260 résultats pour "craint"
- Voisin, je revenais au premier sentiment de crainte
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Epicure: La mort n'est rien...
Prends l'habitude de penser que la mort n'est rien pour nous. Car tout bien ettout mal résident dans la sensation : or la mort est privation de toutesensibilité. Par conséquent, la connaissance de cette vérité que la mort n'estrien pour nous, nous rend capables de jouir de cette vie mortelle, non pas eny ajoutant la perspective d'une durée infinie, mais en nous enlevant le désirde l'immortalité. Car il ne reste plus rien à redouter dans la vie, pour qui avéritablement compris que hors de...
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Epicure: la pensée de la mort
qui n'est rien.Expliquons nous. La mort a toujours suscité deux réactions : la révolte (l'enfant qui ne veut pas que sonpetit chien ait été écrasé), puis la tristesse. La révolte se manifeste chez l'homme qui essaie, par la technique, denier la mort, en se protégeant de la maladie (ainsi un célèbre écrivain a-t-il sans cesse à sa disposition, dans samaison, une armée de médecins, prêts à l'opérer ou le soigner!). Cette peur devant la mort est devenue unemaladie, une obsession pour beaucou...
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La certitude de sa mort condamne-t-elle l'homme à la peur et au désespoir ?
ne le remarque à première vue ; certes, la peur de la mort était la cible principale des raisonnements de la Lettre àMénécée, mais s'il n'y a aucun mal à redouter dans la mort, il n'y a pas non plus de bien à en espérer. Pourquoimettre l'accent sur cette conséquence secondaire de la réflexion épicurienne ? Parce qu'en certaines situationsdésespérées, l'homme peut éprouver en face de la mort un tout autre sentiment que la peur : il peut espérer trouverdans la mort un repos, un apaisement. L...
- Epicure: L'amour du plaisir contre la crainte des Dieux
- Tortue caret: Elle ne craint pas l'eau froide de l'Atlantique.
- Vanneau couronné: Il défend sans crainte son territoire contre tous.
- Chat domestique: Aimé ou craint, il ne laisse personne indifférent.
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L'homme est-il naturellement méchant ?
L'inimitié n'est pas une tendance naturelleSi le désir de puissance et de domination devient prédominant dans l'état de nature, et si la violence quis'ensuit transforme les hommes en ennemis les uns des autres, ce n'est en aucune manière du fait de lanature de l'homme. Ce qui le rend méchant, c'est l'inquiétude et l'insécurité de l'état de nature.De l'égalité naturelle d'aptitude de l'état de nature découle une égalité dans l'espoir d'atteindre nos fins. Cetteremarque est d'une importance...
- Enfin, le gouvernement craint particulièrement des attaquesbactériologiques ouchimiques.
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En quoi la conscience du temps qui passe a-t-elle une incidence sur le sens de l'existence ?
images les plus diverses. Or, ces images ne correspondent à rien de donné. Le mouvement de pensée vers l'avenirne correspond pas à un objet au sens strict du terme. C'est un fait que notre avenir, loin d'être donné, est incertainet ne forme pas un objet en tant que tel. Nous nous projetons vers une absence, nous tendons nécessairementnotre esprit vers les dangers possibles liés aux incertitudes et à la temporalité. Aussi devons nous, nécessairement,dans notre optique, saisir l'avenir comme objet...
- Analysez, en les distinguant, le sentiment de crainte et l'émotion de peur.
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Le Horla Seconde Version Complète
ONDOLIVRES Le Horla 8 mai. Quelle journée admirable ! J'ai passé toute la matinée étendu sur l'herbe, devant ma maison, sous l'énorme platane qui la couvre, l'abrite et l'ombrage tout entière. J'aime ce pays, et j'aime y vivre parce que j'y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l'attachent à ce qu'on pense et à ce qu'on mange, aux usag...
- Pour les actes accomplis par crainte de plus grands maux
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Le commentaire de texte accompagné de questions
b. " son droit naturel d'exister et d'agir ". c. " la fin de l'État ". 3) Peut-on concilier le pouvoir de l'État et la liberté individuelle ? Travail préalable Dans un premier temps il ne faut pas se préoccuper des questions qui vous sont posées mais essayer de comprendre le texte. On lira attentivement l'extrait deux ou trois fois et on se posera quelques questions clefs : Quel est le thème du texte ? Sur quoi porte le propos de l'auteur ? Dans notre exemple Spinoza s'interroge sur l'État. Le t...
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Montesquieu et le despotisme
Textes commentés 33 Le despotisme est, selon Montesquieu, le « mal politique absolu ». La comparaison qu'il esquisse entre la monarchie dont le principe est l'honneur et le despotisme, dont le principe est la crainte, montre que celui-ci n'est pas une déviation de celle-là. Despotisme et monarchie sont deux modes politiques différents par leur nature même. En effet, dans les États despotiques, il n'y a ni lois fondamentales ni dépôt de lois. Cet...
