90 résultats pour "superstition"
- Comment comprendre que la superstition soit le fait d'un être intelligent et doué de raison ?
- L'homme est-il plus sensible à la superstition qu'à la raison ?
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Voltaire, Candide. L'auto-da-fé
voyeurisme Les 2 premières phrases sont redondantes, cette insistance attire l'attention sur leur contenu . Plus concrètement,l'autodafé qui est une exécution est , lui aussi, présenté sur le mode du spectacle.Il faut aussi remarquer tout ce qui relève du soucis de l'esthétique, dans la description qui est faite de l'apparence vestimentaire ducondamné. Les précisions concernant les mitres (qui servent à orner), puis les san-benito insistent avec beaucoup decomplaisance sur des détails pré...
- PRÉJUGÉS ET SUPERSTITIONS CHEZ RABELAIS
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Liberté de philosopher contre ferveur religieuse :
Le point de vue spinoziste à travers son …
« Tractatus theologico-politicus »
politique décrétait que seuls les actes peuvent être poursuivis, sans que les paroles soient jamais sujettes à sanctions , les troubles intérieurs ne se pareraient plus d'une apparence de droit. » è Ce que réalise en fait la religion (i.e. la superstition fardée d'un appareil qui la stabilise), c'est la réduction del'illégalité de la guerre civile à la légalité de l'intérêt politique. Mais c'est un sophisme, car les dissensions civiles,dues à des divergences d'opinions, sont une plaie p...
- Il y a de la superstition à éviter la superstition. Essais Bacon, Francis. Commentez cette citation.
- Les Lumières Elles symbolisent le triomphe de la raison sur l'ignorance et la superstition.
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Le XVIII e siècle est incontestablement le siècle de l'exercice
soumettre le réel à ses exigences. Locke, qui démonte l'innéisme et rapporte toute idée à une expérience sensible, leur enseignait également que la réalité n'est saisissable que par l'observation. Sous le coup de cette double inspiration, le rationalisme du XVIII e siècle s'articula sur un « factualisme » qui imposait de partir des faits, offerts par l'expérience sensible, et de ne jamais les occulter, le factuel combattant ainsi la superstition. Aussi était-il orienté par deux tendances pour...
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- Les Lumières Elles symbolisent le triomphe de la raison sur l'ignorance et la superstition.
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Commentaire: Cinq Semaines En Ballon Chapitre XV (15) - (La Montgolfière)- Jules VERNE
croyances de ces peuples. En outre, nous voyons, d'après le discours rapporté d'un des sorciers, que les trois anglais sont perçuscomme des personnages très importants, comme en témoigne « Fils » avec une majuscule, ce qui marque déjà le respect dessorciers. Fergusson profite alors de la superstition créée par la montgolfière pour essayer d'aider ces peuples indigènes, aussil'aérostat devient-il le principal objet des préoccupations. En effet, si la montgolfière subit quelque dommage, l'illusion...
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Commentaire: Dom Juan Acte 3 Scène 1
et que quatre et quatre sont huit », ce qui est indéniable. D'ailleurs, cette réponse semble logique quand nous nous rendonscompte que se sont des paroles qui pourrait être destinées à un enfant qui découvre les mathématiques. Ainsi, il rabaisseSganarelle. Et, si Dom Juan ne fait pas d'aussi longs développements que Sganarelle, son seul propos suffit à montrer qu'il baseses croyances sur des faits concrets et non de simples suppositions. Cette réponse expose ainsi l'idéologie de Dom Juan, ilmont...
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FANATISME
Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce
que la rage est...
FANATISME Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique. Jean Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist de I' Apocalypse, et qu'il a le signe de la bête, n'était qu'un enthousiaste , son frère, Ba...
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Lucrèce: Pièté et Religion
culte et croyance authentique ne s'impliquent pas mutuellement. C. La vraie piétéLa vraie piété se définissant par une sérénité de l'esprit, elle peut se passer de tous ces signes. Le sentimentreligieux ne réside pas dans ses manifestations extérieures. Il se définit donc par opposition à elles. Or celles-ci secaractérisent par l'agitation. Cette agitation est physique, elle se lit dans l'apposition des verbes qui suggèrent desmouvements du corps fébrilement répétés.Cette agitation physiqu...
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Spinoza (Éthique-IV-Scolie prop. XLV, tome 2, p. 93, Garnier)
Éthique-Textes choisis (N.R.F.). Gilles Deleuze Spinoza, philosophie pratique, (p. 37 sq) (Éditions de Minuit). Sylvain Zac La morale de Spinoza (P.U.F.). III. COMMENTAIRE DE TEXTE Introduction Quelle est l'idée générale du texte? Seule une grossière superstition, ensemble de préjugés (religieux généralementou, plus exactement naissant d'une dégénérescence de la religion) contraires à la raison, peut nous éloigner desplaisirs corporels et de la joie, plaisirs et joie qui manifestent notre puissa...
