56 résultats pour "méfiant"
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se méfier de nos certitudes
ligne la cavern e En fait la certitude est souvent une opinion qui ne pense pas et qui affirme ce qui lui va bien. L'opinion est immédiate, elle n'a pas pour origine la pensée, la recherche de la vérité, elle n'est pas justifiée. On a pu dire que la certitude était sign e de pensée morte: Voir l'aide N°18 la certitude est -elle un signe de pensée morte? C'est la certitude et non le doute qui rend fou" Analyser l'opinion qui transforme ses désirs en connaissanc e qui fait...
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En quoi devrait-on se méfier de la beauté ?
l'objet parfait mais au final étant seulement une vision simplifiée du ciel pour prendre tous les codes esthétiques. La beauté évoque chez l'être humain un sentiment de plaisir. Ce que l'on considère comme beau est généralement perçu comme positif et bon. Nous devons cette réaction à notre cerveau car il est l'héritier direct de notre cerveau préhistorique. Ce qui est beau est bénéfique pour la survie. Un humain considéré comme beau est perçu par notre cerveau comme bon et digne de confiance. A...
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Faut-il se méfier de sa conscience ?
par quoi va t-on se méfier de sa propre conscience sinon par cette conscience même ? Le sujet, par là, semble très équivoque, et assujetti à diverses confusions. Pour ce, nous verrons en quoi il serait irrationnel de se méfier de sa conscience, puisqu'elle constitue le socle de notre humanité mais cependant, qu'elle semble porter bien des failles qui nous mèneraient à douter de celle ci. La question est en effet réellement troublante. Spontanément nous aurions plutôt tendance à répondre que la...
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Faut-il se méfier des ordinateurs ?
vues sur certaines choses de nos recherches, qui nous permet d'avoir un assez bon avis général vis à vis de notrerecherche. Grâce à l'informatique, et donc, aux ordinateurs, notre savoir, notre histoire est conservé, et lesordinateurs nous permettent de partager ce même savoir à un nombre d'utilisateurs qui augmentent de manièreexponentielle chaque jour. Les ordinateurs sont une valeur sûr car ils sont fiables, et ne rechignent pas au travail, ilsont d'ailleurs été pour ça, pour faire...
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Faut-il se méfier de l'amour ?
Pour les Hommes de toutes époques, l'amour a toujours été un sentiment très important et même vital. Que ce soitl'origine grecque eros ou agape du mot amour, cela reste une perpétuelle quête personnelle. Cependant, il existedifférents types d'amour pouvant créer une source de méfiance chez l'Homme.Si l'amour est une source de méfiance alors c'est de ces effets dont il faut se méfier puisque ce qu'il est détermineses conséquences ou ses illusions d' avantages.Dans un premier temps nous parlerons...
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La vérité doit-elle se méfier de l'opinion ?
La science elle-même peut être mise en cause dans sa prétention de vérité.Nombreux penseurs l'on mis en évidence et notamment Bachelard. Celui-cis'interroge sur le rapport entre vérité et erreur dans le cadre de laconnaissance humaine. Dans La formation de l'esprit scientifique , celui-ci veut apporter, selon ses dires, sa « contribution à une psychanalyse de laconnaissance objective ». Le sens qu'il attribue à cette « psychanalyse »c'est la capacité de l'esprit humain à se dépr...
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doit on se méfier du bonheur
l’amour…). Le bonheur est donc un idéal qui provient de l’imagination on ne peut donc pas le maitriser, ni rationnellement, ni empiriquement. Kant propose donc une théorie : selon lui le bonheur ne dépend pas de notre volonté, il faut donc non pas agir pour être heureux, mais agir pour se rendre digne du bonheur. Mais qu’entendons nous par digne du bonheur ? Se considérer digne du bonheur, c’est faire quelque chose en espérant être heureux. Kant dit que « chacun à sujet d’espérer...
