51 résultats pour "allitéré"
- allitération - Définition.
- allitération - littérature.
- Définition du mot: ALLITÉRER, verbe intransitif.
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Définition du mot:
ALLITÉRATION, substantif féminin.
allit?rations, parmi lesquelles la rime est comprise, et il diff?re de la prose dans la mesure o? il maintient un emploi continu, avec des retours, de ces ?l?ments. ALBERT THIBAUDET, R?flexions sur la litt?rature, 1936, page 15. ? 5. L'on a d?ploy? beaucoup d'astuce au sujet de l'e muet et de l'allit?ration. (...) La position de l'e muet dans le vers est, dites-vous, de primordiale importance; de m?me vous avez remarqu? que souvent la reprise dans le corps d'un vers, comme en ?cho, d'une m?me...
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Définition du mot:
ALLITÉRÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
Remarque?: 1. Attest? dans Grand dictionnaire universel du XIXe. si?cle (Pierre Larousse)-Grand Larousse encyclop?dique en dix volumes, Dictionnaire des dictionnaires (sous la direction de Paul Gu?rin) 1892, Dictionnaire alphab?tique et analogique de la langue fran?aise (Paul Robert) Suppl?ment 1970. 2. Allit?rant, ante, participe pr?sent et adjectif, linguistique, n?ologisme. Phon?me allit?rant Qui permet l'allit?ration; qui en est le porteur (confer Lexique de la terminologie religieuse (JULES...
- Encyclopédie: allitération (Français)
- Encyclopédie: allitération
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Le vocabulaire de la poésie
Concepts clés
ALLITÉRATION ET ASSONANCE
• Une allitération est la répétition,
dans une phrase...
43 Le vocabulaire de la poésie Concepts clés ALLITÉRATION ET ASSONANCE • Une allitération est la répétition, dans une phrase ou un vers, d'un son identique. La tradition scolaire dis tingue généralement l'allitération, ré pétition d'un son consonne, de l'asso nance, conçue alors seulement comme la répétition d'un son voyelle. • L'allitération peut s'apparenter à une harmonie imitative. Ainsi, dans un célèbre vers d'Andromaque, Racine écrit : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vo...
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- Encyclopédie littéraire: L'allitération
- Définition: ALLITÉRATION.
- ALLITÉRATION
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anglaise, littérature.
3. 1 L’allégorie Dans le Nord et l’Ouest, les poèmes sont encore écrits dans des formes très proches des vers du vieil anglais, avec leurs allitérations et leurs quatre accents. Ainsi, les poètes de cour John Gower (1330-1408), John Lydgate (1370-1450) et surtout William Langland ( Pierre le Laboureur, 1362 pour la première version) dressent un tableau satirique de la société de leur temps et adoptent une conception chrétienne de la vie en union avec Dieu, et la conduite d’une Église pure. Aut...
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English Literature
I
INTRODUCTION
English Literature, literature produced in England, from the introduction of Old English by the Anglo-Saxons in the 5th century to the present.
evident. That feature is typical of other Old English literature, for almost all of what survives was preserved by monastic copyists. Most of it was actually composed byreligious writers after the early conversion of the people from their faith in the older Germanic divinities. Sacred legend and story were reduced to verse in poems resembling Beowulf in form. At first such verse was rendered in the somewhat simple, stark style of the poems of Caedmon, a humble man of the late 7th century who w...
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Figures de style :
I- Répétitions :
phrase
l'allitération : répétition de deux ou plusieurs sons consonantiques.
۴ la personnification : décrire un objet comme s’il était humain. ۴ l’allégorie : décrire quelque chose d’abstrait sous les traits d’un être humain. ( Facilité de compréhension, représentation figurée, faisant appel à l’imagination). ۴ la prosopopée : allégorie ou personnification qui parle au style direct (exemple, chez PLATON, les lois disent « nous sommes là pour défendre la cité »…). III- Expression détournée : - l’euphémisme : manière d’atténuer une vérité diff...
