87 résultats pour "maman"
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Définition:
BRAILLE2, substantif féminin.
— Par métaphore. Des orgues de Barbarie braillaient (ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, Antoinette, 1908, page 901 ). — Au figuré. C'était soir de mardi gras et les rues braillaient pleines de masques (PAUL DUVAL, DIT JEAN LORRAIN, Sensations et souvenirs, 1895, page 135 ). 2. [Le sujet désigne plus spécialement un enfant] Pleurer avec de grands cris : Ø 4. — Une fois que maman s'avait disputée avec sa patronne, j'ai été au poste avec mon petit frère Mimile dans les bras; il braillait tellement p...
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la grossesse
LE DEVELOPPEMENT 1ere semaine DU COTE DU BEBE Quelques heures après la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde, l’œuf va commencer à se diviser en deux cellules identiques , chaque cellule se dédouble pour produire deux cellules plus petites dites blastomères, toute les 20h, pour finir par ressembler à une petite mûre (la morula 3 ième jour). Le 4 ième jour, c’est le BLASTOCYSTE : Les cellules développantes vont se distribuer autour du BLASTOCELE (cavité liquidienne au milieu des cel...
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L'auberge de l'ange gardien
maison et nous sommes tout seuls.
L'HOMME.Est-ce que tu te sens malade? JACQUES.Non, mais j'ai trop faim, je n'ai pas mange hier; je n'avais plus qu'un morceau de pain pour Paul. L'homme sentit aussi ses yeux se mouiller; il tira de son bissac un bon morceau de pain, du fromage et une gourde de cidre, et presenta a Jacques le pain et le fromage pendant qu'il debouchait la gourde. Les yeux de Jacques brillerent: il allait porter le pain a sa bouche quand un regard jete sur son frere l'arreta: Et Paul? dit-il, il n'a rien pour...
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Wedekind, l'Éveil du printemps (extrait).
ans de plus que moi. Jeannot Rilow dit qu’il ne rêve encore que tartes à la crème et gelée d’abricots. MORITZ : Je te demande un peu : comment Jeannot Rilow peut-il en juger ? MELCHIOR : Il lui a demandé. MORITZ : Il lui a demandé ? Je ne m’y serais hasardé avec personne. MELCHIOR : Mais tu me l’as bien demandé, à moi. MORITZ : Dieu sait oui ! Peut-être que Jeannot avait déjà fait son testament auparavant. Un jeu étrange, vraiment, celui qu’on nous joue. Et il faut encore que nous rendi...
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COMMENTAIRE COMPOSE: "Le Chant de la petite hypertrophique, Jules Laforgue, le sanglot de la Terre
d'exclamation sont régulières. Par ailleurs, le poème est fait sous la forme d'une chanson comme le suggère le titrece qui pourrait être pensé aux gémissements des enfants à leur guise.Tout au long du texte, l'enfant grandit. Le lecteur pourrait penser que la première partie de ce poème est en faitseulement sentir lorsque l'auteur a perdu sa mère quand il était enfant et la deuxième partie de ce qu'il a comprisquand ils sont mûrs.Au début de la chanson, l'enfant est sûr de trouver sa mère à l'ut...
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La rencontre entre Meursault et Marie, L'Etranger de CAMUS
par le charme de leur jeunesse et de leur inexpérience.Cependant, derrière ce voile de banalité et médiocrité se lisent discrètement une autre dimension du héros de Camus.• Un être authentique qui ne ment pas et ne se plie pas hypocritement à la bienséance obligée de la société (voir fin et propos deCamus). Il aurait pu cacher sa cravate ou ne pas aller au bain ou au cinéma de peur du « qu'en dira-t-on ? »• Le héros de l'absurde, il a compris que rien n'a de sens vrai « cela ne signifiait rien »...
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« Aujourd'hui, maman est morte ... » - L'Etranger de Camus
100 1 Etude de L'Etranger j'ai couru pour ne pas manquer le départ. Cette hâte, cette course, c'est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l'odeur d'essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi. j'ai dormi pendant presque tout letra jet. Et quand je me suis réveillé, j'étais tassé contre un mili taire qui m'a souri et qui m'a demandé si je venais de loin. j'ai dit« oui» pour n'avo...