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Peut-on croire en la science?
complexité des théories élaborées par la science contemporaine et la sophistication des techniques utilisées peuvent donner à la pratique scientifique l'aspect d'un culte devant lequel le profane ne peut que rester bouche bée et dontil ne peut discuter les résultats.III. Croire et savoir.Face à cette attitude « pieuse » à l'égard de « la science » transformée en absolu, il convient de rappeler quelques aspects qui invitent à une attitude plus nuancée.• La science faillible.Il convient tout d'abo...
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HUME: La doctrine d'une divinité suprême
Il faut aussi distinguer le contenu d'une croyance et ses raisons. On peut croire à une idée vraie pour des raisonsfausses. Nous trouvons là un écho à la distinction platonicienne entre l'opinion et le savoir. L'opinion peut être droitemais elle ne l'est qu'accidentellement : elle ne peut rendre raison d'elle-même. Le savoir, quant à lui, peut expliciterles raisons qui le fondent. Il y a donc lieu d'opposer les « invincibles raisons » aux « préjugés incurables ». Si, dansles deux cas, une force...
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Explication de texte de l’extrait de l’Ethique (1677), Partie IV, Spinoza
Page 2 sur 8 Ce texte pose le problème du désir. Communément, un désir démesuré ou sans limites n’est pas un désir sain. Un homme qui s’adonne au désir démesurément n’est pas sage, il s’expose même à un danger pour qui l ’hubris (ou la démesure) présente tout désir qui n’est plus maitrisé. Ce désir devient passion. En effet, un homme qui ne peut se permettre de renoncer au désir n’est pas sage car le bien -être n’est par définition, certainement pas le Bien. Nous pouvons don...
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PENSÉES DIVERSES ÉCRITES À UN DOCTEUR DE SORBONNE À L’OCCASION DE LA COMÈTE QUI PARUT AU MOIS DE DÉCEMBRE 1680 ou PENSÉES DIVERSES SUR LA COMÈTE, 1683. Pierre Bayle
«Il paraît de là que les savants font quelquefois une aussi méchante caution que le peuple, et qu'unetradition fortifiée de leur témoignage n'est pas pour cela exempte de fausseté. Il ne faut donc pas quele nom et le titre de savant nous en impose. Que savons-nous si ce grand docteur qui avance quelquedoctrine a apporté plus de façon à s'en convaincre, qu'un ignorant qui l'a crue sans l'examiner ? Si ledocteur en a fait autant, sa voix n'a pas plus d'autorité que celle de l'autre, puisqu'il est...
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VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique portatif, Article « Fanatisme ».
Le fanatisme est à la superstition ce que le transport (1) est...
VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique portatif, Article « Fanatisme ». Le fanatisme est à la superstition ce que le transport (1) est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique. Jean Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist (2) de l'Apocalypse, et qu'il a...
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Maupassant: la peur : danger réel ou danger imaginé ?
différence entre ces mots. Quand on demande conseil au Petit Robert il devient en effet clair que les mots n’ont pas le même sens. Le Petit Robert donne pour le mot ‘agiter’ le sens suivant : « Remuer vivement en divers sens, en déterminant des mouvements irréguliers [3]». Ce sens ou un synonyme de ce mot est brièvement ‘trembler’. On peut conclure que ce mot a quelque chose à faire à la peur, mais ne décrit pas la peur elle-même. Ce n’est qu’un sens léger de la...
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La philosophie des Lumières
LE SIÈCLE DES LUMIÈRES
LA CRITIQUE DE LA SUPERSTITION
Au pluriel «lumières» signifie intelligence,
savoir, capacité...
La philosophie des Lumières LE SIÈCLE DES LUMIÈRES LA CRITIQUE DE LA SUPERSTITION Au pluriel «lumières» signifie intelligence, savoir, capacité intellectuelle. Le xv111 e siècle, caractérisé par l'épanouissement de ces qualités dans tous les domaines, fut appelé le «Siècle des lumières». De nom breux auteurs français participèrent à cette fermentation intellectuelle et sociale qui prépara la Révolution de 1789 : dès 1682 Pierre Bayle critique la tradition et l'auto rité, et Fontenelle dénonc...
