41 résultats pour "lueur"
-
et incertaine lueur.
Marguerite montradudoigt lesdeux hommes àCharles. – Eh bien, demanda leroi, que veut direcela ? – Cela veutdire, répondit Marguerite, queM. le ducd’Alençon peutremettre soncordon danssapoche et MM. d’Anjou etde Guise leurépée dans lefourreau, attenduqueM. de La Mole nerepassera pascette nuitpar le corridor.
- L'appel du 18 juin Une lueur dans les ténèbres.
- L'appel du 18 juin Une lueur dans les ténèbres.
- PHOTOGRAPHIE - Apollinaire, Calligrammes « Lueurs des Tirs ».
- L'appel du 18 juin Une lueur dans les ténèbres.
- L'appel du 18 juin Une lueur dans les ténèbres.
- Ce voyageur solitaire entra dans Carentan, dont les tours, bordées de lueurs fantastiques par
-
apprendront tout ce qui s’est passé
avaient vus d’en bas à la sortie du tunnel. Sam franchit vivement la porte et se hâta de gagner le second étage, craignant à tout moment d’être attaqué et de sentir des doigts étrangleurs lui saisir la gorge de derrière. Il arriva près d’une fenêtre donnant sur l’est et d’une autre torche placée au - dessus de la porte d’un couloir au milieu de la tourelle. La porte était ouverte, le couloir noir hormis le reflet de la torche et la lueur rouge qui filtrait de l’extérieur par la fente de...
-
-
L'Antiquité, siècles des lueurs
par Jean Crussard
Ingénieur des Ponts et Chaussées.
par Jean Crussard Ingénieur des Ponts et Chaussées. Laboratoire de Physique de l'École Polytechnique.
-
Définition:
ARTICHAUT, substantif masculin.
Gastronomie. 1962). Remarque?: S'emploie adjectivement pour d?signer, avec plus de pr?cision, une vari?t? de vert?: vert artichaut (ANDR? GIDE, Journal, 1923, page 759). B.? Par comparaison ou par analogie. 1. Familier. [En parlant d'une femme, plus rarement d'un homme] Avoir un coeur d'artichaut. Avoir le coeur trop tendre et le donner sans discernement ? autant de personnes qu'il y a de feuilles sur celui de l'artichaut?: ? 3. Cependant il s'attardait encore sur le pas de la porte et de...
- Soudain, une intense et éblouissante lueur fut produite avec un insoutenable éclat entre les deux pointes de charbon. Jules Verne, Cinq Semaines en ballon, ABU, la Bibliothèque universelle
-
Comme Sam observait, il comprit tout à coup
certainement à propos de Frodon et du butin. Sam s’arrêta une seconde, car les choses lui parurent soudain claires, presque comme s’il les avait devant les yeux. La cotte de mithril ! Naturellement, Frodon la portait, et ils la trouveraient. Et d’après ce qu’il avait entendu, Gorbag la convoiterait. Mais les ordres de la Tour Sombre étaient à présent la seule protection de Frodon et, s’ils n’étaient pas observés, il pourrait être tué à tout moment sans autre forme de procès. « Allon...
-
les culs des charrettes ouverts montraient des chapelles ardentes, des enfoncements de tabernacle, dans les lueurs
lambantes de ces chairs régulières et nues ; et, sur le lit de paille, il y avait des boîtes de fer-blanc, pleines du sang des
cochons.
Madame Lecœurpinçaleslèvres etparut nepas vouloir endire davantage. — Toujours lemême, hein ?continua mademoiselle Saget.C’estunbien brave homme… Jeme suis laissé direqu’il mangeait sonargent d’unefaçon… — Est-ce qu’onsaits’ilmange sonargent ! ditbrutalement madameLecœur.C’estuncachottier, c’estunladre, c’est un homme, voyez-vous, mademoiselle, quime laisserait creverplutôtquedeme prêter centsous… Ilsait parfaitement que lesbeurres, pasplus quelesfromages etles œufs, n’ontmarché cettesaison. Lui...
-
......
