5414 résultats pour "liberté"
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Est-ce-que la nature énigmatique de l'homme lui donne toute sa grandeur ?
du plaisir que cette souffrance peut procurer, ou comme expression d'une volonté non normée dans la recherche deson intérêt privé. Comme le dit Hobbes dans le Léviathan (XIII): « Nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes principales de querelles : premièrement la rivalité ; deuxièmement, la méfiance ; troisièmement, lafierté ». Nous dirons donc que si l'on peut parler d'une grandeur de l'homme, c'est-à-dire d'une identité telle qu'elle peut susciter à bon droit l'admiration et...
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Etre conscient est-ce pour l'homme une libération ?
II/ La conscience chez les animaux : La conscience serait donc pour l'homme une libération parce qu'elle lui permettrait d'agir non pas parmécanisme, mais par choix. La conscience serait donc avant tout la possibilité de faire des choix, et c'est en celaqu'elle nous libèrerait. Nous pouvons donc décider d'agir, de bouger de nous-mêmes. Mais cette caractéristiquesemble partagée avec de nombreux autres vivants ; en effet, même si leur corps est en lui-même un mécanisme, iln'en...
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Le théâtre est un genre littéraire particulier qui
Ensuite, l’espace est lui aussi restreint. La salle de représentation comprend un certain nombre de places, ce qui indique que le nombre de spectateurs est limité. De plus, le théâtre est un lieu clos, où les acteurs sont amenés à représenter chacun des lieux évoqués, sur une seule et même scène. Bien que, dans certaines pièces, les acteurs agrandissent leur lieu de représentation, c’est-à-dire qu’ils interprètent certaines actions dans le public (Sganarelle assis au mil...
- Explication de texte Henri Bergson
- dissertation orale
- Le bonheur est-il la valeur suprême ?
- Exposé sur Montesquieu
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La vie est-elle le bien le plus précieux ?
Toutefois, ce consensus est gros d'ambiguïtés. La vie ? La vie humaine ? Des substrats organiques se donnantcomme des promesses d'autres choses ou bien des faits biologiques irréductibles ? Des réalités « brutes » ou dessignes spirituels ? Autant de questions faisant surgir la discussion. B. Risquer la vie pour s'affirmer libre (antithèse)Non. La vie n'est pas nécessairement le bien le plus précieux, et ce, contrairement au « consensus » établi. Déjà,certaines expressions familières nous su...
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- Grand cours: LE DROIT (15 de 15)
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L'histoire de chacun dépend-elle de l'histoire de tous ?
«La classe ouvrière sera révolutionnaire ou ne sera pas» - Marx RAPPEL: La dictature du prolétariat chez MarxLe passage du capitalisme au communisme se fait par un acte révolutionnaire:comme le prolétariat constitue l'immense majorité de la population, il devraittriompher aisément de la bourgeoisie, mais comme celle-ci truste tous lespouvoirs (économique, industriel, financier et militaire, etc.), Marx pense quepour supprimer les structures de l'Etat capitaliste, une dictature transitoires...
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Les doctrines politiques: L'anarchisme, la démocratie, la crise du libéralisme démocratique, l'absolutisme ?
Reconnaissons avec les anarchistes que la personne humaine est la seule valeur, le bonheur des personnes, la seule«tin en soi ». Mais ajoutons, contre eux, que l'Etat — cette abstraction incarnée en institutions, en administrations,en règlements — est un moyen nécessaire pour la réalisation des aspirations individuelles. Gardons-nous d'opposerdiscipline et liberté. Il faut une autorité pour protéger la liberté de chacun contre les empiétements injustifiésd'autrui. Seulement l'État perd to...
- BAVUNDILANGA PRISCA 601 feuille1 Commentaire Abbaye
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Faut-il reconnaître quelqu'un comme son maître ?
ce qu'il y a d'essentiel en l'homme. Sinon, il le domine seulement comme une chose, et même pas comme un animal.C'est pourquoi l'esclave effronté, qui obéit en montrant ostensiblement qu'il ne le fait que sous la contrainte, estinsupportable au maître. La maîtrise exige donc la reconnaissance : de physique, la domination devient idéologique.Toute tyrannie développe un discours par lequel elle entreprend de persuader l'esclave qu'il est juste qu'il en soitainsi. C'est ainsi que Rousseau, dans le...
