871 résultats pour "rue"
- Ru?i?ka, Leopold - chimiste.
-
Les Chansons des rues et des bois
Vers Pampelune et Teruel
Le hausse-col du capitaine
Qui reparaissait dans le ciel.
" Règle-t-il l'onde et la brise, " Parce qu'il disséquera " De l'argile qu'il a prise " Près de Rio-Madera ? " Ôte Dieu ; puis imagine, " Essaie, invente ; épaissis " L'idéal subtil d'Égine " Par les dogmes d'Éleusis ; " Soude Orphée à Lamettrie ; " Joins, pour ne pas être à court, " L'école d'Alexandrie " À l'école d'Edimbourg ; " Va du conclave au concile, " D'Anaximandre à Destutt ; " Dans quelque cuve fossile " Exprime tout l'institut ; " Démaillote la momie ; " Presse dipe...
-
Les Chansons des rues et des bois
Avec le bleuet dans les blés ;
Les halliers pleins de pâles lunes
Sont nos appartement meublés.
Le cheval de halage trempe Par moments sa corde dans l'eau. Sous la futaie où l'herbe est haute, Il est le maître du logis Autant que l'écureuil qui saute Dans les pins par l'aube rougis. Avec ses stances, il achète Au bon Dieu le nuage noir, L'astre, et le bruit de la clochette Mêlée aux feuillages le soir. Il achète le feu de forge, L'écume des écueils grondants, Le cou gonflé du rouge-gorge Et les hymnes qui sont dedans. Il achète le vent qui râle, Les lichens du cloître détrui...
-
Les Chansons des rues et des bois
Aux papillons, grands et petits,
Tâchait de vendre des calices
Que l'églantier donnait gratis.
AU CHEVAL I Monstre, à présent reprends ton vol. Approche, que je te déboucle. Je te lâche, ôte ton licol, Rallume en tes yeux l'escarboucle. Quitte ces fleurs, quitte ce pré. Monstre, Tempé n'est point Capoue. Sur l'océan d'aube empourpré, Parfois l'ouragan calmé joue. Je t'ai quelque temps tenu là. Fuis !\24Devant toi les étendues, Que ton pied souvent viola, Tremblent, et s'ouvrent, éperdues. Redeviens ton maître, va-t'en ! Cabre-toi, piaffe, redéploie Tes farouches ailes, tit...
-
Les Chansons des rues et des bois
Sitôt levé, je me recouche ;
Et je suis comme si j'avais
De la terre au fond de la bouche ;
Je trouve le souffle mauvais.
III À un ami Sur l'effrayante falaise, Mur par la vague entrouvert, Roc sombre où fleurit à l'aise Un charmant petit pré vert, Ami, puisque tu me laisses Ta maison loin des vivants Entre ces deux allégresses, Les grands flots et les grands vents, Salut ! merci ! les fortunes Sont fragiles, et nos temps, Comme l'algue sous les dunes, Sont dans l'abîme, et flottants. Nos âmes sont des nuées Qu'un vent pousse, âpre ou béni, Et qui volent, dénouées, Du côté de l'infini. L'énorme bo...
-
flot de populaire qui encombrait la rue.
XVI –De Mouy deSaint-Phale Cette fois,Catherine avaitsibien prissesprécautions qu’ellecroyait êtresûre deson fait. En conséquence, versdixheures, elleavait renvoyé Marguerite, bienconvaincue, c’étaitd’ailleurs lavérité, que lareine deNavarre ignoraitcequi setramait contresonmari, etelle était passée chezleroi, lepriant de retarder soncoucher. Intrigué parl’air detriomphe qui,malgré sadissimulation habituelle,épanouissait levisage desamère, Charles questionna Catherine,quiluirépondit seulement c...
-
Les Chansons des rues et des bois
VII
Les étoiles filantes
I
À qui donc le grand ciel sombre
Jette-t-il ses astres d'or ?
