731 résultats pour "identiques"
-
Peut-on attribuer à l'animal une valeur identique a celle de l'homme ?
paix & de tranquillité se répand dans toute la Machine; l'Ame se sent mollement s'appésantir avec les paupières &s'affaisser avec les fibres du cerveau: elle devient ainsi peu à peu comme paralitique, avec tous les muscles ducorps […] Enfin, comme la seule cessation des fonctions de l'Ame procure le Sommeil […] Le corps humain est uneMachine qui monte elle-même ses ressorts; vivante image du mouvement perpetuel […] Des Animaux à l'Homme, latransition n'est pas violente […] l'Ame n'est qu'un p...
-
Didactique de la production écrite
L'aspect thymique est indispensable dans tous les métiers, mais on trouve aussi un aspect
social, un aspect technique, un aspect d'identité historique, un aspect intime (décision de faire
un métier, s'en donner les moyens).
La lecture littéraire est avant tout un dialogue entre un monde de valeurs, celui présent dans le monde du texte, et son monde de valeurs à soi. Processus : acquérir des savoirs sur le processus d’élaboration des textes, éprouver soi-même ce savoir-faire, avant de le faire vivre et partager par les élèves. Elaborer en équipe de cycle, au pluridisciplinaire (collège), des outils pour l’intervention avec les élèves sur leurs écrits, assez robustes pour s’adapter aux différentes situations de p...
- Puis-je perdre mon identité ?
- Dans quelle mesure peut-on parler d'identité européenne de nos jours ?
- MÉMOIRE SUR L’IDENTITÉ DES DIVERSES RADIATIONS LUMINEUSES ET CALORIFIQUES
-
Être égaux, est-ce être identiques ?
définit une répartition des tâches et une spécialisation de groupes sociaux distincts dans ces tâches. Le caractèrecomplémentaire de ces tâches détermine une réciprocité de la dépendance, qui interdit à chaque partie de s'arrogerplus qu'il ne lui est dû, ou de faillir à sa fonction. Chacun apporte et reçoit, et la définition liminaire de la justice estqu'à chacun soit donné son dû. Cette justice de répartition fixe une certaine règle d'égalité (isonomia) qui déterminela constitution de la Cité j...
- Identité remarquables
- IDENTITÉ JUDICIAIRE
-
-
Voix et identité
« L’invisibilité de la voix semble en résonance avec l’intériorité du sujet qu’elle révèle, écrit David Le Breton. Elle dit une subjectivité, une singularité. » La voix est plus que la présence d’un corps, elle est autant qu’un sourire, un visage, un regard…Personne ne pourrait remettre en cause cette évidence : la voix est symbole d’identité, tant personnelle que culturelle. Pour autant, il est pertinent de se questionner sur ce qui dans la voix participe à notre identité. Il est manifeste...
- Le fascisme italien et le nazisme : deux régimes identiques ? (1919-1939) - Histoire
-
Fernand Braudel, L'Identité de la France, Tome II, 1986, Flammarion
argumentation. (6 points) L'AUTEUR ET SON ŒUVRE 11902-19851 Fernand Braudel est un historien français né à Luméville-en-Ornois en 1902. D'abord enseignant à Alger (1924-1932), puis à Paris (1932-1935) et à Sao-Paulo (1935-1937), il devient Directeurde l'École pratique des Hautes Études (1937). En 1939, il est nommé professeur au Collège de France. Il fait partie dès 1946 de l'équipe dirigeante des Annales (économies, sociétés, civilisations), revue historiquenovatrice fondée par Lucien...
-
Comment se fait il qu'en dépit du temps je demeure le même
[III. Le sujet de l'action.] [1. Critique de l'identité du moi comme sujet de la connaissance.] Le sujet identique à lui-même à travers le tempsque nous venons de trouver en l'espèce du sujet transcendantal (lequel est en effet, par hypothèse, condition del'expérience, et n'est donc pas soumis à cette dernière, et par conséquent au temps qui est l'une des formes del'expérience) reste certes le même en dépit du temps, mais est-ce encore moi? On pourrait en douter à la lecture dela suite du texte...
