544 résultats pour "consciemment"
-
Un acte peut-il être inconscient ?
conscient et inconscient ne sont pas clairement définies ), tout en précisant que cette réponse est relativisée par le fait que l'on puisse apprendre à savoirce que l'on fait. La question étant de déterminer jusqu'à quel point on peut ne pas savoir ce que l'on fait, jusqu'à quel point on peut se tromper soi-même.
-
Peut-on ne pas être soi-même?
sur la vanité de l'homme. Ainsi le stoïcien est vaniteux puisqu'il pense être maître de lui-même. Le doute exclut qu'onne fasse jamais sienne une certaine présentation du moi, et c'est toute la présentation des Essais : « Je ne peins pas l'être, je peins le passage » (III, 2). Ainsi il n'y a pas avec Montaigne de résultat, que ce soit l'ataraxiesceptique, ou une certitude inébranlable ; de fait, pour cet humaniste, la vie humaine n'a pas de but, maisseulement « un bout...
-
L'hypothèse de l'inconscient contredit-elle l'exigence morale?
L'hypothèse de l'inconscient est donc qu'une bonne partie de ce qui se passe en moi (dans mon âme, ma psyché) nem'est pas connu, m'échappe, et cependant influe sur moi. C'est ainsi qu'il faut comprendre notre passage : lapsychanalyse se propose de « montrer au moi qu'il n'est seulement pas maître dans sa propre maison, qu'il en est réduit à se contenter de renseignements vagues et fragmentaires sur ce qui se passe, en dehors de sa conscience,dans sa vie psychique ». La plupart des chose...
- INCONSCIENT (psychanalyse)
- Commentaire sur l'inconscient de Freud
-
« Quand ne sommes-nous pas maîtres de ■ nos paroles ? »
paroles à nos pensées, et en aval, dans le rapport de l'intention de signification à la compréhension par autrui. e Que signifie « être maître de ses paroles » ? Être maître de ses paroles, savoir ce que l'on dit, parler à pro pos : autant d'expressions voisines qui renvoient généralement à la qualité normale du discours et de la conversation. Cette expression signifie, simplement, que nous décidons souveraine ment, c'est-à-dir...
- Puis-je savoir celui que je suis ?
-
Que puis-je connaître de mon inconscient ?
2. L'existence de l'inconscient. « On nous conteste de tous côtés le droit d'admettre un psychique inconscient et de travailler scientifiquementavec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire et légitime, etque nous possédons de multiples preuves de l'existence de l'inconscient. Elle est nécessaire, parce que les donnéesde la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l'homme sain que chez le malade, et il se produitfréquemment de...
-
- plaisir (principe de)
-
Le désir. Ses rapports avec la tendance. Son rôle dans la vie de l'esprit.
b J Ainsi le désir est attente, mais il u 'est pas une simple attente. Eu effet /'attente proprement dite est passin', elle n ·est qn ·un désir "dont la uie s'est retirée" (l). Il y a. au contraire, une certaine vie et une 1.•erlaine activité dans le désir, ressort toujours tendu Yers l'objet qui manque. c • Par lit le désir se rapproche de la volonté. :\lais. tandis que le volon· taire prend les moyens aptes ù conduire .ù la f...
- Conscience en psychanalyse
- TEXTES DE REFERENCE: L'inconscient existe-t-il ?
- L'hypothèse de l'inconscient ruine-t-elle l'idée de responsabilité?
- Quelle conception de l'homme l'hypothèse de l'inconscient remet-elle en cause ?
- images subliminales
-
Pourquoi l'homme désire-t-il l'inconscience ?
Le désir de l’inconscience peut nous permettre de s’exprimer comme par exemple dans l’art d’après A. Schopenhauer :>. L’œuvre d’art, comme le rêve, n’est pas la traduction claire et univoque d’une réalité qui existerait quelque p art indépendamment du texte. L’œuvre d’art est, pour une part, la résultante d’un ensemble d’incitations et de résistances qui sont totalement insaisissables mais dont nous pouvons suivre le travail par une démarche interp...
