8651 résultats pour "chose"
- Le respect s'applique toujours uniquement aux personnes, jamais aux choses.
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Prokopiv a dit quelque chose d'autre à Alex, mais au ton de sa voix, j'ai su que c'était une
question.
s'intéressait auxfaits qu'Alex avaitétéfroissé etavait dit,Jesuis désolé, maiscomment pouvez- voussavoir ça,iln'y aaucune preuvedanscecas précis, c'étaitjusteuneclairière, n'importe quelendroit auraitfaitl'affaire, n'importe quiaurait putrouver unendroit comme celui-ci ouunautre, d'accord ?C'était pourmettre finàcette tension quej'avais prislaparole, alors quenous noustenions danslaclairière verdoyante, etdit, Je crois quenous devrions simplement penseràcette jeune fille,unejeune filledeseize an...
- LE PRINCE, Machiavel: Combien peut la fortune dans les choses humaines et comment il faut lui résister (chapitre 25)
- Définitions de gauche, adjectif(aussi nom féminin, nom masculin, interjection) Dont au moins une série d'au moins trois points choisis sur le bord ou la surface d'une chose ne présente pas d'alignement.
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Paul Guimard, Les choses de la vie, Denoël, 1967, éditions Folio
Pierre Delhommeau est avocat. Il a 44 ans, et roule sur la N13 en direction de Rennes auvolant de sa MG, pour rejoindre un confrère. Dans sa poche, une lettre écrite il y a plusieurs mois dans un moment de colère, et adresséeà sa femme Hélène. Dans cette missive au lyrisme égoïste, Pierre lui annonce qu'il la quitte.Il fuit son intransigeance, sa façon toute personnelle d'essayer de faire coller la réalité à sonpropre point de vue, ses colères, son intolérance. Cette lettre ressemble aux petit...
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Commentez cette parole de Spinoza: "Le philosophe ne pense à aucune chose moins qu'à la mort et sa philosophie est une méditation de la vie, non de la mort" ?
comme elle est l'absurdité définitive, celle qui annule les significations... Il (l'homme) pense y échapper et seconsoler du présent qui meurt en courant à l'avenir qu'il voit naître — ou, si son caractère en décide autrement, ens'enchantant de la croyance à la persistance du passé. Ce qui meurt ne serait pas vraiment détruit. Il serait«devenu» du passé, restant réel sans être perçu ...» PROBLÉMATIQUE Philosopher c'est, disait Gratry, « chercher l'essentiel inaperçu », rompre...
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Y a-t-il quelque chose de naturel en l'homme ?
inventé par la société afin de transformer l'homme de l'état sauvage à l'état civil , c'est une forme de discipline. PourKant « l'éducation c'est la perfection de la nature humaine. » « LA CULTURE ET LA DISCIPLINE : Toute culture, toutart formant une parure à l'humanité, ainsi que l'ordre social le plus beau, sont les fruits de l'insociabilité, qui estforcée par elle-même de se discipliner, et d'épanouir de ce fait complètement, en s'imposant un tel artifice, lesgermes de la nature. » Kant,...
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La souffrance d'autrui est une chose qui doit s'apprendre et jamais elle ne peut etre apprise pleinement... Nietzsche
n'est que le résultat d'une longue construction historique, rendue possible d'abord par la soumission desindividus à l'État. De même, contrairement à ce que pense Schopenhauer, la pitié n'est pas un sentimentpremier. Certes Nietzsche s'est autrefois converti à la philosophie sous l'influence de Schopenhauer, maismaintenant il rejette la théorie qui ferait de la pitié, comme commisération à l'égard de la souffrance d'autrui,le fondement de la morale, le moyen privilégié de s'identifier à a...
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Être contraint et s'obliger est-ce la même chose?
conformer à ce que l'on attend de moi. · De la même manière, lorsque je m'oblige moi-même, tout se passe comme si je passais au-delà de mes envies, de mes désirs pour obéir à une pression qui medépasse et contre laquelle je ne cherche pas, de façon raisonnable, à lutter. · La contrainte est souvent d'ordre social : nous sommes ainsi contraints de travailler pour gagner notre vie. Mais, le mouvement par lequel je m'oblige est doncune sorte d'intégration de la contrainte...
