre était Sir Henry Campbell Bannerman. Mais s'il croit queM. Balfour était le dernier Premier ministre, il croira toujours que le nom du dernier Premier ministre commence par unB, et cependant cette croyance, quoique vraie, ne sera pas estimée constituer une connaissance.Si un journal, par une anticipat...
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Qu est-ce que la rigueur d un raisonnement mathématique ?
LES ~!A TIIÉ)L~ TIQUES duns lequel Poi:'!CARÉ voyait lu forme mathématique de l'inducti()n, est en fait déductif. Cf. Précis, II, p. 40; Traité, II, p. 118-120). En effet, dans le raisonnement mathématique, le10 lois de la logique formelle -s-ont rigou reusement observées, et la conc:lusion ne dépasse jamais ce qui est affirmé dan·s les prémisses. b) 1Iuis on peut en dire autant de tout "Syllogisme c-orrect. Or - la méta phy'li...
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Dissertation fiche argumentation
Co u rs 158 C o u rs L’argumentation 25 159 ➜ 2. Les exemples n Les exemples viennent appuyer les arguments en les illustrant. Ils permettent de concrétiser les arguments qui, seuls, restent abstraits : les exemples viennent vérifier une idée. Un bon exemple peut être une référence historique, littéraire, un fait d’actualité, une anecdote, une citation, une expérience… Types d’exemples Fonction Exemple illustratif (le plus courant) Cas particulier qui vérifie l’idée générale de l’arg...
- Premchand ou Prem Cand (Dhanpat R ?y, dit Naw?b R?y ou), 1880-1936, né près de Bénarès, écrivain indien.
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Calculer est-ce penser?
« L'appel aux idées n'est pas toujours sans danger, et beaucoup d'auteursabusent du prestige de ce terme pour donner du poids à certaines de leursimaginations ; car nous ne possédons pas l'idée d'une chose du fait que nousavons conscience d'y penser, comme je l'ai montré plus haut par l'exemple dela plus grande des vitesses. Je vois aussi que de nos jours les hommesn'abusent pas moins de ce principe si souvent vanté : « tout ce que jeconçois clairement et distinctement d'une chose est vrai et p...
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LEIBNIZ: La raison suffisante
Pour qu'il v ait démonstration véritable, il faut qu'il y ait d'une part des vérités premières, des prémisses à partir(lesquelles démontrer : et, d'autre part, des règles selon lesquelles démontrer. En effet, démontrer une vérité, c'est montrer qu'elle découle nécessairement d'une autre vérité. Il faut donc partird'une ou plusieurs vérités premières, simplement admises ou « reconnues ». sans quoi le processus (le démonstrationn'aurait rien sur quoi s'exercer et ne pourrait même pas commencer. L'...
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Dictionnaire en ligne:
DIALECTIQUE, adjectif et substantif féminin.
différentes (Traité de sociologie (sous la direction de Georges Gurvitch) 1968, page 326 ). II.— Emploi comme substantif féminin. PHILOSOPHIE, LANGAGE ABSTRAIT. A.— Généralement. Action de raisonner; ensemble des règles du raisonnement; par extension, art de raisonner avec méthode, puissance de persuasion. Les conclusions d'une dialectique; une dialectique aisée, savante, serrée. Vous me démontriez (...) avec une dialectique irrésistible que... (PAUL BOURGET, Le Disciple, 1889, page 97 ). Une ép...
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HOBBES
« Nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes princi
pales de querelles : prem...
HOBBES « Nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes princi pales de querelles : premièrement, la rivalité ; deuxièmement, la méfian ce ; troisièmement, la fierté. La première de ces choses fait prendre l'offensive aux hommes .en vue de leur profit. La seconde, en vue de leur sécurité. La troisièm e, en yue de .. leur réputation. Dans le prem ier cas, ils usent de la violence pour se rendre maîtres de la personne d'autres hom m es, de leurs fem m es, de leurs enfants, de leurs...
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Le classicisme français (1)
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Définition et contexte
• Le classicisme en France s'affirme dès les prem ières années du...
Le classicisme français (1) 0 Définition et contexte • Le classicisme en France s'affirme dès les prem ières années du règne personnel de Louis XIV, de 1661 à 1715. Mais le terme luimême n'a été inventé qu'au x1x• siècle. • S'il existe une doctrine dite « classique » qui recommande fortement l'imitation des Anciens dans tous les arts et s'inspire du rationalisme nouveau défendu par Descartes, exprimant un souci d'ordre, d'équilibre, de mesure, de vraisemblance, les contem porains n'ont pas dés...
