211 résultats pour "voulue"
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Vous connaissez la fable de La Fontaine : Le Cheval s'étant voulu venger du Cerf. - Transposez-la chez les humains et expliquez ce qu'a voulu signifier le poète par cet apologue.
heureux, mais pour se veng ·er plus facilement du ce!'I , il a reco urs aux artific es de J.'homm e civ~L1sé et il pe:rd à jamai s ee qui fûsaut l •e bonhoox d;e sa v.Le. Ai.m s i la vengearwe doH être évilée, uon seu l•emen t p!llrce qu 'eUe es1t un ·: ûg!!;e de haut ewr -et de dwr eté de cœ ur, mais par -ce q}' '-eUe es·t un e sottise et m ê me lliD
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VI
LE MONDIALISTE
Louis Napoléon a voulu mettre la politique étrangère de la France au service de l'idée qu'il se faisait de
l'organisation et de l'évolution du monde.
insuffisances et,àchaque conflitimportant, dessuccès, pourtant incertains, fontoublier lesénormes difficultés qu'elle arencontrées. Maislefait estlà.L'armée française estalors unetrèsbelle armée; cen'est pasune très bonne armée. Le soldat français estbrave, habile, endurant. Nostroupes, enparticulier nostroupes coloniales, sontaptes aux coups demain, auxopérations decommandos. Ellesvontainsi fairemerveille enAlgérie, enCochinchine, en Chine etmême, souvent, auMexique. Peut-être, d'ailleurs,ypren...
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L'impossible peut-il être voulu ?
ne pourra peut-être jamais atteindre, ce qui risque de provoquer de la déception. Si la volonté ignore la réalité, cela ne veut pas dire pour autant, qu'il n'existe pas de limites à ce qui est possibledans l'espace du réel. D'un point de vu scientifique, tout d'abord, chacun sait, qu'il n'est pas envisageable enlâchant une pierre, que celle-ci flotte dans l'air. Ceci irait à l'encontre des principes liés à la loi de gravitation.S.FREUD de son côté, a exposé dans sa théorie psychanalyti...
- Etre libre est-ce obtenir ce qu'on a voulu ?
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Supposez une conversation ou une lettre d'André Chénier, quelques temps avant sa mort, sur ce qu'il aurait voulu réaliser dans la poésie et sur les critiques que lui parait mériter la poésie française du XVIIIe siècle.
1) La forme t) 'Poésie persoimelle !) Poésie philosophique et scientifique 3) Culte de l'antiquité et de la forme ne sont que d'ennuyeux et fades rhéteurs. Le éliquetis des syllabes sonores ne réussit pas à voiler la pauvreté de leur ins piration. Lyrique, didactique ou épique, la véritable poésie est morte. La décadence de la forme est, s'il se peut, plus lamentable encore. Périphrases puériles, rhétorique de convention, froides abstra...
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Il n'y a pas de vrai sens d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Quoi qu'il ait voulu dire, il a écrit ce qu'il a écrit. Une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise et selon ses moyens
pour Ellénore, une femme de dix ans plus âgée que lui. Dans cette oeuvre, l'amour apparaît comme étant plus fort que la société. Cependant, chaque lecteur est libre d'avoir son avis propre sur le sujet. Si certains peuvent admirer leur courage d'être passés outre les valeurs et normes de la société, d'autres peuvent ne pas approuver ce comportement voire en être choqué, ce qui est tout à fait légitime au XIXe siècle. Montaigne soutient également cette thèse selon laquelle il n'y a pas de vérité...
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Brunetière écrit en 1889 dans Questions de critique : « Ce n'est pas un aveu qu'il a fait, c'est une précaution qu'il a prise contre la postérité. Ses Mémoires ne sont pas ceux de l'homme qu'il fut vraiment, ni même celles de l'homme qu'il eût voulu être, c'est tout simplement le roman de ce qu'il a voulu qu'on le crût. » Vous direz dans quelle mesure ce parti pris de lecture vous paraît justifié.