-
Examinez cette pensée de Valéry : « On sait bien qu'on est le même, mais on serait fort en peine de le démontrer. Le moi n'est peut-être qu'une notation commode. » ?
identité biologique et mon identité sociale se confondent dans le travail incessant de ma mémoire, véritableinstrument qui me réajuste sans cesse, véritable chaîne sur laquelle court les diverses modifications et dessins de latrame du moi.Mon corps, ma mémoire, mais je sais aussi que mon corps change, que ma mémoire se transforme et que j'oublie, etque je me ressouviens de ce que j'avais oublié. J'ai la certitude d'être le même à travers le temps, et je n'aperçoistoujours pas cette réali...
-
l'appellerons-nous, Théétète ?
LA CONCEPTION DU SAVOIR 243 venons-nous de dire par ces mots différent et identi que? Est-ce que ce sont deux genres différents des trois premiers, bien que toujours mêlés nécessaire ment à eux ? faut-il en compter cinq et non pas trois, ou bien en disant : identique et différent, est-ce que nous n'employons pas un terme qui revient à l'un ou à l'autre de ces trois genres? - T. Il se peut. - É. Voyons, mouvement-repos, en...
- clone clone, organisme ou groupe d'organismes identiques dérivés d'une même cellule ; le terme s'appliquant aux cellules autant qu'aux organismes pluricellulaires, un groupe de cellules originaires d'une cellule unique est également appelé clone.
- Anne Ubersfeld définit la problématique du drame romantique comme celle d'un personnage en quête de soi et qui parviendra « à une révélation généralement mortelle de son identité propre». Pouvez-vous justifier cette opinion en l'appliquant au drame romantique que vous avez étudié ?
-
-
Commentaire Husserl (du §31 au §32-al1 des Méditations Cartésiennes)
Le manque de profondeur jusqu'à présent consiste dans le fait que l'unification du champ transcendantal ne se faisait qu'à travers un objet visé par le cogito : « nous n'avons dirigé notre regard que sur le courant du cogito ». Ceci justifiait les critiques dont Husserl était l'objet. Le « moi pur » était un « Je » indescriptible, un vide d'essence, libre et indéterminé. Mais dans sa liberté, le « moi pur » demeure libre de s'intuitionner lui-même de façon réellement ré...
-
Autrui est-il mon semblable ?
c'est-à-dire ce qui vaut, comme subjectif et immanent. Et en effet, la morale spinoziste est bâtie sur ce principe:autrui est une valeur en tant qu'il m'est le plus utile. Et comment reconnaître le plus utile? Comment le reconnaîtresans sortir de l'immanence et de l'expérience? C'est celui qui me ressemble.Cependant, nous voyons ici le problème qui se pose et qui n'a pas échappé à Spinoza. Celui qui me ressemble, àquoi en moi doit-il ressembler? Le drogué ressemble au drogué. Lui est-il "le plus...
-
Autrui est-il un autre moi-même ?
DURKHEIM, Les formes élémentaires de la vie religieuse , Introduction. « [...] L'homme est double . En lui, il y a deux êtres : un être individuel qui a sa base dans l'organisme et dont le cercle d'action se trouve, par cela même, étroitement limité, et un être social qui représente en nous la plus grande réalité , dans l'ordre intellectuel et moral, que nous puissions connaître par l'observation, j'entends la société . [...] Dans la mesure où il participe de la société, l'...
-
Notre identité dépend-elle du jugement des autres ?
notre singularité à la fois dans la subjectivité -intimité et dans l’objectivité -extériorité.
