40 résultats pour "hurlements"
- Plainte pour hurlements d'un chien
- HEATHCLIFF. Personnage du roman les Hauts de Hurle-Vent ( 1847) d'Emily Brontë
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Gabriel
ses hurlements.
Astolphe? Je ne connais pas cela... GABRIEL. Merci! Je meurs en paix. Je sais d'où part le coup... Tout est bien. GIGLIO. Il meurt! Ah! Dieu n'est pas juste! Il meurt! Je ne peux pas lui rendre la vie... (Mosca revient et lèche la figure et les mains de Gabriel.) Ah! cette pauvre bête elle a plus de coeur que moi. GABRIEL. Ami, ne tue pas mon pauvre chien... GIGLIO. Ami! il m'appelle ami! (Il se frappe la tête avec les poings.) GABRIEL. On peut venir... Sauve-toi!... Que fais-tu là?... Je ne peu...
- Un hurlement lugubre
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Analyse de Guernica, par Picasso
Au milieu de la débâcle il apparaît impassible, statique. Seules la bouche ouverte et la langue pointue lui donnent une expression, et ses yeux sont humains. Il semble fixer le spectateur. C'est une figure ambigüe. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d'autres le symbole de la résistance. L'oiseau : A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant : Cette femme tient son enfant mo...
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Gabriel
LE PRÉCEPTEUR.
SCÈNE IX. Sur le pont Saint-Ange. Quatre heures du matin. GABRIEL, suivi de Mosca, GIGLIO. GABRIEL, marchant avec agitation et s'arrêtant au milieu au pont. Le suicide!... Cette pensée ne me sort pas de l'esprit. Pourtant je me sens mieux ici!... J'étouffais dans cette petite chambre, et je craignais à chaque instant que mes sanglots ne vinssent à réveiller mon pauvre Marc, fidèle serviteur dont mes malheurs avancent la décrépitude, et que ma tristesse a vieilli plus que les années! (Mosca fait...
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Vocabulaire:
COHUE, substantif féminin.
Depuis Ponce Pilate jusqu'au dernier des charretiers. Elle suivait de loin. De pr?s. D'assez loin. D'assez pr?s. Cette cohue hurlante. Cette meute qui aboyait. Et mordait. Cette cohue hurlante qui hurlait et tapait. CHARLES P?GUY, Le Myst?re de la charit? de Jeanne d'Arc, 1910, page 96. ? 3. Le public, debout, tape des pieds, hue, siffle, vocif?re. Puis, (...) il se rue fr?n?tiquement vers les portes. (...) des femmes, press?es dans la cohue, s'?vanouissent; (...) une v?ritable sc?ne d...
- Hurleur à manteau: Le chef hurle dès le matin, lors du premier déplacement.
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- Tu peux chiffonner cette lettre et la lancer au loin en hurlant que je n'avais qu'à vous suivre, toi et ta mère. Roger Des Roches, la Vie cachée d'Éva, Québec Amérique
- La bise hurlait, sifflait, rugissait, enlevant de la crête des lames une poussière liquide qui la rendait encore plus puissante.... Eugène Dick, Un drame au Labrador
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ÉMILE VERHAEREN (1855-1916). Le vent
Et que n'en pouvant plus,Tous les villages vermoulusCriaient comme des bêtesSous la tempête?Sur la bruyère, infiniment,Voici le vent hurlant,Voici le vent cornant Novembre. Les Villages illusoires, Édition du Mercure de France. QUESTIONS D'EXAMEN I. — L'ensemble. — Poésie qui évoque d'une manière saisissante le bruit assourdissant et la terrible violence du vent.— De quel vent s'agit-il, ici? (D'un vent sauvage de novembre, — et soufflant dans la plaine des Flandres); 20Essayez de dégager l'im...
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Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « À une passante ».
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince,...
Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « À une passante ». La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement...
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Corrigé
disponible
Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « À une passante ».
La rue assourdissante autour de moi hurlait....
Corrigé disponible Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « À une passante ». La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m...
