288 résultats pour "leibniz"
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La raison, cause de notre jugement ou cause dans les choses ? G. W. LEIBNIZ
POUR MIEUX COMPRENDRE LE TEXTE La correspondance des raisons qui nous convainquent avec les causes des choses est l'idéal de la connaissance. Cet idéal satisferait pleinement au fameux « principe de raison suffisante »,que Leibniz énonce ailleurs : « aucun fait ne saurait se trouver vrai, ou existant, aucune énoncia tion véritable, sans qu'il y ait une raison suffisante, pour quoi il en soit ainsi et pas autrement » (Monadologi...
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Commentaire de texte: Préface aux Nouveaux essais sur l'entendement de Leibniz
Toutefois, Leibniz precise a la fin de ce texte que ce sont les sens qui permettent de parvenir a ces premiers principes. Leibniz disait par ailleurs que ‘’tout ce qui est dans notre esprit nous vient des sens et de l’experience mais pas notre esprit lui-meme’’. ‘’ Toutes nos connaissances nous viennent donc des sens sauf ce qui dans nos connaissances tient a la nature et a la forme de l’esprit lui-meme et que nous pouvons apercevoir par la reflexion. Ce texte expose ainsi le problème du fondeme...
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LEIBNIZ (la monadologie, la théorie des petites perceptions, l'harmonie préétablie, le meilleur des mondes possibles)
6. Toute monade est « sans fenêtres », c'est-à-dire sans aucun moyen de communiquer efficacement avec lesautres monades dont elle a le sentiment plus ou moins clair suivant qu'il est éprouvé ou perçu ou compris. Mais toutce qui lui arrive, lui arrive en vertu d'une loi propre de développement et d'une causalité interne. De même queMalebranche ne pouvait concevoir l'action des corps entre eux puisque la loi physique possédait seule, dansl'étendue intelligible, la causalité effective...
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Explication de texte : Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes..." de Leibniz (préface aux Nouveaux essais sur l'entendement humain)
“D’où il paraît que les vérités nécessaires, telles qu’on les trouve dans les mathématiques pures et particulièrementdans l’arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépende point desexemples, ni par conséquence des témoignages des sens” nous dit Leibniz; les vérités nécessaires sont des vérités impossibles à révoquer sans se mettre en contradiction, qui ne peuvent pas ne pas être; elles doivent donc avoir uncaractère universel, être évidentes au reg...
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Leibniz: L'harmonie préétablie
conséquent la meilleure est celle-là même qui existe en acte.»Ce qui varie de la formule voltairienne à la formule vraie de Leibniz est l'idée de pluralité. Dieu conçoit une infinité demondes possibles, et il choisit suivant le principe du meilleur. Cela ne veut pas dire que Leibniz nie le mal et quenous vivons «dans le meilleur des mondes », mais que tous les autres mondes possibles, que Dieu a conçus, sanschoisir de les faire exister, seraient pires. Ce qui, avouons-le, n'est guère réjouissant...
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LEIBNIZ et le meilleur des mondes
qu'« il faut qu'il y ait une raison pour que Dieu permette le mal plutôt que ne le permette pas; or la raison de lavolonté divine ne peut être prise que du bien ».« Tout est pour le mieux » ne doit donc pas être compris comme «tout est bien », et la pensée de Leibniz n'a riend'un optimisme béat. Il ne pouvait rien avoir de meilleur qu'un monde où le péché originel existe. «Dieu permetquelques maux, pour que beaucoup de biens ne soient pas empêchés. »Le mal et le péché ne sont donc que des él...
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LEIBNIZ contre DESCARTES
mouvement, l'idée de vitesse, l'idée de ce qui est le plus grand. Mais nous ne comprenons pas pour autant si cesidées peuvent être jointes, si elles sont compatibles. De même Descartes raisonne avec précipitation quand ils'efforce de démontrer que l'Être le plus parfait existe nécessairement. En effet ii convient de démontrerpréalablement (ce que Descartes néglige) que l'idée d'être et l'idée de ce qui est le plus parfait sont deux idéescompatibles. Même le fameux cogito de Descar...
