20 résultats pour "épouvante"
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ÉPOUVANTE, substantif féminin.
Camors, 1867, page 334 ). Son coeur [de Jeanne] battait comme dans les épouvantes (GUY DE MAUPASSANT, Une Vie, 1883, page 169 ). 2. [Avec un complément de nom introduit par la préposition de précisant l'origine de l'épouvante] L'aspect épouvantable, horrible, horrifiant que présente ou représente quelque chose. Les épouvantes de la guerre, de la maladie, de la mort, de la torture. (Quasi-)synonymes : affres (confer ce mot B), atrocités (confer ce mot B), horreur. On n'imagine pas la folle laideu...
- L'ÉPOUVANTE DE LA BOURGEOISIE
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ÉPOUVANTÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif masculin.
épouvanté à la pensée, à l'idée d'un mal. — [Avec l'idée de vive réprobation morale] Inspirer de la répulsion, une profonde horreur. (Quasi-)synonyme : horrifier. Du seul point de vue humain, sa dureté m'épouvante (JULIEN GREEN, Journal, 1948, page 224) : Ø 2.... il ajoutait à cela en ce moment un air de commisération qu'il accentuait tant qu'il pouvait. Agnès, épouvantée par la commisération, accepta aussitôt, malgré sa répugnance à être seule avec lui. PIERRE DRIEU LA ROCHELLE, Rêveuse bourg...
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« L'extraordinaire du roman, c'est que pour comprendre le réel objectif, il invente d'inventer. Ce qui est menti dans le roman libère l'écrivain, lui permet de montrer le réel dans sa nudité. Ce qui est menti dans le roman sert de substratum à la vérité. On ne se passera jamais du roman, pour cette raison que la vérité fera toujours peur, et que le mensonge romanesque est le seul moyen de tourner l’épouvante des ignorantins dans le domaine propre du romancier. Le roman, c'est la clé de
2 Un sujet qui incite à s’interroger sur l’origine et la fonction d’un roman à de quoi remettre en cause l’opinion commune qui consiste à dire que le but premier d’un roman est l’évasion, l’exotisme. On a tendance à croire que le roman a pour seule fin de nous sortir d’un quotidien pesant voire rébarbatif. Quant à son origine, il nous paraît évident que le roman est issu de l’imagination de l’écrivain. Ainsi, dans Les cloches de Bâle, Louis Aragon formule avec force et insistance l’aspect su...
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ÉPOUVANTER, verbe transitif.
épouvante surtout les âmes faibles. LOUIS BLANC, Organisation du travail, 1845, page XVII. — emploi absolu. Il a déjà l'arme, le silex éclaté, il lui faut l'ornement qui séduit ou épouvante (ÉLIE FAURE, Histoire de l'art, 1909, page 25 ). b) Surprendre fortement, inspirer un grand saisissement. Synonymes : choquer; (quasi-)synonymes : effarer, sidérer, stupéfier. Et le Parisien coucherait dans cette chambre à coucher, entre ces deux chaises épouvantant le goût (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GON...
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L’enlèvement de l'enfant Lindbergh épouvante l'opinion américaine
L'avis de recherche est diffusé par les commissariats de police dans plus de 1 400 villes d'Amérique. L'e nlèv ement de l'enfant Lindbergh ép ouvante l'opinion américaine Âgé de 20 mois , le fils de Charles Lindbergh - le premier aviateur à avoir traversé l'Atlantique en solitair e -est enlevé en 1932 et sauvagement assassiné. Ce crime entraîne la promulgation de lois plus sévères aux États -Unis. L orsque Charles lindbergh atte rrit à Paris à bord...
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BAUDELAIRE OU LE VERTIGE DE LA CRÉATION
Charles-Pierre Baudelaire est un poète français du XIXe siècle né à Paris en 1821 et est décédé dans la même ville en 1867. Le poète est inspiré des mouvements romantiques et classiques. Dans ces deux poèmes, Baudelaire aborde la quête du bonheur, l’idéal inaccessible, la violence, la volupté, l’art et la mélancolie. Mais la facette la plus fascinante de l’auteur est probablement sa façon de tisser des liens entre le...
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Il le souleva au-dessus du balcon, le balança un instant dans le vide, et le jeta aux pieds de son maître.
entraient etsortaient descasques, descuirasses, quirenvoyaient enfroids éclairs lesrayons delalune. LaMole songea auroi deNavarre commeilavait songé àColigny : c’étaientsesdeux seuls protecteurs. Ilréunit toutes ses forces, regarda leciel enfaisant toutbaslevœu d’abjurer s’iléchappait aumassacre, fitperdre parundétour une trentaine depas àla meute quilepoursuivait, piquadroitversleLouvre, s’élança surlepont pêle-mêle avec les soldats, reçutunnouveau coupdepoignard quiglissa lelong descôtes, et,m...
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Définition: AFFRES, substantif féminin pluriel.
personne qui les endure. B.— [Avec un complément de nom introduit par la préposition de, ou un adjectif équivalent précisant l'origine de l'épouvante ou de l'angoisse] 1. [Le complément appartient au domaine physique] a) Affres de la mort : 13.... « El Leon », les traits envahis d'une pâleur mortelle, frémissait en proie aux affres de la douleur ;...
