5320 résultats pour "morale"
- L'Etat est-il la morale de la société ?
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La recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale ?
pas des contraintes, mais bel et bien de simples tentations auxquelles ils nous appartiennent de décider de résister.Ainsi, si nous y cédons, c'est que nous le voulons bien. Par exemple, supposons qu'un individu, ayant un penchantpour le chocolat, assure qu'il lui est strictement impossible de résister lorsque se présente cette nourriture.Toutefois, l'« impossible » n'est pas véritablement impossible mais bien possible puisque l'individu peut résister à cepenchant, qu'il avait qualifié d' «...
- Faut-Il De La Morale En Sciences ?
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LA BRUYÈRE Jean de : sa vie et son oeuvre
geoisie, une ambition littéraire qu'une élection académi que suffit à combler, une expérience humaine limitée (rachat d'un office, Je préceptorat, une charge chez les Condé, un conformisme politique et religieux. le labeur obscur de l'homme de lettres surtout). Plutôt que de romancer arbitrairement cette vie (comme on l'a souvent fait), remarquons. avec Cl. Cristin (Aux origines de l'his toire liuéraire, 1 973), que La Bruyère fut, en son temps, J'un de...
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Pourquoi voulons-nous être libres ?
Cf. le Sous-sol : Dostoïevski s'engouffre ici dans la voie ouverte par Descartes (mais Descartes n'allait pas jusquelà) : si la liberté suppose la capacité de choisir A quand j'ai toutes les raisons de choisir B, alors le libre-arbitre peutnous conduire à commettre des actes gratuits, sans motifs, pouvant aller jusqu'au crime sans mobile, au crime quel'on commet alors même qu'il va à l'encontre non seulement de la loi morale, mais aussi de notre intérêt. On retrouvecette idée chez Gide, dans Les...
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LA CRITIQUE DE L’UTILITARISME DANS LA PENSÉE POLITIQUE CONTEMPORAINE
que les inégalités sont nécessaires au bon fonctionnement de la société mais, elles doivent pouvoir profiter à tous, particulièrementaux plus démunis. On peut citer par exemple la nécessité d'associer des salaires plus élevés à certains postes névralgiques, parexemple les médecins, puisque ceux-ci procurent un incitatif pour les gens les plus qualifiés et compétents de se diriger vers cespostes[5]. La logique étant qu'un système de santé ayant de bons médecins est une bonne chose puisqu'il perme...
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Pourquoi voulons-nous être libres ?
bien d'attester par là notre libre-arbitre ». Je peux donc sacrifier mon intérêt, mon bonheur, mon avantage, pour(me) prouver que je suis libre.Cf. le Sous-sol : Dostoïevski s'engouffre ici dans la voie ouverte par Descartes (mais Descartes n'allait pas jusquelà) : si la liberté suppose la capacité de choisir A quand j'ai toutes les raisons de choisir B, alors le libre-arbitre peutnous conduire à commettre des actes gratuits, sans motifs, pouvant aller jusqu'au crime sans mobile, au crime quel'o...
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LE DROIT LA JUSTICE (cours de philo complet)
- I - Corrélation du droit et du devoir. Le devoir, c'est le sentiment d'une obligation . La règle -si règle il y a - est perçue comme s'imposan t à la bonne volonté. Le droit, c'est la même règle mais revendiquée pour justifier une action qu'on a l'intention de faire. Il est curieux de voir comment une même règle devient • devoir • ou « droit • lorsqu'on change de poin t de vue et lorsque l'initiative change de camp. En effet dans le...
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Quatre théories morales
1/ Le relativisme culturel Texte 1 : Lévi-Strauss sur la notion d’ethnocentrisme … [Au sens faible] : « [Tout membre d’une culture en est aussi étroitement solidaire [qu’un voyageur] l’est de son train. Car, dès notre naissance, l’entourage fait pénétrer en nous, par mille démarches conscientes et inconscientes, un système complexe de références consistant en jugements de valeur, motivations, centres d’intérêt […]. Nous nous déplaçons réellement avec ce système de références, et les réalit...
- Machado y Morales, Gerardo
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Leçon de morale sur le changement
nous sommes les acteu rs de ces changemen ts, nous pouvons non seu lemen t nous y p répa re r au m ieux si i ls nous son t i mposés, ma is aussi les p rovoquer et les i n f l uencer pou r qu’ i ls nous soien t bénéf iques. Sagesses possib les sous l a fo r m e d’u n conse i l : Relativiser la peur qui découle de l’idée qu’on se fait du changement. Tout les changements ne sont pas forcément de grands bouleversements, il peut s’agir de petites choses de la vie courante qui n’on...