- Commentaire Du Texte De Perec : Les Choses
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Etre un sujet condamne-t-il l'homme à n'avoir en toute chose qu'un point de vue subjectif ?
Introduction Etre un sujet c'est à dire une personne humaine ne va pas sans prérogatives : " penser par soi-même " en est une et non des moindres comme l'a montréDescartes par son doute hyperbolique qui mène à la vérité du " je pense donc je suis". La question toutefois peut se poser : " être un sujet condamne-t-ill'homme à n'avoir en toute chose qu'un point de vue subjectif ? En d'autres termes, suis-je enfermé dans ma subjectivité ou puis-je aussi accéder à desformes de pensées plus objectives...
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--Vas-y, sers-toi, proposa Harry, ravi de pouvoir partager quelque chose avec quelqu'un
pour la première fois de sa vie.
des sorcières et sorciers célèbres mais Harry, lui, n'arrivait \ pas à en détacher les yeux. Bientôt, en plus de Dumbledore et de Morgane, il trouva les cartes de\ Hengist, de Woodcroft, d'Alberic Grunnion, de Circé, de Paracelse et de Merlin. Il s'arracha enfin à la contemplation de la druidesse Cliodna qui se grattait le nez pour ouvrir un sachet de \ Dragées surprises de Bertie Crochue. —Fais attention avec ça, dit Ron. On peut vraiment avoir des surpr\ ises en mangeant ces trucs-là. I...
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La connaissance n'est-elle qu'un accroissement de notre pouvoir sur les choses ?
La technique peut donc se retourner contre la nature après en être issue et constituer undanger pour elle, et ce en un sens qui n'est pas exclusivement matériel, mais qui est aussispirituel. Dans son analyse de la technique, Heidegger , très au-delà de la bonne conscience écologique, met en lumière une certaine relation d' « arraisonnement » : à force de vouloir se rendre « maître et possesseur de la nature », comme le disait Descartes , l'homme met, selon la riche métaphore heidegger...
- TEXTE: MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA TROISIEME MÉDITATION. DESCARTES
- L'homme conscient de son devoir n'est pas, dans le monde, phénomène mais noumène ; il n'est pas une chose, mais une personne. KANT. Commentez cette citation.
- Si les choses ont un commencement, cela signifie-t-il qu'elles ont nécessairement une fin ?
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Descartes: L'homme est chose pensante
« Mais aussitôt après je pris garde que, cependant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallaitnécessairement que moi, qui pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense donc je suis,était si ferme et si assurée, que les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables del'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie que jecherchais. »Il y a un fait qui...
- « L'égalité est donc à la fois la chose la plus naturelle, et en même temps, la plus chimérique » (Voltaire) ?
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Montesquieu 94 : Les lois : « rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses [Esprit des Lois, I, 1]
notion moderne de loi abstraite n'émerge qu'au XVIIe siècle ; cependant, même un scientifique comme Newtonappliquait une méthode expérimentale, empirique, mais croyait l'ordre naturel gouverné par Dieu.Voici la définition stricte de la loi selon Montesquieu : « Les lois, dans la signification la plus étendue, sont lesrapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses » (l. 1) et la définition expliquée : « et, dans ce sens,tous les êtres ont leurs lois, la divinité a ses lois, le...
- MOTS ET LES CHOSES (LES), Une archéologie des sciences humaines, Michel Foucault
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D u citoyen
o u qu'elle approuve en soi et qualifie bonne, une chose qu'elle
blâme et veut faire passer p our mauvaise en autrui.
Hobbes XVIII. Différence entre le péché d'infirmité et celui de malice. Cependant il n'y a rien de plus certain que l'on peut trans gresser les lois par infirmité humaine, quoique au fond on désire les observer; mais cela n'empêche pas qu'on ne blâme avec raison et qu'on ne nomme une offense une telle action comme contrevenante à la justice. Il y a des personnes qui méprisent les lois chaque fois qu'il y a apparence de gain et d'impunité,...
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Apprendre est-ce se rendre progressivement maître des choses ?