-
Peut-on être étranger À SOI-MÊME?
du voyant, est à prendre au sérieux. Le «long et patient dérèglement de tous les sens» du poète le rendrait étranger à lui-même. •La vie sociale serait pourtant impossible sans un sujet responsable 1- de ses actes. Tenir une promesse suppose .d'être toujours la même ~ personne, à qui l'on va demander des comptes. Hume voyait dans le :J sujet une fiction. Il décrit le moi comme l'effet des passions qui le Ul prennent pour objet...
-
L'explication par analogie. Ses diverses formes. Sa valeur. ?
et par là mieux comprendre. Mais, nous l'avons dit, parler métaphoriquement, c'est parler par analogie.Ces! par analogie encore que le philosophe se représente l'âme et Dieu. Nous n'avons en effet l'idée propre que dumonde matériel. Nos idées ne peuvent nous faire comprendre l'âme et Dieu que grâce aux analogies qu'il y a entre lamatière et l'esprit, entre la créature et le créateur:L'âme (animus), l'esprit (spiritus), c'est au sens propre, le vent, le souffle. Mais le vent est dans le monde mat...
-
Commentaire de texte de Une Passion Dans Le Désert
Qu’est-ce qu’une grotte humide aux lambris rouges, en plein milieu du désert ? Il s’agit d’une métaphore, et ce n’est pas maladroit de l’interpréter comme ça. C’est lenouvel espace de l’imaginaire de l’homme, une grotte vaginale, une représentation de la féminité. Mais est-il anodin que le soldat dorme dans cette grotte ? Non, etc’est parce qu’ici commence la tonalité du récit. Une métaphore filée commence avec la rentrée de la panthère, « une respiration sauvage » et inhumaine, un énormeanimal...
-
Comment se fait-il qu'en dépit du temps je demeure toujours le même ?
sommes obligés de la détacher du corps pour qu'elle ait un sens. - Personne ne peut, par exemple, prétendre avoir jamais eu une impression claire et distincte de son âme. « De quelle impression cette idée pourrait-elle être tirée ? Il est impossible derépondre à cette question sans contradiction ni absurdités manifestes » déclarera Hume ( Traité de la nature humaine , Livre I, partie IV, section VI) - En effet, l'âme est supposée rester continue et constante,...
-
-
Commentaire de Texte - Locke, II, 27, paragraphe 20
pense, en fait, qu'on est plusieurs personnes puisque la Loi le précise : en effet on ne punit pas un fou pour les actes accomplis « par l'Homme » alors que c'est le même homme au sens physique qui a commis ces actes, mais la Loi fait la distinction et s'applique à des personnes distinctes. Ce n'est plus la même personne alors que c'est le même homme. Dans les paroles aussi et le langage, il n'e...
-
Raoul Vaneigem (1934)
L'identité et non pas l'identification
L'école a prorogé pendant des siècles la mise sous séquestre de l'enfant par la famille autoritaire et patriarcale.
Car le surpeuplement des classes n'est pas seulement cause de comportements barbares, de vandalisme, de d?linquance, d'ennui, de d?sespoir, il perp?tue de surcro?t l'ignoble crit?re de comp?titivit?, la lutte concurrentielle qui ?limine quiconque ne se conforme pas aux exigences du march?. La brute arriviste l'emportant sur l'?tre sensible et g?n?reux, voil? ce que les margoulins au pouvoir appellent eux aussi, comme les brillants penseurs de jadis, une s?lection naturelle. Il n'y a pas d'enfant...
-
Changer est-ce devenir un autre ?
L'analyse du professeur Ce sujet peut apparaître initialement comme trompeur et faussement problématique. En effet, n'est-ce pas un faux problème que de déduire du fait que nous changeons sans cesse le fait que nous devenons quelqu'un d'autre ? Nous sentons bien que nous restons le même et il semble absurde de dire que nous changeons radicalement d'identité. Pourtant nous savons bien, après plusieurs années de recul, que nous peinons à reconnaître des gens que nous n'avons pas vu. D...
-
Peut-on ne pas être soi-même ?