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Leibniz et les perceptions inconscientes
Malgré les intuitions de Leibniz (qui ne sont pas négligeables), la «révolution» freudienne reste incontestable —puisqu'elle consistera à affirmer que le sens le plus authentique est celui qui se manifeste énigmatiquement dans lespensées volantes et les rêves, alors qu'ici on constate que la pensée consciente reste la plus significative, neserait-ce que dans sa capacité à rétablir son pouvoir en interrompant les images de la rêverie : là où Freud verra dela censure, Leibniz comprend un...
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Vie et philosophie de LEIBNIZ ?
lui-même. »Deux grands principes dirigent le travail de l'intelligence : le principe de contradiction : il est impossible qu'une chosesoit et ne soit pas en même temps; et le principe de raison suffisante : rien n'arrive sans raison suffisante, c'est-à-dire, sans une cause qui fasse que la chose soit de cette manière plutôt que de telle autre.Du principe de raison suffisante découlent : 1° le principe de causalité : tout ce qui se produit a une cause; 2° leprincipe de finalité : tout ce qui se f...
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Philosophie : la notion d'évidence chez Descartes et Leibniz
je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit. » ( Médit ation II ). L'évidence témoigne donc que notre conscience est seule juge de la vérité qu'elle saisit. C'est justement ceci qui ne pouvait satisfaire Leibniz. En effet, pour lui, l'expérience interne est garantie peu satisfaisante; l'évidence ne lui paraît p as un critère valable, et le doute lui semble utile contre les dangers d'une évidence qui ne nous donne pas le moyen...
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LEIBNIZ: L'origine des erreurs
signifie « se jouer de »). En effet, un phénomène d'habitude peut faire conclure abusivement de la conjonctionrépétée de deux phénomènes à une connexion nécessaire entre une cause et un effet. L'empiriste Hume, dansL'Enquête sur l'entendement humain, réduira en ce sens toute relation de causalité. Ou bien alors on croitabusivement en l'idée d'une raison nécessaire qui est « profondément enracinée en nous » parce qu'elle fait l'objetdepuis longtemps d'un « désir ardent ». Leibniz...
- LEIBNIZ (Gottfried Wilhelm)
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LEIBNIZ: dans le sommeil et dans les évanouissements
impliquer l'absence de sensations infimes, elles-mêmes supposant l'exercice de fonctions et donc lapérennité de leur support (l'âme). III. La composition continue [“ Nous avons (…) remarquable. ”] L'indistinctible entrant ainsi dans la composition de la sensation générale est infini. La sensation générale (“ le murmure de tout un peuple ”) inclut le sentiment de l'infime comme condition de lasensation du tout (“ mais dont on a pourtant u...
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LEIBNIZ: PERCEPTION ET CONNAISSANCE
l'expérience. » Transition Ainsi, la perception est le critère intrinsèque de tout notre savoir? Cependant qu'appelons nous perception? Quels sont ces objets? Percevons uniquement ce que notre pensée consciente peut concevoir? II Toute substance est perception A- Leibniz distingue les perceptions claires des perceptions insensibles c'est à dire non conscientes d'elles-mêmes. Ainsi, si même les corps sont des esprits, il s'agit d'esprits somnolents. LOCKESupposons donc qu'au comme...
- Commentaire: LEIBNIZ - La conscience
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Philosophie : la notion d'évidence chez Descartes et Leibniz Introduction
je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit. » ( Médit ation II ). L'évidence témoigne donc que notre conscience est seule juge de la vérité qu'elle saisit. C'est justement ceci qui ne pouvait satisfaire Leibniz. En effet, pour lui, l'expérience interne est garantie peu satisfaisante; l'évidence ne lui paraît p as un critère valable, et le doute lui semble utile contre les dangers d'une évidence qui ne nous donne pas le moyen...