L'éparpillement terrible Du sombre écrin de la nuit ? Nos questions en vain pressent Le ciel, fatal ou béni. Qui peut dire à qui s'adressent Ces envois de l'infini ? Qu'est-ce que c'est que ces chutes D'éclairs au ciel arrachés ? Mystère ! Sont-ce des luttes ? Sont-ce des hymens ? Cherchez. Sont-ce les anges du soufre ? Voyons-nous quelque essaim bleu D'argyraspides du gouffre Fuir sur des chevaux de feu ? Est-ce le Dieu des désastres, Le Sabaoth irrité, Qui lapide avec des astre...
-
Les Chansons des rues et des bois
" Aux heures mystérieuses,
" Quand l'eau se change en miroir,
" Rôdes-tu sous les yeuses,
" L'esprit plongé dans le soir ?
" Le scarabée ou la fleur, " Je ne vois point qu'il réclame " La lampe de l'émailleur. " L'homme peut se croire prêtre, " L'homme peut se dire roi, " Je lui laisse son peut-être, " Mais je doute, quant à moi, " Que Dieu, qui met mon image " Au lac où je prends mon bain, " Fasse faire l'étamage " Des étangs, à Saint-Gobain. " Quand Dieu pose sur l'eau sombre " L'arc-en-ciel comme un siphon, " Quand au tourbillon plein d'ombre " Il attelle le typhon, " Quand il maintient d'âge en âg...
-
-
Les Chansons des rues et des bois
Cent carrefours se partagent
Ce chercheur sans point d'appui ;
Tous les problèmes étagent
Leurs sombres voûtes sur lui.
Tous les anciens maux tenaces, Hurlant sous le ciel profond, Ne sont plus que des menaces De fantômes qui s'en vont. Le tonnerre au bruit difforme Gronde...\24on raille sans péril La marionnette énorme Que Franklin tient par un fil. Nemrod était une bête Chassant aux hommes, parmi La démence et la tempête De l'ancien monde ennemi. Dracon était un cerbère Qui grince encor sous le ciel Avec trois têtes : Tibère, Caïphe et Machiavel. Nemrod s'appelait la Force, Dracon s'appelait la...
-
XXIX - La place Saint-Jean-en-Grève
Il est sept heures du matin ; la foule attendait bruyante sur les places, dans les rues et sur les quais.
– Eh bien ? – Eh bien, ilme ditqu’il souffrirait tropdeme voir mourir lepremier. D’ailleurs, sije mourais lepremier, il n’aurait personne pourleporter surl’échafaud. – C’est bien, c’estbien, ditCaboche enessuyant unelarme avecledos desamain ; soyeztranquille, onfera ce que vous désirez. – Et d’un seulcoup, n’est-ce pas ?ditàvoix basse lePiémontais. – D’un seul. – C’est bien… sivous avezàvous reprendre, reprenez-vous surmoi. Letombereau s’arrêta,onétait arrivé. Coconnas mitson chapeau sursatête....
-
Halte à quelques mètres du quai, dans une rue parallèle, pour échapper au feu des ennemis qui tirent de l'autre
ive.
classant lesderniers rapports deHongkong, deslumières s’allument ; etlanuit tout àfait venue, jen’entends plus que desdétonations isolées,perdues… Lorsque jeredescends aupremier étage,unerumeur deparoles etdes bruits d’armes viennent, parlesfenêtres, de larue nocturne. Prèsdesautos, danslalumière triangulaire desphares, dessilhouettes decadets secroisent, noires, rayéesdebarres quibrillent : desarmes. Unbataillon deChang-Kaï-Shek estdéjà dans larue. Onne distingue rienhors desfaisceaux lumineux...
-
Les Chansons des rues et des bois
Et que, dans le champ funeste,
Les chacals et les oiseaux,
Hideux, iront voir s'il reste
De la chair après vos os !