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Texte
Je m'étais assis dans un coin, me faisant plus petit que je ne l'étais déjà. J'avais posé mon visage entre mes mains sales pour m'empêcher de voir les silhouettes crasseuses des Hommes se déchaînant pour vivre, des hommes qui pleurent dans des coins comme moi, où qui sont déjà morts et qui remuent sur le sol du wagon, comme des carcasses flotteraient sur l'eau d'un fleuve sale et gris. Je ne fis rien, rien que pleurer silencieusement, sans réelles larmes, je repensais aux bras de ma mère, osseux...
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Définition et usage du mot:
BEUGLANT, -ANTE, participe présent, adjectifet substantif.
2. Vieilli. Caf? chantant, caf?-concert. Aller au beuglant; chanteuse de beuglant; beuglant de faubourg?: ? 3.... il [Degas] s'est attaqu? aux ?l?gances et aux populaceries f?minines; un des premiers, il a os? aborder les lumi?res factices, les ?clats des rampes devant lesquelles braillent, en d?collet?, des chanteuses de beuglants, ou s'?battent, en pirouettant, des danseuses v?tues de gaze. GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, L'Art mod, 1883, page 12. Remarque?: Attest? dans la plup...
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à une passante
I/Le choc de la rencontre : a) le cadre : Univers urbain -> lexique de la rue « la rue » + titre « à une passante » inconnue croisée dans la rue Lieu extérieur sans intimité Inhospitalier « assourdissante » animalisation de la rue « autour de moi hurlait »( + un poète cerné) Impression de vacarme -> allitération en R « La rue assourdissante autour de moi hurlait » Le poète semble isolé (surement à une terrasse de café) « moi » « moi,je », margi...
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Définition et usage du mot:
BEUGLER, verbe.
convoquant l'?le dans le tintamarre, s'?tonnant de son silence, la raillant, la frappant, l'appelant chienne, lui crachant dessus, giclant, beuglant, sifflant, se glissant dans le port, griffant les barques de leurs mains tournoyantes, d?liant les cha?nes ? ... HENRI QUEFF?LEC, Un Recteur de l'?le de Sein, 1944, page 66. 2. Familier et p?joratif. [Le sujet d?signe une personne ou un inanim? concret] ?mettre un son ?tourdissant, et disgracieux. Une personne beugle; la radio, l'?lectrophone,...
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Règne animal : LES LOUPS
forêts de la Scandinavie et de l'est de l'Europe. Le loup des steppes a un pelage plus clair que celui du loup des forêts d'Europe et d'Amérique du Nord. Le loup de la toundra arctique, plus trapu, possède une épaisse fourrure blanche. La meute Le loup vit généralement en clan, formant un groupe d'une vingtaine d'individus au maximum. Ce nombre varie selon la quantité et la taille des ! Le loup gris a hantait autrefois les forêts de l'Amériqu...
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La maison Tellier de Maupassant (texte intégral)
était comme un repos dans le badinage polisson des particuliers ventrus qui se livraient chaque soir à cettedébauche honnête et médiocre de boire un verre de liqueur en compagnie de filles publiques. Les trois dames du premier s'appelaient Fernande, Raphaëlle et Rosa la Rosse. Le personnel étant restreint, on avait tâché que chacune d'elles fût comme un échantillon, un résumé de typeféminin, afin que tout consommateur pût trouver là, à peu près du moins, la réalisation de son idéal. Fer...
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Jacques Prévert - La chasse à l'enfant
Français, 2 ème année Analyse de texte – Jacques Prévert Grâce et Guilherme Plan détaillé Introduction Intitulé de l’axe 1 : La maltraitance subie Preuve 1 : procédé lexical : torture ; v.5 « hurlements », v.7 « meute », v.10 « brisé » « coups » « gardiens », v.24 « bruit », v.25 « s’enfuit », v.26 « fusil » « tire », v.29 « rage » Preuve 2 : procédé stylistique : hyperbole, v.26 « on tire sur lui à coups de fusil » Preuve 3...