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Le terme "hardiesse" dans l'oeuvre de DESCARTES
désespoir, en sorte que c'est dans les affaires les plus dangereuses et les plus désespérées qu'on emploie le plus de hardiesse etde courage, il est besoin néanmoins qu'on espère ou même qu'on soit assuré que la fin qu'on se propose réussira, pour s'opposeravec vigueur aux difficultés qu'on rencontre. Ainsi quand les Décies se jetaient au travers des ennemis et couraient à une mort certaine, l'objet de leur hardiesse était ladifficulté e conserver leur vie pendant cette action, pour laquelle di...
- Une histoire epouvante
- ÉPOUVANTER, v.
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Therese Raquin chap 11 par quels moyens Zola représente cette scène de crime comme une scène naturaliste tragique.
gorge », « de son autre main », ses bras « vigoureux » et son cou dénudé. Ces quatre parties du corps de Laurent sont les quatre armes de son crime : sa figure effrayante qui fait prendre conscience à Camille des intentions réelles de Laurent, ses mains et ses bras qui vont le jeter hors de la barque et son cou, seule partie vulnérable de Laurent dans cette scène et dont la cicatrice de la morsure restera comme un rappel continuel de son crime dans la suite du livre. Cette scène de crime est trè...
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Mors (1) - Victor Hugo, Les Contemplations (commentaire)
--- Informations sur l'utilisateur --- Sujet que l'utilisateur souhaitait consulter : (Id: 140146) Ah ! insensé qui crois que jene suis pas toi. Victor Hugo Nom : anais perri E-mail : [email protected]...
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Après avoir résumé ce passage des Pensées de Pascal, vous le commenterez et l'apprécierez.
86 TEXTES ABSTRAITS quoique obscures d'elles-mêmes, ont néanmoins un fondement trés solide et inébranlable, je les considère d'une manière toute différente. Cette négligence en une affaire où il s'agit d'eux-mêmes, de leur éternité, de leur tout, m'irrite plus qu'elle ne m'attendrit; elle m'étonne et m'épouvante : c'est un monstre pour moi. Après avoir résumé ce passage des Pensées de Pascal, vous le commenterez et lapprécierez. COMMENTAIRE...
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Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer (2e partie, livre IV, chapitre 2).
l'observateur du poulpe. D'autre part, le mot « ventouse » évoque aussi, par synecdoque, la pieuvre elle-même dontles tentacules sont composés d'une multitude de ces ventouses (comme la sangsue utilisée longtemps par lesmédecins). En réalité, donc, cette pieuvre ne semble pas être un animal, mais une chose, « une forme grisâtre », que l'on nepeut même pas désigner par un pronom personnel : « c'est gros comme le bras », « c'est un chiffon », mais par undémonstratif, une tournure impersonn...
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gauthier
13 nouveaux épisodes de la série télévisée Les aventure de la courte échelle. Polyvalent dans ses thématiques et lui-même amateur de romans d'horreur, Bertrand Gauthier signe aussi 3 romans d'épouvante pour les jeunes de 9 à 12 ans. Le Ministère a présenté une objection préliminaire concluant que l'appel était devenu sans objet parce qu'il n'y avait plus de nomination imminente ou proposée dans ce processus de sélection puisque le seul candidat reçu apparaissant sur la liste d'admissibilité...
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Cinquième partie, chapitre V - Germinal de ZOLA
« Et les autres, malgré leur désir de détourner les yeux, ne le pouvaient pas, regardaient quand même. » La violence du spectacleA quel spectacle assistent ces bourgeois ? Les groupes constitutifs de la « bande », apparemment cohérente etanimée des mêmes intentions, ne se laissent discerner qu'au fur et à mesure de leur approche de la ferme.Jeanlin vient en tête, soufflant dans cet instrument primitif et naturel qu'est la corne.Puis un millier de femmes se présentent, classées en fonction de leu...
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SCÈNE III - DON FERNAND, DON DIÈGUE, DON ARIAS, DON RODRIGUE, DON SANCHE - - Acte IV - Le Cid (Corneille)
Les plus épouvantés reprenaient de courage !J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés,Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés ;Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,Se couche contre terre, et sans faire aucun bruitPasse une bonne part d'une si belle nuit.Par mon commandement la garde en fait de même,Et se tenant cachée, aide à mon stratagème ;Et je feins hardiment d'avoir reçu de vousL'ordre qu'on me voit suivre et que je do...
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Les Index Noires
Années ?
disques électriques; mais, dans l'obscurité, son regard possédait une extraordinaire acuité, et sa pupille, largement dilatée, lui permettait de voir au milieu des plus profondes ténèbres. Il fut aussi constant que son cerveau n'avait jamais reçu les impressions du monde extérieur, que nul autre horizon que celui de la houillère ne s'était développé à ses yeux, que l'humanité tout entière avait tenu pour elle dans cette sombre crypte. Savait-elle, cette pauvre fille, qu'il y eût un soleil et des...