24 résultats pour "lisons"
- La mort de la Lison
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La Bête humaine ( 1890 ) , Emile Zola Commentaire Littéraire : extrait du chapitre X ( la « mort » de la Lison )
symbolisent le souffle de vie de la machine: 1 ) D'abord Zola évoque les derniers instants de la locomotive personnifiée : « la Lison n'en avait plus que pourquelques minutes », « Elle se refroidissait », « le souffle qui s'était échappé... s'achevait ». 2 ) Puis il y a les ultimes sursauts ; « Un instant, on avait pu voir... fonctionner ses organes, la vapeur circuler... »,« les bielles n'avaient plus que les tressaillements convulsifs... son âme s'en allait... se vider toute ». 3 ) Ensuite, c'...
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L 'Agonie de la Lison
La locomotive de Jacques Lantier (La Lison) a violemment heurté un chariot
chargé de blocs...
L 'Agonie de la Lison La locomotive de Jacques Lantier (La Lison) a violemment heurté un chariot chargé de blocs de pierre. La Lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur, par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furieux de géante. Une haleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras 5 du sol; pendant que, du foyer, les braises tombées, rouges comme le sang même de ses entrailles, ajoutai...
- la mort de lison la bete humaine
- Synthese sur la mort de la Lison
- QUI EST TANTE LISON ? (Une vie de Maupassant)
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l'accident de la lison
en utilisant le plus que parfait (temps de l'action antérieure dans le passé, qui permet d'évoquer une action qui a eu lieu avant le moment de l'histoire évoqué) : « on avait entendu » (l. 7) ; « 6 wagons s'étaient arrêtés » (l. 11-12) ; « la cheminée était entrée en terre … à l'endroit où il avait porté, les chassis s'était rompu » (l. 21-22). La précision de ce tableau, avec notamment le détail presque incroyable des 6 wagons restés intacts, laisse à penser que Zola s'est peut-être t...
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R. WAGNER.
1813-1883
AVANT- PROPOS
Feuilletons une histoire de la musique et lisons,
De 1859 (il a donc quarante six ans), à 1862, Wagner revient à Paris, mais cette fois en homme célèbre, possédant de puissants et illustres amis, LISZT, BAUDELAIRE (6), TH. GAUTIER (7), J. FERRY (8), E. OLLIVIER. Ce qui prouve que les relations de Wagner débordent largement le domaine musical. Mais décidément. Paris n'aime pas Wagner, qui le lui rend bien d'ailleurs. Malgré la gloire du compositeur, "Tannhauser" connaît un cuisant échec. Wagner...
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LES ACCIDENTS DANS LA BETE HUMAINE DE ZOLA
Jacques a du mal à être seul avec Séverine. "Ce qui la chargeait, c'était la neige dont une couche épaisse avait peu à peu couvert la toiture des wagons." La Lison se sent écrasée sous le poids de l'amour entre Jacques et Séverine. Séverine est comparée à la neige et la Lison lutte contre cette neige. Il y a là un combat entre Séverine et la Lison : "Le froid était terrible, la neige entrait et les têtes disparurent, les glaces se relevèrent." Séverine est décidée à avoir Jacques...
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Commentaire Zola Chapitre X
fonctionnement de la machine : « fonctionner ses organes, les pistons battre comme deux coeurs jumeaux, la vapeur circuler dans les tiroirs » devient « des tressaillements, les révoltes dernières de la vie » (l.29). Les mouvements deviennent de plus en plus lent. Le rythme des phrases est de plus en plus court. « la glande éventrée s'apaisa encore » (l.32) : 11 syllabes « s'endormait peu à peu d'un sommeil très doux » (l.33) : 11 syllabes « finit par se taire » (l.33) : 5 syllabes « elle était m...
- commentaire de texte la mort de la lison
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commentaire de la bête humaine de Zola
A travers cette personnification, Jacques montre la machine comme un être humain mais aussi comme une amante car il lui donne un nom féminin « la Lison », ce qui prouve le lien fort qu'il a avec elle. Ce lien apparaît également dans la phrase « la pauvre Lison » à valeur hypocoristique. L'apposition concessive « elle toujours si luisante » avec l'insistance du « si », adverbe qui intensifie sa beauté, transcrit sa nostalgie, son regret enver...