Transition : Ainsi, il semble que l'on soit toujours soi-même. Et cette thèse est soutenue par deux pointsfondamentaux :a) La connaissance de soib) L'affirmation de soi à l'égard des autres SECONDE PARTIE : Difficultés de la thèse soulevée en première partie Sous-partie 1 Argument : OR d'un point de vue philosophique, la connaissance de soi soulève une difficulté majeure - La connaissance suppose toujours deux choses : un SUJET CONNAISSANT et un OBJET CONNU. (repèreSubjectif/Ob...
-
Comment se fait-il qu'en dépit du temps je reste le même ?
Cette permanence du sujet empirique reste cependant contingente, et donc sujette à caution. Le moi ainsi définireste en effet celui de la simple existence naturelle, et son identité est soumise aux lois de la nature et à lamultiplicité des causes naturelles qui peuvent la remettre en cause. C'est ce que Pascal décrit dans les Pensées(éd. Brunschvicg, 323): “... celui qui aime quelqu'un à cause de sa beauté, l’aime-t-il? Non, car lapetite vérole, qui tuera la beauté sans tu...
-
Dissertation Identité et Changement
KHOLLE DE PHILOSOPHIE N°1 : IDENTITE ET CHANGEMENT INTRODUCTION Définir notre identité semble être un exercice complexe. En effet, cette notion est dépendante du temps et des changements qu’il entraine. L’être humain évolue, change et se transforme, son identité est donc difficilement définissable. On peut alors parler de métamorphoses du « moi » qui indique les changements de forme ou de nature sur le « moi » qui se définit comme une unité, une individualité, soit une identité. Le temp...
-
Ma conscience est-elle le fondement de mon identité ?
- Dans l'expérience du doute, je me découvre moi-même comme ce qui résiste au néant, comme un subsistant, unreste, ce qui résiste en dernier appel, par delà toutes les destructions que l'on peut tenter. - En effet, une fois que j'ai douté de tout, y compris de moi-même, apparaît une première certitude : je peux douter de tout, mais je ne peux douter de la condition inhérente à l'acte même de douter; il faut bien que moi quime persuade que je rêve ou que je suis fou, moi qui veux douter, je pe...
-
l'ethnie et la nation
création des valeurs culturelles, morales, intellectuelles propres aux relations qu'il entretient avec le monde. C'est cette rupture perpétuelle avec le déjà là, et l'ouverture perpétuelle à quelque chose de nouveau qui fondent la perfectibilité humaine .C'est cette perfectibilité humaine, et donc cette liberté essentielle (quoi qu'embryonnaire) qui explique la différence ethnique ; ceci pour montrer que chaque peuple se représente le monde à sa manière. II-L'ethnie et ses caractéristiques On...
-
-
Fiche de lecture : Dom Juan ou le Festin de Pierre
croit pas.Acte V, scène 4 : Sganarelle, apeuré, essaye de prévenir Dom Juan que le Ciel ne lui pardonnera pas ses folies maisil s'en moque.Acte V, scène 5 : Un spectre apparaît et dit à Dom Juan que c'est le dernier moment pour se repentir. Dom Juanrefuse.Acte V, scène 6 : La statue du commandeur demande à Dom Juan de la suivre dans le tombeau et l'attire auxenfers. Personne ne le pleure sauf Sganarelle qui crie « Mes gages ! Mes gages ». Les personnages : Dom Juan :• Eléments d'identité : hom...
-
Dissertation sur Racine
Connus de tous pour être un tyran, c’est également ainsi qu’il est dépeint dans la pièce. Il est l’auteur de l’enlèvement de Junie, la contraint à mentir à Britannicus, tends à vouloir être craint par son peuple car lassé de lui plaire, veut évincer sa propre mère, etc. Or, cet aspect tyrannique entre en contradiction avec son aspect tyrannisé : en effet, au-delà du pouvoir et de l’autorité qu’il exerce,...