- Chère maman
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- LES BONS ENFANTS
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Baudelaire face à la morale bourgeoise de la fin du 19eme siècle
conséquent cette dernière perd tout pouvoir. Las de cette réflexion je replongeai dans mon livre.Reproduction du dessin de la constitution situé à l’origine à coté du texte : Je viens de trouver une preuve incontestable de ce que j’avançais dans ce carnet le 25 janvier 57 : il s’agit d’unelettre écrite par un sous- préfet. C’est mon ami, secrétaire de ce représentant de l’état, qui me l’a fournie. Nonseulement le régime, par sa manière de fonctionner, est autoritaire, mais la seule trace de démo...
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SUJET ► Vous commenterez le texte d’Albert Cohen
r: e son affectivité : quel regard l'adulte porte-t-il sur son enfance ? • Étudiez l'image de la mère. Lyrisme : voir lexique des notions. Troisième piste : un e ré flexion sur l'écriture autobiographique • Mesu rez la différence entre le début et la fin du texte. En quoi cela éclaire-t-il les effets de l'écriture autobiogr aphique ? • Com mentez notamment les deux derniè res phrases : effet produit ? • Quelle conception de l'écriture autobiographi...
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commentaire composé victor hugo
Table des matières Pr éface p3 « Une beaut é de quinze ans enfantine » Pierre de Ronsard p4 « Le balcon » Charle beaudelaire p6 « L'oreiller d'un enfant » Marcelline DesbardesValmore p8 « J'ai de toi une image » Maurice Car ême p10 « A ma mere » Alfred de Musset p12 « Maman » Thierry Cabot p14 « Avant qu'elle ne parte » Sexion d'Assaut p16 et 17
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Anthologie poétique
Table des matières Pr éface p3 « Une beaut é de quinze ans enfantine » Pierre de Ronsard p4 « Le balcon » Charle beaudelaire p6 « L'oreiller d'un enfant » Marcelline DesbardesValmore p8 « J'ai de toi une image » Maurice Car ême p10 « A ma mere » Alfred de Musset p12 « Maman » Thierry Cabot p14 « Avant qu'elle ne parte » Sexion d'Assaut p16 et 17
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L'Etranger de Camus (résumé et analyse)
CHAPITRE Il De retour à Alger, après une longue nuit de sommeil, Meursault décide d'aller passer son samedi à la plage. Il y rencontre une jeune femme, Marie Cardona, qu'il emmène au cinéma et qui finira la soirée chez lui. Le dimanche, désœuvré, Meursault erre dans l'appartement et observe, de son balcon, le ciel, les passants et le spectacle de la rue. La journée s'achève et il remarque: «J'ai pensé que c'était toujours un dimanche de tir...
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LA COMMUNICATION DES BEBES
Privé du langage, le bébé n'en possède pas moins des compétences qui le rendent capable d'interagir avec son entourage. D'ailleurs, il le fera d'autant plus facilement avec sa maman, mais aussi avec son papa ou ses frères et soeurs dont il a appris à reconnaître la voix pendant sa vie foetale. Si le langage n'est pas encore là, les 5 sens fonctionnent en revanche très bien et constituent pour le bébé de véritables outils de communication. C'est donc par le toucher, le goût, l'ouïe, la vue et l'...
- NOEL
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Rousseau - Les Confessions « Ici commence le court bonheur de ma vie » Commentaire composé
peuvent me flatter, et ces retours si vifs et si vrais dans l'époque dont je parle me font souvent vivre heur eux malgré mes malheurs. Je donnerai de ces souvenirs un seul exemple qui pourra faire juger de leur force et de leur vérité. Le premier jour que nous allâmes coucher aux Charmettes, maman était en chaise à porteurs, et je la suivais à pied. Le chemin mont e: elle était assez pesante, et craignant de trop fatiguer ses porteurs, elle voul...
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Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes.
— Elle évite de regarder sa mère (l. 29-30). Dans la suite du passage le narrateur suggère plusieurs causes à cetacte : « Peut-être fut-ce pour que celle-ci ne s'attristât pas en pensant que sa vue avait pu inquiéter sa fille.Peut-être par crainte d'une douleur trop forte qu'elle n'osa pas affronter. Peut-être par respect, parce qu'elle necroyait pas qu'il lui fût permis sans impiété de constater la trace de quelque affaiblissement intellectuel dans levisage vénéré. Peut-être pour mieux garde...
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Contes de la bécasse
"Cent francs par mois, c'est point suffisant pour nous priver du p'tit ; ça travaillera dans quéqu' z'ans c't' éfant
; i nous faut cent vingt francs.