-
-
Le devoir est-il essentiellement rationnel ?
Si l'origine de l'obligation est l'habitude, ne sommes-nous pas moralement conditionnés par la société ? Comment parler de devoir moral, si l'obligation est un penchant déterminé par l'éducation, si elle n'est qu'un simpleconformisme ? Le devoir n'est-il qu'une forme de dressage social, ne laissant aucune place à la liberté ? La possibilité du choix Assurément pas, car à la différence de l'animal, l'être humain peut fuir les obligations que la société lui impose : ilpeut désobéir. L...
-
LA DIMENSION PSYCHIQUE ET LE CONFLIT
14 tention qui les supporte, il est cette intention même. Et postuler qu'il existe un sens là où il semble d'abord manquer, c'est affirmer qu'une intention existe où on ne songerait pas à la soupçonner; c'est en même temps refuser qu'il existe des conduites humaines - motrices, verbales, imaginaires - qui ne soient mues par une intention, autrement dit, par un désir. S'il en est ainsi, deux questions aussitôt se posent...
-
Penser m'empêche-t-il d'être heureux ?
justement nous « aider » à être heureux et nous aider à atteindre une certaine plénitude.Mais penser peut également être assimilé au fait de réfléchir ; or on ne peut pas vivre sans réfléchir à chaquemoments de notre vie, et on ne peut pas non plus être heureux sans réfléchir un minimum, réfléchir sur notresituation, notre vie, et cela peut être lorsque l'on réfléchit à notre situation actuelle que l'on se rend compte quel'on réside heureux, on réfléchit également sur la réalité de la vi...
-
Suis-je ce que j'ai conscience d'être ?
en effet posé l'idée selon laquelle la conscience se suffisant à elle-même, « je » ne serait qu'un esprit vagabond, sans enveloppe corporelle. Sa doctrine pourrait se résumer à ces quelques paroles inscrites dans son oeuvre « Le discours de la méthode » (1637) : « je pense donc je suis ». Je suis en mesure de penser, donc j'existe. Dans un monde où je peux douter de mes sens, de la science, des mathématiques, de la logique, des règles physiques et chimiques, le seul objet me permettant de ju...
-
Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ?
moi-même à tout moment de mon existence. Je connais mes pensées et mes sentiments intimes, mes qualitéset mes défauts, j'ai en mémoire la totalité de mes actes et de ma vie. Ce qui fait l'originalité du rapport de laconscience à elle-même, c'est l'immédiateté. Nul intermédiaire, nulle médiation, la conscience se donneimmédiatement. Pour Descartes, la vérité se saisit dans le présent et plus précisément dans l'instant. En effet,c'est au moment où je prononce « je suis, j'existe » que cette p...
-
La conscience de soi suppose-t-elle la présence d'autrui ?
Hegel B- Ma conscience est donc le « pont » qui me permet d'être connecté à autrui. Sans elle je ne pourrais medistinguer des autres et donc je me fondrais dans un tout immédiat hors de la conscience du temps et de l'espacequi agissent sur mon corps et mon esprit. "La conscience n'est qu'un réseau de communications entre hommes ; c'est en cette seule qualité qu'elle a étéforcée de se développer : l'homme qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s'en passer. Si nos act...
-
Ma conscience peut-elle me tromper sur moi-même ?
délibération qui font que je ne suis pas un simple automate, et où les possibles peuventse confronter. Pour exemple, on peut penser à la pièce de Camus Les justes où les protagonistes sont précisément face à un dilemme entre la cause révolutionnaire etl'assassinat qu'ils doivent commettre au nom de cette cause. Il n'y a pas de résolutionpossible par un calcul simplement rationnel, il faut choisir et choisir implique uneresponsabilité. b) Cette relation de la conscience e...