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Spinoza: Etat, humanisation et liberté
politique et religieuse de son temps. On observera qu'à l'époque de la publication du Traité Théologico-politique, les querelles religieuses tiennent unegrande place dans la vie sociale en Hollande et que les églises calvinistes, partout où l'autorité civile subissaitfortement leur influence, se montraient fort enclines à l'intolérance contre les religions rivales. Les historienshollandais (en particulier Hylkema - Réformateurs et Meinsma - Spinoza en ziju Kring nous font connaître...
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L'Homme vit-il sans cesse sous la menace et dans la crainte d'une mort imminente ?
III/ Comment ne pas tomber dans l'obsession ? - il existe une tendance immédiate au refoulement de la mort : elle se manifeste d'abor par la fuite. Fuir la mort,c'est chercher à évacuer d'abord son symptôme, l'affliction, en s'étourdissant dans des activités multiples. C'est ceque Pascal pense dans la notion de divertissement. Se divertir, c'est agir en poursuivants de faux buts, qui sont enfait des prétextes pour nous cacher la vérité de notre condition : « Le dernier acte est sanglant, bien qu...
- Touraco gris strié: Il ne craint pas l'homme et s'observe facilement.
- Et l’on peut comparer sans crainte d’être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d’Auguste.
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1945 -2005: L'EUROPE DE LA CONSTRUCTION EUROPEENNE A LA REUNIFICATION
b) La prise de conscience de la fragilité de l'Europe L'écoeurement des guerres fratricides entre Européens, L'immense faiblesse de l'Europe en fait un enjeu face aux deux supergrands et le risque d'effacement est grand Seule l'union peut encore permettre de conserver une existence sur la scène internationale : la constructioneuropéenne, c'est aussi une véritable communauté d'intérêts à défendre et à promouvoir. c) Une triple crainte à l'origine de l'Europe Crainte face à la puissance de l'URSS...
- Ce n'est pas parce qu'on craint de la commettre, mais c'est parce qu'on craint de la subir que l'on blâme l'injustice. [ ] Platon. Commentez cette citation.
- Ce n'est pas parce qu'on craint de la commettre, mais c'est parce qu'on craint de la subir que l'on blâme l'injustice. Platon. Commentez cette citation.
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Autrui
chambres si l'on vit en famille ou dès que l'on sort de chez soi si l'on vit seul. La rencontre avec les autres est inévitable. Autrui me regarde. Immédiatement, je sais qu'il donne un sens, une valeur à ce qu'il regarde. Autrement dit, si c'est moi qu'il regarde, je sais en même temps qu'il me juge. Son regard est, pour moi, l'expression, dans le monde extérieur, du monde intérieur qui le constitue en tant que sujet (...) : On craint généralement ce qui est mauvais pour nous ou ce qui pourrait...
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Ne fait-on son devoir
que par crainte du regard d'autrui ?
■ Analyse du sujet
- La réponse à cette...
Ne fait-on son devoir que par crainte du regard d'autrui ? ■ Analyse du sujet - La réponse à cette question suppose que l'on commence par définir sérieusement le devoir. Dans la mesure où la conception la plus ·rigou reuse est celle de Kant, on a sans doute intérêt à l'adopter. - Pourquoi craindre le « regard d'autrui»? Cette crainte renvoie moins à la possibilité d'une sanction qu'à un jugement moral. - Le problème est alors de savoir si le jugement moral provenant d'au trui est plus efficac...
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KIERKEGAARD : Miettes philosophicres; Post-scriptum; Le Concept d'angoisse; Crainte et tremblement
KIERKEGAARD 383 « philosophie de la religion ». De Hegel et de Schel ling, nous connaissons des écrits théologiques de jeu nesse, mais savons surtout que les œuvres de leur maturité ou (pour Schelling) de leur vieillesse sont traversées d'intérêts théologiques plus importants encore. Père du traitement philosophique moderne du fait religieux, Schleiermacher est aussi le plus influent des théologiens protestants du XIXe siècle. De...
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À quoi reconnaît-on une attitude religieuse ?
aujourd'hui encore dans un monde dangereux et les attentats du 11 Septembre ne sont là que pour le confirmer :risques d'attentats, de guerre, d'attaque bactériologique. A cela s'ajoute encore les difficultés, les souffrancesquotidiennes de la vie : l'amour, l'argent, le travail, la maladie, la mort.La représentation de Dieu (dans le religion catholique est affirmé : avec dieu, vous n'êtes jamais seuls, dieu vousaime et sera toujours avec vous) devient alors pour les fidèles la plus agréab...