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Faut-il se méfier du progrès technique ?
extension des pouvoirs naturels de l'être humain se poursuit avec la multiplication des objets artificiels, puisavec l'invention des machines.On s'aperçoit alors clairement que si la technique n'est pas à proprement parler possible chez l'animal (quirépète indéfiniment une tâche pour laquelle la nature la programmer à la perfection), cela montre que latechnique n'est qu'un symptôme, une conséquence de ce qui, en propre, distingue l'homme de l'animal. Il fautdonc, pour retrouver l'orig...
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Faut-il se méfier de ses désirs ?
Le désir est une force positive «Malheur à qui n'a plus rien à désirer.» Rousseau, La Nouvelle Héloïse (1761). • Contre l'ascétisme des philosophies rationalistes, Rousseau fait dire à Julie(le personnage de son roman) la beauté et la force du désir amoureux: ledésir est paradoxal, car d'un côté il consiste à tendre vers un but, mais del'autre, il se suffit à lui-même. En effet, celui qui accomplit son désir connaîten même temps que la satisfaction une sorte de déception.• L'affirmation de J...
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Faut-il se méfier de la raison ?
joue un certain arbitraire qui veut séparer la raison de la folie, et rendre celle-ci opaque à tout discours. Dés lors onne saurait être que méfiant à l'égard de cet usage de la raison. C'est la raison qui assure notre salut Dans le Phédon , Socrate se préparant à avaler la ciguë, cherche à se préserver d'un risque: celui de la misologie: la haine des raisonnements. Cette haine pourrait naître de notre pratique du raisonnement sans expérience, on estballoté de raisonnements persuasifs en raison...
- Faut-il se méfier de nos désirs ?
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Doit-on se méfier de l'idée de bonheur ?
C'est cette investigation qui fait le contenu des « Fondements de la métaphysique ». Et passant en revue les thèmes traditionnels de la philosophie morale, KANT ne manque pas de rencontrer la question du bonheur et, dans la deuxième section de l'ouvrage (« Passage de la philosophie morale populaire à la métaphysique des mœurs »), de mettre fortement en question cette notion en la rattachant non à la raison , mais seulement à l'imagination : « Il n'y a pas à cet égard d'impératif qui puiss...
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Faut-il se méfier des apparences ?
brutal qui nous menace, rendant par là même impossible toute «vision» du vrai que nous cherchons. Notre «âme» nepeut que subir les errances du corps qu'elle incarne et «naît» donc embarrassée d'abord des croyances dont lesobjets sont les images, c'est-à-dire les apparences. Ainsi, je ne peux que croire savoir, étape fondamentale de laconnaissance qui situe bien l'Amour du Vrai comme un état intermédiaire entre le manque (pénia) et la provision(poros, l'issue, l'expédient). En ce sens, on ne peut...
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FAUT-IL SE MEFIER DE LA RAISON ?
INTRODUCTION La raison est une faculté commune à toute l'espèce humaine par différence avec l'animalité. Cette fonction est aussiconçue comme la capacité de saisir la vérité, la nature des choses non seulement ce qu'elles sont, mais lesprincipes explicatifs qui en rendent compte. De l'idée de raison , qui évoque des exigences de rigueur intellectuelle et des obligations morales, s'exhale parfois unparfum d'ennui. Nous tendons à la percevoir davantage comme un refus de la fantaisie et du plaisir...
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FAUT IL SE MEFIER DES LIVRES ?
§ Si les livres apparaissent comme ce qui est une connaissance erronée qu'il faut rectifier, il semble quel'éduction ne doive pas passer par une forme d'apprentissage, c'est-à-dire de donnée qui vient del'extérieur pour être saisie par un sujet, mais bien par une forme de conversion, de rentrée du sujet enlui-même afin qu'il trouve en lui les propres clés de son éducation et son propre objet du savoir. § C'est en outre la thèse que semble poser Platon dans ces différents ouvrages, mai...
