20 résultats pour "éperdue"
- Dictionnaire en ligne: ÉPERDU(E)MENT, (ÉPERDUMENT2, ÉPERDUEMENT) substantif masculin.
-
Dictionnaire en ligne:
ÉPERDU, -UE, participe passé et adjectif.
une adoration, arrêtait moins Durtal pour la valeur de l'oeuvre qui ne l'éperdait guère que pour les réflexions que lui suggérait son origine. GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, L'Oblat, tome 1, 1903, page 303. B.— Emploi pronominal. [Sans construction prépositionnelle; le sujet désigne quelqu'un ou quelque chose] Disparaître, se confondre, se dissoudre dans un environnement. Et tous deux continuant ainsi le boulevard s'éloignèrent, s'éperdirent, disparurent dans le définitif crépuscule...
- Reconnaissance éperdue pour mon bienfaiteur
- Romantisme Dans sa quête éperdue de l'émotion et de la libre expression de la personnalité, le romantisme s'oppose à la raison toute-puissante de la philosophie des Lumières.
- Romantisme Le romantisme, dans sa quête éperdue de l'émotion et de la libre expression de la personnalité, s'oppose à la raison toute-puissante de la philosophie des Lumières.
-
Pierre Choderlos de Laclos Les Liaisons dangereuses - Lettre CXLI (141) - La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont
amoureux dans la lettre. La légèreté du texte, le manque de tact et de repentir du personnage donnent un côté superficiel au texte.Le vicomte montre peu de vraie affection envers sa destinataire, il lui dit des choses blessantes tout en l'appelant « mon ange ». Ilse montre en quelques sortes négligent. Il décrit leur relation comme « quatre mortels mois » ce qui est très péjoratif. C'étaitcomme si leur relation l'avait ennuyé à en mourir ou qu'elle n'était pas viable. Il lui avoue des choses dép...
-
Commentaire Composé : Les liaisons dangereuses
est très claire « Adieu, mon ange, je t'ai prise avec plaisir, je te quitte sans regret : je te reviendrai peut-être. Ainsiva le monde. Ce n'est pas ma faute. » l.18-19. Le personnage est très franc, il met un terme à leur relation.L'antithèse « je t'ai prise avec plaisir, je te quitte sans regret » montre l'indifférence du vicomte à l'égare dessentiments de Mme de Tourvel. Il pense qu'il peut décider comme bon lui semble de commencer ou de terminer unerelation. Il l'a séduite, il a...
-
Iphigénie en Aulide
Et d'un père éperdu négligeant les avis,
Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils ?
D'Iphigénie encor je respecte le père. Peut-être, sans ce nom, le chef de tant de Rois M'aurait osé braver pour la dernière fois. Je ne dis plus qu'un mot, c'est à vous de m'entendre : J'ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre. Pour aller jusqu'au coeur, que vous voulez percer, Voilà par quel chemin vos coups doivent passer. SCÈNE VII\24AGAMEMNON, seul. AGAMEMNON Et voilà ce qui rend sa perte inévitable. Ma fille toute seule était plus redoutable : Ton insolent amour, qui croit...
-
-
La fin de Satan
On dirait qu'elle fait la lecture éperdue
D'un mystérieux livre ouvert dans l'étendue;
Parfois elle s'arrête en disant: Je ne puis.
« Mis à souffler sur lui comme on souffle sur l'âtre, « Il a frappé. Malheur aux obstinés qui vont « Faire une fouille sombre en cet être profond! « Vous qui vous appelez hier, demain, le sage, « Le savant, le chercheur, la fuite, le passage, « Larves! y songez-vous d'imposer à celui « Qui songe et qui s'appelle à jamais Aujourd'hui, « Vos auscultations, vos calculs, votre étude, « Et la vibration de votre inquiétude! « Il lui déplaît d'avoir vos chiffres hasardeux « Courant partout su...
- Romantisme Dans sa quête éperdue de l'émotion et de la libre expression de la personnalité, le romantisme s'oppose à la raison toute-puissante de la philosophie des Lumières.
-
Andromaque
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue :
Voilà comme Pyrrhus vint s'offrir à ma vue ;
Voilà par quels exploits il sut se couronner ;
Enfin voilà l'époux que tu me veux donner.
Dis-lui que de mon fils l'amour est assez fort... Crois-tu que dans son coeur il ait juré sa mort ? L'amour peut-il si loin pousser sa barbarie ? CÉPHISE. Madame, il va bientôt revenir en furie. ANDROMAQUE. Hé bien ! Va l'assurer... CÉPHISE. De quoi ? de votre foi ? ANDROMAQUE. Hélas ! Pour la promettre est-elle encore à moi ? O cendres d'un époux ! O Troyens ! O mon père ! O mon fils, que tes jours coûtent cher à ta mère ! Allons. CÉPHISE. Où donc, Madame ? et que résolvez-vous ?...
-
Hamilcar sauve le petit Hannibal (1862). Salammbô
Hamilcar, d'un bond, s'était jeté sur l'esclave; et en lui couvrant la bouche de sa main, il criait encore plus haut : «C'est le vieillard qui l'a élevé! il l'appelle mon enfant ! il en deviendra fou! Assez ! assez! » Et chassant par lesépaules les trois prêtres et leur victime, il sortit avec eux, et un grand coup de pied referma la porte derrière lui.Hamilcar tendit l'oreille pendant quelques minutes, craignant toujours de les voir revenir. Il songea ensuite à sedéfaire de l'esclave pou...
