27 résultats pour "pickwick"
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Excerpt from The Pickwick Papers - anthology.
“Two or three veeks,” replied the man. “Weeks!” said Mr. Pickwick in astonishment—and out came the note-book again. “He lives at Pentonwil when he's at home,” observed the driver, coolly, “but we seldom takes him home, on account of his veakness.” “On account of his weakness!” reiterated the perplexed Mr. Pickwick. “He always falls down when he's took out o' the cab,” continued the driver, “but when he's in it, we bears him up werry tight, and takes him in werry short, so as heca...
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Posthumous papers of the Pickwick Club
Charles Dickens
Chapter I -- The
“ That this Association cordially recognises the principle of every member of the Corresponding Society defraying his own travelling expenses; and that it sees no objection whatever to the members of the said society pursuing their inquires for any length of time they please, upon the same terms. “ That the members of the aforesaid Corresponding Society be, and are, hereby informed, that their proposal to pay the postage of their letters, and the carriage of their parcels, has been deliberated u...
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Les Aventures de M. Pickwick
~Ir. Pickwick ~n pique-nique. ~ ------ -EXTRAITS M. Pickwick est dans une situation bien embarrassante. Assistant à des . manœuvres militaires, il est contraint de fuir et perd son chapeau. Il y a peu d'instants dans /'existence d'un homme où il éprouve plus de détresse visible, où il excite moins de commiséra tion que lorsqu'il donne la chasse à son propre chapeau. Il faut avoir une gran de dose de sang froid, un jugement bien sûr...
- Charles DICKENS: Les Aventures de M. Pickwick (Résumé & Analyse)
- AVENTURES DE Mr. PICKWICK (résumé & analyse) de Charles Dickens
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Le premier jour de voyage et la première soirée d'aventures,
avec leurs conséquences.
avec anxiété l’arrivée deleur illustre chef,s’approchent deluipour leféliciter. « Tenez, cocher, » ditM. Pickwick entendant leshilling àson conducteur. Mais quelfutl’étonnement dusavant personnage lorsquecethomme inconcevable, jetant l’argent surlepavé, déclara, enlangage figuré,qu’ilnedemandait d’autrepayement quele plaisir deboxer avecM. Pickwick toutsonshilling. « Vous êtesfou,ditM. Snodgrass. – Ivre, reprit M. Winkle. – Tous lesdeux, ajouta M. Tupman. – Avancez ! disaitlecocher, lançant dans...
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- Trouvé qui ?
Chapitre 24 Dans lequel M.Peter Magnus devientjaloux,etladame d’un certain âge,craintive ;ce qui jette lespickwickiens dansles griffes delajustice. Quand M. Pickwick descenditdanslachambre oùilavait passé lasoirée précédente avec M. Peter Magnus,ille trouva entrain desepromener dansunétat nerveux d’agitation et d’attente, etremarqua quecegentleman avaitdisposé, auplus grand avantage possibledesa personne, lamajeure partieducontenu desdeux sacs,ducarton àchapeau, etdu paquet papier gris. « Bonjou...
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solennité.
laisser évaporer aucunepartieenvaines démonstrations. « M. Nupkins, ditl’aînée desdeux dames, voilàuneconversation quelesdomestiques n’ontpas besoin d’entendre. Faiteséloigner cesdeux misérables. – Certainement, machère. –Muzzle. – Votre Vénération… – Ouvrez laporte. – Oui, Votre Vénération… – Quittez cettemaison, misérables ! s’écriaM. Nupkins d’unemanière emphatique. » Jingle sourit etse dirigea verslaporte. « Arrêtez, » ditM. Pickwick. Jingle s’arrêta. « J’aurais pu,poursuivit M. Pickwick, j’...
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A Propos Dickens:
Charles John Huffam Dickens pen-name "Boz", was the foremost English novelist of the
Victorian era, as well as a vigorous social campaigner.