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Portrait de vautrin
offrait aussitôt ses services... ». En outre, l'énumération de verbes d'actions nous connote son habileté et son adresse : « il l'avait bientôt démontée, rafistolée, huilée, limée, remontée... ». Vautrin est présenté comme un personnage qui va de l'avant et qui sait ce qu'il fait : « ça me connaît » ; « Il connaissait tout d'ailleurs ». L'ancien détenu est également décris comme un individu attentif, difficile à tromper : « son œil semblait aller au fond de toutes les...
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Peut-il exister des désirs naturels ?
de ce qui est agréable ou douloureux, est un guide qui ne saurait nous égarer et qu’il suffit de suivre sans s’en écarter. De ce point de vue, les animaux sont nos modèles : ils nous donnent à voir ce qu’est une vie orientée par la sensation immédiate du plaisant et du déplaisant ; seulement, à la différence des animaux, les hommes possèdent un esprit, et une imagination. L’esprit les rend capable d’avoir des notions abstraites, qui doivent provenir des sensations pour être vraies. P...
- « Qui craint de souffrir, il souffre déjà de ce qu'il craint. » Montaigne, Essais, III, 13. Commentez cette citation.
- Qui craint de souffrir, il souffre déjà de ce qu'il craint. Montaigne, Essais, III, 13. Commentez cette citation.
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N'obéit-on à la loi que par peur de la sanction ?
autorité souveraine est avantageux pour chaque individu. En effet, sans ce pacte social, c'est un état deguerre de tous contre tous qui règnerait parce que l'homme est un être qui cherche à accroître sa puissanceet à satisfaire tous ses désirs. Cela entraînerait des conflits perpétuels qui nuiraient aux individus. Il est doncutile et avantageux de renoncer au droit d'agir à sa guise. Obéir aux lois, c'est donc renoncer à la violence etcela sert finalement les intérêts de chacun.De plus, selon...
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- En ne misant pas sur cette technologie, le révolutionnaire tranquille craint de rater une nouvelle révolution industrielle, celle de l'énergie nucléaire. Pierre Duchesne, Jacques Parizeau
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LA PROBLÉMATIQUE DE L’UNIVERSEL ET DU NÉCESSAIRE LA RAISON
1 , .. !"" LE LOUP ET L'AGNEAU Le Loup et l'Agneau est une fable admirable. Elle fait pendant à l'épisode du sacrifice d'Abraham, qui hante toute l'œuvre de Kierkegaard. D'ailleurs, l'épisode biblique et la fable de La Fontaine sont également formidables, au sens étymologique, c'est-à-dire également propres à inspirer la crainte. Mais la fable est bien plus terrible'. Pourquoi ? Certes, dans les deux cas, il y a préméditation....
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Louis ARAGON - Le Nouveau Crève-coeur: J'ai des peurs épouvantables
étriqué dans lequel le sujet se mure et avec lui, celle qu'il aime. Ses craintes sont telles qu'il voudrait pouvoir lagarder toujours à portée de son regard protecteur : « Tu vas sortir (...) Sortir sans moi, quel vilain jeu. » Sortir !Echapper à ma vue ! L'horizon du poète semble bien devoir se limiter au cercle qui entoure immédiatement la femme.Tout ce qui est extérieur est menace. L'espace s'amenuise. Il faut rester dans la maison, dans la chambre. «'Moncoeur bat comme une porte », rappelle...
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Le souverain est-il au-dessus des lois ?
« Il apparaît clairement par là qu'aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir commun qui les tient enrespect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, et cette guerre est la guerre de chacun contre chacun.»HOBBES. Hobbes vit dans une Angleterre troublée par une guerre civile dont les causes sont à la fois religieuses et politiques.Le principe même de la monarchie est critiqué et le roi atteint dans sa personne. En Angleterre, Charles Ier estexécuté en 1649 et Jacques II doit...
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Le terme "hardiesse" dans l'oeuvre de DESCARTES
désespoir, en sorte que c'est dans les affaires les plus dangereuses et les plus désespérées qu'on emploie le plus de hardiesse etde courage, il est besoin néanmoins qu'on espère ou même qu'on soit assuré que la fin qu'on se propose réussira, pour s'opposeravec vigueur aux difficultés qu'on rencontre. Ainsi quand les Décies se jetaient au travers des ennemis et couraient à une mort certaine, l'objet de leur hardiesse était ladifficulté e conserver leur vie pendant cette action, pour laquelle di...