-
La Chartreuse de Parme
entièrement remplie, mais de gens appartenant à la dernière classe et attirés apparemment par le spectacle de
l'illumination.
cette affectation à venir troubler sa rue solitaire, après l'avoir déjà chassée de son jardin. En parcourant les figures de femmes qui l'écoutaient, Fabrice remarquait depuis assez longtemps une petite figure brune fort jolie, et dont les veux jetaient des flammes. Ces yeux magnifiques étaient ordinairement baignés de larmes dès la huitième ou dixième phrase du sermon. Quand Fabrice était obligé de dire des choses longues et ennuyeuses pour lui-même, il reposait assez volontiers ses regards sur...
-
LA SENSIBILITÉ DU HÉROS ROMANTIQUE
resplendissante vision. Tous les grands d'Espagne se couvrent, le marquis Del Basto, le comte d'Albe, lemarquis de Santa-Cruz, don Salluste. Don Salluste va rapidement au fauteuil, et y prend le chapeau, qu'ilapporte à Ruy Blas . – Ruy Blas – éperdu, bas à don Salluste ACTE II – LA REINE D'ESPAGNE Scène III : LA REINE, LA DUCHESSE D'ALBUQUERQUE, CASILDA, DON GURITAN, FEMMES DE LA REINE, PAGES, Ruy Blas. Tous entrent gravement. La duchesse en tête, puis les femmes. Ruy Blas reste au fond...
- Dictionnaire en ligne: ÉPERDUMENT1, adverbe.
-
Définition:
Cauchemarder, verbe intransitif.
a montré étendu mort et sanglant et qu'on retrouve au réveil, souriant, futile, animé, si inconscient de la menace. JULIEN GRACQ, Un Beau ténébreux, 1945, page 101. SYNTAXE : Cauchemar atroce, horrible; cauchemar de descente, de poursuite; abominable, sinistre cauchemar; s'éveiller d'un cauchemar; se débattre contre un cauchemarine. B.— Par analogie. Ce qui provoque la peur, la panique, l'horreur, l'aversion. — [En parlant d'une personne] Être le cauchemar de quelqu'un; le cauchemar de ma jeun...
-
-
du premier wagon, où elle se mettait toujours pour être plus près de lui, il l'avait suppliée du
regard et, comprenant, elle s'était retirée, pour ne pas rester à ce vent glacial qui lui brûlait la
figure.
cabrait, necontinuait samarche quesous lamain volontaire dumécanicien. D'ungeste, celui-ci avait ouvert laporte dufoyer, pourquelechauffeur activâtlefeu. Et,maintenant, cen'était plus unequeue d'astre incendiant lanuit, c'était unpanache defumée noire,épaisse, qui salissait legrand frisson pâleduciel. La Lison avançait. Enfin,illui fallut entrer danslatranchée. Adroite etàgauche, lestalus étaient noyés,etl'on nedistinguait plusriendelavoie, aufond. C'était comme uncreux de torrent, oùlaneige dor...
-
Tirade De Phèdre (Racine) Acte I, Scène 3
groupe nominal « mes yeux » s'oppose toujours au pronom personnel « je ». Phèdre n'assume pas l'amour coupable qu'ellenourrit pour Hippolyte. 2/ La jeune femme, faute d'être capable de dominer ses sentiments, tente de limiter sa responsabilité, ce qui conduit le spectateurà déceler parfois dans son discours un manque de sincérité. Elle se trahit d'ailleurs lorsqu'elle dit : « Je lui bâtis un temple, et prissoin de l'orner », le spectateur comprend que Phèdre désire implorer la déesse Vénus pour...
-
Dictionnaire en ligne:
ENFLAMMÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
de Hongrie, duchesse de Thuringe (1207-1231), 1836, page 271 ). L'appel que nous avions rédigé dès les premiers jours du désert, un morceau lyrique, enflammé (GEORGES DUHAMEL, Le Désert de Bièvres, 1937, page 146) : Ø 2. Le vieillard ne s'interrompait pas de jouer. On eût dit que son violon l'entraînait (...) : était-ce bien là ce petit homme toujours si timide? Était-ce lui, avec ce visage enflammé, ce front que la passion mouillait de sueur, ces effluves de vie ardente et d'âpre enthousiasme?...
-
de résorption.
secoue unechevelure depourpre, devienténorme. C'estdevotre côtéqu'ilsedirige. Oterreur, ilvient àvous! Lacomète vous connaît, lacomète vousdésire, lacomète vousveut. Épouvantable approchecéleste.Cequi arrive survous, c'estle trop delumière, quiestl'aveuglement; c'estl'excès devie, quiestlamort. Cetteavance quevous faitlezénith, vousla refusez. Cetteoffred'amour dugouffre, vouslarejetez. Vous mettez votremainsurvos paupières, vousvouscachez, vousvousdérobez, vousvouscroyez sauvé. Vous rouvrez les...