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PREM IÈRE PARTIE, CHAPITRE 3
(pages 66 à 74)
Deux mois plus tard, Frédéric est de retour à Paris où...
PREM IÈRE PARTIE, CHAPITRE 3 (pages 66 à 74) Deux mois plus tard, Frédéric est de retour à Paris où il s'installe dans un hôtel rue Saint-Hyacinthe. Avec une recommandation du père Roque, qui est à Nogent l'agent électoral de M. Dambreuse, il se rend rue d'Anjou au domicile de cet homme d'affaires et député influent dont il ne fait qu'entrevoir la jolie épouse. Au sortir de cette visite qui restera sans suite, l'étudiant aperçoit dans la rue Montmartre le nom de Jacques Arnoux sur la boutique d...
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Cu/pam poena premit comes
La punition suit de près la faute
Cette célèbre expression d•Horace (Carm., 4, 5, 24), déjà...
Cu/pam poena premit comes La punition suit de près la faute Cette célèbre expression d•Horace (Carm., 4, 5, 24), déjà répertoriée pa1111i les sentences médiévales (Walther 4003) et illustrée dans la tradition des Emblemata (cf. les Horati Flacci Emblemata d'Otto Vaenius en...
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Maurice (1992-1993)
L'alliance gouvernementale du Mouvement militant mauricien (MMM) de Paul
Bérenger et Prem Nababsing et du Mouvement socialiste mauricien...
Maurice (1992-1993) L'alliance gouvernementale du Mouvement militant mauricien (MMM) de Paul Bérenger et Prem Nababsing et du Mouvement socialiste mauricien (MSM) du Premier ministre Aneerood Jugnauth a connu ses premières difficultés, début 1993. Le ministre des Affaires étrangères, Paul Bérenger, s'est publiquement démarqué de l'attitude du Premier ministre envers l'opposition. A. Jugnauth, en effet, a usé de tous les moyens pour tenter de faire perdre son siège de député au leader de l'oppos...
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Maurice (1991-1992)
Le Mouvement socialiste mauricien (MSM) du Premier ministre Aneerood Jugnauth et
le Mouvement militant mauricien (MMM)de Prem Nababsing...
Maurice (1991-1992) Le Mouvement socialiste mauricien (MSM) du Premier ministre Aneerood Jugnauth et le Mouvement militant mauricien (MMM)de Prem Nababsing et Paul Bérenger, alliés depuis leur accord électoral du 19 juillet 1990, ont remporté les élections législatives de septembre 1991. Un nouveau gouvernement de coalition a ensuite été formé sous la conduite d'Aneerood Jugnauth. Au début de l'année 1992, cette nouvelle majorité a fait adopter au Parlement un projet de loi dotant l'île d'un st...
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Sur quoi se fondent nos démonstrations ?
L'impuissance naturelle de l'homme Pourtant l'homme se confronte à une double impossibilité. 1) Tout ne peut pas être défini. Pour définir un mot,il nous faut utiliser d'autres mots qui, en toute rigueur, devraient à leur tour être définis, et cela à l'infini. 2)Tout ne peut pas être démontré : pour démontrer une idée, on utilise d'autres idées qui à leur tour, devraientêtre démontrées, etc. Cette double difficulté tient avant tout aux limites de la nature humaine, à l'impuissancenaturelle de l'...
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Commentaire d’un extrait du chapitre II de la rhétorique d’Aristote
on y voir l’ombre d’Aristote ? « Prémisses qui relèvent de chaque espèce de chaque genre» ; dans l’édition de référence, il est fait mention queles catégories d’espèces et de genres sont mouvantes .Ceci n’enlève rien au fait qu’il décrit un nouvelembranchement dans son schéma : les prémisses des syllogismes, des enthymèmes ne se trouvent plus seulementdans les lieux communs mais au sein de chaque espèce. Pour illustrer cette assertion il va opposer la physique etl’éthique en affirmant qu...
- Logica in historisch perspectief
- Commentaire d'un extrait du chapitre II de la rhétorique d'Aristote
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Déduction et induction
Les formes traditionnelles du raisonnement logique. La déduction. La déduction est « une opération par laquelle on conclut rigoureusement d'une ou de plusieurs propositions prises pour prémisses à uneproposition qui en est la conséquence nécessaire, en vertu de règles logiques». (LALANDE, Vocabulaire philosophique.) C'est la formerigoureuse de la pensée discursive. DESCARTES disait de la déduction que, grâce à elle, « on comprend tout ce qui conclut d'autres chosesconnues avec certitude »....
