670 résultats pour "soir"
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La corrida de Francis Cabrel, Samedi soir sur la terre (commentaire)
La corrida Francis Cabrel, Samedi soir sur la terre , 1994 Depuis le temps que je patiente Dans cette chambre noire J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante Au bout du couloir ; Quelqu'un a touché le verrou Et j'ai plongé vers le grand jour J'ai vu les fanfares , les barrières Et les gens autour Dans les premiers moments j'ai cru Qu'il fallait seulement se défendre Mais cette place est sans issue Je commence à comprendre Ils ont refermé derrière moi Ils ont eu peur qu...
- Charles COTTET: LES RAYONS DU SOIR.
- Excuses -Impossibilité d'aller à une soirée
- Demande de prêt d'appartement pour une soirée
- «Titre», Le 20 janvier 1997, j'ai acheté au supermarché dix sachets de chips de la marque "Chips pour tous" en vue d'une soirée que j'avais organisée.
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Monsieur Teste de Paul Valéry - Commentaire de "La Soirée" et de "Lettre à Madame Teste"
visage impassible, dépourvu de sourire : il pourrait être un de ces officiers supérieurs que Valéry croisait dans lescouloirs du Ministère de la Guerre. Son logement est aussi vide d'expression que sa personne; c'est un très petitappartement « garni », sans bibelots, sans livres : Dans la chambre verdâtre qui sentait la menthe, il n'y avaitautour de la bougie que le morne mobilier abstrait, le lit, la pendule, l'armoire à glace, deux fauteuils. Portrait moral: Une soirée à l'Opéra. M. Teste e...
- Le moulin - Émile Verhaeren, Les Soirs
- Harmonie du soir (1867). BAUDELAIRE
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Louis Ramond de Carbonnières: Le Soir
je l'entends répéter les mêmes chants funèbres, Et gémir les mêmes regrets. Sombre mélancolie, Tu mugis dans mon coeur, comme un torrent lointain ; Je vois avec effroi le couchant de ma vie Se rapprocher de son matin. Etoile errante, Je m'élevais dans un ciel pur ; Un vaste champ d'azur, S'offrait à ma course brillante ; La tempête est venue, effrayant l'univers ; Elle a voilé mon front de ces crêpes funèbres ; Je brillais au milieu des airs, Et je m'éteins dans les ténèbres. Cette élégie est c...
- Sonnet pour Hélène n°49 de Ronsard « Le soir qu'Amour vous fist en la salle descendre » Analyse globale et linéaire
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Après l'avoir engagée, avec force jurements, à ne plus faire aucun effort pour sortir ce soir-là, Sikes la laissa se remettre à
oisir et vint retrouver le juif.
– Je vous connais bien,répondit lajeune fillesans manifester lamoindre émotion. Bonsoir. » Fagin reprit lechemin desademeure, toutabsorbé parlespensées quis’agitaient danssoncerveau. Ilavait conçu l’idée, non plus seulement d’aprèscequi venait desepasser, bienquecela n’eût faitque l’yaffermir, maislentement etpar degrés, queNancy, fatiguée delabrutalité dubrigand, s’étaitprised’affection pourquelque nouvelami ;lechangement qui s’était produit danssonhumeur, sesabsences répétées, sonindifférence...
- SOIRÉES DE Paris, revue littéraire française
- SOIRS (Les) d' Émile Verhaeren (Résumé et analyse)
- Visiteurs du soir, les [Marcel Carné] - analyse du film.
- Leconte De Lisle: Le soir d'une bataille (Podcast)
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VICTOR HUGO: LA SAISON DES SEMAILLES, LE SOIR.
I. Composition. La point de départ est, comme toujours chez Hugo, une sensation vraie, qui se transforme d'elle-même en symbole. Il n'y a pas deux parti%, comme dans les poèmes symboliques de Vigny ou de Leconte de Lisle : l'image et sa traduction plus ou moins artificielle, en tout cas toujours voulue par le poète. Ici, c'est la vision réelle et forte qui s'imprègne d'idée et d'émo tion. Aucun besoin d'explication. Aux derniers vers, la sensa tio...
