15 résultats pour "torse"
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Auguste RENOIR: TORSE DE JEUNE FILLE AU SOLEIL
Contrairement aux autres impressionnistes, Renoir a consacré une grande partie de son oeuvre aux portraits. Lafemme — synonyme de grâce joyeuse — y est tout naturellement à l'honneur. L'OEUVRE Il dit lui-même vouloir peindre les femmes « comme de beaux fruits ». Et d'ajouter : « Moi, j'aime les tableaux qui medonnent envie de passer ma main sur un téton ou sur un dos, si c'est une figure de femme. » Selon diverstémoignages, c'est Anna Leboeuf qui aurait servi de modèle pour ce nu. Elle...
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- Auguste RENOIR: Torse de jeune fille au soleil
- Torse de jeune fille au soleil d'Auguste RENOIR
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Définition:
BUSTE1, substantif masculin.
? Rare. Modelage, sculpture du torse seul?: ? 4. Une excentrique distingu?e que cette comtesse Greffulhe (...). On causait ce soir d'un buste de son torse en gutta-percha, model? par le sculpteur Franceschi, buste qui lui ?vite les fatigues de l'essai d'une robe et qu'elle garde dans une chambre ferm?e ? clef, pour que la repr?sentation fid?le de son corps n'ait pas ? subir l'indiscr?tion de regards profanes. EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1890, page 1126. D?RIV?S?: Bustie...
- Elle se blottit contre son épaule, amante délaissée désirant retrouver le havre de leurs ardeurs, et caressa son torse presque imberbe. Élizabeth Filion, la Femme de la fontaine, Québec Amérique
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Dans son garage, torse nu face au miroir du lavabo, Eddy massa rapidement son épaule avec une
crème apaisante.
comme l’autretenaient àcontinuer letravail encours, craignant deperdre l’étincelle quilesguidait. Après avoir quitté lagalerie François I er , ils se retrouvèrent danslabibliothèque deDiane. Leparquet àdamier recouvrait unesurface dequatre-vingts mètresdelongueur surdixmètres delargeur. Pasmoins de seize millevolumes reposaient surdes étagères boisées.Desfresques illustrantdesscènes del’Ancien Testament ornaientleplafond voûté.Ungigantesque globeterrestre trônaitàl’entrée delasalle. Quatre pieds...
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RENOIR Pierre Auguste : Étude; torse, effet de soleil
RENOIR Pierre Auguste Étude; torse, effet de soleil Né à Limoges, 1841 Mort à Cagnes-sur-Mer, 1919 "Essayez donc d'expliquer à Monsieur Renoir que le torse d'une femme n'est pas un amas de chairs en décomposition avec des taches vertes, violacées, qui dénotent l'état de complète pu tréfaction dans un cadavre" (Albert Wolff pour "le Figaro"). Des critiques émises en 1876 lors de la deuxième exposition impressionniste, le public...
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ÉTUDE. TORSE, EFFET DE SOLEIL
. . Ill ÉTUDE . TORSE, EFFET DE SOLEIL 18 7 6 Pein tre fran ça is Analyse ~ Comme l'indique le titre de l'œuvre, le peintre considérait cette toile comme une étude, une tentative pour capter les effets de la lumière sur la peau d'une jeune femme et la végétation environnante. Renoir, néanmoins, exposa l'œu vre telle quelle à la seconde exposition impres sionniste (1876), ce qui prouve qu'il y attachait autant d'importance qu'...
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bombe2
BOMBE2, substantif féminin.
bomber BOMBER, verbe. I.? [Correspond ? bombe1 D 2] A.? Emploi transitif. 1. Cintrer comme une bombe (bonbonne), rendre convexe. Bomber l'?chine, les ?paules; bomber le dos sous l'averse. ? Par extension. Renfler, arrondir. Les douze souffleurs, dos au feu, bomb?rent ensemble leurs joues rouges de force (PIERRE HAMP, Vin de Champagne, 1909, page 85) : ? 1.... et tous ceux qui roucoulent, des ramiers bleu d'ardoise, des tourterelles au bec ?carlate, grasses du jabot comme de petits p?...
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Définition et usage du mot:
BARRIQUE, substantif féminin.
? MARINE. Barrique ? feu. " Futaille remplie de mati?res combustibles que l'on destinait autrefois ? incendier les vaisseaux ennemis " (Dictionnaire universel de la langue fran?aise (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845). Voir aussi baril ? feu. ? Par analogie. P?CHE. " Sorte de filet pour la p?che " (Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise, Compl?ments 1842), [Sorte de filet] " pour la p?che des lamproies " (Dictionnaire universel de la langue fran?aise (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dic...
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garder plus de souvenirs qu'elles ne le feraient dans des conditions normales.
59 Villaverde seréveilla dansunegrande piècetrèsclaire. Un regard circulaire luiapprit qu’ilsetrouvait dansunesorte degymnase. Ungymnase privé,luxueux. Un cross-trainer, unrameur etun Power Plates’alignaient lelong d’une paroivitrée. Al’extérieur, ilvoyait lamer miroiter auclair delune. Ilcomprit qu’ilétait dans unevilla dufront demer. Cequi aurait étégénial s’iln’avait eu les poignets etles chevilles liésparduruban adhésif àdes barres degymnastique d’acierfixéesaumur. Il était nujusqu’à lataill...
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profane, et un profane normalement intelligent, pourrait le comprendre.
poupée. Hoskins ditàDeveney : — On peutentrer dansStasis absolument sansdanger. Jel’ai fait mille fois.Onéprouve unesensation bizarre quin’est quemomentanée etqui nesignifie rien. Il franchit laporte ouverte, pourunedémonstration muette,etDeveney, avecunsourire crispéeten retenant ostensiblement sarespiration, lesuivit. — Miss Fellowes ! S’ilvous plaît, ditHoskins. Il lui fitsigne, enrepliant impatiemment unindex. Miss Fellowes acquiesça etentra d’unpasraide. Elle eutl’impression qu’uneondelapar...
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L'ATHLÈTE GREC
statue par aucune trace d e lutte ni de viole nce. Le corps du jeune homme ne montre ni ten sion, ni effort, ni fatigue ou souffrance. Il est nonchalammen t appuy é contre un tronc d'a rbre, accessoire nouveau qui annonce l'intro duction dans la sculpture du décor paysager jusque-là inconnu. À l'inclinaison de la tête en direction du serpent répo nd le mouvement du corps légèreme nt penché vers l'animal. Comme dans le Doryphore , le...
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Texte
Je m'étais assis dans un coin, me faisant plus petit que je ne l'étais déjà. J'avais posé mon visage entre mes mains sales pour m'empêcher de voir les silhouettes crasseuses des Hommes se déchaînant pour vivre, des hommes qui pleurent dans des coins comme moi, où qui sont déjà morts et qui remuent sur le sol du wagon, comme des carcasses flotteraient sur l'eau d'un fleuve sale et gris. Je ne fis rien, rien que pleurer silencieusement, sans réelles larmes, je repensais aux bras de ma mère, osseux...