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A UNE FEMME
furieux, fou, jaloux,) Horreur (cauchemar, affreux, hantise, ensanglante) -> désespoir .. aucun espoir pour lui detrouver LA femme.PLAN: texte découpé en 4 parties ( 4vers (2fois), 3vers (2fois)) les 2 premières parties se découpe parfaitement auniveau des rimes et sont identiques au niveau de la disposition des rimes. 1 er strophe, encore assez joyeuse,espoir, valorisation de la femme(antidote, nécessité). 2 ème strophe reflète la haine et la tristesse qu'il éprouve depart part le manque de...
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Commentaire : Victor Hugo, Notre Dame de Paris, livre VIII, chapitre IV, (1831), « Ecoute. Un jour…Je le crus »
▪ « ange » : « un spectacle pas fait pour des yeux humains », « Dieu l'eût préférée à la vierge, et l'eût choisi pour sa mère »,« beauté surhumaine » + Caractère lumineux du portrait : « à son front une couronne d'étoiles », « comme une nuit d'été »,« quelque chose de lumineux dans la lumière même du soleil » : (Cf. tableau religieux avec auréole représentée autour de la têtedes saintes, imagerie traditionnelle dans l'iconographie au Moyen Age)▪ Démon : référence à « l'enfer », à « Satan », « C'...
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COMMENTAIRE COMPOSE - Aragon - "Je dis la paix..." (Les Yeux et la Mémoire)
Sans doute le poème paraît-il au premier abord bien discret à ce sujet.* mais toute la 1° strophe y fait référence en renvoyant à un moment précis de l'histoire, en liaison étroite avec la date du recueil,1954; l'article défini "la paix" retrouve ici son sens étymologique (en latin : illa, qui a donné la forme féminine de l'article définifrançais, est adjectif démonstratif), il s'agit donc de cette paix précise qui vient d'avoir lieu et que le poète, ancien combattant desdeux guerres mondiales,...
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Analyse linéaire du « Lac » de Lamartine, extrait des Méditations
étire le mot comme pour combler son absence. Dans les vers 7 et 8, l'exclamation montre l'exaltation des sentiments du poète, regret, désir de retrouve l'absente. La solitude dont il souffre se voit particulièrement au vers 7, puisque le mot "seul" est situé à la césure. La répétition du verbe s'asseoir (vers 7 et 8, toujours) semble avoir pour but de rapprocher les deux personnages, comme si le poète mimait un rituel qui aurait pour objet de faire revenir (ou revivre) l'absente. Au troisième qu...
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Poetry
I
INTRODUCTION
Phyllis McGinley
American poet and author Phyllis McGinley composed light, witty verse, much of which deals with family life.
repetition of certain lines and the rhyming of certain lines. The Provençal sestina features a set of six words that end lines (end-words), repeated in a dizzyingly complexpattern. The range of effects created by the poetic line varies tremendously depending on its length, its patterns of repetition, and whether the sentence stops at the end of theline (end-stopped) or carries over the end of the line (enjambed). Many of the earliest examples of Old English poetry feature an accentual line with...
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Lecture analytique « A la musique » d'Arthur Rimbaud
Toutefois cet univers se voit perturbé dans le sixième quatrain qui évoque « les voyous ». Ce quatrain occupe uneplace et une fonction particulière : le monde des voyous semble en contradiction avec l'atmosphère précédente,mais le lien entre les deux mondes est assurée par l'idée de contrebande qui suppose finalement cette présence desvoyous. Dans le second univers, le rire domine. Aux vêtements étriqués s'oppose l'adjectif « débraillé », aux « grosses dames» les « alertes fillettes ». Les p...
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LA MUSIQUE OU TEXTE
Ce qu'il faut savoir
► Mots-clés
Allitération, assonance, rythme, métrique, rime, strophe.
Le tissu sonore du...
LA MUSIQUE OU TEXTE Ce qu'il faut savoir ► Mots-clés Allitération, assonance, rythme, métrique, rime, strophe. Le tissu sonore du texte se définit par des effets d'harmonie et de rythme. Étudier la fonction poétique du langage est indispensable dans un poème, mais utile également chez de nombreux prosateurs. Cette étude n'est pas une fin en soi, elle doit être liée au sens par l'analyse de l'expressivité de ces effets. 0 LES FIGURES SONORES ► Observer ► Ex. : Un vent froid soufflait de la pl...