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La morale nous console-t-elle de la mort ?
... le modèle de l'intellectuel à venir.Si Socrate meurt c'est d'avoir voulu détruire les apparences et toutes les certitudes que conforte l'habitude,c'est d'avoir donné au philosophe, au « manieur d'idées », un véritable rôle politique. Car la politique ne sauraitêtre l'affaire de spécialistes, faute de faire alors de la Cité un univers de mensonges, de tromperies et partantd'injustices. A l'instar de ce taon qui darde et réveille le dormeur, l'intellectuel agit sur les consciences pour enstimu...
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La morale est-elle le produit de l'instinct ?
2) Aussi Rousseau se livre-t-il à une célébration de la pitié, en décrivant ses différentes fonctions. Plus exactement,il croise les descriptions concrètes avec les fonctions abstraites. Ainsi la pitié est reliée à la souffrance (« c'est ellequi nous porte [..] au secours de ceux que nous voyons souffrir ») ou bien elle est pensée comme frein à l'injustice(« c'est elle qui détournera tout sauvage robuste d'enlever à un faible enfant [...] sa subsistance acquise avecpeine »).Mais, à chaque fois,...
- ROUSSEAU: LA FORCE, LE DROIT ET LA MORALE
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Analytic ethics
once substantive content has been admitted, the challenge can be pushed further. Why say that content issecondary and expressive force primary? Noncognitivists will point to the success of their ‘internalist' account of therelation of moral judgment and motivation. But Foot challenges this. If a person calls their project an ethical marvelbecause it publicizes their company, we do not know what they are talking about. But someone who says, ‘Sure, aprogressive tax on incomes would be more...
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La conscience est-elle naturelle ?
• Le raisonnementIl est un fait que chacun entend en lui-même la voix de sa conscience qui lui dicte son devoir.Quelle est la nature de cette voix ? Rousseau emploie l'expression a instinct divin ». Le mot « instinct » est engénéral utilisé pour caractériser les conduites animales ou ce qui, en l'homme, relève de son aspect « animal » ets'oppose à la raison. Or, ici, Rousseau l'emploie au contraire pour nommer ce qui va diriger l'homme vers uneconduite non animale (« sans toi je ne sens...
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Friedrich Nietzsche - Philosophie.
gestaltlos, sondern bleibt in seinen Äußerungen immer auf den Schein angewiesen – wie umgekehrt in jedem Gestaltungstrieb immer auch ein Moment des Dionysischenwirksam ist. Und wie das Apollinische erst in seiner Bedeutung als Überwindung des Dionysischen ganz begriffen ist, so erschließt sich umgekehrt auch das Dionysische inseiner Bedeutung als Grenzüberschreitung erst vor dem Hintergrund der durch das Apollinische gezogenen Grenzen. In den „immer neuen aufeinander folgenden Geburten” des Dio...
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Ética - filosofia.
La virtud del intelecto es la sabiduría, o el conocimiento de los fines de la vida; la de la voluntad es el valor, la capacidad de actuar, y la de las emociones es la templanza, oel autocontrol. La virtud última, la justicia, es la relación armoniosa entre todas las demás, cuando cada parte del alma cumple su tarea apropiada y guarda el lugar que le corresponde.Platón mantenía que el intelecto ha de ser el soberano, la voluntad figuraría en segundo lugar y las emociones en el tercer estrato, suj...
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Sujet de pédagogie générale
Sujet 1: L'école face aux crises morales que connait la société, doit être résiliente pour continuer à jouer son rôle. En vous appuyant sur cinq idées, expliquez ces propos et tirez-en cinq implications pédagogiques I- INTRODUCTION 1- idée générale: école et société 2- idée particulière: rôle de l'école dans la société 3- problème posé: l'obligation pour l'école de résister aux crises morales 4- appel du sujet 5- annonce du plan: * explication * implications pédagogiques II- DÉVELOPPE...
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Individualisme et morale ?
1. Texte N.B. Marx critique la Déclaration de 1789. "On distingue les droits de l'homme comme tels des droits du citoyen. Qui est l'homme distinct du citoyen ? Nul autreque le membre de la société bourgeoise. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé "homme", hommeen soi, pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l'homme? Par quoi expliquons-nous ce fait ? Par la relation del'Etat politique avec la société bourgeoise, par la nature de l'émancipation politique. (...)La liber...