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Leibniz: Peut-on trouver dans les mathématiques une méthode pour se prémunir contre l'erreur de raisonnement ?
SUJET son pouvoir de faire retour sur lui-même, de manière à pouvoir, tel 30 un moniteur 2 étranger, se dire sans cesse à lui-même ; vois ce que tu fais, pourquoi le fais-tu actuellement ? » Gottfried Wilhelm Leibniz, Remarques sur Descartes. La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que /'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question. !. La matière...
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LEIBNIZ: La raison suffisante
Pour qu'il v ait démonstration véritable, il faut qu'il y ait d'une part des vérités premières, des prémisses à partir(lesquelles démontrer : et, d'autre part, des règles selon lesquelles démontrer. En effet, démontrer une vérité, c'est montrer qu'elle découle nécessairement d'une autre vérité. Il faut donc partird'une ou plusieurs vérités premières, simplement admises ou « reconnues ». sans quoi le processus (le démonstrationn'aurait rien sur quoi s'exercer et ne pourrait même pas commencer. L'...
- Gottfried Wilhelm Leibniz - Philosophie.
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ANALYSE DE « LA MONADOLOGIE » DE LEIBNIZ ?
182 1 G. W. LEIBNIZ !~a Monadologie (Livre de Poche, 1990), rédigée en français en 1714, est un excel lent résumé de la métaphysique leibnizienne, et sans doute la meilleure introduction à cette métaphysique. Sa principale difficulté tient à son extrême concision et à l' excep tionne{{c densité du texte. La« monadologie »,ou théorie de la monade (terme provenant du grec monas, unité, qualité de ce qui est absolument simple et indécomposabl...
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LEIBNIZ et le principe de raison suffisante
B. Une preuve véritable?Quelle est la portée de la preuve de Leibniz? Le principe de raison suffisante ne peut sans doute s'appliquer qu'ausein de la suite des choses contingentes, au sein de l'univers. Il ne permet donc pas de poser hors de celui-ci unêtre nécessaire, Dieu. LEIBNIZ (Gottfried Wilhelm). Né à Leipzig en 1646, mort à Hanovre en 1716. Il étudia les mathématiques à Iéna, la jurisprudence à Altdorf et la chimie à Nuremberg. En 1667, il rencontra lebaron Jean-Christian de Boinebourg,...
- Biographie de LEIBNIZ (Gottfried Wilhelm).
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Question: Expliquez le problème du mal du point de vue de l'ontologie à travers quatre philosophes: Augustin, Thomas, Leibniz et Pareyson?
Selon lui, le mal n'est pas une création, mais une déficience ou un défaut du bien de toute création. A insi, un seul réalise le mal à la surface de son existence. En soi, le mal ne peut pas exister. Il veut simplement affirmer que le mal n'a pas de substance, alors Dieu n'est pas l'auteur du mal, car il est la cause de tous les êtres. Cependant, il a dit qu e le mal est parfois nécessaire pour l'harmonie de l'univers. À cet égard, Dieu peut être...
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L'origine de toutes les erreurs - Texte de Leibniz
SUJET son pouvoir de faire retour sur lui-même, de manière à pouvoir, tel 30 un moniteur 2 étranger, se dire sans cesse à lui-même ; vois ce que tu fais, pourquoi le fais-tu actuellement ? » Gottfried Wilhelm Leibniz, Remarques sur Descartes. La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que /'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question. !. La matière...
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LEIBNIZ: Si tout était borné à ce moment présent
le précédant de quelques pages dans le même ouvrage et sortant de la bouche de Philalèthe. Ce dernier n'est riend'autre que le nom qu'appose Leibniz sur les idées de Locke (et qu'il oppose à celles de Théophile censé supporterles siennes). S'il va de soi que leurs idées ne se rejoignent que très rarement, ils sont cependant assez d'accord surla définition suivante: « Le bien est ce qui est propre à produire et à augmenter le plaisir en nous, ou a diminuer et abréger quelque douleur. Le mal est...