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Commentaire du chapitre 27 : « Comment un moine de Seuillé sauva l'enclos de l'Abbaye du saccage des ennemis » Gargantua de François Rabelais
chapitre. Là on décréta de faire une belle procession, renforcée de beaux sermons et litanies contre les assauts des ennemis, et debeaux répons pour la paix » (l 21-26), l'anaphore des adjectifs beaux/belle montre que ces actions n'ont aucune utilité et neservent qu'à faire joli et le mot « hasard » décrédibilise encore plus leur action. On remarque aussi que les moines se perdent dansleur dulie car il n'y a pas de saint protégeant les vignes des assaillants. Il s'agit belle et bien d'une satire...
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Spinoza: Religion, culte et superstition
recherche du profit. Ce préjugé entraîne la superstition et fait chuter la religion au niveau le plus bas. Dans le 2nd §, Spinoza montre que l'idée qui veut que la nature ne fasse « rien d'inutile aux hommes » est faussecar elle nous fait imaginer que tout, y compris les catastrophes, a lieu en vue de nous, et donc que les dieuxmanifestent des sentiments comme la colère à travers elles. Or « les tempêtes, les tremblements de terre, lesmaladies, etc. » s'abattent indifféremment sur le...
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Nietzsche: Il y a des rêveurs politiques
Nietzsche parle de l' « illusion » d'une élévation de l'humanité. Pourquoi est-elle illusoire ? Parce queprécisément elle repose sur le présupposé suivant : « la superstition de Rousseau, qui croit à une bonté del'humaine nature, miraculeusement originelle ». Le présupposé réside dans le fait de croire que la bonté estoriginelle. Plus précisément, elle serait originelle parce qu'elle est naturelle. Autrement dit, on pourrait déduirede la nature humaine la bonté. Encore faudrait-il connaît...
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voici
toute l'Europe, et notamment en France, au xviiie siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de siècle des Lumières. Par leur engagement contre les oppressions religieuses, thomasiennes et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée oeuvrant pour un progrès du monde, combattant l'irrationnel, l'arbitraire, l'obscurantisme et la superstition des siècles passés, ont procédé au renouvellement du savoir, de l'éthique et de l'esthétique de leur temps...
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Est-il paradoxal de croire en la science ?
Dans la Lettre à Ménécée, Epicure propose une explication de l'univers quirend superflue la représentation de l'au-delà et du Jugement dernier, qui sontà l'origine de la peur de la mort. Une des premières cause d'angoisse chez les humains est, selon Epicure,l'inquiétude religieuse et la superstition. Bien des hommes vivent dans lacrainte des dieux. Ils ont peur que leur conduite, leurs désirs ne plaisent pasaux dieux, que ceux-ci jugent leurs actes immoraux ou offensants enversleu...
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Entre croire et savoir, faut-il choisir ?
« Si, pendant qu'ils sont dans un état de crainte, il se produit unincident qui leur rappelle un bien ou un mal passés, ils pensent quec'est l'annonce d'une issue heureuse ou malheureuse et pour cetteraison, bien que cent fois trompés, l'appellent un présagefavorable ou funeste. » (Spinoza, Préface du traité théologico-politique.) Les hommes pour apaiser le désir de connaître, leur inclination naturelleà détenir le savoir, se forgent même des fictions que l'on nommeégalement opini...
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Érasme - écrivain.
ni la confiance des catholiques ni celle des partisans de la Réforme. De fait, il reste catholique tout en étant ami avec nombre de réformateurs. Ses critiques à l’encontre de l’Église catholique et de la superstition qu’elle véhicule, exprimées par exemple dans ses Colloques (1518), lui valent d’être accusé de défendre la cause de Luther, ce qu’il réfute avec force car il prône un renouveau au sein même de l’Église catholique. On lui reproche également de ne pas avouer ses points de vue par...
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Érasme - littérature.
ni la confiance des catholiques ni celle des partisans de la Réforme. De fait, il reste catholique tout en étant ami avec nombre de réformateurs. Ses critiques à l’encontre de l’Église catholique et de la superstition qu’elle véhicule, exprimées par exemple dans ses Colloques (1518), lui valent d’être accusé de défendre la cause de Luther, ce qu’il réfute avec force car il prône un renouveau au sein même de l’Église catholique. On lui reproche également de ne pas avouer ses points de vue par...
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Halloween.
Halloween traditions in southern colonies such as Virginia and Maryland. Irish immigrants helped popularize Halloween traditions throughout the United States in themid-19th century. As belief in many of the old superstitions waned during the late 19th century, Halloween was increasingly regarded as a children’s holiday. In the 19th and early 20th centuries, young people often observed Halloween by perpetrating minor acts of vandalism, such as overturning sheds or breaking windows.Beginning in th...
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American Literature: Drama
I
INTRODUCTION
American Literature: Drama, literature intended for performance, written by Americans in the English language.