Tout apprentissage est un métissage tM•HI L'apprentissage n'est pas un parcours linéaire. Nous sommes bien plutôt traversés par de multiples savoirs dont nous sommes le fruit. Apprendre est une expérience de l'altérité. L'apprentissage est 1 'expérience d'un écartèlement C e que nous appre nons ne devient pas une seconde nature. On ne s'approprie rien à proprement parler; on •Si tu veux devenir tout, accepte de n'être rien. Oui. Le vide...
- Que des martyrs prouvent quelque chose quant à la vérité d'une cause, cela est si peu vrai que je veux montrer qu'aucun martyr n'eut jamais le moindre rapport avec la vérité.
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Quand on est jeune, on vénère ou on méprise sans y mettre encore cet art de la nuance qui forme le meilleur acquis de la vie, et l'on a comme de juste à payer cher pour n'avoir su opposer aux hommes et aux choses qu'un oui et un non.
l'écoute de la jeunesse ... Faute de quoi on se retrouve out, ringard, dépassé. Sans nécessairement aller jusqu'à vénérer leurs descendants, nombreux sont ceux qui regrettent leur propre jeunesse, à laquelle ils attribuent rétrospectivement une «insouciance,. dont ils ont la nostalgie. C'est un tout autre portrait de la jeunesse que trace Nietzsche. 1. La jeunesse, l'absolu et le mensonge Nietzsche caractérise la jeunesse par son goût de l'absol...
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» L'esprit du roman est l'esprit de complexité. Chaque roman dit au lecteur : les choses sont plus compliquées que tu ne le penses. Vous commenterez et au besoin discuterez ces lignes de Milan Kundera (L'Art du roman, 1986).
Les genres littéraires / 89 CORRIGÉ SEMI-RÉDIGÉ Introduction Ce qui caractérise un certain type de roman moderne, c'est que son écriture s'accompagne le plus souvent d'une réflexion critique qui en éclaire la conception. Ainsi, Milan Kundera, en marge d'une production romanesque importante, publie-t-il, en 1986, L 'Art du roman, dans lequel il écrit: «L'esprit du roman est l'esprit de complexité. Chaque roman dit au lecteur: les choses...
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Que vaut une preuve contre un préjugé : Introduction : Preuve signifie connaissance démontrée, c’est aussi une démarche rationnelle qui sert à établir que quelque chose est vrai.
II) En pratique une preuve ne peut pas grand-chose contre un préjugé Celui qui a un préjugé n'a pas nécessairement tort. Le jugement qu'il a porté prématurément peut se révéler vrai. Cependant, que son idée soit vraie ou fausse, les « preuves » qu'il apporte semblent toujours être aussi faibles. Prenons l'exemple qui accuse une personne de lui avoir volé son portefeuille alors qu'il n'en a aucune raison. Il dira, par exemple, pour justifier son appréhension, que cette personne « a l'air...
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« La manière la plus profonde de sentir quelque chose est d'en souffrir »
Néanmoins, la solution que Yann a adopté n’est pas la seul e, et heureusement. Désormais, prenons le cas de Rachid, afin de contrer toutes idées préétablie s sur les jeunes de cité. Star du foot au collège, il a également fini ses humanités à l’âge de 19 ans. Mais contra irement à Yann, il est l’ainé dans une famille de huit enfants. Il lui est aussi arrivé de devoir demander de l’argent pour manger, de dormir dans une chambre où les cafards lui caressent les pieds durant son sommeil...
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PRÉFACE
Je vous promets, lecteur, quatre choses capables de vous obliger à quelque attention, et desquelles je vous mettrai quelques
traits devant les yeux en cette préface.
établie sur de vrais principes, par des conséquences d'une connexion évidente, il nous sera plus aisé de la remarquer, si nous prenons garde aux inconvénients et aux dommages qu'une espèce de politique trompeuse et babillarde apporte dans le monde, où ses malheureuses maximes sont en usage. Si nous nous abusons aux choses dont la spéculation ne tend qu'à l'exer- cice de l'esprit, notre erreur est innocente, et il n'y a que la seule perte du temps à regretter. Mais nous nous méprenon...
- Foucault, les Mots et les Choses (extrait) - anthologie.