- Leibniz, Gottfried Wilhelm von
- LEIBNIZ ET SPINOZA. (résumé)
- L'INCONSCIENT DE LEIBNIZ
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Leibniz: L'expérience comme source de toutes nos connaissances ?
dessinée», constater qu'elle présente certaines propriétés, mais un tel constant est insuffisant du point devue mathématique, qui exige que ce qui paraît «évident» soit démontré.— La fin de l'avant-dernière phrase invite à évoquer le problème du passage des données empiriques auxconcepts mathématiques. La perception a pu servir de stimulus initial à l'élaboration des notions et figuresmathématiques. Mais on ne pénètre dans les mathématiques qu'en se détachant de ses suggestions. Onpeut se réfé...
- Qu'est ce que le syllogisme (Leibniz) ?
- Leibniz et les sens
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Fiche de révision : LEIBNIZ
a) Au plus bas degré sont les monades nues, caractérisées par des perceptions inconscientes et des appétitionsfatales. Tels sont les éléments constitutifs de fa matière brute. Ces monades sont reliées par l'espace, « ordocoexistentium ut coexistentium », et par le temps, « ordo successivorum ut successivorum ». b) Puis viennent les monades sensitives, douées de perceptions conscientes ou aperceptions et d'appétitionsspontanées ou désirs. Telles sont les âmes des bêtes. Un animal est...
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- Tout savoir sur LEIBNIZ...
- Sciences & Techniques: Mécanique de Leibniz
- LEIBNIZ : PRINCIPES DE LA NATURE ET DE LA GRACE FONDES EN RAISON (Résumé & Analyse)
- Monadologie [Leibniz] - fiche de lecture.
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Gottfried W. LEIBNIZ 1646-1716 Nouveaux essais sur l'entendement humain (analyse)
118 • Gottfried W. Leibniz écrira de nombreux livres ou brochures sur tous les domaines du savoir et de l' agir humains : philosophie du droit, logique, mathématique, linguistique, combinatoire, métaphysique, théo logie, controverses religieuses, histoire, physique, biologie, alchimie. En juillet 1697, Leibniz encourage encore Bumett à faire parvenir ses remarques à Locke lui-même. Mais Locke se dérobe. Il n'a pas envie de polémiquer avec Leibniz....
- NOUVEAUX ESSAIS SUR L’ENTENDEMENT HUMAIN Gottfried Wilhelm Leibniz (résumé de l’oeuvre)
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Commentaire de la fin du chapitre VI des Nouveaux essais sur l'entendement humain de Leibniz
"pneumatique" chez St Paul désigne l'homme spirituel qui est guidé par le Saint Esprit par opposé à l'homme charnel/mondain. Alors que chez Leibniz, on en trouveune caractérisation dans la préface de l'œuvre étudiée présentement en ces termes : La « pneumatique » ou science de l'esprit doit donc faire usage des «perceptionsinsensibles ».D'ailleurs,il insiste encore dans l'articulation suivante paraphrase en parlant de « véritablement naturelle et conforme à ce que nous pouvonsexpérimen...
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LEIBNIZ: «Démontrer n'est pas autre chose que résoudre les termes d'une proposition et substituer au terme défini sa définition ou une de ses parties pour dégager une sorte d'équation.»
LEIBNIZ (Gottfried Wilhelm). Né à Leipzig en 1646, mort à Hanovre en 1716. Il étudia les mathématiques à Iéna, la jurisprudence à Altdorf et la chimie à Nuremberg. En 1667, il rencontra lebaron Jean-Christian de Boinebourg, et commença de s'intéresser à la politique et aux hautes mathématiques. En1672, il fut chargé d'une mission auprès de Louis XIV, pour engager celui-ci à conquérir l'Egypte. Il fit un voyage àLondres et commença d'entretenir une correspondance suivie avec les plus grands espr...