"C'est-i té, m'n éfant ? C'est-i té, m'n éfant ?" Il la prit dans ses bras et l'embrassa, en répétant : "Bonjour, maman." Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de son ton calme qu'il ne perdait jamais : "Te v'là-t'il revenu Jean ?" Comme s'il l'avait vu un mois auparavant. Et, quand ils se furent reconnus, les parents voulurent tout de suite sortir le fieu dans le pays pour le montrer. On le conduisit chez le maire, chez l'adjoint, chez le curé, chez l'instituteur. Charlot, debout...
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l'etranger
Albert Camus, L’étranger. Roman (1942) 2 Politique d'utilisation de la bibliothèque des Classiques Toute reproduction et rediffusion de nos fichiers est interdite, même avec la mention de leur pr ovenance, sans l’autorisation for- melle, écrite, du fondateur des Cl assiques des sciences sociales, Jean-Marie Tremblay, sociologue. Les fichiers des Classiques des sciences sociales ne peuvent sans autorisation formelle: - être hébergés (en fichier ou pa ge web, en totalit...
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l'etranger
Albert Camus, L’étranger. Roman (1942) 2 Politique d'utilisation de la bibliothèque des Classiques Toute reproduction et rediffusion de nos fichiers est inte rdite, même avec la mention de leur provenance, sans l’autorisation for- melle, écrite, du fondateur des Classiques des sciences sociales, Jean -Marie Tremblay, sociologue. Les fichiers des Classiques des sciences sociales ne peuvent sans autorisation formelle: - être héb ergés (en fichier ou page web, en total...
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Rousseau – Les Confessions « Ici commence le court bonheur de ma vie »
peuvent me flatter, et ces retours si vifs et si vrais dans l'époque dont je parle me font souvent vivre heureux malgré mes malheurs. Je donnerai de ces souvenirs un seul exemple qui pourra f aire juger de leur force et de leur vérité. Le premier jour que nous allâmes coucher aux Charmettes, maman était en chaise à porteurs, et je la suivais à pied. Le chemin monte: elle était assez pesante, et craignant de trop fatiguer ses porteurs, elle voul u...
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BONBON, substantif masculin.
? Par comparaison?: ? 3. Elle aurait v?cu de sucre, les douceurs ? la vanille et ? la rose la troublaient comme un attouchement. ? ?a nous soutiendra, dit-elle. Et, dans l'antichambre, elle ferma les yeux, lorsqu'il la baisa sur la bouche. Leurs l?vres sucr?es fondaient, pareilles ? des bonbons. ?MILE ZOLA, Pot-Bouille, 1882, page 215. ? 4. J'ai mis des ann?es ? comprendre que la neurasth?nie et les scrupules de maman ?taient une gourmandise refoul?e, des grignotements d'?me, une d?lectat...
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--Vraiment louche, tout ça, dit enfin Ron.
—En tout cas, je suis content qu'on soit venus te chercher, dit Ron. Je commençais à m'inquiéter sérieusement en voyant que tu ne répondais pas à mes lettres. Au début, j'ai cru que c'était la faute d'Errol... —Errol ? —C'est notre hibou. Il est très vieux. Ce n'aurait pas été la première fois qu'il se serait évanoui d'épuisement en allant porter le courrier. Alors, j'ai essayé d'emprunter Hermès. —Qui ça ? —Le hibou que mes parents ont offert à Percy qua nd il a été nommé...
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- Enfance de Sarraute
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analyse d'un texte extrait de Les mots de Sartre .
Annonce des axes Dans un premier temps nous expliquerons la nature de son souvenir, puis nous analyserons ses rapports avec les « autres », enfin, nous étudierons la tonalité de l'extrait, révélatrice du regard de Sartre sur son enfance. Commentaire littéraire I. Un souvenir marquant pour l'auteur A/ Le jeune Sartre se découvre inexistant au regard des autres, lors de ses sorties au jardin d'enfants : -L e premier verbe du texte est à l'imparfait « avait », temps de la narration,...
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Liza vieillissait, elle cédait sous les coups du temps.
– Je nesais pas. Peut-être qu’unchocleréveillerait. Jusqu’icirienn’aréussi. – Je nesais pasm’y prendre, jerisquerais deme faire mal.Aufait, comment s’appellent les jumeaux ? – Ils n’ont pasdenom. – Vous voulezrire,Lee. – Pas dutout. – Comment lesappelle-t-il ? – Il lesappelle « eux ». – Je veux direquand ils’adresse àeux. – Quand ils’adresse àeux, ildit « toi » àl’un ouàl’autre. – Ça netient pasdebout, ditSamuel encolère. – Je voulais venirvousprévenir. Sivous neleréveillez pas,c’est unhomme mor...