Aurait approuvé son ventre Et vénéré sa gaieté. Il était beau de l'entendre. On voit, quand cet homme rit, Chacun des convives tendre Comme un verre son esprit. À travers les mille choses Qu'on dit parmi les chansons, Tandis qu'errent sous les roses Les filles et les garçons, On parla d'une bataille ; Deux peuples, russe et prussien, Sont hachés par la mitraille ; Les deux rois se portent bien. Chacun de ces deux bons princes (De là tous leurs différends) Trouve ses États trop mi...
-
Les Chansons des rues et des bois
" Horace n'était pas un loup ;
" Lise aujourd'hui se baigne aux sources,
" Et Tibur s'appelle Saint-Cloud.
V. SILHOUETTES DU TEMPS JADIS I Le chêne du parc détruit I -- Ne me plains pas, me dit l'arbre, Autrefois, autour de moi, C'est vrai, tout était de marbre, Le palais comme le roi. Je voyais la splendeur fière Des frontons pleins de Césars, Et de grands chevaux de pierre Qui se cabraient sous des chars. J'apercevais des Hercules, Des Hébés et des Psychés, Dans les vagues crépuscules Que font les rameaux penchés. Je voyais jouer la reine ; J'entendais les hallalis ; Comme grand s...
-
Les Chansons des rues et des bois
Les mouches aux ailes de crêpes
Admiraient près de sa Phryné
Ce frelon, officier des guêpes,
Coiffé d'un képi galonné.
À son âne de céladon. Un bon crapaud faisait la lippe Près d'un champignon malfaisant. La chaire était une tulipe Qu'illuminait un ver luisant. Au seuil priait cette grisette À l'air doucement fanfaron, Qu'à Paris on nomme Lisette, Qu'aux champs on nomme Liseron. Un grimpereau, cherchant à boire, Vit un arum, parmi le thym, Qui dans sa feuille, blanc ciboire, Cachait la perle du matin ; Son bec, dans cette vasque ronde, Prit la goutte d'eau qui brilla ; La plus belle feuille du mo...
- «Titre» le Maire, Deux fois par an a lieu, dans la rue du Repos, une fête foraine.
- La rue au Moyen Age Le coeur de la vie urbaine.
-
- La rue au Moyen Age Le coeur de la vie urbaine.
- La rue au Moyen Age Le coeur de la vie urbaine.
-
La Chartreuse de Parme
Fabrice doubla le pas, les femmes le suivirent en criant, et beaucoup de pauvres mâles, accourant par toutes
les rues, firent une sorte de petite sédition.
Trois jours après le départ de Pépé, il fut bien étonné de recevoir une lettre énorme fermée avec une tresse de soie comme du temps de Louis XIV, et adressée à Son Excellence révérendissime monseigneur Fabrice del Dongo, premier grand-vicaire du diocèse de Parme, chanoine, etc. "Mais, est-ce que je suis encore tout cela?"se dit-il en riant. L'épître de l'archevêque Landriani était un chef-d'oeuvre de logique et de clarté; elle n'avait pas moins de dix-neuf grandes pages, et racontait fort bien t...
-
Les Chansons des rues et des bois
Un voyant parmi les fantômes,
Un borgne parmi les vivants ;
Pour un lotus bleu, don inepte,
La blonde Starnabuzaï
Le recevait, comme on accepte
Un abbé qui n'est point haï.
Tremble au moment où sa main sonne À la porte de Camargo. D'Ems à Cythère, quel fou rire Si Hafiz, fumant son chibouck, Prétendait griser Sylvanire Avec du vin de peau de bouc ! V Le coeur ne fait plus de bêtises. Avoir des chèques est plus doux Que d'aller sous les frais cytises Verdir dans l'herbe ses genoux. Le soir mettre sous clef des piastres Cause à l'âme un plus tendre émoi Qu'une rencontre sous les astres Disant à voix basse : Est-ce toi ? Rien n'enchante plus une amante...
- Fabien PEREZ - 13, rue Pascal, 75005 Paris - Tél.