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PEUT-ON FONDER LE DROIT SUR LA FORCE ?
volonté raisonnable d'obéir. « L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté » dit Rousseau. Dans lacontrainte, il n'y aura toujours que nécessité physique, pas liberté.• Si Rousseau peut fonder le droit non pas sur la force mais sur la volonté générale, c'est qu'il croit en la liberténaturelle de l'homme perfectible et naturellement bon.S'associer ce n'est donc pas aliéner sa liberté comme le pensait Hobbes, c'est associer liberté et obéissance puisquela véritable liberté est...
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Peut on être esclave sans avoir de maître ?
d'Aristote, une démocratie. Si les citoyens pouvaient siéger à l'assemblée, c'est que les esclaves travaillaient à leurplace.)Mais l'esclavage ou la liberté ne manifestent pas seulement leur prédisposition dans les corps. Une âme belle etsupérieure est aussi nécessaire au citoyen propriétaire d'esclave. Or il arrive que la nature brouille les cartes : desesclaves peuvent avoir des corps d'hommes libres, mais ils n'en ont pas l'âme (c'est le sens de la phrase : « tels ontdes corps d'hommes li...
- Les idées du siècle des Lumières
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- Berlin, Isaiah - philosophie.
- Kant, étude de Métaphysique des moeurs
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Les hommes pourraient-ils vivre sans gouvernants ?
puissance supérieure sa liberté naturelle et ses droits. Ainsi Hobbes, armé de sa grille de lecture de la nature humaine, pose l’homme comme foncièrement égoïste dont le déploiement « naturel » ne peut que débouche r dans une multiplication de conflits locaux, à ce que le philosophe anglais décrit comme « Homo homini lupus ». Le recours à un gouvernement trouve sa justification dans l’instinct de survie, dans la recherche naturelle d’ une puissance extérieure et supérieure à tout...
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Que devons-nous à autrui ?
autre » que seul le visage d'autrui permet d'entrevoir. L'éthique est bien originellement une « optique » mais sansimage, car la vision est encore une totalisation. Or le visage empêche le regard de se fixer, il nous tourne vers unau-delà, un ailleurs ; il figure « l'infiniment autre » qu'on ne parviendra jamais à totaliser. Le visage d'autrui se donneà voir comme « révélation » de l'Autre dans sa nudité et sa fragilité. Il m'appelle alors à la responsabilité infiniedevant lui. « Je pense plu...
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Peut-on être libre devant la vérité ?
Un argument majeur se dégage de ce texte: il existe des cas où l'on doit mentir, par devoir. Ce à quoi Kant réponddans Du prétendu droit de mentir par humanité, que par définition, un devoir moral, est un impératif catégorique, quivaut pour tous les cas, sans exception, en vertu de la loi moral qu'énonce notre raison. Donc, selon Kant, dire lavérité est un devoir moral qui doit être effectué en toutes circonstances. Dans le cas contraire, l'Homme estimmoral, donc mentir est un mal, et en...
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Faut il considérer mon corps comme un obstacle ?
sont ceux qui comme l'avarice ou l'ignorance admettent des causes extérieures et produisent inconstance etimpuissance en l'homme au contraire de la fermeté qui est un « Désir par lequel un individu s'efforce de se conserveren vertu du seul commandement de la Raison » ( Ethique , livre 4, proposition 59, scolie) engendre la joie. Ce à quoi nous enjoint Spinoza de faire est de réaliser notre nature, de l'accomplir au plus haut sens du terme. Mais cela nepeut s'effectuer que si nous persévé...
- Lecture analytique de Jacques Le Fataliste, Diderot
- Etat entre réalisme et idéalisme
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Quel est le sens de la vie ?
avoir de destin (Sartre). -L'homme choisit ce qu'il veut être selon un éventail indéfini de possibilités quilui sont essentiellement offertes. Il n'y a donc pas de forces transcendantesqui déterminent son choix, donc pas de prédestination : l'homme est à lui-même, en tant qu'être fondamentalement libre, son propre destin. L'hommeconstruit donc, de façon particulière, le sens propre de sa vie, ce sens mêmen'étant pas prédestiné.-Or, l'homme ne choisit précisément pas d'être libre : il est con...
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Pour être libre, faut-il rejeter son milieu d'origine ?
choisissons pas ; nous sommes nés à une époque donnée dans un contexte social donné, et nous n'y pouvons rien.S'il a 20 ans quand la mobilisation générale l'envoie au front combattre l'ennemi, pèse sur lui une série decontingences : c'est un homme, on ne mobilise pas les femmes dans son pays, il est citoyen d'un pays en guerre,donc mobilisable et à ce titre, tous ses projets sont suspendus, et il court même le risque absolu : celui de sa mort. Si tu avais été juif en 1936 en Allemagne,...