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SA MAJESTE DES MOUCHES de Peter Brook (analyse)
vraiment le monstre. Par un plan en contre plongée, comme à la place du parachutiste, on voit Simon s'accrocher puis reculer. Avec un raccord son nous retournonsensuite avec les autres enfants, ils sont sur la page en train de s'amuser, de crier, et de danser autour du feu. Les plans qui suivent sont d'abord des gros plans sur despartie du corps des enfants, puis sur le feu, viennent ensuite une succession de plans larges sur les enfants et le feu. La lumière est importante dans cette séquence,...
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Harry sentit alors un flot de sang tiède ruisseler sur sa manche et une douleur fulgurante lui
traversa le bras, juste au-dessus du coude.
Il regarda Harry dans les yeux. —Mais ça ne fait rien, reprit-il. En fait, je préfère qu'il en soit ainsi. Rien que toi et moi, Potter... Toi et moi... Jedusor brandit la baguette magique. Dans un bruissement d'ailes, Fumseck tournoya alors au-dessus de Harry et laissa tomber sur ses genoux... le journal intime. Pendant une fraction de seconde, Harry et Jedusor, la baguette toujours \ levée, regardèrent le petit livre noir. Puis, sans réfléchir, sans hésiter, comme s'il avai...
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Définition et citations:
ANXIEUX, -EUSE, adjectif et substantif.
REN? BAZIN, Le Bl? qui l?ve, 1907, page 14. 2. [Faits d'ordre somatique ou psychosomatique] : ? 4. Enfin, il s'agit de soustraire le grand sympathique ? l'action d'ondes inconnues, mais dont l'existence est certaine. La P?rouse propose donc de placer le malade ? l'anxieux surtout ? ? l'int?rieur d'un fil de cuivre enroul? en spirale, formant un sol?no?de protecteur en circuit ouvert, qui jouerait le r?le d'isolant ? l'?gard des radiations cosmiques. GEORGES BERNANOS, La joie, 1929, page 57...
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Cinquième partie, chapitre V - Germinal de ZOLA
« Et les autres, malgré leur désir de détourner les yeux, ne le pouvaient pas, regardaient quand même. » La violence du spectacleA quel spectacle assistent ces bourgeois ? Les groupes constitutifs de la « bande », apparemment cohérente etanimée des mêmes intentions, ne se laissent discerner qu'au fur et à mesure de leur approche de la ferme.Jeanlin vient en tête, soufflant dans cet instrument primitif et naturel qu'est la corne.Puis un millier de femmes se présentent, classées en fonction de leu...
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Article de presse: La chute de la monarchie irakienne
A la radio, la Marseillaise alterne avec les communiqués militaires. Quinze textes sont aussitôt diffusés par le Conseil de la révolution. Ils annoncent, pour commencer, la constitution d'un Conseil de souveraineté de trois membres : un sunnite, le général NagibRoubaï un chiite, Mohamed Mahdi Koubba, ennemi traditionnel de la monarchie et un Kurde, Khali Naqchabandi. Troisdécrets abrogent le régime monarchique, instaurent la République et désignent le général Al Azmah comme chef d'état-m...
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ÉMILE ZOLA (1840-1902). Épisode de la bataille de Sedan. La Débâcle
La charge fut reprise, le 2e escadron s'avançait dans une furie grandissante, les hommes couchés sur l'encolure,tenant le sabre au genou, prêts à sabrer. Deux cents mètres encore furent franchis, au milieu de l'assourdissanteclameur de tempête. Mais, de nouveau, sous les balles, le centre se creusait, les hommes et les bêtes tombaient,arrêtaient la course de l'inextricable embarras de leurs cadavres. Et le 2e escadron fut ainsi fauché à son tour,anéanti, laissant la place à ceux qui le suivaien...
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LE PREMIER ALCADE
Motifs de l'union ?
LE PÊCHEUR Non, veuf. LE PREMIER ALCADE Remarié ? LE PÊCHEUR Non. LA SECRÉTAIRE Pourquoi ? LE PÊCHEUR (hurlant ). J'aimais mafemme. LA SECRÉTAIRE Bizarre ! Pourquoi ? LE PÊCHEUR Peut-on toutexpliquer ? LA SECRÉTAIRE Oui, dans unesociété bienorganisée !