-
Liberté et nécessité
2. LE PROBLÈME DU DESTIN A - La liberté contre le destin S i je ne s uis tout entier déterminé par autre chose que m oi-même, je ne peux en rien influer sur la série mécanique des événements de ma vie, et j' ensuis un rouage, transmettant un mouvement que je ne choisis pas. P ièce d'un ensemble, je n'ai pas plus de destin que la pierre ou le vent. Mais si je suis libre, je suis maître de ma vie. M on choix de vie me fait poursuivre un certain but ; c 'est la cause principale des événements...
-
-
Y a-t-il un destin ?
L'hypothèse Freudienne de l'inconscient revient à dire que bon nombre d'actes « normaux » (oubli, actesmanqués, rêves), mais aussi « maladifs », pathologiques (névroses, psychoses, obsessions) s'expliquent engros selon le même schéma. L'individu subirait un conflit psychique (dans son âme), conflit parfoisextrêmement violent entre les normes conscientes (morales, esthétiques, sociales) et des désirs quibousculent et négligent ces règles. Ce second groupe de désirs, le suje...
-
Est-ce par le renversement des lois que s'exprime la liberté ?
parfaitement lorsque l'individu renverserait ces lois. En s'y opposant résolument, l'individuaffirmerait sa faculté à n'être contraint par rien d'extérieur à lui et il pourrait agir en toute liberté. - Cependant, la liberté que nous décrit Descartes n'est-elle pas qu'une illusion ? Cependant, la vraie liberté n'est pas l'absence de contrainte. 2. - Les considérations de Descartes sur la liberté s'appuient sur l'hypothèse selon laquelle l'homme serait capable de libre-...
- Freud: Inconscient et maîtrise de soi
-
KANT: devoir morale et désintérêt
ci, à un moment donné, de telle sorte que l'on puisse comprendre les mobiles qui ont poussé notre esprit àvouloir et à décider telle ou telle chose : mais l'âme est une chose complexe et pour la représenter demanière claire nous sommes contraints d'inclure dans notre tableau des données multiples dont la diversitérend une telle représentation impossible. Ainsi, même si nous restreignons cette analyse au seul rapport del'âme et du devoir, nous sommes obligés de prendre en considération toutes...
-
- Sujet : « Est-on le mieux placé pour se connaître soi-même ? »
La connaissance de soi est donc difficile à atteindre du fait de la présence du temps et des relations entre la conscience et l'inconscience. De même que la présenced'autrui peut-être un impact à la connaissance de soi car il peut-être en mesure de mieux nous connaître que personne. On peut donc se demander si l'Homme est-il le« mieux placé » pour savoir ce qu'il pense et ressent ? - L'interrogation « est-on le mieux placé » présume qu'il existe en dehors de nous, d'autre places, d'autres points...
-
Suis-je l'esclave de mon inconscient ?
le remarque Descartes ( Discours de la méthode et Méditations métaphysiques ) tout le reste peut être saisi. Sans clarté dans le moi, tout reste obscur. – Dès lors, il est impossible que l'inconscient intervienne d'une quelconque manière dans la subjectivité, elle même absolument libre, comme mouvement de pose de soi-même par soi-même. Elle est le contraire de laservitude, qui supposerait que le « je » sois posé par un autre que lui, ce qui est contradictoire avec le conceptde su...
-
Peut-on dire comme Paul Valéry que « La conscience règne mais ne gouverne pas » ?
Avant de soulever les divers points de vue et thèses de la question, il serait souhaitable de prouver que la conscience règne dans tous les cas. Pourquoi la conscience règne ? Tout d'abord, nous pouvons dire ceci parce qu'elle nous représente : nos mentalités et nos actes nous représentent dans la société, et la majeure partie de ces derniers émanent de notre conscient. Ensuite, le sujet est définit comme conscient, et c'est donc un état qui symbolise son esprit, même celui du fou, o...
- la conscience de soi est elle une connaissance de soi?
-
-
Le refus de l'inconscient psychique a-t-il un sens ?