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MONTAIGNE ET LES MORALISTES
Montaigne y parle de son style, de sa méthode, de ses habitudes, de sa personne physique et morale; c'est un deschapitres les plus importants de son autobiographie ; à la fin, il nous dit quelques mots de sa « fille d'alliance »,Marie de Gournay.Livre troisième. — Chap. II (Du Repentir). Montaigne y parle beaucoup de sa sincérité, et de la façon dont il prétendse peindre. — Chap. nt (De Trois Commerces). Encore un des chapitres essentiels pour l'analyse du caractère deMontaigne. Il y décrit ave...
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Suis-je un étranger pour moi-même?
aussi comme une fin, et c'est en ceci précisément que consiste sa dignité (la personnalité), grâce à laquelle ils'élève au-dessus des autres êtres du monde, qui ne sont point des hommes et peuvent lui servir d'instruments,c'est-à-dire au-dessus de toutes les choses. Tout de même qu'il ne peut s'aliéner lui-même pour aucun prix (ce quicontredirait le devoir de l'estime de soi), de même il ne peut agir contrairement à la nécessaire estime de soi qued'autres se portent à eux-mêmes en tant qu'ho...
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Commentaire de texte de Rousseau
des passions. Si nos passions nous entraînent au mal, ce n'est que de notre faute, parce que nous nous sommes laissé entraîner, sans y résister. Il s'agit de "ne pas nous laisser vaincre aux tentations". Ainsi la maîtrise de soi serait la condition nécessaire et suffisante pour qu'une passion soit dite bonne et donc jugée permise. A l'inverse, l'état d'assujettissement du passionné aurait pour conséquence la condamnation de sa passion. Rousseau fait recoure à une anaphore qui lui permet de mettr...
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A quelles conditions le mensonge est-il permis ?
être son intention en mentant, doit répondre des conséquences de son mensonge, même devant les tribunaux civils,si imprévues qu'elles puissent être. […] C'est donc un commandement de la raison qui est sacré, absolumentimpératif, qui ne peut être limité par aucune convenance : en toute déclaration, il faut être véridique. »b) Ce que Constant reproche à Kant c'est cet absolu de vérité, car selon lui toute vérité n'est pas bonne à dire, etsi la vérité est un devoir absolu, alors toute soci...
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En politique, la fin justifie-t-elle les moyens ?
pour se conserver et pour conserver son pouvoir ? Le « Prince » tout entier se propose de répondre à cettequestion.Machiavel pense que l'on peut tirer des leçons de l'histoire. En étudiant le comportement des grands hommes,en analysant les causes de leurs échecs ou de leurs succès, il est possible de dégager les principes surlesquels pourra se fonder une action politique. Sa conclusion est claire : on ne fait pas de bonne politiqueavec de bons sentiments.Il n'est pas important pour le « Pri...
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LE DEVOIR (cours de philo complet)
Il y a peut -être w1e erreur dans celle hypothèse, mais ce qui importe ici, c' est de constater que l'Impéra tif mora l st p résente sous l'aspect d'un devoir généra lisab le, universel même . On appellera êgalement • con science morale • le centre de diftu sion de ces jugements de vale ur. - 1- Les expressions de la conscience morale. Avant de nous poser ln. question de la nature et de l'origine du devoir , nous tenterons de saisir la...
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la morale
Chez Leibniz, le principe de raison suffisante est ce qui tente de rendre compte du passage du possible, logiquement parlant (c'est-à-dire de ce qui est non-contradictoire), à l'existence. Ainsi, la catégorie de la nécessité s'oppose à la contingence; celle du possible contraste avec celle de l'existence. Approche de la logique : La nécessité est le caractère de ce qui est universellement vrai. Enjeux de la Contingence par rapport à la nécessité[modifier] La contingence, possibilité qu'une chos...
- Jugement moral et liberté chez KANT
- Le jugement selon lequel il n'y a plus de morale est-il moral ?
- Est-ce la morale qui fonde la liberté ou la liberté qui fonde la morale ?
- En quel sens considère-t-on la conscience comme une instance morale ?
- Peut-on se passer de la conscience morale pour définir un être humain ?
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- L'éducation est-elle suffisante pour qu'apparaisse la conscience morale ?
- L'appréciation morale relève-t-elle de la seule raison ?
- Faut-il concevoir la morale comme une science expérimentale ?
- Le respect de la vie peut-il être considéré comme un des principes de la morale ?
- La morale s'enracine-t-elle dans le sens commun ?
- Les politiciens ont ils un droit de regard sur la moralité des citoyens ?
- La moralité consiste-t-elle à être animé de bons sentiments ?
- ARTHUR SCHOPENHAUER : LE FONDEMENT DE LA MORALE (Résumé & Analyse)
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- Les deux morales
- Quel rôle autrui joue-t-il dans la moralité ? (Pistes de réflexion seulement)
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Mentir par bienveillance peut-il être moral ?