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Explication Lettres persanes, « lettre XXIV », Montesquieu
3 4 Je pense que c'est dans le deuxième paragraphe quand il dit « S'il n'a » et « S'il a ». Mot douteux, à vérifier. 5 Lamonnaie papier. 6 L'ensemble des différentes significations d'un même mot dans les différents contextes où il setrouve. prestidigitateur profondément duplice7 qui exploite la crédulité de ses sujets pour leur imposer ses capricespersonnels. Dans la même perspective, Montesquieu utilise la même technique pour présenter les dogmes8 religieux :« Tantôt il lui fait croire qu...
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Revision bac français
Comique : rire PR dédramatiser Pathétique : triste Lyrique : états d'âmes Dramatique : succession de peripetie Fantastique : surnaturel THÉÂTRE Monologue : 1 personne qui parle Dialogue : 2 personnes qui parlent Répliques : paroles dans un dialogue Aparté : un personnage parle au public sans que les autres l'entendent Scène d'exposition : présentation personnage et lien Catharsis : représentation du dilemme, souffrane, malheur = distance entre eux et public POESIE Poésie et prose : Signi...
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Gervaise
- L.25 : comparaison du vin - Pronom « ça » l.20 dévalorise la nourriture Des personnages incapables d'apprécier les bonnes choses, sans éducation. Caractéristiques qui se dévoilent à travers la manière de manger des protagonistes. II- . . . qui construit les personnages . . . a) Des Caractères - Gervaise, la généreuse gourmande : - « Gervaise …coudes » rythme binaire qui témoigne de sa gourmandise - « cette gourmande » périphrase - « ne pa...
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lafontaine
v.21 > retour aux animaux > La Fontaine assimile les courtisans à des animaux > insulte "caméléon" dénote l'esprit changeant des courtisans "singes" l'esprit flatteur v.22 > on remarque une antithèse ("un"/"mille") et une hyperbole ("mille") v.23 > les ressorts sont les courtisans, pas les animaux (référence à la théorie de Descartes). C'est une moralité vibrante III) Le deuxième acte 1) scène 1:coup de théâtre: "le cerf ne pleura point." > on remarquera qu'il y a un point à l'hémistiche. v.26...
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MAROT (1497-1544). A son ami Lyon
Ce gros lien. Vrai est qu'il y songeaAssez longtemps, mais il le vous rongeaSouvent, et tant qu'à la parfin tout rompt,Et le Lion de s'en aller fut prompt,Disant en soi : « Nul plaisir en effetNe se perd point, quelque part où soit fait. »Voilà le conte en termes rithmassez,Il est bien long, mais il est vieil assez,Témoin Ésope et plus d'un million.Or viens me voir pour faire le Lion,Et je mettrai peine, sens et étudeD'être le Rat, exempt d'ingratitude :J'entends, si Dieu te donne autant d'affai...
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Lecture analytique : « l'huitre » de Francis Ponge
chiasme avec sa construction en miroir reproduit dans le langage la clôture de l’huître) et pour l’huître marquent son enveloppe . Pourtant une lecture de L’Huître à l’aune d’un document scientifique permettrait de constater tous les écarts entre ce genre de texte et celui de Ponge. Seuls les termes de nacre et de perle relèvent du lexique scientif ique, le recours aux métaphores témoigne lui de la subjectivité du regard : d’abord, celle du monde / firmament renforcée par celle des ha...
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Commentaire de texte Correspondances : Fleurs du Mal - « Spleen et Idéal » (Baudelaire)
du verbe « se réponde[nt] ». Comment cette communication peut elle touchée l’homme ? Le premier tercet reprendsous l’aspect d’une affirmation et de la vérité générale l’idée des « parfums » mais cette fois de telle manière etavec de telles images qu’ils apparaissent liés à l’expérience humaine : c’est la comparaison « comme des chairsd’enfants » ou leur personnification en des parfums « corrompus, riches et triomphants », qui les rend semblablesaux femmes et aux hommes qui les portent.Baudela...