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Commentaire composé Soir de bataille Hérédia
"visages bruns" dernier mot du 2nd quatrain, également suggéré par les "feuilles mortes" connotation de tristesse - pas de sujet individualisé : groupes, pluriels "les soldats", "les centurions", "les cohortes",... "d'un œil morne" => même vision commune à tous les soldats b) le motif central Un personnage principal : l'Imperator qui se détache et apparaît comme un être sublime. champ lexical du rouge qui accentue l'éclat visuel: "rutilant", "vermeil" (rouge éclatant et flamboyant), "enflammé"...
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VICTOR HUGO
La saison des semailles, le soir.
VÎCTOu ijujo 215 I. Composition. La point de départ est, comme toujours chez Hugo, une sensation vraie, qui se transforme d'elle-même en symbole. 11 n'y a pas deux parties, comme dans les poèmes symboliques de Vigny ou de Leconte de Lisle: l'image et sa traduction plus ou moins artificielle, en tout cas toujours voulue par le poète. Ici, c'est la vision réelle et forte qui s'imprègne d'idée et d'émo- tion. Aucun besoin d'explication. Aux derniers vers, la sensa- tion s'agrandit...
- Article de presse: La dernière soirée de Saigon
- Un soir, un train [André Delvaux] - analyse du film.
- Degas: Femmes à la terrasse d'un café le soir
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HARMONIE DU SOIR - BAUDELAIRE, Fleurs du Mal (commentaire)
QUESTIONS A SE POSER --------- 1. Comment se présente la versification ? Nombre de vers, nombre de syllabes, disposition des vers, des strophes? 2. Quel rapport y a-t-il entre le mécanisme de la versi fication et le contenu du poème ? 3· Qu'est-ce qui fait la musicalité du poème? Rôle des rimes, sonorités des mots dans les vers, rimes intérieures, allitérations, emplacement des coupes et des accents toniques (ce qui détermine : le rythm...
- CINQ SOIRÉES
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Lettre à Louise Colet
Mardi soir, minuit.
pas assez recueilli, la critique me manque tout à fait ce soir. J'ai voulu seulement t'envoyer encore un baiser avant de m'endormir, te dire que je t'aimais. A peine t'ai-je eu quittée, et à mesure que je m'éloignais, ma pensée revolait vers toi. Elle courait plus vite que la fumée de la locomotive qui fuyait derrière nous (il y a du feu dans la comparaison - pardon de la pointe). Allons, un baiser, vite, tu sais comment, de ceux que dit l'Arioste, et encore un, oh encore ! encore et puis, ensui...
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- Dispute du soir
- TENUE DE SOIRÉE
- Joseph de MAISTRE: Les Soirées de Saint-Pétersbourg (Résumé & Analyse)
- UN SOIR... UN TRAIN
- LES VISITEURS DU SOIR
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Le lendemain soir, Meg a repris l'avion pour Melbourne.
tellement qu'ilyen ait d'autres commevous. Quoi ?a-t-elle répliqué surunton faussement féroce.Vousnesavez pas?Bien sûrqu'il yen a d'autres quilesont connus. J'ai regardé Mattetpuis j'aisorti mon stylo etmon carnet demon sac. Qui ?ai-je demandé. Elle aeu un sourire satisfait etelle s'est mise àparler. Une amie deFrydka, elles'appelait DyziaLew,elleporte maintenant lenom deMme Rybek. Elle aépousé unRusse. Aprèslaguerre, j'aidit, Jepars enOccident. Etelle adit, Pour quoifaire, il ya déjà trois cent...
- SOIRÉES DE MÉDAN (les)
- «Apostrophe» «Prénom», Je ne sais pas comment te remercier d'avoir gardé nos deux petits garnements hier soir.
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- «Apostrophe» «Prénom» J'ai bien reçu ton invitation pour la soirée du 10 novembre.
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Francis JAMMES: De l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir (Résumé & Analyse)
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)ANGÉLUS DE L•AUBE À L'ANGÉLUS DU som (D e r• F RAN ciS JAMMES . Poèmes, 1898. Composé d'une centaine de très courts poèmes, ce recueil rassemble l'essentiel de la première floraison poétique de l'auteur. D'emblée se déploie tout l'univers qui foi tnera le cadre de sa création: au centre, la nature: saisie à travers les multiples éléments qui composent le cadre de vie quotidien du poète, dans cette cam pagne béarnaise...
