31 résultats pour "sanglotant"
- sanglot (spasme du).
-
Helika
Le prêtre tout ému se retourna vers moi, m'embrassa avec effusion, mes sanglots m'empêchaient d'articuler
une seule syllabe; "Courage, me dit-il, priez et espérez.
Dix minutes après, la porte s'ouvrit et nous fûmes invités à entrer de nouveau. La figure de monsieur Odillon était empreinte de tristesse, celle d'Attenousse était calme et sérieuse. A fûmes nous auprès d'eux que la cloche de la prison se fit entendre. J'écoutai en frémissant: hélas! c'étaient des glas qui invitaient les âmes charitables à unir leurs prières à celles du prêtre qui allait offrir le Saint Sacrifice pour le repos de l'âme de celui qui devait mourir. En effet, quelques instants apr...
-
COMMENTAIRE COMPOSE: "Le Chant de la petite hypertrophique, Jules Laforgue, le sanglot de la Terre
d'exclamation sont régulières. Par ailleurs, le poème est fait sous la forme d'une chanson comme le suggère le titrece qui pourrait être pensé aux gémissements des enfants à leur guise.Tout au long du texte, l'enfant grandit. Le lecteur pourrait penser que la première partie de ce poème est en faitseulement sentir lorsque l'auteur a perdu sa mère quand il était enfant et la deuxième partie de ce qu'il a comprisquand ils sont mûrs.Au début de la chanson, l'enfant est sûr de trouver sa mère à l'ut...
-
Le sanglot de la terre ; Jules Laforgue
- « résigné, sans espoir » (v.2) > défaitiste - « à mon sort » (v.2) > la mort, qui ne peut être échappée - provocation : « je fume au nez des dieux... » (v.4) - apostrophe des vivants « luttez, pauvres futurs squelettes » (alors que lui a abandonné - combat constant pour rester en vie). II/ Le refuge dans l'imaginaire a) l'évasion grâce à la cigarette - « de fines cigarettes » (v.5) c'est ce qui nous informe de l'action du poète - « méandre bleu qui vers le ciel se tord » (v.6) > comme un che...
- JEAN LE SANGLOTANT de Ivan Bounine
-
Eugenie Grandet
Les pleurs et les sanglots retentissaient entre ces murailles d'une horrible facon et se repercutaient dans les
echos.
Eh! bien, mon pere, vous n'avez donc pu empecher ce malheur? Mon frere ne m'a pas consulte. D'ailleurs, il doit quatre millions. Qu'est-ce que c'est donc qu'un million, mon pere? demanda-t-elle avec la naivete d'un enfant qui croit pouvoir trouver promptement ce qu'il desire. Deux millions? dit Grandet, mais c'est deux millions de pieces de vingt sous, et il faut cinq pieces de vingt sous pour faire cinq francs. Mon Dieu! mon Dieu! s'ecria Eugenie, comment mon oncle avait-il eu a lui quatre...
- Les sanglots longs — des violons — de l'automne...
-
« La Chanson du petit hypertrophique », Jules LAPHORGUE, Le Sanglot de la Terre
Parce qu'il ne peut retrouver sa mère. C'est dans la dernière phrase que l'enfant comprend définitivement qu'il neretrouvera pas a mère : « Dis, Maman, tu m'appelles ? ». Cet est un enfant qui a grandit.En plus de cette prise de conscience, le jeune malade comprend que tout est contre lui. Ce monde n'est pas pour luiet c'est inconcevable pour un enfant. Tout enfant peut normalement s'intégrer dans un monde puisqu'il est conçupour cela.Il est tout autant plus difficile pour un enfant de connaitre...
-
-
Sujet : - les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots
S’il s’agit d’un véritable drame ici, d’autres poèmes paraîtrons, avec un thème plus léger : Baudelaire écrira « a une passante »quelques années plus tard qui décrit son tourment après sa vision très furtive d’une jeune femme : il s’agit ici d’une rencontre amoureuse, mais avortée. Une vision tragique est ici mise en avant : aucune des deux personnes ne verra l’autre, l’homme n’a pas su saisir la chance de rencontrer cette passante quand elle s’est présentée. Le lyrisme va sculpter la...
-
SUJET
« Les plus désespérés sont les chants les plus be.aux
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots....
SUJET « Les plus désespérés sont les chants les plus be.aux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » (Musset, .· Nuit de Mai.) Commentez. RÉFLEXIONS PRÉLIMINAIRES 1:. Suiet clair, ne prêtant guè1·e au contresens, si ce n'est sur le mot purs. (( Pul'S sanglots )) ne signifie pas vrais sanglots, comme, daris le langage courant, un pur ehef-d'œuPre signifie un vrai chef-d'œuyre. 1vlusset veut dire que, en purifiant les sanglots, on peut en faire des chants qui atteignent le plus grand...