C'est donc à juste titre que Brunetière qualifie Les Confessions de « roman », même s'il donne semble -t-il au mot le sens très étroit de « me nsonge ». De fait, l'œuvre, en apparence du moins, sacrifie aux procédés romanesques : les anecdotes se succèdent, nous suivons le héros à G enève, Turin, Paris, Annecy, toujours courant l'aventure. Les routes et les rues sont aussi des lieux de prédilection, théâtre des rencontres les...
- Je n'ai pas voulu dire, j'ai voulu faire. Valéry, Paul. Commentez cette citation.
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tendrement deux mots, sans l'avoir voulu, sans avoir pensé à lui.
s'écriait-elle, etelle arrangeait lesfleurs avecuneardeur redoublée. Tout àcoup, àpropos derien, fourrageant dansuntiroir, elledisait :alors, çava, mon vieux ?S'aperce-vant qu'ellevenait de s'adresser àlui, elle secachait labouche sacrilège, scandalisée, maisassez fièredecet exploit. Elle s'arrêtait soudaindetravailler, décidaitdes'amuser, allaits'asseoir devantlesecrétaire, écrivaitvingtoutrente foisle nom del'aimé, puislesautres noms,Lalos,Alsol,Losal. Ouencore, deboutdevant 473 la glace, elle...
- AU MOMENT VOULU (résumé) Maurice Blanchot
- «Apostrophe» «Prénom», Je suis désolé car j'aurais tellement voulu te rendre service.
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La technique nous éloigne-t-elle de la nature ?
reste enfermé dans une immédiateté, dans une conscience diffuse.La liberté alors est travail de l'esprit sur lui-même, esprit qui prend conscience de lui-même. L'homme pour être libre doit pouvoir nierle donné, le mettre à l'écart pour le réfléchir. C'est pour cela que Hegel parle de « distinction avec la nature ».Une fois que l'esprit se met en œuvre, il n'agit plus inconsciemment, instinctivement. La liberté pour Hegel est la caractéristiqueessentielle de l'esprit. La liberté est donc le...
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Le mal peut-il être voulu pour lui-même ?
[II- La volonté faible peut céde r au mal ] Il faut nuancer l'analyse proposée auparavant. Tel que le montre Kant dans les Fondements de la métaphysique des mœurs , nous pouvons tous conna ître la l oi morale rationnelle qui nous dicte de façon absolue (impératif catégorique) ce à quoi notre volonté doit se conformer: ainsi nous pouvons tous savoir que mentir, voler ou tuer est contraire à cette loi. Par conséquent, celui qui dédaigne son de...
- TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIR SUR LE SEXE SANS JAMAIS OSER LE DEMANDER
- On n'en eût pas voulu d'autre pour demeure sédentaire, sous quelque beau bouquet d'arbres, au bord d'un courant d'eau vive. Jules Verne, la Jangada
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SUJET 26 : Peut-on dire avec HOLDERLINQUE : « Ce qui fait de l’État un enfer, c’est que l’homme a voulu en faire un paradis ?»
SUJET 26 : Peut-on dire avec HOLDERLINQUE : « Ce qui fait de l’État un enfer, c’est que l’homme a voulu en faire un paradis ?» INTRODUCTION : Le concept de l’État se définit comme étant l’ensemble des individus soumis à une même législation. C’est ainsi une société organisée ayant une administration politique et juridique. Il a pour mission essentielle ou fondamentale de garantir la paix et la sécurité d’assurer le bonheur de ce membre. Pour le poète HOLDERLIN : « Ce qui fait de l’État...
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- «Titre», Au nom de tous ceux qui ont participé à la manifestation sportive que vous avez bien voulu parrainer, je vous remercie pour le soutien moral et financier que vous nous avez accordé.
- Ils l'avaient empoigné à quatre et ils le balançaient jusqu'à ce que le mouvement eût atteint l'amplitude voulue, puis ils le lancèrent dans la bouillabaisse. Noël Audet, l'Ombre de l'épervier, Québec Amérique
- «Apostrophe» «Prénom», Je tiens à te remercier de tout coeur d'avoir bien voulu, sur le champ, prendre en charge notre petit Rex.