Le Fleuve ... Les Cloches ... Si loin qu'il se souvienne, - dans les
lointains du temps, à quelque heure de sa vie que ce soit, toujours leurs voix profondes et familières chantent ...
La nuit - à demi endormi ... Une pâle lueur blanchit la vitre ... Le
fleuve gronde.
effrayantes, et l'horloge qui jacasse des paroles boiteuses, qu'il est seul à comprendre. Quand de choses dans cette chambre ! Il ne les connaît pas toutes. Chaque jour, il repart en exploration dans cet univers qui est à lui : - tout est à lui. - Rien n'est indifférent, tout se vaut, un homme ou une mouche ; tout vit également ; le chat, le feu, la table, les grains de poussière qui dansent dans un rayon de soleil. La chambre est un pays ; un jour est une vie. …… Romain Rolland Jean-Christoph...
-
Il arriva bientôt à un espace découvert, où une petite
« Eh bien, il faut partir dès que possible, dit Eomer. Même ainsi, nous ne pouvons espérer arriver au secours de Gondor aujourd’hui. » Merry n’attendit pas d’en entendre plus long, mais il s’éloigna à pas de loup pour se prépa rer à l’ordre de marche. C’était la dernière étape avant la bataille. Il ne lui paraissait guère probable que beaucoup y survécussent. Mais il pensa à Pippin et aux flammes dans Minas Tirith, et il domina sa propre peur. Tout alla bien ce jour -là, et ils n ’eu...
-
Victor Hugo, Les Misérables: Le suicide de JAVERT
3. La présence de l'eau.La Seine est là cependant, tout près, et sa présence, si elle n'est pas vue, se fait sentir d'une manière angoissante.a) d'abord par les bruits«On entendait un bruit d'écume» : ce mot d'« écume » peut paraître étonnant quand il s'agit d'un fleuve au courspaisible comme la Seine. Mais V. Hugo explique un peu plus haut que, d'une part « les pluies avaient grossi la rivière» et que Javert est accoudé près du Châtelet « au-dessus du rapide de la Seine, à pic sur cette redouta...
-
-
Critique de la raison.
Par le même raisonnement, on peut reprocher à Rousseau son monoïdéisme minimaliste et si on ne saurait ignorer la critique cartésienne du monoïdéisme irrationnel, Montague sedresse pourtant contre la conception spéculative de la raison et il en conteste ainsi la réalité post-initiatique en tant que concept métaphysique de la connaissance. La raison ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur du tantrisme minimaliste. Cependant, il restructure la destructuration primitive d...
-
André Gide: « Ses yeux plongent plus loin que le monde réel, mais ce monde réel, il sait, quand il veut bien, le voir et le peindre admirablement. »
« L' horizon semble un rêve éblouissant où nage L'é caille de la mer, la plume du nuage Car l'océan est hydre et le nuage oiseau. » ( É claircie) Tantôt un tableau qui semble vrai nous conduit à l'expres sion d'u ne idée abstraite, prenant une signification symbolique. Deux cavaliers « qui son gent dans la forêt » ne sont pas des êtres co ncrets : ils incarnent deux conceptions opposées de la vie et de la mort. Ailleurs, c'est l'idée qui fait n...
-
En vous fondant sur une étude précise du texte — vocabulaire, syntaxe, temps verbaux, etc. — vous pourriez, par exemple, montrer comment Victor Hugo met en scène, dans une présentation fantastique, le face à face tragique de fa vert avec sa conscience et son destin.
sans l'arrêter !• C'est que Javert s'est senti incapable de ce qui lui paraissait jusqu'à présent normal. Il a été saisi comme malgré luid'un sursaut de clémence.• C'est là un 1er élément de merveilleux annonçant ceux que cette page d'épopée va accumuler jusqu'au suicide deJavert : merveilleux moral que cette force intérieure bouleversant tout ce qui en Javert était certitude.• Jusqu'alors « l'ordre était son dogme et lui suffisait ». Or il venait d'apercevoir « dans les ténèbres l'effrayant lev...