-
Explication de texte Essai sur l’entendement humain, Locke
dire que le principe religieux selon lequel l’âme fait l’unité de la personne et lui permet d’exister et d’être lui-même comme avant sa mort est à remettre en cause ? Dans un deuxième temps, après avoir réfutée la seule existence de l’âme, Locke explique que c’est la conscience, qui conjointement à l’âme, donne une identité à l’homme. Ce sentiment que l’on a de nos propres actions, sentiment qui accompagne toutes nos perceptions,...
-
devoir numéro 4 bts tourisme cned
Nom : conde Prénom : ousmane Indicatif : T5040033203 Cliquez dans ce cadre pour renseigner les champs Code classe (3 chiffres) : Code mati ère (4 chiffres) : N ° du devoir (2 chiffres) : 01 Page 2 / 10 contribue d’autant plus à construire cette identité. Enfin, l’étranger (le touriste) participe pleinement à l’établissement de cette identité puisqu’au cours de ses voyages, il aime gouter des plats typiques du lieu où il se trouve. C’est grâce aux étrangers que les...
-
Le Voyageur sans bagage de Jean Anouilh
Le Boulanger, La Boulangère et le Petit Mitron 1969 Cher Antoine 1976 Chers Zoizeaux 1981 Le Nombril Le voyageur sans bagage de Jean Anouilh fut publié en 1937. Dans cette pièce de théâtre, Gaston, le personnage principal est à la recherche de sa mémoire. Quelles sont les thèmes principaux que Jean Anouilh utilise dans cette œuvre ? Nous allons étudier les deux facettes de L’identité de notre héros. L’identité : Le voyageur sans bagage est une pièce de théâtre composée de cinq tableaux, le thè...
-
Passion et identité personnelle
PRËSU PPOSËS ..,. Les passions pourraient dépossé der le sujet de lui-même, l'aliéner, et affe cter la co nscienc e qu'il a de lui-même. -:; ..,. tl peut y av oir une césu re au sein de l'individu : le «je» pou rrait ne oc pas être «m oi». � .,.. •1 est possi ble de savoi r si l'on est ou non soi-même : le «je» serait u apte à se conna ître, à se définir et à se décri re . ..,. La passi on ne m'em pêcherait pas d'effec tuer le mouvem ent réflexif...
-
La question qui suis-je admet-elle une réponse exacte ?
Transition : les sciences me disent « ce que je suis », mais échouent à me dire « qui je suis ». Elles m'envisagent comme un objet, rendent l'existence abstraite en en faisant un secteur objectif.Or, le sujet humain n'est jamais un objet. S'il faut alors abandonner l'espoir de l'exactitude en cequi concerne notre singularité propre, cela signifie-t-il qu'une réponse au problème de l'identitéest définitivement introuvable ? III- D'UNE «CONNAISSANCE» DE SOI INTROUVABLE A UNE «INTERPRET...
-
Peut on ne pas être soi même ?
L'enjeu du devoir sera donc de déterminer cette quête essentielle, savoir si l'on doit apprendre à être soi- même et si certains éléments peuvent aider à s'accomplir et déterminer les limites internes, les conditions d'exercicede l'identité.Première Partie : Je suis moi-même et il est impossible de ne pas être soi même 1er Moment : Le moi comme témoin de la conscience de soi. Comment puis-je définir ce qu'est le moi ? Pascal pose ouvertement la question en se demandant cela sansq...
-
-
L'identité du moi est-elle constituée par la mémoire ?
Si l'homme est conditionné par son passé, Sartre soutient pourtant la thèse qu'il est un perpétuel projet. « Ainsi, iln'y a pas de nature humaine, puisqu'il n'y a pas de Dieu pour la concevoir. L'homme est non seulement tel qu'il seconçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan versl'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. [...] Nousvoulons dire que l'homme existe...