Chapitre 1 Les Pickwickiens. Le premier jetdelumière quiconvertit enune clarté brillante lesténèbres dontparaissait enveloppée l’apparitiondel’immortel Pickwicksurl’horizon dumonde savant, lapremière mention officielle decet homme prodigieux, setrouve danslesstatuts insérés parmilesprocès- verbaux duPickwick-Club. L’éditeurduprésent ouvrage estheureux depouvoir lesmettre sous les yeux deses lecteurs, commeunepreuve del’attention scrupuleuse, del’infatigable assiduité, delasagacité investigatrice...
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qui oserait souiller du venin de l'envie les préparatifs faits par l'illustre et vertueuse dame, à
l'autel de laquelle est offert cet humble tribut d'admiration.
et de littérature. Lajeune lady,qui faisait la poésie dansla Gazette d’Eatanswill , s’était revêtue ouplutôt dévêtue d’uncostume d’odalisque. Elles’appuyait surlebras dujeune gentleman, qui faisait la critique, etqui portait fortconvenablement ununiforme defeld- maréchal, moinslesbottes. Ilyavait unearmée degénies delamême force,ettoute personne raisonnable auraitregardé commeunhonneur suffisant deserencontrer làavec eux ; maisily avait mieux encore, ilyavait unedemi-douzaine de lions de Londres...
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le commissaire.
dernière dugroupe ; cuisinière, pourquoin’avancez-vous pasdans lejardin ? – Si vous plaît, ma’ame, jen’en avons pasenvie. – Mon Dieu ! monDieu ! quecette cuisinière eststupide ! s’écrièrent lestrente pensionnaires. – Cuisinière ! repritlavieille demoiselle avecgrande dignité, neme raisonnez pas,s’ilvous plaît. Je vous ordonne deregarder danslejardin, sur-le-champ. » Ici lacuisinière commença àpleurer : laservante ditque c’était unehonte delatraiter ainsi,et pour cetacte derébellion ellereçut son...
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maire, des freemen et de la corporation au Parlement, apprendra par là ce qu'il aurait dû
connaître auparavant : à savoir, que Muggleton est un bourg ancien et loyal, unissant une
ferveur zélée pour les principes du christianisme à un attachement solide aux droits
commerciaux.
Jeu superbe, –noble occupation, –bel exercice, –charmant ! Tellesfurent lesparoles qui frappèrent lesoreilles deM. Pickwick enentrant danslatente, etlepremier objetquis’offrit à ses regards futson ami delavoiture deRochester. Ilétait entrain depérorer, àla grande satisfaction d’uncercle choisidesjoueurs élusparlaville deMuggleton. Soncostume s’était légèrement amélioré.Ilavait desbottes neuves, maisilétait impossible deleméconnaître. L’étranger reconnutimmédiatement sesamis. Avecsonimpétuosité o...
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Trop plein d'aventures pour qu'on puisse les résumer
brièvement.
moi. – Vous êtesunvéritable philosophe, Sam. – Je crois queçacourt danslafamille, monsieur. Monpèreestdans cette profession-là maintenant. Quandmabelle-mère letarabuste, ilse met àsiffler ; elles’enlève commeune soupe aulait, etelle luicasse sapipe : ils’en vapacifiquement, etilen rapporte uneautre ; alors ellebraille tantqu’elle peut,etelle tombe dansdesattaques denerfs : ilne bouge pas,il fume confortablement jusqu’àcequ’elle revienne. C’estçade laphilosophie, monsieur !… – Ou dumoins untrès-b...
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doña Christina au désespoir ; acide prussique ; pompe stomacale dans mon portemanteau ; je
pratique l'opération ; vieux Bolaro en extase, consent à notre union ; joint nos mains, ruisseaux
de pleurs ; histoire romantique, très-romantique.
– Convient parfaitement ; cinqheures précises, jusqu’alors prenezsoindevous. » Ainsi parla l’étranger, etilsouleva dequelques poucessonchapeau àbords retroussés, le replaça négligemment surlecoin del’oreille, traversa lacour d’un airdélibéré, ettourna dans la grande rue,ayant toujours horsdesapoche lamoitié dupaquet depapier gris. « Évidemment ungrand voyageur dansdivers climats etun profond observateur deshommes et des choses, ditM. Pickwick. – J’aimerais àvoir sonpoëme, repritM. Snodgrass. – E...