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Guillaume APOLLINAIRE « La cueillette »
• Dans ce cadre ouvert on note la présence d'un couple « nous vînmes au jardin fleuri » (v.1). L'union apparente de ce couple enpromenade se traduit par les « roses qui couronnent ta tête » : les roses rehaussent la beauté de la femme et lui donnent même uncaractère royal. • La légèreté du son [i] dans le vers 1 donne une impression de gaîté presque polissonne. L'expression du vers 1 « fleuri pour lacueillette » peut faire songer par extension à la « cueillette de l'amour ». • L'éclat des couleu...
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Guillaume APOLLINAIRE « La cueillette »
• Mais ce cadre ouvert est aussi un lieu ambivalent. En effet on peut relever des signes négatifs. • Le poète utilise aussi des couleurs assombries comme dans l'expression « roses thé » (vers 2) qui désigne un jaunebrun. Les « roses pâles d'amour » du vers 3 connotent un affadissement, un épuisement qui est parallèle à celui desdeux amoureux « alanguis » (vers 10). • Apollinaire souligne aussi l'intrusion de la violence dans ce décor. Au vers 5 le « grand vent [...] s'élève » :l'allitératio...
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Le Chat, La Belette Et Le Petit Lapin
Tout au long du récit, les personnalités des protagonistes apparaissent.* C'est la belette évoquée par la périphrase « la dame au nez pointu », qui entre en scène la première, aussitôt définie par soncaractère « rusé » et sournois : elle vole le terrier en l'absence du propriétaire, et saura par la suite argumenter face au lapin.*Ce « Janot » apparait bien ridicule (le nom commun lui-même désigne dans l'ancienne langue un personnage perpétuellementberné) lorsqu'il gambade dans la campagne, insou...
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Exemple de commentaire littéraire de la fable de Jean de la Fontaine :
le Chat la Belette et le petit Lapin
soudaines : la belette ainsi s'installe tranquillement, au rythme lent de l'alexandrin : « Le maître étant absent, ce lui fut chose aisée. /Elle porta chez lui ses pénates, un jour / Qu'il était allé faire à l'aurore sa cour » (v.4-6) ; mais les octosyllabes qui suivrontrévèlent toute la surprise et la colère du petit lapin impuissant : « Hola! madame la belette, / Que l'on déloge sans trompette »(v.13-14). Un rythme imitatif apparait parfois pour donner vie à la narration : le lecteur peut se r...
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Le portrait de Ménippe - Les caractères, La Bruyère
être » joue le rôle d'une cheville grammaticale permettant cette identification : « Ménippe est l'oiseau paré de diversplumages qui ne sont pas à lui ». On notera au passage la construction du verbe auxiliaire à la tournure affirmative,puis négative dans la proposition subordonnée relative (« qui ne sont pas à lui »). Au terme de cette première phrase Ménippe apparaît déjà tout entier pour ce qu'il est : un personnage vain etboursoufflé qui se porte d'autant plus vers les apparences qu'il n'a a...
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poésie - littérature.
3. 1 Origines antiques La poésie est un genre ancien, probablement aussi ancien que les civilisations humaines. Aussi loin que l'on puisse remonter dans le temps, il semble en effet que toutes les cultures humaines, parce qu'elles n'avaient pas encore connaissance de l'écriture ou par choix délibéré, ont eu recours à une tradition orale pour fixer leur histoire et relater le mythe de leurs origines ( voir mythologie). Le langage rythmé, scandé, associé sans doute à la musique, était utilisé po...
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Mortui non mordent
Les morts ne mordent pas
Cette formule qui joue phonétiquement sur l'allitération paronomastique mortui I mordent est...