• L'inconscient est chose physique.Dès lors, si Ton refuse l'idée d'un inconscient psychique, si l'on considère que l'homme est parfaitement transparentà lui-même et, qu'à la limite, il n'y a chez fui que de la mauvaise foi, où la conscience se masque sa propre vérité,que faire de l'inconscient?Jean-Paul Sartre l'élimine presque totalement dans la première partie de son œuvre (dans L'Être et le Néant).L'inconscient n'existe pas puisqu'il n'est que de la mauvaise foi chosifiée. Alain d...
-
Dans quelle mesure peut-on dire que "je" est un autre ?
les caractéristiques individuelles susceptibles d'identifier une personne en la distinguant des autres. B ~ Le jeu des identifications. q La façon dont l'enfant est désiré, nommé, le jeu des relations familiales, les identifications affectives etculturelles, conscientes et inconscientes, font que l'identité de chacun est constituée de multiples sédimentsempruntés à d'autres. q L'un des enjeux de la maturation psychique est d'ailleurs l'individuation, la capacité à se différencier...
-
Qu'est ce que bien agir ?
Remarquons la différence avec Freud qui soutient que la conscience morale est l'expression conscientedes interdits que le surmoi érige devant les pulsions et leurs rejetons conscients, les désirs. Une telleconscience se manifeste le plus souvent à travers un sentiment de culpabilité ou le remord (avoir« mauvaise conscience). Toutes ces manifestations de la conscience morale sont les signes du rapport ambivalent que le sujetentretient avec la loi : il la désire tout autant qu'il la rejette. 2)...
-
L'identité du moi est-elle constituée par la mémoire ?
Si l'homme est conditionné par son passé, Sartre soutient pourtant la thèse qu'il est un perpétuel projet. « Ainsi, iln'y a pas de nature humaine, puisqu'il n'y a pas de Dieu pour la concevoir. L'homme est non seulement tel qu'il seconçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan versl'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. [...] Nousvoulons dire que l'homme existe...
-
Le désir est-il essentiel pour comprendre ce qu'est l'homme ?
Rien ne va au néant. Le nihilisme est absurde : « Nulle chose ne peut être détruite, sinon par une causeextérieure » (Éthique, III, P. 4).L'essence d'une chose est une manifestation limitée de l'essence de la Cause de soi, qui est puissance infinie :« Tant que nous considérons seulement la chose elle-même, et non les causes extérieures, nous ne pouvonsrien trouver en elle qui puisse la détruire » (ibid.).De là découle la proposition 6, justement célèbre: « De par son être, chaque chose s'effo...
-
L'hypothèse de l'inconscient contredit-elle l'exigence morale ?
Le symptôme est donc un compromis entre le désir inconscient et inavouable que je subis, et les normesconscientes et morales que j'accepte. « Le moi n'est pas maître dans sa propre maison » signifie que je n'ai pas conscience et que je ne maîtrise pas, ne contrôle pas une bonne part de ce qui se passe en moi-même, ce conflit,ce symptôme. L'hypothèse de l'inconscient est donc qu'une bonne partie de ce qui se passe en moi (dans mon âme, ma psyché) nem'est pas connu, m'échappe, et ce...
-
sommes-nous toujours responsables de nos gestes et paroles ?
écrit : « conscience humaine, instinct divin, juge infaillible du bien et du mal ». En comparant ici la conscience humaine à la pensée divine, Rousseau pose là son exclusivité. ( Conclusion partielle et transition ) Tout compte fait, l’homme est un Etre de raison. Cette spécificité lui confère la capacité de choisir entre le bien et le mal, de tenir un discours normatif et de garder la présence en lui-mêm...
-
La conscience de soi suppose-t-elle autrui ?
Hegel B- Ma conscience est donc le « pont » qui me permet d'être connecté à autrui. Sans elle je ne pourrais medistinguer des autres et donc je me fondrais dans un tout immédiat hors de la conscience du temps et de l'espacequi agissent sur mon corps et mon esprit. "La conscience n'est qu'un réseau de communications entre hommes ; c'est en cette seule qualité qu'elle a étéforcée de se développer : l'homme qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s'en passer. Si nos actions,...
-
-
l'homme pourrait-il vivre sans la conscience du passé ?