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Contes de la bécasse
Il vida toutes les assiettes, tous les plats et toutes les bouteilles ; puis, soûl de liquide et de mangeaille, abruti,
rouge, secoué par des hoquets, l'esprit troublé et la bouche grasse, il déboutonna son uniforme pour souffler,
incapable d'ailleurs de faire un pas.
Le colonel répondit : "Nous allons nous replier pour éviter un retour offensif avec de l'artillerie et des forces supérieures." Et il donna l'ordre de repartir. La colonne se reforma dans l'ombre, sous les murs du château, et se mit en mouvement, enveloppant de partout Walter Schnaffs garrotté, tenu par six guerriers le revolver au poing. Des reconnaissances furent envoyées pour éclairer la route. On avançait avec prudence, faisant halte de temps en temps. Au jour levant, on arrivait à...
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Contes de la bécasse
Ils défilaient interminablement, tous pareils, avec ce mouvement de pantins qui leur est particulier.
La neige tombait maintenant jour et nuit, ensevelissant la plaine et les bois sous un linceul de mousse glacée. Les loups venaient hurler jusqu'à nos portes. La pensée de cette femme perdue me hantait ; et je fis plusieurs démarches auprès de l'autorité prussienne, afin d'obtenir des renseignements. Je faillis être fusillé. Le printemps revint. L'armée d'occupation s'éloigna. La maison de ma voisine restait fermée ; l'herbe drue poussait dans les allées. La vieille bonne était morte pend...
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Cinq Semaines En Ballon
" Ce sont sans doute les corps des criminels; ainsi que cela se pratique dans l'Abyssinie, on les expose aux
betes feroces, qui achevent de les devorer a leur aise, apres les avoir etrangles d'un coup de dent.
" Montons hors de leur portee! s'ecria le docteur Fergusson! Pas d'imprudence! cela ne nous est pas permis " Le massacre continuait de part et d'autre, a coups de haches et de sagaies; des qu'un ennemi gisait sur le sol, son adversaire se hatait de lui couper la tete; les femmes, melees a cette cohue, ramassaient les tetes sanglantes et les empilaient a chaque extremite du champ de bataille; souvent elles se battaient pour conquerir ce hideux trophee. " L'affreuse scene! s'ecria Kennedy avec un...
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idées, c'est pourquoi l'Occident en était venu à se mépriser et se jetait en troupeau sur les routes, fuyant vers le nord, sans
doute vaguement conscient qu'il s'était déjà perdu en sécrétant trop de laideurs qui ne valaient même plus la peine d'être
défendues.
IV C’était unenuit étrange, tellement paisiblequeNew York nesesouvenait pasenavoir vécudesemblable depuisplusd’une trentaine d’années. CentralParkdésert, vidédemilliers deCaïn. Onaurait puyenvoyer jouerdeblondes fillettesenjupe courte, duveteuses, toutesfraîches, rosesdeplaisir depouvoir enfincourir derrière uncerceau. Ghettosnoirsetportoricains calmes comme deséglises. Ledocteur Norman Halleravaitouvert sesfenêtres. Ilécoutait laville etn’entendait rien. D’ordinaire, montaientversluiàcette heur...
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Lorsqu'ils se retrouvèrent, tous les cinq, en bordure du bois, les pieds sur le tapis
spongieux d'aiguilles, de feuilles et de mousses, ils regardèrent en direction de la
maison.
plaignait pas.Élodie marchait, lesdents serrées, levisage tenduparladouleur. Elle portait dessouliers basaux semelles tropminces. Déjà,unecouture avaitcraqué. Ses pieds étaient trempés. Àplusieurs reprises,unedeses chaussures restaprisedansle bourbier d’unbas-fond. Elles’appuyait àun arbre, Clémence l’aidaitàse rechausser. — Rien ! Plusrien. Cyrille necessait derépéter cesmots àdemi mâchés. Ilserrait fortcontre luises deux fils, et,très souvent, ilse retournait pours’assurer quesafemme etsa fill...