Mortui non mordent Les morts ne mordent pas Cette formule qui joue phonétiquement sur l'allitération paronomastique mortui I mordent est la traduction répertoriée pa1111i les sentences médiévales (Walther 15271a) de l'expression grecque veKpôs- Ù 6aKVEl, empruntée à la Vie de Pompée de Plutarque (77, 4). Théodote de Chios, maître de rhétorique de Ptolémée XIV, lui conseillait ainsi, pour s'attirer les bonnes grâces de César et pour ne plus rien redouter de Pompée, de ne pas hésiter à l'assassin...
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108. Fon11na favet fat11is
La Fortllne sourit aux sots
Cette maxime en latin vulgaire, remarquable par son allitération en
cc...
108. Fon11na favet fat11is La Fortllne sourit aux sots Cette maxime en latin vulgaire, remarquable par son allitération en cc f>> (Walther 9847c), possède un précédent classique dans les Magna Moralia ( 1207 a 5), où Aristote affi1111� que cc c'est maigre fortune que d'être très intel ligent et de bien raisonner ; c'est grande fortune que d'être sot>> , ou TTÀEÎOTOS voûs Kal Àoyos, ÈvTaû8a ÈÀaXLOTll TUX'l, ou 6È TTÀELOT'l TUX'l, ÈvTaû8' tÀCIXlOTos voûs, fonnule traduite en latin par Ubi plurimu...
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Explication Lettres persanes, « lettre XXIV », Montesquieu
richesses » employé au pluriel et le terme « vanité » employé au singulier, ce qui souligne l’étendue de ce défaut. De plus, la tournure exceptive4 : « n’ayant d’autres fonds que des titres d’honneur à vendre » vient confirmer la constatation puisqu’il s’agit d’une observation irréfutable. D’autre part, on remarque l’allitération en /v/ (vanité ; vendre) qui introduit une solidarité entre le principe et l’exemple. En outre, la ligne 5 : « par un prodige de l’orgueil humain » vient re...
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cmmentaire de "A une passante" de Charles Baudelaire
.Le choc produit par cette femme s’explique d’abord par sa beauté. Le poète en propose une description très méliorative : Il mets en valeur toute sa silhouette « longue, mince » « majestueuse » « fastueuse » au V2. De plus la beauté sculpturale de cette femme : « noble » s'oppose à « fugitive beauté » V9. Cette femme représente l'idéel tel une statue comme le montre la métaphore « avec sa jambe de statue » V5. Le poète insiste également sur son élégance de sa démarche. Cette grâc...
- VERLAINE : Mon rêve familier
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ondine
construites, à la reprise de certains termes : Ecoute ! - écoute ! (l1 et l9), au double sens de certains mots (losanges sonores l2 qui veut en fait dire les vitraux mais ils ne sont pas sonores) et la mélodie de ce texte.entre autre ce poème relatif aux rêves joue avec les mots, par exemple illuminées par les mornes rayons (l2-3) qui est un oxymore : les rayons tristes, l'image du « saule caduc et barbu qui pêche à la ligne » ce saule est en fait un saule pleureur qui pousse en général près des...
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Apollinaire automne malade analyse
- Pourtant, distique bien intégré au poème : les rimes croisées avec la strophe précédente : naines lointaines/ aimé bramé. Les rimes existent dans cette poésie mais elles ont une organisation inédite, moderne ; elles enjambent la structure classique des strophes - Souvenirs d’un été finissant (passé composé) - Le poète remonte le temps avec une progression inversée originale : futur (1 ère strophe)-présent (2 ème strophe)-passé composé(3è strophe) comme si l’automne avait...
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Le Mal - Rimbaud - Analyse
Rimbaud Français mars 2020 l’intensité des conséquences à laquelle elle débouche (« bataillons » v.4, « feu » v.4, « épouvantable » v.5, « broie » v.5, « tas fumant » v.6, « morts » v.7) . Tandis que des notions quantitatives (hyperboles) liées à ces mots accentuent la grandeur des répercussions de la guerre (« en masse » v.4, « cent milliers » v.6, « tas » v.6) , d’autres renforcent le tableau de l’horreur grâce à leurs connotations négatives (« sifflent » v...