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- NOUVEAUX ESSAIS SUR L’ENTENDEMENT HUMAIN, Gottfried Wilhelm Leibniz - résumé de l'oeuvre
- LA THÉORIE DE LA CONNAISSANCE chez LEIBNIZ
- Leibniz, Gottfried Wilhelm von
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LEIBNIZ : LA MONADOLOGIE (Résumé & Analyse)
> Thèses essentielles t la monade, unité d'être La monade est la seule vraie substance qui assure l'unité et l'individualité de toute chose. Elle est indivisible, inaltérable, elle ne peut donc être un atome étendu, car l'étendue est divisible à l'infini. Par ailleurs, l'atome ne tire sa force que de chocs extérieurs ; la monade, au contraire, est une unité dynamique qui n'est soumise à aucune force extérieure, mais qui est mue par un principe...
- MONADOLOGIE (LA), Gottfried Wilhelm Leibniz - résumé de l'oeuvre
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Gottfried Wilhelm Leibniz, Principes de la nature et de la grâce
COMMENTAIRE DE TEXTE quelque chose plutôt que rien?», la seconde sur la façon dont ce qui existe existe : pourquoi les choses doivent-elles exister comme elles existent? Comment ce principe permet-il à Leibniz de prouver l'existence de Dieu? .. 2. La preuve de l'existence de Dieu A Le deuxième paragraphe est extrêmement important : il applique le prin cipe de raison suffisante à l'univers entier, c'est-à-dire à l'ensemble des chose...
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Leibniz (1646-1716)
DE LA FORCE À l:ESPRIT
L
e grand dessein de Leibniz est de réconcilier les opposés :
dans...
Leibniz (1646-1716) DE LA FORCE À l:ESPRIT L e grand dessein de Leibniz est de réconcilier les opposés : dans chaque système il « prend le meilleur » ; de toutes les phi losophies, il montre à lafois la part de vérité, les limites et la mutuelle complémentarité. Ainsi, s'il est vrai que l'on peut expliquer le vivant par des raisons mécaniques (Descartes), on ne doit pas oublier que le mécanique est subordonné à une fin, et organisé par un principe imma tériel qui le porte : l'âme (Aristote)....
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Leibniz, Monadologie, § 57. Voir.
Les perspectives de la ville 101 doucement jaunes. Du bateau qui glisse à mesure, le décor évolue encore au gré d'un mouvement continu, enchaîne ment de points de vue sous les arches de pierre. Les yeux suivent les métamorphoses silencieuses des objets. Ainsi vont les hommes, porteurs de perspectives qui changent. Quel lieu permettra d'observer la ville totale? Aucun sans doute. Un être au vol immobile, à l'aplomb du centre gé...
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LEIBNIZ: idées et formes du raisonnement
- On peut aussi développer l'allusion à Socrate (qui concerne l'inter rogation du jeune esclave dans Ménon) . • Piè ges à éviter - Ne pas sacrifier un aspect du texte : le second paragraphe, bien que plus court, est aussi important que le premier. - Ne pas rameuter ce que vous pouvez connaître, en général, du sys tème de Leibniz (les monades, le «meilleur des mondes possibles » ... )qui n'a pas lieu d'être ici considéré. - Tenir compte de ce qui...
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Leibniz: la prise en compte du point de vue d'autrui dans le jugement.
D Les clés du sujet BIEN LIRE LE TEXTE "" L'intérêt du texte, qui en fait aussi la difficulté, consiste à bien arti culer les deux alinéas qui le composent: le premier expose une thèse générale, le second comporte des objections à cette thèse et des réponses à ces objections, qui sont autant d'éclaircissements de la thèse énoncée initialement. Il faudra veiller à ne pas considérer cette seconde partie du texte comme une simple série...