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« Ah !
assez lourds, –dangereux, –très-dangereux. – Canaille ! vociféraM. Wardle. – Ah ! ah !ah ! » répliqua Jingle ;etensuite ilajouta, enclignant del’œil d’un airmalin, eten désignant avecsonpouce l’intérieur delachaise : « Ellevatrès-bien, –vous offre ses compliments, –vous priedene pas vous déranger. Desamitiés à Tuppy . – Ne voulez-vous pas monter derrière ? –En route, postillons ! » Les postillons seremirent enselle ; lachaise recommença àrouler, etM. Jingle, étendantson bras hors delaportière, a...
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Charles Dickens
I
INTRODUCTION
Charles Dickens
English author Charles Dickens ranks as one of the most popular writers in the history of world literature.
Papers of the Pickwick Club (1836-1837; 1837); The Adventures of Oliver Twist (1837-1839; 1838); The Life and Adventures of Nicholas Nickleby (1838-1839; 1839); The Old Curiosity Shop (1840-1841; 1841); Barnaby Rudge (1841); The Life and Adventures of Martin Chuzzlewit (1843-1844; 1844); Dombey and Son (1846-1848; 1848); The Personal History of David Copperfield (1849-1850; 1850); Bleak House (1852-1853; 1853); Hard Times (1854); Little Dorrit (1855-1857; 1857); A Tale of Tw...
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agréable : rien ne semblait manquer à ce cercle choisi, lorsque M.
Voilà vot’serviteur, monsieur, etfier dutitre encore, commedisaitaupublic l’esquelette vivant qu’on faisait voirpour troispence. – Suivez-moi sur-le-champ ! repritM. Pickwick. –Tupman, sije reste àBury, vouspourrez m’y rejoindre quandjevous écrirai. Jusque-là, adieu ! » Les remontrances devenaientinutiles :M. Pickwick étaitanimé, etsa résolution étaitprise. M. Tupman retournaverssescompagnons, et,une heure après, ilavait noyé toutsouvenir de M. Alfred Jingle,oudeM. Charles Fitz-Marshall, aumoyen...
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enjoué.
les deux. Ils se trompaient, cependant.Unefoisensavie leléthargique jeunehomme n’étaitpas endormi. Ilétait éveillé, bienéveillé, etilavait toutremarqué. Le souper sepassa sansquepersonne fîtaucun effortpourrendre laconversation générale.La vieille ladyétait allée secoucher ; IsabellaWardlesedévouait exclusivement àM. Trundle ; les attentions desatante étaient réservées pourM. Tupman, etles pensées d’Emilyparaissaient occupées dequelque objetlointain ; peut-être étaient-elles errantesautourdeM. S...
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C'en est assez ; en une minute l'héroïque valet s'ouvre un chemin à travers la foule, arrête les
porteurs, et vient affronter le majestueux Grummer.
Chapitre 25 Montrant combienM.Nupkins étaitmajestueux et impartial, etcomment SamWeller pritsarevanche deM. Job Trotter ; avec d’autres événements qu’ontrouvera àleur place. M. Snodgrass etM. Winkle écoutaient avecunsombre respectletorrent d’éloquence qui découlait deslèvres deleur mentor, etque nepouvaient arrêternilemouvement rapidedela chaise àporteurs, niles supplications instantesdeM. Tupman pourabaisser lecouvercle dela voiture. Maisl’indignation deSam, tandis qu’onl’emportait, avaituncara...
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quittèrent le terrain avec beaucoup plus de gaieté qu'ils n'en laissaient voir en y arrivant.
Chapitre 3 Une nouvelle connaissance. Histoired’unclown. Une interruption désagréableetune rencontre fâcheuse. M. Pickwick avaitressenti quelque inquiétude envoyant seprolonger l’absencedeses deux amis, eten serappelant leurconduite mystérieuse pendanttoutelamatinée. Cefut donc avec un véritable plaisirqu’ilseleva pour lesrecevoir, etavec unintérêt peuordinaire qu’illeur demanda cequi avait pules retenir silongtemps. Enréponse àcette question, M. Snodgrass allait fairel’historique descirconstanc...