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L'école des femmes (acte 5 ; scène 4) - Molière
« vous ne m'aimez donc pas, à ce compte ? » (vers 1), « Comment, non ? » (vers 2), « Pourquoi ne pas m'aimer, Madamel'impudente ? » (vers 3), « en dirait-elle plus ? » (vers 12), « je vous aurai pour lui nourrie à mes dépens ? » (vers 17), « Lesobligations que vous pouvez m'avoir ? » (vers 21), « N'est-ce rien que les soins d'élever votre enfance ? » (vers 23) C/ Comique de motsLe comique de mot est représenté dans la suite de réplique : « Vous ?/ Oui. / Hélas ! non. » (vers 1)Le comique est sur...
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Histoire de la Revolution française, IX
Le directoire, mécontent de Moreau, avait résolu de le rappeler, mais il reçut de lui une lettre qui fit la plus
grande sensation.
Ainsi finit l'une des plus belles et des plus intéressantes vies de la révolution. Cette fois du moins ce ne fut pas par l'échafaud. Hoche avait vingt-neuf ans. Soldat aux gardes-françaises, il avait fait son éducation en quelques mois. Au courage physique du soldat il joignait un caractère énergique, une intelligence supérieure, une grande connaissance des hommes, l'entente des événemens politiques, et enfin le mobile tout-puissant des passions. Les siennes étaient ardentes, et furent peut-être...
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se traduire par des gains territoriaux sur la France.
X LE RÉPROUVÉ Il reste auvaincu deSedan avantquelamort neledélivre, àparcourir unsecond etlong chemin decroix: prisonnier ànouveau, puisexilé encore, ilva devenir auxyeux desFrançais, lentement maisinexorablement, une sorte depestiféré. Après sonentretien dramatique avecBismarck, LouisNapoléon arencontré touràtour Moltke puisleroi Guillaume. Onluiachoisi comme lieudedétention lechâteau deWilhelmshöhe, prèsdeCassel, quiappartint un moment auroiJérôme. Iln'a fait lui-même qu'unesimpledemande: qu'o...
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A-t-on raison d'accuser la technique ?
jamais été aussi élevés qu'aujourd'hui (dans les pays techniquement avancés) et il est évident que ces avantagessont dus au progrès technique. Ainsi, l'idée que la nature (ou que les dieux) nous puniraient parce que nous voulonstransformer l'ordre originel est tout simplement une idée fausse et démentie par l'histoire. De plus, cette supposition serait en quelque sorte insultante vis-à-vis de la nature ou des dieux. Elle supposerait eneffet une nature ou des dieux mesquins. On peut démontrer pa...
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La Bruyère : « J'ai voulu avertir et non mordre, être utile et non blessé.» - Comment divertir et instruire peuvent-ils se combiner ?
la passion est donc condamnée c'est une source de désordre et de souffrance .Ce roman permet, même s'il estfictif, de mieux comprendre la société du XVIIe siècle. Ce roman nous apprend comment aimer. La littérature a alorsune visée éducative grâce aux maximes, registre didactique dans le texte de La Bruyère. Ainsi l'apologue et lamoralité aussi permettent d'enseigner. En plus de cela, la littérature morale doit divertir pour être utile au lecteur.Tout d'abord le registre comique, renv...
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Marx et la question du capitalisme
une lutte sans répit, tantôt déguisée, tantôt ouverte, qui chaque fois finissait soit par une transformation révolutionnaire de lasociété tout entière, soit par la ruine des diverses classes en lutte ».On voit que Marx reprend les grandes aspirations de Hegel : l'histoire avance par des luttes constantes, par les conflits qui vont sedépasser et se termine par la transformation ou la ruine de la société tout entière (dialectique). Mais il y a un décentrement duregard par rapport à Hegel où il y a...
- Jadis, il avait voulu se procurer avec l'opium et le haschisch des visions, mais ces deux substances avaient amené des vomissements et des perturbations nerveuses intenses. Joris-Karl Huysmans, À rebours, ABU, la Bibliothèque universelle
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La morale moyenne se maintient par les héros. Montrez que Renan a voulu dire, par là , combien il était nécessaire, même pour ceux qui ne l'atteignent pas complètement, de poursuivre toujours un idéal héroïque, de chercher à imiter les héros.
leur rOle s'étend encore plus loin, ils élèvent vers eux, dans la lum1œe, ces milliers d'êtres, appartenant · à l'humanité moyenne, qui 1'8111lpent au mili ·eu de leur égoïsme et de leurs intérêts. lls leur tendent la main et ils leur rendent plus facile l'Apre sentier du Bien.