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La Suggestibilite
+ + = 14 = + + = = = = 15 = + + + + = + + + .
peut-être ai-je fait moins attention. Peut-être. 31. D.Sans toucher aux poids, peux-tu me dire en deux mots comment ils sont distribués. 32. R.Ils vont plus lourds jusqu'au 5. Ils sont égaux, du 6 au 11.Après le 11, c'est un peu troublé. Il y en a de plus légers, et les 2 derniers sont plus lourds due les précédents. Certains caractères sont communs à cet interrogatoire et au précédent. Marguerite a eu l'idée directrice de l'augmentation progressive des poids, elle a eu pleine conscience de c...
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Nous sentons la douleur, mais non l'absence de douleur ; le souci, mais non l'absence de souci ; la crainte, mais non la sécurité.
d'ailleurs pour cette raison que lorsque nous faisons quelque chose d'inhabituels et qui nous plait, nous profitions beaucoup plus. Par exemple, partir en voyage si cela n'arrive pas régulièrement, est ressenti comme quelque chose de spécial. Nous retrouvons quelque chose de similaire également si l'on mange un met gourmand au restaurant par exemple, cela est quelque chose de spécial que l'on apprécie particulièrement et que l'on pr...
- "Ce qui, pour l'homme, est le principe de tous les maux et de sa bassesse d'âme et de sa lâcheté, ce n'est pas la mort, mais bien plutôt la crainte de la mort ?" Epictète, Entretiens. Commentez cette citation.
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- Si la crainte de l’Autre est naturelle, la diversité entre les êtres est pourtant leur plus grande richesse. Il faut donc toujours oeuvrer pour atteindre la plus grande tolérance.
- Les rois qui ne songent qu’à se faire craindre et qu’à abattre leurs sujets pour les rendre plus soumis, sont les fléaux du genre humain. Ils sont craints, comme ils le veulent être, mais ils sont haïs, détestés, et ils ont encore plus à craindre de leurs sujets que leurs sujets n’ont à craindre d’eux.
- Truman craint que Mac Arthur ne lui désobéisse La guerre de Corée opposera violemment Harry Truman et Douglas Mac Arthur (1880-1964).
- Les Deux Sources de la morale et de la religion Henri Bergson Chapitre II (extrait) L'homme est le seul animal dont l'action soit mal assurée, qui hésite et tâtonne, qui forme des projets avec l'espoir de réussir et la crainte d'échouer.
- "La technique (...) est une pensée des mains et de l'outil. On voudrait presque dire que c'est une pensée qui craint la pensée. Cette précaution est belle à saisir dans le geste ouvrier ; mais elle enferme une terrible promesse d'esclavage. " Alain. Commentez. ?
- Tout homme a une conscience et se trouve observé, menacé, de manière générale tenu en respect (respect lié à la crainte) par un juge intérieur et cette puissance qui veille en lui sur les lois n'est pas quelque chose de forgé (arbitrairement) par lui-même, mais elle est inhérente à son être.
- Pour ce qui est des vraies vertus, beaucoup d'entre elles ne naissent pas seulement de la connaissance vraie, mais aussi de quelque erreur ou défaut : ainsi, la simplicité d'esprit (1) donne souvent de la bonté, la crainte de la piété, et le désespoir du courage.
- Au siècle dernier Chateaubriand envisageait avec réticence certains aspects du progrès ; il s'interrogeait : « Est-il bon que les communications entre hommes soient devenues aussi faciles ? Les nations ne conserveraient-elles pas mieux leur caractère en s'ignorant les unes les autres, en gardant une fidélité religieuse aux habitudes et aux traditions de leurs pères ? » Les craintes de l'auteur étaient-elles justifiées ? Les régions ou les pays ont-ils perdu aujourd'hui tout caractère
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HOBBES: athéisme et superstition
imaginaire à chaque action, objet : passer sous une échelle, rencontrer un chat...Quelles sont alors les conséquences? 3) Conséquences. La croyance religieuse ne peut éviter deux écueils. Le premier est la superstition : crainte transformée en «terreurpanique» par l'absence de raison. Le second est l'athéisme : absence de crainte et confiance absolue en la raison.Hobbes montre la difficulté qu'il y a à accorder raison et affection et ce qui attend les hommes «dénués del'assistance de Di...
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Baruch SPINOZA: La fin derniere de l'État
A. Première partie : « La fin [...] agir. » Quelle est la visée de l'État, quel est son but ? Dans cette première partie, Spinoza exclut qu'il soit finalisé par ladomination, à savoir l'état d'un maître (dominus) par rapport à ceux qui obéissent ou sont en condition d'esclavage.En effet, il n'est pas institué pour former des êtres en situation de crainte, connaissant et expérimentantl'inquiétude au sujet d'un mal éventuel, il n'est pas fondé pour faire régner la tristesse (car la c...