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Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Tableaux Parisiens, Le Crépuscule du Soir, CX.
périodique du style : chacune des trois parties que nous avons distinguées ne comprend qu'une phrase. On songeaux idées exposées dans la Genèse d'un Poème : « S'il est une chose évidente, c'est qu'un plan quelconque, dignedu nom de plan, doit avoir été soigneusement élaboré en vue du dénouement... C'est en ayant sans cesse la penséedu dénouement devant les yeux, que nous pouvons donner à un plan son indispensable physionomie de logique et decausalité, en faisant que tous les incidents et particu...
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J'errais un soir dans l'enceinte de Bhir Mound, délimitée par un talus de déblais.
En visitant àCalcutta lecélèbre templejaïn,construit auXIX esiècle parunmilliardaire dansunparc plein destatues en fonte barbouillée d’argentouenmarbre sculptépardes Italiens maladroits, jecroyais reconnaître, danscepavillon d’albâtre incrustéd’unemosaïque demiroirs ettout imprégné deparfum, l’imagelaplus ambitieuse quenosgrands- parents auraient puconcevoir, enleur prime jeunesse, d’unemaison closedehaut luxe. Mais enme faisant cette réflexion, jene blâmais pasl’Inde debâtir destemples semblabl...
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âgée qui s'est habillée de façon extravagante pour une soirée ordinaire peut vous mettre dans
l'embarras.
sont closes enpermanence etdont leslivres nepeuvent doncêtrelus,aupied duquel sont inscrits lesnoms desendroits oùprès desoixante-dix milleJuifsviennois ontétéexterminés – après avoirvutout celadonc, quenous sommes allés,ledernier jour,auZentralfriedhof, au grand Cimetière centraldelaville. Nous ysommes allésparce queFroma tenaittout particulièrement àtrouver latombe originale dupionnier dusionisme auXIX e siècle, Theodor Herzl, « lepère del'Israël moderne », mortàVienne en1904 àl'âge dequarante...
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Les astres ne sont plus ces points brillants qu'on retrouve chaque soir dans le ciel au
même endroit, immuables et inaccessibles.
lumière pour parvenir jusqu'à nous : la lumière provenant d'un objet situé à une distance de 12 milliards d'années-lumière a quitté ce dernier il y a 12 milliards d'années, c'est-à-dire peu de temps après la naissance de l'Univers. Cette distance représente à peu près ce que l'on a pu observer de plus éloigné et est assez proche de la limite théorique au-delà de laquelle il n'est plus possible d'observer quoi que ce soit, puisque ce qui est au-delà correspondrait à des temps antérieurs à...
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Le Docteur Pascal
Il s'etait assis de nouveau devant sa table, il ecrivit simplement: "Je t'attends, pars ce soir.
un cerveau autrefois si solide, l'avait averti d'un danger sourd et imminent. --Ne vouliez-vous pas envoyer cette depeche tout de suite? --Oui, oui! allez vite, mon bon Ramond, et je vous attends apres-demain. Elle sera ici, je veux que vous accouriez nous embrasser. La journee fut longue. Et, cette nuit-la, vers quatre heures, comme Pascal venait enfin de s'endormir, apres une insomnie heureuse d'espoirs et de reves, il fut reveille brutalement par une crise effroyable. Il lui sembla qu'un poid...
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Commentaires Bel-Ami : 1) 1ère partie, chapitre 6, la promenade avec Norbert de Varenne, depuis « Il arrive un jour, voyez-vous ? » jusqu'à « ... l'air des soirs d'été, si doux à respirer »
ce que nous faisons c’est mourir. ». Mais aussi Maupassant utilise le champ lexical du temps. En effet « mois, heure » « jadis » « seconde ». De plus la mort a selon lui commencé à le « travailler » depuis l’âge de quinze ans. Depuis cet événement la mort prend une place omniprésente chez Norbert de Varenne, comme s’il portait en lui « une bête rongeuse ». Les exclamations sont, elles aussi, utilisées de façon contrastée : la première exprime la souffrance,...