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Cahier de Douai : (nom d’une ville), aspect scolaire et spontané
''allais'' : verbe de mouvement à souhait de laisser les codes classiques, d'aller vers un ailleurs, vers une infinité de possibilités, désir de liberté ''paletot'' : autoportrait du poète misérable, carence = idéal, ''poches crevées'' à usure de la poésie, volonté de se démarquer Vers 3-4 : il devient poète avec ''Muse'' et les rimes à le poète est un vassal de la muse = image traditionnel. Isotopie du divin ''muse'', ''splendide'', ''féal'', ''ciel''. 1 quatrain à renvoie au moyen-âge, a la so...
- Procédés prosodiques
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Agrippa d'Aubigné: Les tragiques
Les combats vont se poursuivre, mais ils seront de plus en plus douloureux pour D’Aubigné. D’abord, en1585, il est laissé pour mort sur un champ de bataille. A peine remis, il recommence à combattre aux côtésd’Henri de Navarre, mais la tension monte entre les deux compagnons d’armes : il supporte mal laréconciliation d’Henri III et d’Henri de Navarre, en 1589. Lorsque, pour des raisons politiques, Henri de Navarre abandonne la foi protestante pour devenir roi de France, D’Aubignéressent...
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ALOYSIUS BERTRAND: UN REVE
Morimont : le mont des morts sonoriquement). La cape et le chapeau sont des métonymies qui dérobent le visage de ceux qui les portent + couleur noir La mort est omniprésente III/ L'esthétique fantastique • On constate 2 figures récurrentes caractéristiques :- La juxtaposition- L'antithèseDans les 2 cas, effet de contraste et de désordre o Antithèse noir / blanc (Il était nuit / lablanche robe d'innocence ; les pénitents noirs / les 4 cierges de cires ; les cendres desagonisants / la chapelle ard...
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Tristan Corbière - Les amours jaunes : Le Crapaud
a) L'image de la femme qui donne l'image du poète La femme dit 2 fois « horreur » ( le crapaud lui fait peur.La femme ne perçoit que la laideur physique du crapaud donc du poète.Elle n'entend que le son discordant du crapaud.Phrases interrogatives qui marque l'incompréhension du poète face à la peur de son interlocuteur. « Horreur pourquoi? » est une phrase incorrecte mais qui reprend l'exclamation de l'interlocuteur pour montrer combien le poète estinterloqué et en décalage par rapport à son de...
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Le dormeur du val
II La description d'un personnage On remarque que le jeune homme est "dans" la nature. Nous le voyons aux vers 6,8,9,13, avec le mot "dans", ilest imbriqué dans cette nature. Nous savons à qui nous avons à faire, sociologiquement c'est un soldat. Le jeunehomme est jeune comme la nature. Il est présenté dans un état d'abandon total : "bouche ouverte" vers 5, " sanuque baignant" vers 6, " dort" vers 7, inactivité encore répétée au vers 9 et 13 : insistance avec le titre dusonnet. Au vers...
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Du Bellay - "Les Regrets" - Sonnet 31
(v7), mis en valeur par la rime d'image intimiste ; ou enfin « fumer la cheminée » (v6). Le deuxième quatrain incarne « les regrets »de du Bellay. Ce poète, parti à Rome, pour prendre part à l'humanisme italien et regrette son humble demeure. 2) L'éloge de la patrie.Paradoxalement, Du Bellay dénigre les nouvelles splendeurs architecturales de Rome et leur préfère son petit village. Lacomparaison entre Rome et Liré est en faveur de Liré ! On a plusieurs éléments qui vont rendre Liré victor...
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APPARITION de Mallarmé
qui précédait la rencontre.Vers 6 et 7 : l'état d'âme du poète après la rencontre est bien évoquée ici : l'esprit occupé par cette rencontre qui l'envahit toutentier: "S'énivrait savamment". Le vers 7 est un beau tétramètre nettement rythmé, avec la correspondance "parfum de tristesse"qui rapproche un sentiment d'une sensation olfactive.Les rimes féminines 7 et 8 contrastent avec la rime du vers 9 : "cueilli": celle-ci n'est plus douce, mais plus aiguë, plus sèche. Levers 9 développe une très be...