- l'Etrangers Albert Camus
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qui oserait souiller du venin de l'envie les préparatifs faits par l'illustre et vertueuse dame, à
l'autel de laquelle est offert cet humble tribut d'admiration.
et de littérature. Lajeune lady,qui faisait la poésie dansla Gazette d’Eatanswill , s’était revêtue ouplutôt dévêtue d’uncostume d’odalisque. Elles’appuyait surlebras dujeune gentleman, qui faisait la critique, etqui portait fortconvenablement ununiforme defeld- maréchal, moinslesbottes. Ilyavait unearmée degénies delamême force,ettoute personne raisonnable auraitregardé commeunhonneur suffisant deserencontrer làavec eux ; maisily avait mieux encore, ilyavait unedemi-douzaine de lions de Londres...
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Dictionnaire en ligne:
DE2, DU, DE L', DE LA, DES2, article partitif.
Monsieur Octave vous conseille du xérès (JEAN GIRAUDOUX, Pour Lucrèce, 1944, I, 1, page 15 ). d) [Si le nom au singulier désigne une personne prise comme symbole d'une qualité ou d'un caractère] : Ø 3. M. Gladstone m'a paru, sous quelques aspects, un homme de génie, sous d'autres un enfant Il y a en lui de l'enfant, de l'homme d'État et du fou. PROSPER MÉRIMÉE, Lettres à une inconnue, tome 2, 1870, page 268. — En particulier. [Avec un nom propre de personne] Il y avait du Napoléon en lui (ANA...
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Définition du terme:
DE2, DU, DE L', DE LA, DES2, article partitif.
Monsieur Octave vous conseille du xérès (JEAN GIRAUDOUX, Pour Lucrèce, 1944, I, 1, page 15 ). d) [Si le nom au singulier désigne une personne prise comme symbole d'une qualité ou d'un caractère] : Ø 3. M. Gladstone m'a paru, sous quelques aspects, un homme de génie, sous d'autres un enfant Il y a en lui de l'enfant, de l'homme d'État et du fou. PROSPER MÉRIMÉE, Lettres à une inconnue, tome 2, 1870, page 268. — En particulier. [Avec un nom propre de personne] Il y avait du Napoléon en lui (ANA...
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Définition du terme:
COUDRE1, verbe transitif.
ville avec un énorme ballot qu'elle ouvrit, le soir, sur la table. C'étaient des pantalons d'homme, tout coupés; il ne restait plus qu'à les coudre. GEORGES DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Le Notaire du Havre, 1933, page 187. — RELIURE. Jean fut un petit enfant chétif que sa mère nourrissait tout en cousant les livres, feuille à feuille, avec l'aiguille courbe (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les désirs de Jean Servien, 1882, page 1 ). d) [Avec un complément d'objet interne] En...
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- Du côté de chez Swann Index Combray Un amour
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L'Etranger, Albert Camus - Le meurtre de l'arabe
sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front » (métaphores) c- L'apocalypse : le vocabulaire et lesexpressions concourent même à évoquer la fin du monde, l'Apocalypse « océan de métal bouillant », « la mer acharrié un souffle épais et ardent »; « C'est alors que tout a vacillé »; « il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur touteson étendue pour laisser pleuvoir du feu ». Utilisation d'hyperboles pour restituer les sensations de Meursault. Le feusymbolise les Enfers et même l'océa...
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Nothing to déclare.
425 Hilde quiadéjà farci ladinde et préparé tasalade Waldorf préférée. La mini-télévision coûtaitneufcentquatre-vingt-cinq couronnesdanoises.Cen’était riencomparé àl’état danslequel se trouvait AlbertKnag,ballotté danstouslessens selon lebon vouloir desafille. Etait-elle là,oui ounon ? Il commença àse retourner touslescinq pas.Ilse sentait àla fois espion etmarionnette. Neluiavait-on pasvolé sa propre libertéd’homme ? Il fallait aussiqu’ilailleàla boutique free-tax. Il ytrouva unenouvelle envelo...
- Pierre et Jean
- Le rôle de l'infirmier dans la prise en