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Droit du marcher interieur
Le droit de la concurrence est né à ce moment l à. Des secteurs entiers de charbon et de l’acier é taient accapar és par des cartels priv és. Et donc ces états ont voulu se mettre ensemble pur discipliner ces cartels, d’o ù la cr éation du droit de la concurrence, et donc des r ègles y aff érant à savoir notamment les r ègles d’abus de position dominante. Le secteur du charbon allait rapidement être en crise, et donc il fallait trouver d’autres sources d’ énergie, et la solidarit...
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Connaissez-vous des auteurs qui aient voulu tirer une morale de la science ? Comment s'y sont-ils pris ? Peut-on soutenir crue l'inverse serait mieux justifié. ?
Ainsi que l'avait montré Darwin, la grande loi de la vie .et la condition de progrès pour les êtres vivants est lasélection naturelle. Cette loi vaut pour l'homme comme pour les animaux : il n'y a de progrès que par la sélection quirésulte de la lutte pour la vie. Par conséquent, pour que se réalise l'idéal humain, le Surhomme, les faibles doiventdisparaître. Il est donc contre nature et contraire à la morale d'aider à vivre ceux qui ne pourraient pas, par eux-mêmes, se faire ou conserver le...
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Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte en procédant à son étude ordonnée.
«J'aurais voulu naïtre dans un pays où...
, Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte en procédant à son étude ordonnée. «J'aurais voulu naïtre dans un pays où le souverain et /p peuple ne pussent avoir qu'un seul et même intérêt afin que tous les mouvements de la machine ne tendissent jamais qu'au bonheur commun: ce qùi ne pouvant se faire à moins que Je Peuple et le Souverain ne soient une même personne, il s'ensuit que j'aurais voulu naître sous un gouvernement démocratique, sagement tempéré. J'aurais voulu vii:!e et mourir libre....
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Alexandre le Grand
par Claire Préaux
Membre de l'Académie Royale de Belgique
Alexandre a voulu survivre dans la mémoire des hommes.
par Claire Préaux Membre de l'Académie Royale de Belgique
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Maëva Le Jallé
L1 AES groupe 4
Léon Blum, Le Populaire
« Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur.
I. Expansion inquiétante de l’Allemagne Hitler est très habile et chacune de ses actions, de ses plans sont calculés mais cependant Léon Blum dans son première article reste persuadé que la guerre a été évitée. A) Le plan machiavélique d’Hitler Tout est calculé, rien n’est laissé au hasard. Comme cité dans le texte « C’est elles qui l’ont présenté à la Tchécoslovaquie. » Par « Elles » est entendu la France et le Royaume Unis. Ceci est stratégique, Hitler sait pertin...
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- Je suppose donc une force qui combine, dans des proportions certaines, les éléments de la richesse, et qui en fait un tout homogène : si les éléments constituants ne sont pas dans la proportion voulue, la combinaison ne s'en opérera pas moins. Pierre Joseph Proudhon, Système des contradictions économiques, ou Philosophie de la misère
- «Titre», J'ai récemment acheté chez Systemsoftware votre logiciel de traitement d'images SuperPic, avec lequel j'ai voulu convertir une série d'images de différents formats.
- «Apostrophe» «Titre», Je tiens à vous présenter tous mes remerciements et toute ma gratitude d'avoir bien voulu apporter votre soutien à ma candidature au DEA de sciences politiques à l'université de la Sorbonne - Paris I.
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Le nabab, tome II
bey, lui, croyant qu'on avait voulu le mystifier, de le conduire ainsi devant le mercanti détesté, regarda
l'inspecteur avec méfiance:
«Jansoulet?
s'entretenait pendant ce temps avec la jeune fille. Pauvre madame Jenkins! On lui avait dit de cette voix féroce qu'elle seule connaissait: «Il faut que vous alliez saluer Félicia...» Et elle y était allée, contenant son émotion: car elle savait maintenant ce qui se cachait au fond de cette affection paternelle, quoiqu'elle évitât toute explication avec le docteur, comme si elle en avait craint l'issue. Après madame Jenkins, c'est le Nabab qui se précipite, et prenant entre ses deux grosses patt...