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zola lison
tranche et traverse. Le labyrinthe ou l'on se perd arrive toujours à l'entrée du tunnel d'où sortent, à intervalles réguliers, ces redoutables monstres que sont les trains, modernes Minotaure. Tout d'abord, la Lison est considérée comme une personne ayant sa propre personnalité: 
"courageuse, docile, gourmande de graisse", ceci de part l'âme qui lui a été attribuée involontairement lors de sa construction: "il y avait l'âme, le mystère de la fabrication, ce quelque chose que le hasard du m...
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du premier wagon, où elle se mettait toujours pour être plus près de lui, il l'avait suppliée du
regard et, comprenant, elle s'était retirée, pour ne pas rester à ce vent glacial qui lui brûlait la
figure.
cabrait, necontinuait samarche quesous lamain volontaire dumécanicien. D'ungeste, celui-ci avait ouvert laporte dufoyer, pourquelechauffeur activâtlefeu. Et,maintenant, cen'était plus unequeue d'astre incendiant lanuit, c'était unpanache defumée noire,épaisse, qui salissait legrand frisson pâleduciel. La Lison avançait. Enfin,illui fallut entrer danslatranchée. Adroite etàgauche, lestalus étaient noyés,etl'on nedistinguait plusriendelavoie, aufond. C'était comme uncreux de torrent, oùlaneige dor...
- Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? Franz Kafka
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Franz Kafka: Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ?
que la tyrannie, l’oligarchisme.... Ainsi les Athéniens spectateurs pouvaient participer au débat politique mis en place parl’interprétation de la pièce puisque les interventions de ces derniers étaient autorisées lors des représentations. Ces débatsamenaient sans cesse la démocratie à s’améliorer, se perfectionner. (2nd idée générale) (Retour à la ligne, alinéa 2 carreaux) D’autre part, la véritable littérature chasse l’obscurantisme. (Argument 1) (Alinéa 2 carreaux) Tout d’abord, elle i...
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COMMENTAIRE : l'accident de la Lison (Zola)
qui a causé l'accident et qui n'est d'ailleurs pas mort. Pendant ce procédé le terme « on » est plusieurs fois utilisé.E n effet, ce pronom remplace les trois témoins de la scène:Flore,Misard et Cabuche. Leur focalisation est unanime car ils sont tout trois très bien placés . Aussi en utilisant ce pronom Zola a voulu mettre le lecteur au cœur de l’événement . Il le prend comme un témoin de la scène et cela renforce l'aspect dramatique de d...
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Quel peut être, selon vous, l'intérêt de la lecture des oeuvres du passé ?
lisons plus, il nous parle bien davantage à travers ses romans philosophiques comme Candide. Il se voulait lecontinuateur de Racine, mais il s'est enfermé dans des recettes usées, et son théâtre désuet a cessé de nous parlerparce qu'au lieu de recréer un monde il ne fait qu'en copier un révolu, celui de Racine, et du siècle de Louis XIV.b) b) Bien des œuvres ont ainsi cessé de solliciter notre intérêt et nous ne les lisons plus. Qui se préoccupe encoredes œuvres des frères Goncourt qui o...
- En quoi le passage de la scène de l'incident du train dans la neige dans La Bête Humaine de Zola marque-t-elle un point de non-retour dans l'intrigue?
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La mort
et de tante Lison ne font l'objet d'aucune attention particulière comme siJeanne était exténuée de cette succession de disparitions. Maupassant présente sa douleur comme une sorte d'« engourdissement ».L'espace vide qui se crée autour d'elle l'entraîne dans un désespoir sans limites, et lui retire toute envie de vivre afin de « ne plussouffrir, de ne plus penser ».Jeanne apparaît comme l'unique survivante de ce monde voué à l'échec, peuplé de fantômes du passé qui rendent son existenceabsurde.
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Une vie
surabondance de douleur lui étant venue à cette pensée, elle s'affaissa dans ses draps et pleura frénétiquement.
8 Rosalie avait quitté la maison et Jeanne accomplissait la période de sa grossesse douloureuse. Elle ne se sentait au coeur aucun plaisir à se savoir mère, trop de chagrins l'avaient accablée. Elle attendait son enfant sans curiosité, courbée encore sous des appréhensions de malheurs indéfinis. Le printemps était venu tout doucement. Les arbres nus frémissaient sous la brise encore fraîche, mais dans l'herbe humide des fossés, où pourrissaient les feuilles de l'automne, les primevères ja...
- une vie
- La bete humaine
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