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Dictionnaire en ligne:
DOUCHE, substantif féminin.
— Spécialement. [Dans le traitement de l'aliénation mentale (confer Nysten 1814, Dictionnaire de médecine, de chirurgie, de pharmacie, de l'art vétérinaire et des sciences qui s'y rapportent (ÉMILE LITTRÉ, CHARLES ROBIN) 1855)] Il est devenu fou. Le voilà délirant, hurlant et avec des douches (GUSTAVE FLAUBERT, Correspondance, 1852, page 33) : Ø 2. Quand on arrive à ce point d'insanité, il faut des douches, tout simplement. GEORGES CLEMENCEAU, Vers la réparation, 1899, page 345. 2. Par métony...
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chacun connaissait déjà la menace : une flotte pacifique formée à Djakarta et qui attendait l'aube pour lever l'ancre vers le
paradis blanc.
XXXV Clément Dioregarda samontre pourlacentième fois.Ellemarquait minuitmoinsdix.Voilà cinqheures déjàques’étaient tus lesderniers chantsd’ivrognes, souventaccompagnés duchoc sourd d’uncorps fauché parlesommeil etl’alcool. L’une de ces brutes semblait avoirtenulecoup pluslongtemps quelesautres, carvers dixheures dusoir, IrisNan-Chan avait encore gémifaiblement. Toutd’abord, elleavait crié,trèsvite, alors qu’on venait àpeine d’enfermer Diodans cestoilettes du troisième étageoùilgisait depuis quar...
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-- Attends !
67 Je coupai monmoteur etfis signe àMunro dem’imiter –je me disais quenous pourrions entendrelaJeep et connaître ainsiladirection qu’elleavaitprise –,mais iln’en fitrien. J’allais luidemander cequ’il foutait, quand il sortit unappareil delapoche decuisse deson battle-dress noir.Ilouvrit l’étuideplastique etregarda l’écran. Je me demandais toujourscomment ilétait parvenu ànous retrouver. Clairement, Munrolisaitdans mes pensées. —Predator, fit-ilenmontrant leciel. Il se concentra surson écran. Je...
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« Pendant que le baron de Sauve fait son service au Louvre, la baronne est avec un muguet de ses amis, dans
ne maison proche de la Croix-des-Petits-Champs, vers Saint-Honoré ; le baron de Sauve reconnaîtra la maison
à une croix rouge qui sera faite sur la muraille.
L’homme fitun bond enarrière, eten bondissant sonchapeau tomba. – De Mouy deSaint-Phale !s’écria-t-il. – Maurevel !hurla lehuguenot enlevant sonépée. Jetecherchais ; tuviens au-devant demoi, merci ! Mais lacolère nelui fitpas oublier Henri ;etse retournant verslafenêtre, ilsiffla àla manière despâtres béarnais. –Cela suffira, dit-ilàSaucourt. Maintenant, àmoi, assassin !à moi !Et ils’élança versMaurevel. Celui-ci avaiteuletemps detirer desaceinture unpistolet. – Ah !cette fois,ditleTueur deRoi e...
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Mon fils est la réincarnation de l'homme que j'ai tué.
l’affaire. —Navarro n’estpasàmes trousses, dis-jed’une voixdurcie parlafureur. Ilpoursuit Alex.Parce qu’ilcroit qu’Alex estlaréincarnation deMcKinnon. Parcequ’ilveut laformule. Parcequ’ilpense qu’Alex s’ensouvient peut-être. —Exactement, renchéritTess.Lacible, c’estAlex. Depuis ledébut ! Ça collait. Nom deDieu, çacollait vraiment. Et sic’était vrai…alors,pouruneraison bizarre, unmotif detaré, dekarma detête denœud, celui,quel qu’il soit, quidécide comment ceschoses-là arrivent,celui-làavaitfourr...
- la nuit des temps de rené barjavel
- Primo Levi, Si c'est un homme
- nommer