- La rue au Moyen Age - Ve-XVe siècle
-
Commentaire de texte sur un extrait du chapitre 3 du livre III des Misérables, de Victor Hugo : Le jardin de la rue Plumet. Il s'agira de voir quelle signification revêt ce jardin dans l'économie du roman et dans l'esthétique romanesque hugolienne.
B/ La solitude et l'abandon* L'absence de l'homme est frappant dans la description. Toute trace de l'homme est également bannie : les statuessont « moisies », les treillages « décloués », « du reste plus d'allées ni de gazon ». Une phrase résume cettedésertion : « Le jardinage était parti, et la nature était revenue ». C'est ici un hymne à la nature sauvage paropposition à la nature civilisée (jardin à la françaises) qui est développé à travers la description.* Une opposition parcourt l...
- Article de presse: La fusillade de la rue d'Isly
-
- PORTUGAL. Porto. Aspect de la rue "das Flores".
- Je soussigné Pierre Duval, Comptable, demeurant au 20, rue des
-
JONGKIND Johan Barthold : La Rue Notre-Dame-des-Champs
JONGKIND Johan Barthold LaRue Notre-Dame-des-Champs Né à Latrop, Hollande, 1819 Mort à Grenoble, 1891 Jongkind démontre ici une réceptivité stupé fiante à tous les aspects d'un paysage citadin. La rue Notre-Dame-des-Champs, à Paris, est saisie au crépuscule, moment dont il est parti culièrement difficile de rendre les subtiles nuances, l'indéfinissable atmosphère. Les lan ternes viennent d'être allumées, ainsi que les lampes derriè...
- LA RUÉE VERS L'OUEST
-
Les ruées vers l'or
LA SnltRIE Chronologiquement , c'est la Sibérie qui ouvre la série des grandes ruées du XJX' siècle . l'or se concentre dans le bassin de la lena, dans la province d'Irkoutsk. En 1838, un filon d'une quinzaine de kilomètres est découvert au-delà du lac Ba"tl
-
Auguste RENOIR: LE JARDIN DE LA RUE CORTOT À MONTMARTRE
vivants qui vont bien plus loin que des échos de tonalité, cela dépasse même ces "métamorphoses" qu'a définies unepage célèbre de Proust. Il ne s'agit point d'un changement de sub-stance, ou même de l'insistance d'un détailparticulier, mais d'accords qui vibrent quand leur voix a cessé de retentir. Ainsi, dans une suite de Bach, a dit AldousHuxley, chaque instrument chante un bonheur particulier ignorant l'harmonie plus vaste à laquelle sa voix prête unattrait vif, instinctif et prolongé...
- Affreux Pastis de la rue des Merles, l' [Carlo Emilio Gadda] - Fiche de lecture.
- STOCK SA 20, rue des Petits-Hôtels 75010 Paris Tél.
-
-
Auguste CHABAUD : RUE DE VILLAGE A GRAVESON
• Rue de village à Graveson
- 1982 : Attentat de la rue des Rosiers
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Prénom Nom Ville, le Rue CP Ville Au capitaine commandant la 3e compagnie du régiment .
- Prénom Nom Ville, le Rue CP Ville Au capitaine commandant la 3e compagnie du régiment .
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
-
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Candidature au poste d'éducateur de rue.
- Candidature au poste d'éducateur de rue.
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.
- Prénom Nom Ville, le Rue CP Ville Au capitaine commandant la 3e compagnie du régiment .
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Au directeur du centre de détention de.
-
-
Mille enfants tués dans la rue
Ce modèle semble être appelé à faire oublier nos engins démodés. L'écouteur sera remplacé par un amplificateur permettant à chacun d'entendre la conversation ; mais il n'est pas certain que tout le monde apprécie cette diffusion générale de propos qui peuvent être réservés. On propose aussi un combiné qu'il ne sera plus nécessaire de tenir à la main : posé sur une table, il permettra une conver sation à plusieurs voix. Mais, comme on n'arrête ni...
- Prénom Nom Ville, le Date Rue CP Ville Monsieur le préfet de.