-
Vocabulaire:
CHEVELURE, substantif féminin.
courtisanes, 1844, page 160). ? Sp?cialement. [Chez les Indiens d'Am?rique et dans certaines tribus primitives] Enlever la chevelure, porter la chevelure des vaincus. La portion du cuir chevelu de l'ennemi port?e en guise de troph?e. Enlever la chevelure des vaincus (Voyage de la P?rouse autour du monde (MILET DE MUREAU) tome 2, 1797, page 272 ). Chevelures d'ennemis suspendues ? une haute perche (ANATOLE-FRAN?OIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, L'?le des pingouins, 1908, page 39 ). ? Par...
-
Règne végétal LE CAMOUFLAGE
Le camouflage par la Terre, puis par d'infimes particules de pous sière présentes dans l'atmosphère. L'espace, qui forme une toile de fond noire derrière elles, nous les rend perceptibles. C'est la raison pour laquel le nous voyons le ciel bleu. Ce phénomène, auquel on a donné le nom d'« effet Tyndall>>, explique la couleur bleue des yeux des humains et celle de nombreux oiseaux (perroquets, tou cans, martins-pêcheurs ), et surtout les oiseaux de pa...
-
Définition:
BRILLANT1, -ANTE, participe présent, adjectifet substantif.
équipage. La coquette nous salua fort affectueusement en me jetant un sourire qui me parut alors divin et plein d'amour. HONORÉ DE BALZAC, La Peau de chagrin, 1831, page 140. c) [L'idée dominante est celle de prospérité, de réussite] Une brillante éducation, situation; des études brillantes; un brillant succès; un brillant avenir; un brillant parti, mariage. Le prince Eugène fut l'objet de beaucoup de séductions et d'un grand nombre de propositions fort brillantes (EMMANUEL DIEUDONNÉ, COMTE DE...
-
I
Le vieux professeur eut une pensée ordinaire.
que lescadavres jetéssurlescôtes deFrance touchaient enfin,euxaussi, auparadis, qu’ilsyvoguaient même,sans contrainte, etpour toujours, encela plus favorisés quelesvivants, qui,enjetant leursmorts àl’eau, leuravaient offertd’un coup ladélivrance, lebonheur etl’éternité. Cegeste s’appelait : amouretleprofesseur lecomprenait ainsi. Et lanuit s’installa, nonsans quelejour, unedernière fois,n’ait éclairé, delueurs rouges, laflotte échouée. Ilyavait làplus de cent navires, tousrouillés, horsd’usage e...
-
dans les jaguars ; mais celles des femmes et des enfants sont emportées dans l'atmosphère où elles se dissipent à jamais.
la moindre notiondecequi aurait dûseproduire. Aucontraire, lesecond réussittropbien : ils’éleva rapidement, monta si haut quesaflamme seconfondit aveclesétoiles, erralongtemps au-dessusdenous etdisparut. Maislagaieté dudébut avait faitplace àd’autres sentiments ; leshommes regardaient avecattention ethostilité, etles femmes, têteenfouie entre lesbras etblotties l’unecontre l’autre, étaientterrifiées. Lemot de nandé revenait avecinsistance. Lelendemain matin, unedélégation d’hommesserendit auprès...
-
-
CARE et les colis humanitaires
Les colis de vivres envoyés par l'organisation d'aide américaine CARE sont une
lueur d'espoir pour...
CARE et les colis humanitaires Les colis de vivres envoyés par l'organisation d'aide américaine CARE sont une lueur d'espoir pour les nécessiteux de l'Europe d'après-guerre. Depuis 1946, 5 millions de colis CARE arrivent d'outre-Atlantique en Allemagne. L'organisation CARE est fondée aux États-Unis sur une initiative privée. En 1945, peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale, 22 organisations de bienfaisance créent la Cooperative for American Remittances to Europe. En 1946, les initiateurs...
-
Les Chansons des rues et des bois
Reste chaste sans panique.
IV. POUR D'AUTRES I Mon vers, s'il faut te le redire, On veut te griser dans les bois. Les faunes ont caché ta lyre Et mis à sa place un hautbois. Va donc. La fête est commencée ; L'oiseau mange en herbe le blé ; L'abeille est ivre de rosée ; Mai rit, dans les fleurs attablé. Emmène tes deux camarades, L'esprit gaulois, l'esprit latin ; Ne crois pas que tu te dégrades Dans la lavande et dans le thym. Sans être effronté, sois agile ; Entre gaiement dans le vallon ; Presse un peu l...