Les mots du sujet Se taire, c'est évidemment ne pas dire. Connaître la vérité, c'est savoir. Se taire quand on connaît la véritéconstitue ce qu'on appelle en morale le mensonge par omission. Il s'agit donc de s'interroger sur un cas particulier demensonge. Le sens du problème La question posée est celle du "droit" c'est à dire de la légitimité. Est-il légitime de mentir par omission ? Est-cemoral, sinon toujours au moins parfois ? La question est donc de savoir s'il y a vraiment un dev...
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Peut-on être sûr de bien agir ?
ANALYSE ET PROBLEMATISATION DU SUJET. § L'agir, et a fortiori l'agir moral, semble relever de la pratique, qui se mesure à l'aune du bien et non à l'aune de la vérité. Il apparaît donc que ce domaine n'est pas celui de la certitude, qui elle, estréservée au domaine de la science, de la connaissance. § Il apparaît donc de prime abord impossible de dire que nous soyons sûrs, certains, de bien agir, la certitude n'étant pas la bonne mesure de la pratique. § Néanmoins,...
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LA PERSONNE DE KANT
systématique. C'est bien ainsi qu'il faut développer et appliquer les principes, bien qu'une critique soit nécessairepour les découvrir et en fixer le vrai sens et l'usage légitime. Lui-même doit à Wolf ce souci de l'ordre, de la rigueur,de la précision, qui sont les caractères de son génie, nullement primesautier et hasardeux. Même pour le fond, il abeaucoup gardé de la métaphysique qu'il a reçue de Leibniz par l'intermédiaire de Wolf. Seulement, les doctrines oules principes qu'il en retient,...
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Introduction : La fontaine est un écrivain du classicisme il écrit en 1678 son 2e recueil 10 ans après le premier.
*Hyperbole v23 qui compare l'odeur du palais au plus bon parfum *Parallèle de situation entre l'ours et le singe par l'adverbe encore v 25 et fut encor punie * La diérèse lion la montre la vanité du roi Lf critique l'abus de pouvoir du roi avec la référence a l'empereur caligula celebre pour sa cruauté *Et enfin celle du renart au vers 28 a 23 : Lf joue la encore sur un comique de caractere avec le stereotype du renard rusé *Le renard ne prend pas la parole en 1er, c'est le roi qui le sollicite...
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La conscience morale est-elle un instinct ?
et de vertu »). De même, à la suite de l'injustice, Rousseau montre que la pitié débouche sur une maxime valabledans l'état de nature (« une maxime de bonté naturelle ») autrement plus efficace que la maxime qui a cours dansl'état de société.A chaque fois, la pitié est un sentiment immédiat (« sans réflexion »), à l'opposé de ce que serait une raisonnaissante qui pèserait le pour et le contre, les avantages et les inconvénients. La pitié s'oppose même à l'instinct.En effet, elle est même...
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Le fondement de la morale est-il rationnel ?
et de vertu »). De même, à la suite de l'injustice, Rousseau montre que la pitié débouche sur une maxime valabledans l'état de nature (« une maxime de bonté naturelle ») autrement plus efficace que la maxime qui a cours dansl'état de société.A chaque fois, la pitié est un sentiment immédiat (« sans réflexion »), à l'opposé de ce que serait une raisonnaissante qui pèserait le pour et le contre, les avantages et les inconvénients. La pitié s'oppose même à l'instinct.En effet, elle est même...
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La religion de l'humanité (Auguste Comte)
la notion de l'Humanité à l'idée de Dieu. Mais, vraies ou fausses, ses idées sur ce point sont singulièrementintéressantes et suggestives. Car, dans cet effort pour instituer la religion démontrée et pour définir les dogmes',Comte est conduit à compléter sa philosophie, qui n'était qu 'une esquisse flottante, et à restaurer dans le plan etdans l'esprit du positivisme les croyances constitutives de ce qu'on nomme la religion naturelle : Dieu, la spiritualitéde l'âme, l'immortalité. 2° L...
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Sciences po, cours
C’est à la philosophie que se voyait confié le rôle d’être la science du gouvernement politique. Pour les grecques « politique » et « morale » était étroitement liées. Ainsi, pour Socrate (469-399 avant JC) la politique est un art dont la responsabilité doit revenir au meilleur, cad de ceux qui disposent du sens moral et de la sagesse les plus élevés. La sagesse est le fruit de l’intelligence. La démocratie laisse trop de choix du peuple, est donc aussi tirée par l’ignoran...