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Faut-il se méfier du corps ?
d'humain et dépasser le statut animal. On oppose alors le travail, c'est-à-dire l'usage du corps dans le labeur,à la contemplation, qui est une réflexion désintéressée. C'est pour cela que Platon a pu écrire dans le Phédon que le corps était le tombeau de l'âme : lorsqu'elle est dans notre corps, l'âmeest sans cesse ramenée à des préoccupations triviales, elle est attachée auxplaisirs des sens, elle considère le sensible comme étant la forme de réalité laplus haute, alors que ce qui est...
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Faut-il se méfier de sa conscience ?
II. Il faudrait être plus clair à présent, et distinguer dans un premier temps, le je du moi . La conscience est précisément ordonné par un je, il est l'actant de ce retour sur moi, entendons ici que c'est lui qui produit cette courbe réversible qui se dirige vers moi . Dans la conscience, je a conscience de moi . Le sujet de la conscience, c'est donc le je, là où l'objet de cette conscience, c'est précisément le moi . Mais qu'est-ce que cache ce moi à vrai dire? Que signifie c...
- Bien réfléchir est ce se méfier de soi-même ?
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La raison doit-elle se méfier de toutes formes de croyance ?
irrationnelle et d'un point de vue pratique toute croyance déraisonnable. La raison doit donc se défier de lacroyance car toute croyance a par définition un défaut de preuve rationnelle et est susceptible d'être irraisonnée oude devenir déraisonnable. Pour autant, la raison a-t'elle raison de se défier de toute croyance? Peut-elleraisonnablement douter de toute forme de croyance, même les plus raisonnables? Mais, une croyance peut-elle êtreraisonnable? Doit-elle rationnellemen...
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Doit-on se méfier du bonheur ?
méthode critique à la morale, en s'interrogeant cette fois sur les conditions de possibilité de l'action morale. C'est cette investigation qui fait le contenu des « Fondements de la métaphysique ». Et passant en revue les thèmes traditionnels de la philosophie morale, KANT ne manque pas de rencontrer la question du bonheur et, dans la deuxième section de l'ouvrage (« Passage de la philosophie morale populaire à la métaphysique des mœurs »), de mettre fortement en question cette notion en...
- Faut-il se méfier des premières apparences ?
- Bien reflechir est ce se méFier de soi-meme ?
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Pourquoi devons-nous nous méfier de nos désirs?
jusqu'à l'infini ». Chez les bêtes aussi.Mais plus la conscience s'élève et plus la misère va croissant, plus la souffrance est grande. De toutes les formes devie, c'est la vie humaine qui est la plus douloureuse et celle-ci « oscille, comme un pendule, de droite à gauche, dela souffrance à l'ennui ». souffrance quand le désir n'est pas satisfait, ennui quand la volonté vient à manquerd'objet ou quand une prompte satisfaction vient lui enlever tout motif de désirer. L'homme est-il arrêté pa...
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La physique doit-elle se méfier de la métaphysique ?
SUJETS GÉ:'IÉRAU:I. 283 a) Par "physique "· nous pouvons entendre les recherches désignées auj.ourd'hui par ce mot; mais il est préférable de le prendre au s-ens ancien ou étymologique et de comprendre sous le nom de « phyt::ique " l'étude de la nature, c'est-à-dire de tout le réel dont n.ous avons l'expérience, de 1 'homme et des vivants aussi bien que de la matière brute. La physique s'édifie par les procédés de la science expér...
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faut il se méfier de l'évidence?
Aussi, pour Leibniz qui juge l'évidence intuitive toujours sujette à caution, le raisonnement en forme fournit l'instrument du vrai, car il dépasse « L'appel aux idées n'est pas toujours sans danger, et beaucoup d'auteurs abusent du prestige de ce terme pour donner du poids à certaines de leurs imaginations ; car nous ne possédons pas l'idée d'une chose du fait que nous avons conscience d'y penser, comme je l'ai montré plus haut par l'exemple de la plus grande des vitesses. Je vois aussi que...
- Faut-il vraiment se mefier des apparences ?
- Faut-il se méfier des expériences sensibles ?