- Dire et penser que "tout est vrai" et dire et penser que "rien est vrai",est-ce la même chose ?
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Peut-on dire, avec Montaigne: « La vraie liberté, c’est de pouvoir toutes choses sur soi »?
pour la liberté humaine un obstacle ou une condition? -Que pensez-vous de cette affirmation de DESCARTES : « La liberté de notre volonté se connaît sans preuve par la seule expérience que nous en avons»? - La conscience de notre liberté n'est-elle que l'ignorance où nous sommes de ce qui détermine nos actions? - Est-il légitime de soutenir qu'il y a une opposition entre les exigences de la justice et celles de la liberté? - La liberté est-e...
- l'homme qui ne connaît que les choses est-il un homme sans idées ?
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- PARTI PRIS DES CHOSES (Le). Francis Ponge
- Suffit-il de changer les mots pour changer les choses ?
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« Écrire, si ça sert à quelque chose, ce doit être à ça : à témoigner. A laisser ses souvenirs inscrits, à déposer doucement, sans en avoir l'air, sa grappe d'oeufs qui fermenteront. » En vous appuyant sur votre expérience de lecteur vous commenterez et éventuellement discuterez cette opinion de l'écrivain contemporain J.-M.G. Le Clézio exprimée dans L'Extase matérielle.
ne rencontre pas tout de suite son public. • « La grappe d'oeufs » suggère aussi que l'œuvre est porteuse de vie et que, plus tard, elle transformera le lecteurqui l'a lue grâce à une lente maturation. • On retrouve ici l'idée de Marthe Robert : « changer la vie et l'éclairer ». Mais cette dernière supposait unetransformation fulgurante, une sorte de révélation comme le fut pour Kant la lecture du Contrat social. La phrase de Le Clézio laisse, au contraire, entendre que le mûrissement se produit...
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STRAUSS: «...il y a dans l'homme quelque chose qui n'est point totalement asservi à sa société et par conséquent [...] nous sommes capables, et par là obligés, de rechercher un étalon qui nous permette de juger de l'idéal de notre société comme de tout au
poserait sérieusement la question de savoir s'il ne vaudrait pas mieux désobéir. On appelle idéalisme juridique, ladoctrine qui subordonne la validité de la loi positive à sa conformité à la loi idéale ou naturelle, la doctrine qui fondele droit positif dans le droit idéal ou naturel. C) Le positivisme juridique. L'idéalisme s'expose à des objections. On peut contester qu'il existe une Idée de juste, ou un droit naturel. On peutfaire observer qu'à supposer l'existence de quelque chose de cet...
- Le désir est-il la seule chose que l'homme possède ?
- TEXTE: MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA SIXIEME MÉDITATION. DESCARTES
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Rousseau écrit dans une lettre du 4 novembre 1764 : « On ne peut être heureux sur la terre qu'à proportion qu'on s'éloigne des choses et qu'on se rapproche de soi. » Vous expliquerez et vous apprécierez, en prenant quelques appuis précis sur ses oeuvres, cette solution apportée par J.-J. Rousseau au problème du bonheur.
128 ROUSSEAU vie tout luxe superflu : «plus d'épée, plus de montre, plus de bas blancs, de dorure, de coiffure ». On songe aux épicuriens antiques, qui cherchaient le plaisir dans la frugalité; aux stoïciens, voire à ces ascètes chrétiens, pour qui le détachement à l'égard des choses du monde est la condition nécessaire, sinon suffisante, de la paix intérieure. Le « généreux » de Descartes, lui aussi, connaît la joie parce qu'il dénie toute imp...
- Etre libre et vivre en liberté, est-ce la même chose ?
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Comment comprenez-vous ce mot de Vauvenargues : « Les choses qu'on sait le mieux sont celles qu'on n'a jamais apprises », et qu'en pensez-vous ?
li est, sans doute, bien des choses qu'on peut connaître sans étude et même sans aucun acte positif pour l'apprendre, au sens auquel nous prenons ce verbe ici. Ainsi, je connais mon père, l'église de mon village: il n'est rien que je connaisse mieux. Et cependant je n'ai eu à aucun moment de la vie con science d'acquérir cette connaissance. Mais ce ne sont pas là de véritables connaissances. On peut connaître quelqu'un, c'est à-dire êt...