-
La Legende des Siecles
Et son cou d'où sortait, dans un bruit de tempête,
Un flot rouge, un sanglot de pourpre, éclaboussant
Les convives, le trône et la table, de sang.
Sortant du frais bouton comme d'une urne ouverte, Charge la petitesse exquise de sa main; Quand l'enfant, allongeant ses lèvres de carmin, Fronce, en la respirant, sa riante narine, La magnifique fleur, royale et purpurine, Cache plus qu'à demi ce visage charmant, Si bien que l'oeil hésite, et qu'on ne sait comment Distinguer de la fleur ce bel enfant qui joue, Et si l'on voit la rose ou si l'on voit la joue. Ses yeux bleus sont plus beaux sous son pur sourcil brun. En elle t...
-
« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots », écrit Alfred de Musset dans sa Nuit de Mai. Êtes-vous d'accord avec cette conception de la beauté en poésie ? Vous appuierez votre réflexion sur les textes du corpus et sur vos connaissances personnelles.
Effectivement, l'art poétique peut atteindre la beauté à travers la forme qui peut se traduire sous diversaspects : tout d'abord, la beauté peut apparaître dans la musicalité ou dans les images utilisées par le poète. Elletransparaît également à travers une esthétique qui lui voue un culte (l'Art pour l'Art) ou encore dans la mise en pagede certains poèmes. La beauté ne se trouve pas nécessairement dans les cris de désespoir, elle apparaît également dans ce qui semble être l'essence de la poési...
-
La Legende des Siecles
L'oeil distingue, au milieu du gouffre où l'air sanglote,
Quelque chose d'informe et de hideux qui flotte,
Un grand cachalot mort à carcasse de fer,
On ne sait quel cadavre à vau-l'eau dans la mer,
Oeuf de titan dont l'homme aurait fait un navire.
Léviathan; c'est là tout le vieux monde, Apre et démesuré dans sa fauve laideur; Léviathan, c'est là tout le passé: grandeur, Horreur. Le dernier siècle a vu sur la Tamise Croître un monstre à qui l'eau sans bornes fut promise, Et qui longtemps, Babel des mers, eut Londre entier Levant les yeux dans l'ombre au pied de son chantier. Effroyable, à sept mâts mêlant cinq cheminées Qui hennissaient au choc des vagues effrénées, Emportant, dans le bruit des aquilons sifflan...
-
« Les Plus Désespérés Sont Les Chants Les Plus Beaux. Et J’En Sais D’Immortels Qui Sont De Purs Sanglots ». Commentez cette citation.
qu'ils émanent du coeur. Le coeur, parce qu'il est siège du désespoir et dela souffrance, est aussi le principe créateur poétique, seul capable degénie esthétique:«Ah! Frappe-toi le coeur! C'est là qu'est le génie!C'est là qu'est la pitié, la souffrance et l'amour. » (Musset, À monami Édouard, 1832.) [2. La beauté des «purs sanglots»] Cette conception, bien que très marquée par son époque, éclairecependant certains aspects de la création poétique et l'on peut, avecMusset, chercher ce qui donne l...
-
APPARITION de Mallarmé
qui précédait la rencontre.Vers 6 et 7 : l'état d'âme du poète après la rencontre est bien évoquée ici : l'esprit occupé par cette rencontre qui l'envahit toutentier: "S'énivrait savamment". Le vers 7 est un beau tétramètre nettement rythmé, avec la correspondance "parfum de tristesse"qui rapproche un sentiment d'une sensation olfactive.Les rimes féminines 7 et 8 contrastent avec la rime du vers 9 : "cueilli": celle-ci n'est plus douce, mais plus aiguë, plus sèche. Levers 9 développe une très be...
-
Clair de lune Verlaine Lecture analytique
* On retrouve cette volonté dans le floue qui règne autour des personnages. (« masques » qui est en fait la synecdoque particularisante pour « les personnagesmasqués ». Cette figure de style gomme le pourtour des définitions et brouille nos limites)* En effet, leur mélancolie est sous-entendue avec l'adjectif « triste » (v.4) qui, minoré par l'adverbe « quasi » (v.3), est ensuite accentué par sa position en rejet.* Ces mêmes personnages qui chante sur « le mode mineur » « l'amour vainqueur ». Ce...
-
-
Harry frappa et poussa la porte.