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dissertation corrigée: "faut-il se méfier des croyances ?"
Le capitoul David de Baudrigue était convaincu que les Calas, protestants, avaient assassiné leur fils, Marc-Antoine, pour l’empêcher de se convertir au catholicisme en 1761 et non qu’il s’était suicidé. Cela conduisit à l’exécution de Jean Calas, le père en 1762. Voltaire (1694-1778) combattit ce déni de justice en écrivant notamment son Traité sur la tolérance (1763). Devons-nous nous méfier de nos convictions ? Il est vrai que nos convictions, c’est-à-dire ce que nous considérons comme v...
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La pensée, pour accéder à la vérité, doit-elle se méfier du langage ?
2 univocité fondamentale du langage a) Benveniste : Nulle langue n'échappe au principe de contradiction• On a pu mettre en doute l'univocité foncière du langage en contestant sa résistance profonde à la contradiction.Ainsi, au XIXe siècle, K. Abel a soutenu l'existence dans les langues primitives de mots ayant deux sens absolumentcontraires. Freud s'intéressa à cette vue, car elle apportait un appui à sa thèse de l'ambivalence caractéristique de la logique du rêve (cf. «Sur les sens opposés dan...
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Faut-il se méfier de l'Etat ?
faisant sans réserve, l'union est aussi parfaite qu'elle peut l'être, et nul associé n'a plus rien à réclamer: car, s'ilrestait quelques droits aux particuliers, comme il n'y aurait aucun supérieur commun qui pût prononcer entre eux etle public, chacun, étant en quelque point son propre juge, prétendrait bientôt l'être en tous; l'état de naturesubsisterait, et l'association deviendrait nécessairement tyrannique ou vaine. Enfin, chacun se donnant à tous ne sedonne à personne; et comme il n'...
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Faut-il se méfier des religions ?
- Pour Nietzsche, d'une manière générale, il faut se méfier des opinionsimposées, et se défaire absolument de se qui se pose comme la norme. C'estune faiblesse de l'homme que de suivre les idées empruntées à la religion, etsa vraie puissance serait de s'en défaire pour affirmer son libre-arbitre, c'est-à-dire la détermination de sa volonté. Il faudrait ainsi se méfier es religions quinous empêchent d'affirmer notre liberté et notre puissance, et donc endéfinitive, notre humanité. La...
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Le démocrate doit-il se méfier du religieux ?
Il faut se méfier des Églises, non de la foi Ut·U• L'autorité théologique peut être complémentaire de l'autorité politique. Elle est capable d'entretenir une croyance enthousiaste des individus au principe sacré de la vie sociale désintéressée. La vraie foi n'est pas intolérante E n se plaçant sur le terrain même des religions d'inspiration biblique, Baruch Spi noza montre qu 'en invo- «Une religion fervente ( ... ) est des...
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La démocratie doit-elle se méfier de la religion ?
Il faut se méfier des Églises, non de la foi Ut·U• L'autorité théologique peut être complémentaire de l'autorité politique. Elle est capable d'entretenir une croyance enthousiaste des individus au principe sacré de la vie sociale désintéressée. La vraie foi n'est pas intolérante E n se plaçant sur le terrain même des religions d'inspiration biblique, Baruch Spi noza montre qu 'en invo- «Une religion fervente ( ... ) est des...
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Devons-nous nous méfier de nos certitudes ?
D'autre part, les certitudes morales ou religieuses, situées au-delà de la science, et dont celle-ci ne peut garantir lavérification. Il convient ainsi de se méfier des préjugés, de l'opinion (la "doxa" platonicienne). Ceux-ci relèvent de l'apparencetrompeuse, de l'illusion et ne font que plonger celui qui s'y livre dans un monde incertain et mouvant, dansl'obscurité de la caverne. Le refus de l'absolu Comment définir la vérité ? N'est-elle pas profondément relative etsubjective ?...