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Philosophie- Dissertation- Demontrer
peut argumenter sur tout, il n'est cependant pas certain que l'on puisse tout démontrer. La démonstration est d’ordre rationnel, c’est a dire qu´il ne s’agit pas d’un acte de perception, il faut faire acte de jugement. Elle vise la vérité absolue de la conclusion en s´appuyant sur des assertions. Un exemple de la démonstration est le syllogisme. Le syllogisme est un raisonnement par lequel, de deux propositions données, on tire une...
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N'y a-t-il de démonstration que scientifique ?
Demande d'échange de corrigé de titi SASOU ( [email protected] ). Sujet déposé : N'y a-t-il de démonstration que scientifique ? Introduction On associe généralement les notions de science et de démonstration. Mais le fait qu'une démonstration circulairesoit logiquement valide bien qu'elle ne prouve rien, car sa conclusion figure déjà sans ses prémisses, semble indiquerque ces deux notions ne sont pas forcément synonymes. N'y a-t-il donc de démonstration que scientifique ? Laquestion porte...
- Réduction à un seul principe.
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Relativisme
pas se tromper. Passons maintenant à l’évaluation du lien entre les prémisses. À ce sujet, le lien entre la prémisse 1 et la prémisse 2 est invalide parce que la prémisse 2 est insuffisante, selon les critères de suffisance. Dans ce cas, le terme du “mal” ne peut pas être un terme relatif contrairement à ce que dit l’auteur. De plus, l’argument principal est qu’il est impossible d’avoir une pensé objective sur le bien et le mal. Cependant, le fait que le “mal” n’est pas un terme...
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LEXIQUE LITTERAIRE
Jugement de valeur : appréciation fondée sur le seul critère affectif (ex. : j'aime », «je n'aime pas »), traduite pardes modalisateurs. Métaphore : procédé stylistique à la fois très complexe et très courant, qui consiste à désigner par analogie unélément comparé au moyen d'un comparant, sans outil de comparaison ; le lien analogique qui crée une identificationentre les deux éléments (ex. : « tu es un âne ») permet d'enrichir et de mieux visualiser le comparé. Elle peut être inpraesentia (tous...
- JEAN-JACQUES ROUSSEAU : ESSAI SUR L'ORIGINE DES LANGUES (Résumé & Analyse)
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La Raison A-T-Elle Toujours Raison ?
même que l'une fut réfutée pour que l'autre ait raison à sa place.« Avoir raison », est-ce donc convaincre les esprits par une argumentation irréfutable ?***Il semblerait qu'avoir raison soit avant tout une affaire de sens, d'interprétation. Avoir raison passe par un doubleprocessus. C'est d'abord le développement d'une argumentation qui ne permet en aucun cas à l'interlocuteur derétorquer. C'est pouvoir se targuer d'avoir une argumentation qui provoque chez l'autre un assentiment de son esprit...
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Dissertation gratuite: Penser est-ce calculer ?
Leibniz parle de « ce miracle de l'Analyse, prodige du monde des idées, objet presque amphibie entre l'Être et leNon-être ». Entre le monde réel des phénomènes et le monde imaginaire de nos illusions, il y a le monde amphibiedes êtres idéaux et fictifs sur lesquels porte le nouveau calcul. -II- pour calculer il faut s'abstenir de penser : Mais donc si l'on prend en conte le résonnement précédent, une machine, un ordinateur par exemple, capable defaire des calculs serait capable de penser ?Pour q...
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- Hume et l'identité personnelle ou le moi
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PHYSIQUE CLASSIQUE
LE MONDE CLASSIQUE
L'IMPORTANCE DE LA SCIENCE GRECQUE
La civilisation et la culture de la Grèce classique sont le berceau de la civilisation et
de la culture occidentales modernes.
2 découverte de propriétés communes à plusieurs substances permettait de chercher quels étaient les éléments simples, les principes matériels dont toutes les choses étaient faites, les principes causals qui les faisaient changer et leurs caractéristiques essentielles communes ou distinctes. Cette tendance à la différenciation et à l’unification est typique de la science grecque, tout comme le fait de s’appuyer sur les différences et les analogies qualitatives. Mais les Grecs cultivèrent aussi l...
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