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Main FOURNIER, Le Grand Meaulnes (L'arrivée d'Augustin Meaulnes comme interne dans un bourg de Sologne, chez un directeur d'école, a été pour le fils de ce dernier, François, le narrateur, « le commencement d'une vie nouvelle ». Jusque-là, après quatre heures, on ne le laissait guère sortir : il s'adonnait à la lecture, puis, le soir venu, « sans rien dire », il regardait sa mère « allumer son feu dans l'étroite cuisine où vacillait la flamme d'une bougie ».)
2. a) Le manque de clarté fait que l'on ne peut distinguer nettement ceux qui forment le groupe, on ne voit qu'unensemble imprécis.b) Il avait le sentiment d'avoir commis une bêtise et il en était confus.3. Un groupe confus d'élèves.C — COMPRÉHENSION (5 points)(Les réponses devront s'appuyer sur des citations du texte judicieusement choisies.) 1. l. 1-6 : Caractérisez l'atmosphère dans laquelle vivait le narrateur avant l'arrivée de Meaulnes.2. l. 7-13 : Quel univers découvre-t-il? Avec quels se...
- Invitation à une soirée déguisée
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Du Côté de Chez Swann
la même sensation d'étouffement que peut causer aujourd'hui à des gens habitués à vingt ans d'électricité
l'odeur d'une lampe qui charbonne ou d'une veilleuse qui file.
si flatteur à voir proclamer à la face des "fidèles", mais depuis qu'il s'était aperçu qu'à beaucoup d'hommes Odette semblait une femme ravissante et désirable, le charme qu'avait pour eux son corps avait éveillé en lui un besoin douloureux de la maîtriser entièrement dans les moindres parties de son cur. Et il avait commencé d'attacher un prix inestimable à ces moments passés chez elle le soir, où il l'asseyait sur ses genoux, lui faisait dire ce qu'elle pensait d'une chose, d'une autr...
- Excuses après une soirée
- Invitation à une soirée diapos
- LA FIÈVRE DU SAMEDI SOIR
- CHAQUE SOIR A NEUF HEURES
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Du Côté de Chez Swann
Mais, ne la lâchant pas, comme un chirurgien attend la fin du spasme qui interrompt son intervention mais ne
l'y fait pas renoncer:
Tu as bien tort de te figurer que je t'en voudrais le moins du monde, Odette, lui dit-il avec une douceur
persuasive et menteuse.
faire la connaissance de la douleur la plus cruelle qu'il eût encore jamais connue, sa jalousie ne trouvait pas qu'il eut assez souffert et cherchait à lui faire recevoir une blessure plus profonde encore. Telle comme une divinité méchante, sa jalousie inspirait Swann et le poussait à sa perte. Ce ne fut pas sa faute, mais celle d'Odette seulement si d'abord son supplice ne s'aggrava pas. \24 Ma chérie, lui dit-il, c'est fini, était-ce avec une personne que je connais? \24 Mais non je te...
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La maison Tellier de Maupassant (texte intégral)
était comme un repos dans le badinage polisson des particuliers ventrus qui se livraient chaque soir à cettedébauche honnête et médiocre de boire un verre de liqueur en compagnie de filles publiques. Les trois dames du premier s'appelaient Fernande, Raphaëlle et Rosa la Rosse. Le personnel étant restreint, on avait tâché que chacune d'elles fût comme un échantillon, un résumé de typeféminin, afin que tout consommateur pût trouver là, à peu près du moins, la réalisation de son idéal. Fer...
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tendrement deux mots, sans l'avoir voulu, sans avoir pensé à lui.
s'écriait-elle, etelle arrangeait lesfleurs avecuneardeur redoublée. Tout àcoup, àpropos derien, fourrageant dansuntiroir, elledisait :alors, çava, mon vieux ?S'aperce-vant qu'ellevenait de s'adresser àlui, elle secachait labouche sacrilège, scandalisée, maisassez fièredecet exploit. Elle s'arrêtait soudaindetravailler, décidaitdes'amuser, allaits'asseoir devantlesecrétaire, écrivaitvingtoutrente foisle nom del'aimé, puislesautres noms,Lalos,Alsol,Losal. Ouencore, deboutdevant 473 la glace, elle...