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Faut-il se méfier de l’imagination ?
d'autre part de l'acquis de l'individu, résultat de son expérience et du refoulement des pulsions qui n'ont pu s'exprimer (et qui réapparaissent sous une autre forme). Ce qui nous montre que si l’individu se laisser déborder par son ça et son pouvoir imaginaire, l’individu peut devenir dangereux si il laisse aller ses pulsions d’éros ou de thanatos. L’individu qui se laisse aller a son imagination peut lancer des affirmations irrationnelles comme par exemple un prophète affirmant connaitre l...
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Devons-nous nous méfier de nos certitudes ?
Le propre de la certitude, on l'a mentionné, est qu'elle ne peut faire l'objet d'une vérification par l'expérience. Il convient de distinguer toutefois deux sortes de certitudes : D'une part, les certitudes qui sont des préjugés, situés en deçà de la science, et que celle-ci peut convertir, c'est-à-dire, travailler et ré élaborer. D'autre part, les certitudes morales ou religieuses, situées au-delà de la science, et dont celle-ci ne peut garantir lavérification. Il convient ainsi de se méfier de...
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Faut-il se méfier des images ?
contraire en parlant son langage propre. L'image représentative assume son caractère d'image. On retrouvecette conception de la connaissance par la représentation dans deux tableaux de Vermeer : Le Géographe et L'astronome représentent tous deux un érudit assis à son bureau ; derrière lui une fenêtre par où rentre la lumière. Cette fenêtre donne donc sur le monde sensible, sur la réalité. Mais ni le géographe, ni l'astronomene se tournent vers cette fenêtre, tous deux étudient le monde,...
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Qu’est ce que la déesse Athéna représente pour Ulysse dans les chants V à XIII de l’Odyssée ?
tomba du toit du « logis de Circé ». La « sottise » de l'Homme apparaît également dans le chant X, lorsqu'Ulysse, épuisé s'est endormi et ses compagnons découvre une boite censée contenir de l'or, mais qui contient en fait des vents contraires qui les font dériver et les empêchent de retourner à Ithaque. Ces aventures exposent la curiosité, la cupidité et la bêtise des hommes et insistent sur leur faiblesse face au monde et aux pouvoirs de la nature. Ulysse, personnage fie...
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Faut-il se méfier de la multiplicité des interprétations ?
Introduction : « On obtient un idéaltype en accentuant unilatéralement un ou plusieurs points de vue et en enchaînantune multitude de phénomènes donnés isolément, diffus et discrets, que l'on trouve tantôt en grand nombre, tantôten petit nombre et par endroits pas du tout, qu'on ordonne selon les précédents points de vue choisisunilatéralement, pour former un tableau de pensée homogène. On ne trouvera nulle part empiriquement un pareiltableau dans sa pureté conceptuelle :...
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Faut-il se méfier de la pluralité des interprétations ?
l'entendement, d'une manière identique pour tous les hommes, et par lequel nous percevons les choses dans leurscauses premières. Et de là nous pouvons concevoir avec clarté pourquoi l'âme passe instantanément de la penséed'une certaine chose à celle d'une autre qui n'a aucune ressemblance avec la première : par exemple, un Romain, dela pensée du mot pomum, passe incontinent à celle d'un fruit qui ne ressemble nullement à ce son articulé et n'a avec lui aucune analogie, si ce n'est que le corps...
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Pourquoi les scientifiques doivent-ils se méfier de l’expérience immédiate ?
Pourquoi les scientifiques doivent-ils se méfier de l’expérience immédiate ? Il nous faut partir de ce constat de départ que le sentiment commun est immédiat éprouvé par tout homme et qu’il s’est formé son jugement et sa valeur sur une accumulation d’expérience depuis son enfance par une longue pratique et répétée de son activité : En effet, chaque homme s’est construit sur des expériences de son existence qui relèvent de son vécu de ses actions et de ses habitudes qui ont produits une sav...