— Cf. Bergson: son assimilation entre conscience et mémoire. Je n'ai lesentiment d'être un moi durable que parce que j'ai conscience de mon passé. S'ildisparaissait entièrement, je serais confronté à l'obligation de vivre sans cesseen reprenant tout à zéro (aucune expérience acquise, aucun savoir efficace):s'il y a là la possibilité de savourer l'émergence immédiate de la vie et soncaractère d'innovation, elle s'accompagne nécessairement de l'impression d'êtreen permanence désorient...
- L'origine et les caractéristiques de la conscience
-
La notion d'inconscient psychique est-elle contradictoire ?
plus qu'Alain n'ait pas un moment essayé de comprendre cette doctrine : « Ne cherchez jamais à quoi pense un foi,mais plutôt observez comment un dérangement mécanique produit des signes qui n'ont pas de sens [...]. Je pensaisà ces choses comme je lisais la « Psychanalyse de Freud ; ce n'est qu'un art de deviner ce qui n'est point » («Propos », « Signes ambigus », 17 juillet 1922).Ou encore dans un « Propos » antérieur : « Cette idée de l'inconscient, tant vantée et si bien vendue, je n'en faisri...
- Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
-
l'hypothèse de l'inconscient implique-t-elle que la liberté ne soit plus qu'une illusion ?
II : L'idée d'inconscient rend ambiguë la liberté de la conscience 1) La conscience comme marionnette de l'inconscient. Freud compare l'inconscient à la partie immergée d'un ice berg. Il y aurait des causessouterraines, inaccessibles à la conscience, qui détermineraient celleci. Ces causes sont étrangères au moi conscient, c'est pourquoi Freudne parle pas de « moi intime » à propos de l'inconscient, mais il ledénomme le « ça ». 2) L'idée d'inconscient est contradictoire a...
-
Que nous enseignent les passages de l'inconscient à la conscience ?
III. l'inconscient s'immisce partout. a. Freud , dans la Psychopathologie de la vie quotidienne , montre que dans la vie de tous les jours l'inconscient se manifeste à travers des événements anodins, tels que les actes manqués, les lapsus, les oublis, les erreurs delecture ou d'écriture, à savoir tous les phénomènes qui viennent rompre la continuité des paroles et des actions.Tous ces « faux pas » montrent qu'il y a des forces psychiques qui agissent de façon permanente. + Les lapsu...
-
Notre conscience nous aide-t-elle à être libre?
aux agissements sans réflexions des conséquences qu'ils pourraient avoir et aux obstacles que nous pourrions rencontrer. La spontanéité par exemple nous semble être l'agissement libéré de toutes entraves. Mais celle-ci peut nous envoyer délibérément dans la servitude tel un animal qui se rend dans un piège. Nous pouvons dire que la spontanéité est une sorte de liberté mais que la conscience est en parfaite opposition avec ce comportement. Être libre c'est donc agir avec spontanéité, sans avoir...
- La conscience peut-elle se connaître elle-même ?
-
-
La foi
croyance, il y a toujours un consentement du sujet conscient de prendre un risque que ce soit le risque du chercheur ou le risque impliqué par toute vie humaine. C'est que la recherche de la vérité est un mouvement dans une région sans sentier, un cheminement. L'athée et le croyant reconnaîtront en ce sens que l'homme est le pèlerin de l'absolu qui chemine dans le relatif (vérité et croyance). Conclusion Bien distinguer la croyance vécue comme une passion de la croyance "action" reconnue par u...
-
LE SUJET
l'État, qu'ils reconnaissent comme légitime et qui déploie son autorité par l'intermédiaire des lois, sans avoir besoin pour cela d'opprimer ses sujets : un tel État correspond à ce qu'on désigne comme un « État de droit » - entendre par là un État où le droit intervient à la fois comme ce qui délimite le pouvoir de l'État et comme ce par quoi ce pouvoir s'exerce. Mais l'assujettissement politique, qui constitue les personnes comme des sujets, peut aussi prendre la forme d'une soumission...