- Modèle libéral américain
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LES BIOGRAPHIES CHEZ SARTRE : DES « ROMANS VRAIS »
ce personna ge; Sart re a do p te le t rajet inverse . A près la guerre, sans acheve r les Chemins de la Libe rté, ce gra n d lecteur de biographies q ui, depuis l'enfance, che rc h e d ans la vie des aut res une préfiguration de la sienne, projette ou ach~ve, compulsivement, une série de v ies d'éc ri vain s ill ust res: no n se ulemen t l es plus con n ues, celles de Baudelaire, d e Ma ll armé, de Ge net , d e F la u bert, ma is encore...
- Tout choix est-il une mutilation ?
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Un citoyen peut-il être vraiment libre ?
L'État est le garant des libertés ind ividuell es ~ 4U•U• . 1 l'État peut être la plus sûre garantie contre la tyrannie, la violence des intérêts particuliers. Étant l'expression du droit et de la volonté générale, il veille sur l'individu. L'État L'État est l' instru - L'État est est 1 'expression ment qui permet la manifestation d'un pacte social de protéger objective et ultime librement consenti la liberté de de la raison...
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l'Etat est-il un ennemi de l'individu ?
L'État de la domination d'une classe sociale chez Marx « Au fur et à mesure que le progrès de l'industrie moderne développait,élargissait, intensifiait l'antagonisme de classe entre le capital et letravail, le pouvoir d'État prenait de plus en plus le caractère d'un pouvoirpublic organisé aux fins d'asservissement social d'un appareil dedomination d'une classe. Après chaque révolution, qui marque un progrèsde la lutte des classes, le caractère purement répressif du pouvoir d'Étatapparaît...
- Le doute est-il libérateur ?
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Avoir le droit pour soi suffit-il pour être juste ?
Il y a deux sortes de dépendances : celle des choses, qui est de la nature ;celle des hommes, qui est de la société. La dépendance des choses, n'ayantaucune moralité, ne nuit point à la liberté, et n'engendre point de vices : ladépendance des hommes étant désordonnée les engendre tous, et c'est parelle que le maître et l'esclave se dépravent mutuellement. S'il y a quelquemoyen de remédier à ce mal dans la société, c'est de substituer la loi àl'homme, et d'armer les volontés général...
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qu'ils n'empêchèrent pas les crises: on dut ainsi interrompre la cure de 1867 pour rapatrier d'urgence Louis
Napoléon à Saint-Cloud.
avait choisi d'accomplir sansexcès deprécipitation. C'estprobablement lapremière, etlaprincipale conséquence delamaladie del'empereur. Loind'affaiblir sadétermination, ellelarenforce. D'autantque,pour lui, désormais, ilne s'agit passeulement deparachever uneoeuvre àsoumettre aujugement delapostérité, mais aussi d'affermir letrône qu'on valaisser àun successeur, sijeune encore. Decet affermissement desa volonté, ontrouve lapreuve danslefait que toutcequ'il entreprend danslesens decequ'on appelle...
- Le travail n'est il qu'un moyen de subsistance ? Etre libre, est-ce refuser d’obéir ?
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Faut-il être seul pour être libre ?
j'opère dans le même temps. »Cette décentration du monde fait de moi un sujet glissant. La désagrégation « gagne de proche en proche » tout mon univers. Autruitend à me « voler le monde ». Si autrui n'existait que sur le mode d' « être-vu-par-moi », je pourrais, en m'efforçant de le saisirseulement comme objet, le réintégrer dans ma propre vision du monde. Mais autrui me voit. J'existe sur le mode d' « être-vu-par-autrui ».Second moment : être vu.« Imaginons que j'en sois venu à coller mon oreil...
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Être libre, est-ce seulement exercer son libre-arbitre ?
Pour chacun, la liberté est une évidence dont témoignent les résistances que nous opposons spontanément àquiconque veut nous contraindre. Qu'un élève soit sommé de quitter le cours par un enseignant qui lui signifie uneexclusion, aussitôt il manifeste son mécontentement en claquant violemment la porte : il s'exécute mais témoignesimultanément que sa volonté reste hostilement disposée, libre, irréductible. C'est qu'on peut bien contraindre autruià faire et beaucoup plus difficilement à v...
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La justice est-elle un idéal ?