-
La Legende des Siecles
L'oeil distingue, au milieu du gouffre où l'air sanglote,
Quelque chose d'informe et de hideux qui flotte,
Un grand cachalot mort à carcasse de fer,
On ne sait quel cadavre à vau-l'eau dans la mer,
Oeuf de titan dont l'homme aurait fait un navire.
Léviathan; c'est là tout le vieux monde, Apre et démesuré dans sa fauve laideur; Léviathan, c'est là tout le passé: grandeur, Horreur. Le dernier siècle a vu sur la Tamise Croître un monstre à qui l'eau sans bornes fut promise, Et qui longtemps, Babel des mers, eut Londre entier Levant les yeux dans l'ombre au pied de son chantier. Effroyable, à sept mâts mêlant cinq cheminées Qui hennissaient au choc des vagues effrénées, Emportant, dans le bruit des aquilons sifflan...
-
journée.
—Hagrid, dit Dumbledore avec soulagement. Vous voilà enfin. Où avez-vous déniché cette moto ? —L'ai empruntée, professeur Dumbledore, Monsieur, répondit le géant en descendant avec précaution de la moto. C'est le jeune Sirius Black qui me l'a prêtée. Ça y est, j'ai réussi à vous l'amener, Monsieur. —Vous n'avez pas eu de problèmes ? —Non, Monsieur. La maison était presque entièrement détruite mais je me suis débrouillé pour le sortir de là avant que les Moldus commencent à rappliquer. Il...
-
Michel Strogoff
Très-heureusement, le tarentass avait pu être, pour ainsi dire, remisé dans une profonde anfractuosité que la
bourrasque ne frappait que d'écharpe.
Michel Strogoff, prêtant l'oreille, écoutait. L'iemschik écoutait aussi, mais en secouant la tête, comme s'il lui eût semblé impossible de répondre à cet appel. «Des voyageurs qui demandent du secours! s'écria Nadia. S'ils ne comptent que sur nous!... répondit l'iemschik. Pourquoi non? s'écria Michel Strogoff. Ce qu'ils feraient pour nous en pareille circonstance, ne devons-nous pas le faire pour eux? Mais vous n'allez pas exposer la voiture et les chevaux!... J'irai à pied, répondit Michel...
-
Sylvie Germain - Magnus - commentaire composé
« mâchoires serrées » et est prêt à « charger » contre ces noms qui l'agressent de toutes parts. Le mot « Magnus » représente l'apogée du passage. C'est en effet le nom reliant l'âme de Magnus au monde extérieur. Et c'est à partir de ce point que bascule le passage. La «clarté laiteuse» la «lueur d'aube» et les «rayons obliques» du soleil qui éclairent cette scène démontrent l'illumination de Magnus. On retrouve également dans le texte une multitude d'oppositions et d'oxymores qui renvoient à l...
-
La dame de Monsoreau v.
Merci, mon cher hote, quoique je vous sache excellent convive; mais je cherche quelqu'un. Frere Gorenflot peut-etre? demanda Bonhomet. Justement, repondit Chicot; a-t-il commence de souper? Non, pas encore; mais depechez-vous cependant. Que je me depeche? Oui, car dans cinq minutes il aura fini. Frere Gorenflot n'a pas commence de souper, et dans cinq minutes il aura fini, dites-vous? Et Chicot secoua la tete, ce qui, dans tous les pays du monde, passe pour le signe de l'incredulite. Mon...
-
Le Grand Meaulnes
On dut pourtant commencer sans lui.
Il sifflait quelque chose entre ses dents, une espèce d'air marin, comme en chantent, pour s'égayer le coeur, les matelots et les filles dans les cabarets des ports... Un instant, au milieu de sa promenade agitée, il s'arrêta et se pencha sur la table, chercha dans une boîte, en sortit plusieurs feuilles de papier... Meaulnes vit, de profil, dans la lueur de la bougie, un très fin, très aquilin visage sans moustache sous une abondante chevelure que partageait une raie de côté. Il avait cessé de...