Voldemort a réussi à envoûter Ginny alors que, d'après les informations qu'on m'a données, il se cache à l'heure actuelle dans les forêts d'Albanie. Harry sentit une merveilleuse impression de soulagement se répandre dans tout son corps. —Q... quoi ? bredouilla Mr Weasley d'une voix blanche. Qui-Vous-Savez ? Envoûter... Ginny ? Mais Ginny n'est pas... Ginny n'a pas... —Tout est arrivé à cause de ce journal intime, dit précipitamment Harry en montrant à Dumbledore le petit livre...
-
Dictionnaire en ligne:
ÉCLATER, verbe intransitif.
(ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Intrigue et amour, 1847, I, 10, page 190 ). b) Domaine physique et moral. Se manifester bruyamment et subitement. a ) [Le sujet désigne un sentiment] La joie (...) éclatait de toutes parts (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, La Chartreuse de Parme, 1839, page 11 ). Sa colère éclata contre la jeune fille (ÉMILE ZOLA, La Joie de vivre, 1884, page 878 ). · Éclater en + substantif. Sa douleur éclata tout à coup en sanglots (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Le Comte de Monte-Christo, tome 1, 1846...
-
Germinal, grand roman du XIXe siècle, met en scène la vie quotidienne des mineurs dans la mine d'Anzin. Dans un passage qui se trouve au cinquième chapitre de la première partie, l'auteur parle surtout des chevaux de la mine. En comparant ce passage à un passage du livre de Simonin, nous étudierons la manière dont Zola utilise la documentation livresque ? Quel sens entend-il donner à ce passage ? Pour quelles raisons intègre-t-il cet épisode dans son oeuvre ?
niveau de la subjectivité : l'un est subjectif, l'autre est objectif. Le texte de Simonin est uniquement objectif puisqu'il est explicatif.Son seul but est d'informer le lecteur en donnant par exemple les différentes manières de procéder pour descendre le cheval. Ilest « attachés aux câbles, soit dans des filets, soit par des courroies ». Le texte de Zola est lui subjectif. D'une part, il s'attarde surla peur des chevaux et on le voit au termes comme « cauchemar » (ligne 16), « sanglot » (ligne...
-
Pascal Bruckner, Le Sanglot de l’homme blanc: Tourisme et Tiers-monde
CORRIGÉ SEMI-RÉDIGÉ Introduction Le xx• siècle a été celui d'un affrontement Est Ouest que la chute du mur de Berlin en 1989, mettant fin à la Guerre froide, semble avoir en partie réglé. A la suite de ces événements, la polarisation géopoliti que du monde fait apparaître une opposition Nord-Sud qui sera, selon toute vraisemblance, l'enjeu du XXI" siècle naissant. Tous les observateurs occidentaux s'accordent à penser qu'il y a aujourd'hui u...
-
«Ceux qui critiquent le tourisme nous demandent paradoxalement d'aimer le Tiers-Monde et de ne jamais lui ren¬dre visite, de nous intéresser aux peuples du Sud en renonçant à les fréquenter. [..] Or, il n'y a pas de demi-mesure, ou l'on prône le cloisonnement ou l'on trace des frontières rigides, infranchissables entre le Nord et le Sud, ou l'on appuie la libre circulation des hommes et des idées, le brassage des peuples, quel qu'en soit le prix. » Pascal Bruckner, Le Sanglot de l'homm
232 / Les sujets généraux CORRIGÉ SEMI-RÉDIGÉ Introduction Le XX' siècle a été celui d'un affrontement Est Ouest que la chute du mur de Berlin en 1989, mettant fin à la Guerre froide, semble avoir en partie réglé. A la suite de ces événements, la polarisation géopoliti que du monde fait apparaître une opposition Nord-Sud qui sera, selon toute vraisemblance, l'enjeu du XXIe siècle naissant. Tous les observateurs occidentaux s'accordent à p...
-
Jules LAFORGUE. DÉSOLATIONS
désespoir, se retrouvent transposés jusque dans le spleen baudelai rien, ou dans le pessimisme existentiel de Jules Laforgue . Dans un poème qu'il écrivit en 1885, â l'âge de vingt-cinq ans, Laforgue , en proie â un malaise sentimental et métaphysique, cherche ainsi dans les tumultes de la nature un écho â sa propre douleur, et une délivrance . Le titre du poème, Désolations, reflète tout d'abord l'affliction extrême, le désespoir du poète . Celu...
-
Boule de suif
Alors sa femme atteignit un paquet ficelé d'où elle fit sortir un morceau de veau froid.
avec une obstination féroce, son sifflement vengeur et monotone, contraignant les esprits las et exaspérés à suivre le chant d'un bout à l'autre, à se rappeler chaque parole qu'ils appliquaient sur chaque mesure. Et Boule de suif pleurait toujours ; et parfois un sanglot, qu'elle n'avait pu retenir, passait, entre deux couplets, dans les ténèbres. Les Soirées de Médan, 16 avril 1880. Boule de suif Boule de suif 18
-
La tentation de Saint Antoine
Parmi ces consolateurs, Antoine remarque un homme chauve, en tunique noire, dont la figure s'est deja
montree quelque part; il les entretient du neant du monde et de la felicite des elus.