A. Préférer l'ordre à la justice ? Le devoir moral kantien est catégorique et inconditionnel dans sa prescription, il est donc coupé de tout souciconcernant l'ordre du monde, et la paix sociale par exemple. Le devoir-être tourne le dos à l'être et il n'est pasd'infinies possibilités de régler le rapport de la justice comme idéal au réel, que de sacrifier celui-ci à celle-là. « Faisce que tu dois et périsse le monde », la conscience morale n'est responsable que de son intention droite, null...
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Le passionné est-il l'esclave de sa passion ?
II. La non maîtrise des passions a. La passion influe largement sur l'imagination. En effet, le sujet a un objet caractéristique de sa passion, et celui-ci, voulant possédé l'objet (l'amour, le jeu, etc.), associe à cette possession d'objet des satisfactions infinies,et crée ainsi une finalité illusoire : le joueur, par exemple, cherche-t-il l'argent, le plaisir ? « J'avais risqué ma vie etj'avais gagné. De nouveau j'étais un homme » s'écrie le héros de Dostoïevski dans son délire (...
- commune (histoire)
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Le collectivisme est-il la négation de l'individu ?
partie indivisible du tout. » Par ce contrat chaque individu préserve donc intégralement sa liberté puisqu'il décidelibrement d'obéir à la volonté générale, et son égalité, puisque chacun participe également à cette volonté générale.L'État trouve sa légitimité dans cette volonté générale dont il ne doit être que l'expression. Dès que l'État nereprésente plus cette volonté générale, le contrat est rompu, et l'État devient illégitime. « Trouver une forme d'association qui défende et protè...
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ROUSSEAU: Comment le suffrage individuel peut-il se tromper dans le repérage de la volonté générale ?
le pronom personnel «je>> (« j'a urais fait autre chose que ce que j'avais voulu >> ). • Pièges à éviter - Ne pas livrer tel quel un résumé de ce que vous connaissez du Contrat social. Les allusions que vous pouvez y faire doivent être justi fiées par le texte que vous commentez. - Il s'a git ici d'un texte qui ne concerne que la liberté et sa relation avec la loi, telle que la volonté générale 1' établit : inutile de commencer par un « résumé >>...
- Pierre manent
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LA NOTION D'INCONSCIENT INTRODUIT-ELLE LA FATALITÉ DANS LA VIE DE L'HOMME ?
Depuis le travail accompli surtout par Sigmund Freud, l'homme fait de plus en plus appel à la notion d'inconscient pour expliquer des pathologies auxquelles on ne trouve pas de causes que l'on pourrait qualifier de« classiques », au niveau du corps ou de l'esprit conscient. Mais l'utilisation de la notion d'inconscient implique de luireconnaître une certaine potentialité d'action ayant des effets que nous ne comprenons et ne maîtrisons pasvraiment. Dès lors, il devient intéres...
- La culture nous humanise-t-elle?
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La technique nous libère-t-elle?
Or, la technique modifie la nature. La technique est l’ensemble des moyens que l’Homme conçoit, qu’il produit et dont il se sert pour agir sur la nature et la transformer. C’est justement son rôle. L’abri ou l’habitat va protéger du froid. Les vaccins vont contrer les maladies. La technique va aider l’Homme à faire face au milieu dans lequel il vit, va l’aider à se l’adapter et ainsi de limiter...
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Etre libre est-ce accepter la nécessité?
L'autonomie par compréhension de l'ordre des choses et obéissance à cet ordre. Si les phénomènes s'enchaînent nécessairement, l'homme qui acquiesce à ces liaisons semble courbé, dira-t-on,sous un aveugle destin. 0r cette vision paraît naïve et unilatérale. Elle confond le fatalisme, qui enchaîne l'homme, et le déterminisme qui, au contraire, la libère. Par le travail et latechnique l'homme peut, précisément, sans supprimer la légalité de la nature, sans tenter de lever la contrainte deses lo...
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La philosophie est-elle la somme des insuffisances de la science ?
58 Le mythe, la science et la philosophie l'extinction. Reste à savoir néanmoins si elle ne survit qu'à la faveur des insuffisances de la science. 1. L'érosion du savoir philosophique a. D'un point de vue scientifique l'histoire de la philosophie semble se confondre avec une lente dépossession de ses objets. De l'image du monde physique qu'elle s'est forgée à travers Aristote ou Descartes il ne demeure plus qu'un savoir pittoresque qui tirait bien s...
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- Grand cours: LE DROIT (6 de 16)
- le contrat social rousseau