- «Titre» le Maire, Permettez-moi, au nom de tous les membres de l'association de la compagnie des Rideaux Déridés ainsi que tous ceux qui ont assisté à la représentation de l'Avare de Molière, de vous remercier d'avoir bien voulu mettre gracieusement une salle à notre disposition.
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Christianisme et philosophie
par Maurice Merleau-Ponty
Professeur au Collège de France
Nous avons voulu grouper sous ce titre diverses philosophies qui n'ont de
commun que d'être nées en milieu chrétien.
par Maurice Merleau-Ponty Professeur au Collège de France
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Vbi la voluit dixit, ubi noluil tac11il
Quand la loi a voulu quelque chose elle l'a dit, quand elle ne...
Vbi la voluit dixit, ubi noluil tac11il Quand la loi a voulu quelque chose elle l'a dit, quand elle ne l'a pas voulu, elle l'a tu Ce brocard médiéval anonyme qui appartient à présent au patrimoine commun du droit tente d'empêcher qu'on ne fasse dire à la loi ce qu'elle n'a jamais voulu dire, c'est-à-dire d'empêcher son interprétation dans un sens large et non dans un...
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Le roi se tourne vers le chancelier Séguier, deuxième
personnage du royaume : " Monsieur, je vous ai fait assembler avec
mes ministres et secrétaires d'État pour vous dire que, jusqu'à
présent, j'ai bien voulu laisser gouverner mes affaires par feu M.
lumières qui vous sont nécessaires tant que vous aurez de bonnes intentions ”. Être roi c’est être seul. Comme il conseille au duc d’Anjou “ N’ayez jamais d’attachement pour personne ”, il confie “ Toutes les fois que je donne une place vacante, je fais cent mécontents et un ingrat ”. Pour que nul ne doute de l’ordre qui règne, Louis XIV choisit lors de la fête du Carrousel, en juin 1662, l’emblème qui est désormais le sien : un soleil. La devise Nec pluribus impar , qui signifie qu’il ne...
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Le roi se tourne vers le chancelier Séguier, deuxième personnage du royaume: " Monsieur, je vous ai fait assembler avec mes ministres et secrétaires d'État pour vous dire que, jusqu'à présent, j'ai bien voulu laisser gouverner mes affaires par feu M.
lumières qui vous sont nécessaires tant que vous aurez de bonnes intentions ”. Être roi c’est être seul. Comme il conseille au duc d’Anjou “ N’ayez jamais d’attachement pour personne ”, il confie “ Toutes les fois que je donne une place vacante, je fais cent mécontents et un ingrat ”. Pour que nul ne doute de l’ordre qui règne, Louis XIV choisit lors de la fête du Carrousel, en juin 1662, l’emblème qui est désormais le sien : un soleil. La devise Nec pluribus impar , qui signifie qu’il ne...
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Jean Fernel
1497-1558
Comme Descartes, à qui certains ont voulu le comparer, Jean Fernel, déçu par l'inanité de
l'enseignement scolastique, résolut de reprendre ses études en remontant aux sources et,
pour un temps, se consacra à l'étude des Anciens.
Fernel déclina encore cette offre. Ce ne fut qu'à la mort de ce dernier qu'il accepta. Il dut alors suivre le roi dans sa campagne des Flandres et, devant Calais, commença son Traité des fièvres . À son retour, la mort de sa femme l'affecta au point qu'il mourut quelques jours après. Il laissait inachevé cet ouvrage, léguant ses manuscrits à son ami Plancy pour les compléter et les publier, ce qui fut fait en 1567. Jean Fernel est, par excellence, l'homme de son siècle : un de ces hommes qui s...
- Que pensez-vous de cette affirmation d'un auteur contemporain : « Un aliéné est un homme que la société n'a pas voulu entendre et qu'elle a voulu empêcher d'émettre d'insupportables vérités » ?