-
Cours Prépa ECS La question du moi
CCL : lien indissoluble (essentiel/constitutif) entre la pensée et le moi. Ce qui me définit moi c’est la pensée. L’identité du moi réside en ce sens dans la pensée. Le critère de l’identité c’est la pensée. « Mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense ou une substance dont toute l’essence ou la nature n’est que de penser ». L’essence du moi c’est la substance pensante. B- La substantialisation du moi : Aristote dans La métaphysique « l’être se dit e...
- Faire de la philosophie et être philosophe ces deux expressions vous paraissent-elles identiques ?
- Les mécanismes du pouvoir sont-ils identiques dans toutes les cultures ?
-
Qu'est ce que l'identité ?
- C'est dans et par l'exercice du doute que Descartes va mettre en évidence le caractère irréductible et fondamental de la conscience. Descartesentend reconstruire le monde de la connaissance en un moment culturel dedoute et de crise. En quête du vrai, c'est-à-dire d'une certitude inébranlable,Descartes cherche à discerner ce qui est indubitable et se propose pour celade réévaluer les connaissances en leur principe même. - Il commence par considérer comme faux tout ce en quoi il pourrait...
-
Qu'est-ce qui fait l'identité du moi ?
reste, ce qui résiste en dernier appel, par delà toutes les destructions que l'on peut tenter. - En effet, une fois que j'ai douté de tout, y compris de moi-même, apparaît une première certitude : je peux douter de tout, mais je ne peux douter de la condition inhérente à l'acte même de douter; il faut bien que moi quime persuade que je rêve ou que je suis fou, moi qui veux douter, je pense et que je sois ou j'existe, justement pourpouvoir penser. Au moment où je doue, je pense et au moment o...
-
Suis-je ce que je crois être ?
La personnalisation : L'identité personnelle n'est pas donnée comme un fait, comme une étiquette qu'il s'agirait seulement de lire.Elle est prise dans une dynamique. Elle participe d'une prise de conscience personnelle. C'est une chose assezétrange, mais on peut ne pas être pleinement « soi », tant que la conscience est encore trop « autre ». Le soi indique le sujet de l'identité, c'est-à-dire ce qui est le même, quelque soit le changement : en sanskrit âtman,en grec auto, comme dans auto ré...
-
Philosophie : Le sujet est-il conscient de lui-même ?
=l en vient alors à n’avoir qu’une certitude : la seule chose indubitable est qu’il doute car précisément, s’il n’était pas certain qu’il doute, alors cela constituerait une mise en abyme du fait qu’il doute. De plus, le doute est irrémédiablement lié à une activité de pensée. C’est en effet une réflexion. Dans ce cas, il est certain de penser, sans quoi il ne douterait pas. Et par ailleurs, le simple fait d’avoir cette activité pensante indique qu’il est le siège de cette activit...
-
-
Devoir maison de Philosophie
« Qu'est-ce que le moi?
le fait d'être le même individu dans le temps suite justement à cette mémoire qui nous permet de nous souvenir de nos apprentissages, de nos acquis, de notre passé et donc en conclusion de tout ce qui nous permet de construire notre identité et qui nous permet d'êtres nous-mêmes. Nous pouvons aussi alors utiliser la citation précédente de Kant pour permettre de définir la dernière partie de l'identité l'Unité. Comme le dit Kant l'Homme fait preuve d'Unité dans la conscience. Dans cette phra...
-
Le moi s'identifie-t-il à la conscience ?
desquelles ils ne se distinguent pas. Ils sont pris dans le stimulus, et sont pour cela comme dans un présent absolu,celui de son actualité.L'homme, au contraire, ordonne ses sensations autour de la représentation de son moi, ce qui le place non plus dansle monde, mais face au monde. Dans le premier cas, il aurait fait un avec le stimulus; dans le second, il se distinguede lui et l'objet perçu devient précisément à ce moment-là «ob-jet », c'est-à-dire une réalité placée (jectum)devant (ob...