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que, justement le jour où il menait ces mêmes électeurs, sa voiture fut versée précisément
dans cet endroit-là, et tous les voyageurs lancés dans le canal ?
– L’effet neserait-il paslemême sivous vouschargiez delabesogne ? demandaM. Samuel Slumkey. – J’ai peur quenon, mon chermonsieur. Maissivous lefaisiez vous-même, jepense quecela vous rendrait très-populaire. – Très-bien, ditl’honorable SamuelSlumkey d’unairrésigné, ilfaut enpasser parlà,voilà tout. – Arrangez laprocession ! » crièrentlesvingt membres ducomité. Au milieu desacclamations delamultitude, musiciens, constables, membresducomité, électeurs, cavaliers,carrosses prirentleursplaces. Chacu...
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qui suivirent ce coup, à la conclusion duquel Muggleton avait gagné deux points.
soupir, etqu’il regarda avecanxiété deuxdesprincipaux membresduclub deDingley-Dell qui s’approchaient deM. Pickwick, etqui luidisaient : « Nous allonsfaireunmodeste repasau Lion bleu . Nous espérons, monsieur, quevous voudrez bien yprendre part,avecvosamis. – Et naturellement, ditM. Wardle, parminosamis nous comptons monsieur…, etilse tourna vers l’étranger. – Jingle, répondit cetuniversel personnage. AlfredJingle, esquire, deSansterre. – J’accepte avecgrand plaisir, ditM. Pickwick. – Et moi aus...
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- C'est une terrible chose, monsieur Weller, que d'être traînée comme cela devant le public ;
mais je vois maintenant que c'est la seule ressource qui me reste, et mon avoué, M.
Chapitre 27 Samuel Wellerfaitunpèlerinage àDorking, etvoit sabelle- mère. Comme ilrestait unintervalle dedeux jours avant l’époque fixéepourledépart des Pickwickiens pourDingley-Dell, Sam,après avoirdînédebonne heure, s’assitdansl’arrière-salle de l’auberge le George etVautour , pour réfléchir aumeilleur emploipossible decet espace de temps. Ilfaisait untemps superbe, etSamuel n’avaitpasruminé pendant dixminutes, lorsqu’il sentit toutàcoup naître enluiun sentiment filialetaffectueux. Lebesoin d’...
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- Ah !
trouvait soussadirection immédiate. Ilya une jambe debois aun°6 ; deux paires de demi- bottes danslasalle ducommerce. Ilya ces bottes àrevers ici,aurez-de-chaussée, etcinq autres pairesdanslecafé. – Pas davantage ? ditlepetit homme. – Attendez unbrin, reprit Sam,encherchant àse rappeler ; oui,ilya une paire debottes àla Wellington, pasmal usées, etdes souliers dedame, aun°5. – Quelle sortedesouliers ? demanda avecempressement M. Wardle,qui,ainsi que M. Pickwick, s’étaitperdudanscesingulier catal...
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- Monsieur, dit M.
par levin. Ilavait subilesphases ordinaires depuisl’excès delagaieté jusqu’à l’abîme dela tristesse. Commeunbec degaz, dans unerue, lorsque levent apénétré dansletuyau, ilavait déployé parmoments, uneclarté extraordinaire, puisilétait tombé sibas qu’on pouvait àpeine l’apercevoir ; aprèsuncourt intervalle ilavait faitjaillir denouveau uneéblouissante lumière, puis ilavait oscillé rapidement, etils’était éteinttoutàfait. Satête était penchée sursa poitrine, etun ronflement perpétuel,accompagné pa...
- Charles Dickens (Sprache & Litteratur).
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Charles Dickens.
The Old Curiosity Shop broke hearts across Britain and North America when it first appeared. Later readers, however, have found it excessively sentimental, especially the pathos surrounding the death of its child-heroine Little Nell. Dickens’s next two works proved less popular with the public. Barnaby Rudge, Dickens’s first historical novel, revolves around anti-Catholic riots that broke out in London in 1780. The events in Martin Chuzzlewit become a vehicle for the novel’s theme: selfishne...