Pere, pere! tu dois nous edifier par ta mort. En la retardant, tu commettrais sans doute quelque action mauvaise qui perdrait le fruit des bonnes. D'ailleurs la puissance de Dieu est infinie. Peut-etre que ton exemple va convertir le peuple entier. Et dans la loge en face, les lions passent et reviennent sans s'arreter, d'un mouvement continu, rapide. Le plus grand tout a coup regarde Antoine, se met a rugiret une vapeur sort de sa gueule. Les femmes sont tassees contre les hommes. LE CONSOLATE...
-
-
Pot-bouille
--Tu entends, reprit madame Josserand en revenant sur sa fille.
Vous m'agacez, ne pleurez donc plus.... Monsieur Josserand, ordonnez donc a votre fille de ne pas s'abimer le visage a pleurer ainsi. Ce sera le comble, si elle devient laide! Mon enfant, dit le pere, sois raisonnable, ecoute ta mere qui est de bon conseil. Il ne faut pas t'enlaidir, ma cherie. Et ce qui m'irrite, c'est qu'elle n'est pas trop mal, quand elle veut, reprit madame Josserand. Voyons, essuie tes yeux, regarde-moi comme si j'etais un monsieur en train de te faire la cour.... Tu sou...
-
Le Père de Famille: SAINT-ALBIN, SOPHIE, Mme HÉBERT (Diderot)
Sophie. — Qu'elle est heureuse ! Saint-Albin. — Vous me désespérez. Sophie. — J'obéis à vos parents. Puisse le ciel vous accorder, un jour, une épouse qui soit digne de vous et qui vousaime autant que Sophie ! Saint-Albin. — Et vous le souhaitez ! Sophie. — Je le dois. Saint-Albin. — Malheur à qui vous a connue, et qui peut être heureux sans vous ! Sophie. — Vous le serez; vous jouirez de toutes les bénédictions promises aux enfants qui respecteront la volontéde leurs parents; j'emporterai celle...
-
Le Docteur Pascal
impuissant.
De nouveau, Clotilde protestait, se desesperait. --Mais comment aurais-je pu savoir?... J'ai obei, j'ai mis toute ma tendresse dans mon obeissance. --Ah! cria encore Martine, il me semble que j'aurais devine, moi! Ramond intervint, parla doucement. Il avait repris les mains de son amie, il lui expliqua que le chagrin avait pu hater l'issue fatale, mais que le maitre etait malheureusement condamne depuis quelque temps. La maladie de coeur dont il souffrait devait dater d'assez loin deja: beaucoup...
-
RENÉ BAZIN (1853-1932). Le Labour. La Terre qui meurt
QUESTIONS D'EXAMEN I. L'ensemble. — Une scène de labour, qui sert de cadre à un épisode dramatique.... Le lecteur, prévenu par leschapitres précédents, sait que François, le fils cadet, est déjà engagé dans une compagnie de chemin de fer, qu'ilest à la veille de son départ, et qu'il se propose, aujourd'hui même, d'avertir son père. Nous attendons avec unesorte d'angoisse le moment où François se décidera à parler. II. — L'analyse du morceau. — Description du labourage, en termes à la rois techni...
-
Euripide, Hécube (extrait).
ULYSSE (évasif) Oh ! Tout ce que peut inspirer le désir d’échapper à la mort. HÉCUBE Ne commets-tu donc pas une mauvaise action en formant de tels desseins, toi qui, après le service que tu reconnais avoir reçu de moi, loin de me protéger, me fais tout le mal que tu peux ? Ô race ingrate des démagogues, qui ambitionnez les honneurs populaires ! Puissé-je n’avoir aucun rapport avec vous ! Nuire à vos amis, c’est votre moindre souci pourvu qu’à la masse vous teniez de séduisants discours ! — Mai...
-
Définition:
ÉTRANGLÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
ou irriter la gorge au point de provoquer une sensation d'étouffement. Un col, une cravate qui étrangle; être étranglé par la soif, par des sanglots. L'angine, l'affreuse angine qui étrangle les misérables hommes avait pénétré dans la ferme des Martinet, de pauvres gens! (GUY DE MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 2, Misère humaine, 1886, page 649) : Ø 2. Je suis entourée d'objets qui me détestent! Tout le jour cette écharpe m'étrangle. Une fois, elle s'accroche aux branches, une autre fois,...
- Madame bovary