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Peut-on se fier aux mots?
telle sorte que d'après la forme extérieure du vêtement l'on ne peut conclure à la forme de la pensée travestie; pour laraison que la forme extérieure du vêtement vise à tout autre chose qu'à permettre de reconnaître la forme du corps."Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus.Il y a donc une grande précaution établie autour de cette crainte de mots qui « dépasseraient notre pensée », maiscette expression encore est mensonge puisque tout ce qui est dit l'est à bon escient, c'est-à-dire qu'il...
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L'État doit-il susciter notre méfiance ?
faisant sans réserve, l'union est aussi parfaite qu'elle peut l'être, et nul associé n'a plus rien à réclamer: car, s'ilrestait quelques droits aux particuliers, comme il n'y aurait aucun supérieur commun qui pût prononcer entre eux etle public, chacun, étant en quelque point son propre juge, prétendrait bientôt l'être en tous; l'état de naturesubsisterait, et l'association deviendrait nécessairement tyrannique ou vaine. Enfin, chacun se donnant à tous ne sedonne à personne; et comme il n'...
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l'ignorance est-elle un mal ?
mal. De plus, il souligne le fait que l'on ne peut pas vouloir faire à autrui ce que l'on ne veut pas qu'il nous fasse. Onne peut donc pas désirer faire souffrir quelqu'un dans la mesure où l'on ne souhaite pas souffrir nous-même. Celui quiest donc capable de barbarie et d'exercer sa force comme un droit sur autrui est donc dépourvu de tout savoir etde toute connaissance. Il faut donc se méfier de l'homme ignorant. C'est en vue de la crainte de la tyrannie quePlaton suggère que le dirigeant d'un...
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Dissertation fiche argumentation
Co u rs 158 C o u rs L’argumentation 25 159 ➜ 2. Les exemples n Les exemples viennent appuyer les arguments en les illustrant. Ils permettent de concrétiser les arguments qui, seuls, restent abstraits : les exemples viennent vérifier une idée. Un bon exemple peut être une référence historique, littéraire, un fait d’actualité, une anecdote, une citation, une expérience… Types d’exemples Fonction Exemple illustratif (le plus courant) Cas particulier qui vérifie l’idée générale de l’arg...
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Fiche de lecture: « La dame des forges « De Nathalie de Broc
que le tempérament de Virginie va s'affirmer, et s'endurcir. Elle va s'allier à sa cause et à celle des ouvriers,choisissant son camps elle va se battre auprès de lui. Nanne va lui être d'un important soutien, la conseillant et laréconfortant à tout instant. Eylau de KerviléonDirigeant des forges d'Hennebont, appelé « le diable » par les ouvriers, celui-ci est comme son nom l'indique, mépriséet crains par tout ceux qui l'entourent. Il épousa une certaine Marie-louise, dont sa dot...
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L'ignorance est-elle une faute ?
différents degrés de la connaissance, où l'on trouve en neuvième et dernière position le Tyran. Démontrant ainsi quecelui qui est capable d'exercer une tyrannie sur autrui est avant tout un ignorant. C'est donc par la sottise que l'onen vient au mzl, à la faute. Car Platon part de la thèse que si tout homme est naturellement bon il ne peut pasvouloir faire de mal. De plus, il souligne le fait que l'on ne peut pas vouloir faire à autrui ce que l'on ne veut pas qu'ilnous fasse à nous même. On ne p...
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L'ignorance est-elle une faute ?
différents degrés de la connaissance, où l'on trouve en neuvième et dernière position le Tyran. Démontrant ainsi quecelui qui est capable d'exercer une tyrannie sur autrui est avant tout un ignorant. C'est donc par la sottise que l'onen vient au mzl, à la faute. Car Platon part de la thèse que si tout homme est naturellement bon il ne peut pasvouloir faire de mal. De plus, il souligne le fait que l'on ne peut pas vouloir faire à autrui ce que l'on ne veut pas qu'ilnous fasse à nous même. On ne p...
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- Dois-je me méfier de mes sens ?
- Est-il normal de se mefier de l'autre ?