- Nous ne nous comportons pas de la même manière à l'égard d'une personne et à l'égard d'une chose. Quelle conception de la personne cette différence d'attitude vous paraît-elle impliquer ?
- Philosopher est-ce parler avec vraisemblance de toute chose ?
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On chercherait en vain dans cette œuvre les signes de quelque démangeaison métaphysique : peut-être est-ce l'arrière-fond campagnard – quelque chose comme un positivisme de bon aloi – qui a préservé Gracq des affres du mysticisme et des tourments de l'intellectualisme. Il y a en lui un matérialisme heureux, paisible, qui se satisfait de ce monde, y trouve nourriture pour l'esprit comme pour le rêve, et équilibre. Si le tragique, en effet, ne prend pas, c'est parce que l'homme ne se sen
maintenir avec lui un contact heureux. C'est en cela que Gracq se distingue de nombre d'écrivains contemporains, en lesquels il voyait souvent de simples « prophètesde pauvreté et de malheur » (« Le surréalisme et la littérature contemporaine », Bibliothèque de la Pléiade, p. 1031) Si l'on peut rapprocher ces récits d'une écriturepoétique, c'est précisément en ce qu'ils sont profondément affirmatifs : on y respire, alors que, selon Gracq, dans nombre de romans contemporains, on est asphyxiépar l...
- Parmi les choses qu'on ne rencontre pas dans la nature, mais seulement dans le monde fabriqué par l'homme, on distingue entre objets d'usage et ?
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Le travail peut-il être autre chose que le moyen de subvenir à ses besoins?
conclusion, au terme d'une argumentation documentée.Le travail peut être défini comme l'activité consistant à transformer la nature (au sens large) en vue de lasatisfaction de besoins . Il est donc avant tout un moyen dont la fin est de subvenir aux besoins. Le sujet nous invite à nous demander s'il n'est que ça : Il pourrait en effet être le moyen d'autres fins, comme le divertissement, par exemple.On pourrait également l'envisager non plus comme simple moyen mais comme une fin en soi . Dans c...
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comparablement meilleurs que le mien; mais pource qu'on ne saurait si bien concevoir une chose, et la rendre sienne, lorsqu'on l'apprend de quelque autre que lorsqu'on l'invente soi-même.
Sixième partie 173 davantage. Ils sont comme le lierre, qui ne tend point à monter plus haut que les arbres qui le soutiennent, et même souvent qui re descend après qu'il est parvenu jusques à leur faîte : car il me semble aussi que. ceux-là re descendent, c'est-à-dire se rendent en quelque façon moins savants que s'ils s'abstenaient d'étudier, lesquels, non contents de savoir tout ce qui est intelligiblement expliqué da...
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Ponge, Le Parti pris des choses : "Le Pain"
le cas de l'expression « four stellaire ». Quels sont les différents réseaux d'images et quelles figures de style utilise le poète pour transmuer cet objet banal? Le premier paragraphe joue avec la métaphore filée de la géographie. Annoncée par l'adjectif « panoramique », ellese développe avec l'évocation de chaînes prestigieuses de montagnes : « les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes ». L'image joue de l'opposition entre l'immense et le petit, entre ces chaînes et les aspérités de...
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- « je ne fais pas de littérature, je fais une chose tout à fait différente je fais du théâtre » écrit Ionesco dans notes et contre notes. Dans quelles mesures le théâtre vous semble-t-il une chose tout à fait différente de la littérature ?
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Sociologie: faits sociaux comme des choses (Durkheim) ?
Cette méthode de Durkheim est, en particulier, bien supérieure à celle de Stuart Mill, qui voulait faire de la sociologieune science déductive, tirée rationnellement de la psychologie, comme la société est composée d'individus humainsdont la nature ne change pas lorsqu'ils se groupent. Tout au moins de telles déductions doivent-elles être vérifiéespar l'expérience, car la réaction de l'homme en groupe ne correspond pas toujours à celle de l'isolé. B. Cependant, si l'on considère la base métaphys...