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« Il n'y a pas de vrai sens d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Quoi qu'il ait voulu dire, il a écrit ce qu'il a écrit ; une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise et selon ses moyens. » Justifiez et discutez cette affirmation de Paul Valéry, en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis. ?
2. Le texte échappe à l'auteurOn voit bien cependant que le texte échappe à l'auteur, et qu'il n'existe par conséquent pas de vérité indiscutable.Exemple : le cas des mises en scènes est particulièrement flagrant, puisque c'est alors le metteur en scène quidécidera de la façon de jouer ou d'interpréter la pièce, et non plus l'auteur : on parle autant du Hamlet de Chéreauque de celui de Shakespeare ! B. Tout n'est pas juste 1. Possibilité de contresensPour autant, l'absence d'une Vérité majuscul...
- « Si René n'existait pas, je ne l'écrirais plus : s'il m'était possible de le détruire, je le détruirais : il a infesté l'esprit d'une partie de la jeunesse, effet que je n'avais pu prévoir, car j'avais au contraire voulu la corriger », écrit Chateaubriand dans les Mémoires d'Outre-Tombe à propos ^'une de ses œuvres qui connut un succès littéraire exceptionnel mai» aux effets inattendus et souvent nocifs sur la jeunesse de son époque : l'œuvre suscita des attitudes désespérées qui allè
- Victor Hugo, a voulu être, par son œuvre, « L'écho sonore » de son temps; au contraire Stéphane Mallarmé écrit, en 1862, dans la Revue de l'Artiste : « Toute chose sacrée et qui veut demeurer sacrée s'enveloppe de mystère. Les religions se retranchent à l'abri d'arcanes dévoilés au seul prédestiné : l'art a les siens... J'ai souvent demandé pourquoi ce caractère nécessaire a été refusé à un seul art, au plus grand. Je parle de la Poésie... » Expliquez et illustrez ces deux conceptions
- Molière a outré souvent les caractères : il a voulu, par cette liberté, plaire au parterre, frapper les spectateurs les moins délicats et rendre le ridicule plus sensible. Mais quoiqu'on doive marquer chaque passion dans son plus fort degré et par ses traits les plus vifs, pour en mieux montrer l'excès et la difformité, on n'a pas besoin de forcer la nature et d'abandonner le vraisemblable. Vous rangez-vous à l'avis de Fénelon ?
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Obeir me dégage-t-il de toute responsabilité ?
II. La conscience empêche l'homme de se déresponsabiliser. L'homme se sent responsable de ses actes, car il a une conscience morale. Tout d'abord l'homme sent que sesactes lui appartiennent, car il a conscience de les réaliser lui-même. Puis, étant donné qu'il a conscience du bien etdu mal, il est apte à juger de la nature de l'action qu'il va entreprendre, même si celle-ci ne résulte pas d'unedécision qui lui est propre, mais de l'ordre d'autrui. D'ailleurs, le terme ‘respo...
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BRITANNICUS de Corneille (analyse détaillée)
AC1'E IV. -Long discours d'Ag,.ipp it�e. Elle .. appelle d Nhon ce qr�'il lui doit. Ntron se justifie en accusant l'ambition d'Agrippine et son dessein de fui opposer Britmmic1ts. Réplique violente ct désespérée d'Agrippine. Néron cède eu appare nce; il se réconciliera avec Britan m' ctts. ill ais ce u'esl qu'une fcùtlc, comme t't J'avoue à Burrlms. Il pense à jaire périr BritannietJ ne veut pas laisser croire qu'il n. pettr d'A grippin�. AcTE V. -·...
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Histoire de la Revolution francaise, IV
patrouilles qui y circulent; il suffit de voir ce beau spectacle pour decreter que "Paris a bien merite de la
patrie!
aussitot que la petition soit imprimee, et qu'on delibere sur son contenu, redige en projet par Barrere: President, s'ecrie Vergniaud, consultez l'assemblee pour savoir si elle veut deliberer dans l'etat ou elle se trouve!Aux voix le projet de Barrere! s'ecrie-t-on a gauche.Nous protestons, s'ecrie-t-on a droite, contre toute deliberation.La convention n'est pas libre, dit Doulcet.-Eh bien, reprend Levasseur, que les membres du cote gauche se portent vers la droite, et alors la convention s...