-
-
La belle Gabrielle, vol.
apercevait les eaux diaprées d'argent de la haute lagune. La musique continuait. Crillon écoutait toujours. Alors une petite gondole, avec son cabanon de drap noir à houppes soyeuses, s'avança silencieusement par le travers de la gondole qui portait Crillon. Un seul barcarol, vêtu à la façon des gens de service et masqué, la dirigeait sans effort. Cet homme après avoir rangé son esquif côte à côte avec l'autre, rama quelque temps de conserve comme pour donner la facilité à son maître de voir et...
-
26
La tempête devint vite plus lourde, avec de longues respirations qui faisaient frémir la
colline et la forêt tout entière.
— Au printemps, jedonnerai unegrande réception. J’inviteraitouteslesamies dema mère. Pasune n’aune pareille décoration. Ellessontcapables d’enlancer lamode. — Un jour,tupourras lesinviter, tespimbêches. Ellesenbaveront devantnosterres ! La lueur delalampe, lerougeoiement dufoyer etlaclarté blafarde delafenêtre se combattaient, semêlaient parfoisenun jeu auquel labouilloire ajoutaitdesnuées grises. Lesgarçons continuaient àse chamailler etleur sœur avaitbiendumal àles éloigner dufourneau. — Ça de...
-
La Mole rayonnait.
– À ma mère. – Et lareine Catherine… – La reine Catherine saitque vous êtesmon amant. – Oh !madame, aprèsavoirtantfaitpour moi,vous pouvez toutexiger devotre serviteur. Oh!vraiment, c’est beau etgrand, Marguerite, ceque vous avezfaitlà!Oh !Marguerite, mavieestbien àvous ! – Je l’espère, carjel’ai arrachée àceux quimelavoulaient prendre ;maisàprésent vousêtessauvé. – Et par vous !s’écria lejeune homme, parmareine adorée ! Au même moment unbruit éclatant lesfittressaillir. LaMole serejeta enarrièr...
-
Le Speronare
perdu, ce n'etait pas a l'eglise qu'il fallait le chercher.
se trouve de nuit seul dans une chapelle isolee, avec des tombes sous ses pieds, un autel devant soi, Dieu au-dessus de sa tete, et le silence partout. Aussi, quoique don Ferdinand eut porte la main tout d'abord a son epee, afin de se defendre contre cette apparition quelle qu'elle fut, il vit sans deplaisir, pris comme il l'etait, a l'improviste, au beau milieu de son demi-sommeil, cette apparition passer pres de lui sans faire mine de le remarquer. Au premier aspect, il avait cru avoir affaire...
-
CHAPITRE PREMIER LA TOUR DE CIRITH UNGOL
vague. Les murs rocheux du sentier étaient pâles, comme vus à travers une brume, mais il entendait encore au loin le bouillonnement d’Arachne dans sa souffrance, et, durs et nets, et très proches lui sembla-t- il, il entendit des cris et un cliquetis de métal. Il se releva d’un bond et se plaqua contre le mur bordant le chemin. Il fut heureux d’avoir l’Anneau, car v enait là une autre compagnie d’orques en marche. Du moins le pensa -t- il tout d’abord. Mais il se rendit soudain compte qu’i...
-
dans les champs verts de Lebennin, au vent de la Mer.
« Haut la barbe, fils de Durïn ! fit -il. Car il est dit : Souvent naît l’espoir quand tout est perdu. » Mais il ne voulut pas dire quel espoir il voya it de loin. Quand vint la nuit, elle ne fit qu’accroître l’obscurité, et nous eûmes chaud au cœur, car au loin dans le Nord, nous vîmes une lueur rouge sous le nuage, et Aragorn dit : « Minas Tirith brûle. » Mais à minuit l’espoir renaquit en fait. Des hom mes de l’Ethir versés dans l’art de la navigation, observant le Sud, annon...
- Victor Hugo les contemplation
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
-
I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...