American plays, while still a minority, began to appear in the theater repertory in the 19th century. Although American plays were still styled after British models, theirsubject matter came to be based on specifically American incidents or themes. In the United States as in Britain, many plays reflected the influence of romanticism , a European literary and artistic movement. Melodrama, with its outpourings of emotion, was the most prevalent dramatic form in the 19th century. Gothic melodramas...
- Y a-t-il une superstition de l'inconscient ?
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Explication de texte n°1 Spinoza, Ethique: une «sauvage et triste superstition »
renforcé par l'utilisation de l'expression "aucune divinité", qui indique que les Dieux ne veulent pas interdire à l’homme le bonheur, et ne veulent pas le réduire au malheur. Les termes de Spinoza sont très forts : «superstition», « envieux », «âme impuissante » : On pourrait les croire sortis d’un texte de Nietzsche : Spinoza fait ici la critique d’une morale qui serait le signe d’une incapacité à vivre, à oser agir et qui puni t, culpabilise ceux qui vivent. Spinoza conçoit le plaisir...
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Superstitiones aniles
Des superstitions de vieille femme
C'est ainsi que Cicéron décrit les croyances les plus absurdes, auxquelles seules croient...
Superstitiones aniles Des superstitions de vieille femme C'est ainsi que Cicéron décrit les croyances les plus absurdes, auxquelles seules croient les âmes simples et superstitieuses (De na~ra deorom, 2, 28, 70) ; mais Cicéron emploie souvent des expressions similaires qui font des vieilles femmes le symbole même de la crédulité (De domo sua, 1OS ; De divinatione, I, 4, 7 ; 2, 7, 19 ; 2, 1S, 36 ; 2, 60, 12S ; 2, 68, 141 ; De natura deorum, 1, 34, 94 ; 3, 39, 92 ; Tusculanae disputationes, 1, 21,...
- Peut-on se délivrer des préjugés ?
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Entre croire et savoir, faut-il choisir?
« Si, pendant qu'ils sont dans un état de crainte, il se produit unincident qui leur rappelle un bien ou un mal passés, ils pensent quec'est l'annonce d'une issue heureuse ou malheureuse et pour cetteraison, bien que cent fois trompés, l'appellent un présagefavorable ou funeste. » (Spinoza, Préface du traité théologico-politique.) Les hommes pour apaiser le désir de connaître, leur inclination naturelleà détenir le savoir, se forgent même des fictions que l'on nommeégalement opini...
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Les croyances religieuses sont-elles légitimes ?
l'autre, celui qui n'y appartient pas, est-il traité ? Dans cette mission culturelle, la religion a parfois crée des communautés dont lesentiment d'appartenance se traduisait par le rejet, la condamnation de l'autre. Cette discrimination et la violence qui en découle,sont parfaitement illégitimes du point de vue rationnel.b) Certaines croyances de plus dans cet effort pour faire société pousse à certaines pratiques que la raison condamne : excision,censures, condamnation pour sorcellerie ou héré...
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LA RELIGION - Cours complet de Philosophie
donc y avoir du sacré sans religion instituée. Qu’est-ce qui distingue alors la religion d’autres formes de sacralité ? C’est la transcendance du sacré qui distingue la religion, à la différence de la magie . Dans cette dernière, le sacré est contenu dans les objets magiques, alors qu’un objet religieux est un symbole , qui désigne le sacré, sans le contenir : une croix renvoie à la transcendance de Dieu, mais n’est qu’une représentation. Dans la foi, le sacré n’est donc pas immanent aux o...
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Pierre Bayle, Pensées diverses sur la Comète
l'habitude, de la paresse, de l'influence et de la conformité nous laissons de côté la voix de l'examen qui nousprotège du reclassement des idées toutes faîtes. Faire taire les préjugés de la foule voilà ce qui eût été plus facile siles hommes dits d'étude avaient tous eu pour exigence celle de la critique rationnelle nous dit Pierre Bayle. Aucontraire la tradition s'est renforcée forte de la caution de prétendus hommes de science dont le titre apparaîtcomme gage d'un savoir solide...
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L'éloge de la religion par Sganarelle - Acte III Scène 1 : DOM JUAN
donc l'arithmétique ? » rejoint l'idée du philosophe Descartes rationalisme débouche sur un matérialisme caractéristique du libertinage aboutit à un athéisme ; tout est matière donc pas d'esprit supérieur gouvernant la création hasard joue un grand rôle considère les croyances religieuses et la superstition comme des illusions nées de l'imagination il n'est pas très clair sur la question religieuse et formule de vagues propositions répond par des interjections et des monosyllabes attitud...