82 résultats pour "berkeley"
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BERKELEY
BERKELEY 1685-1753 BERKELEY est le seul philosophe que nous ait donné l'Irlande depuis Jean Scot Erigène (rxe siècle). Figure solitaire à cet égard, il l'est encore plus par le contenu de sa philosophie et par la manière dont il l'a exprimée. Certes, les historiens l'ont assujetti à des catégories générales : on l'a étiqueté empiriste, subjectiviste, idéaliste, et on pourrait à juste titre l'appeler aussi rationaliste, objecti viste, réal...
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George Berkeley
carnet privé, où il s'exhorte à " brider son naturel satirique ". On regrette qu'il ait trop bien obéi à sa propre règle ;lorsqu'il a péché contre elle, il a écrit brillamment. En dehors de l'Alciphron, il n'y a qu'un écrit où il ait donné cours à son naturel satirique. Cet écrit est The Querist(Le Questionneur, 1735-1737). Il y manifeste en outre une autre espèce d'excellence littéraire : près de six centsépigrammes se succèdent, toutes interrogatives, dans la forme, et, au fond, assertions tra...
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Berkeley, George
during the years 1707-8. Since their first publication in 1871 (but more particularly since it was established that they had at some stage been bound together in the wrong order, thus giving a distorted picture of the development of Berkeley's thought) these have proved an invaluable resource for scholars seeking to understand the evolution of his thinking during this crucial period. The major fruits of that thinking were An Essay towards a New Theory of Vision (1709), A Treatise concernin...
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Nominalisme et immatérialisme chez BERKELEY
de l'autre ». Voici une porte haute et solide, peinte en vert à laquelle je me suis cogné douloureusement. Voilàn'est-il pas vrai une chose matérielle qui existe comme telle, en dehors de mes sensations ! Pas du tout, répondBerkeley. Cette porte n'est qu'une somme de représentations mentales, un ensemble d'« idées ». Sa forme,l'étendue qu'elle occupe sont des sensations ; sa couleur verte une sensation visuelle, le contact de ma main avecelle une sensation tactile, la douleur même que j...
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BERKELEY (1685-1753) et sa philosophie
L'immatérialisme C'est la doctrine fondamentale de Berkeley, et il est facile de voir qu'elle est liée au nominalisme. Pour lui touteabstraction est illégitime. Et par exemple> je n'ai pas le droit de dire comme Descartes que l'étendue existeobjectivement tandis que la couleur est subjective car tous les objets me sont donnés à la fois comme étendus etcomme colorés. D'une façon plus générale rien ne m'autorise à imaginer par abstraction de soi-disant objetsmatériels en dehors de...
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BERKELEY: VIE ET OEUVRE
208 LA PHILOSOPHIE II selon Descartes, la philosophie a pour fonction de séparer notre esprit des sens et de nous aider à retrouver la pure raison, Berkeley écrit dans son Journal : « Il est fou, de la part des hommes, de mépriser les sens; sans eux, l'esprit ne peut atteindre aucun savoir, aucune pensée.» Et il estime que c'est la philosophie, plus spécialement la philosophie cartésienne, qui nous éloigne d'une vérité que...
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Biographie de BERKELEY (George).
Clés de.lecture ... • • G~:~~~~ley :•• .. et•···t~~~f'l'lpi·~l~·me:••·•··radi.ca.l ans~o~ .Tmii~ ~Ül' If:!$ perce~ons réellement· une Rt:i~pea~ lq,:~tJflcti$' dlPSii!.S~ible, ull.,cel'lsepèlr srm~:lrqtn(l~ ~~~· ·. ex~~le,.coro,Dlefl J'é9itda»s puis .• ~~ lt;s ~rQ~ ...... · ..... . ··tr$· · l'elrtr'.lit .~1-cpntre,.~lle exil!te entreifYiaset,Philonoûs(iT13).( ~~equ~n~ll$la, v~yons, sen~ Je pl)iJosophe irh~J1dais 9f!Orff~ ·. tons, ~?(ltons ... · M~s...
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BERKELEY: Esse percipi
Nous allons maintenant comparer Berkeley à Descartes, philosophe du 17ème siècle qui, après avoir tout remis endoute, en est arrivé à une seule et unique vérité: cogito ergo sum: je pense donc je suis. Tout comme Berkeley,Descartes se pose la question de l'existence:Descartes pense que l'on prouve son existence que par la pensée. L'existence des autres n'est donc pas vérifiable, puisque l'on ne peut savoir si ils pensent, ou non. Le fait de prétendre que seul le fait de penser nous prouve que l...
- Berkeley 1 PRÉSENTATION Berkeley, ville de l'ouest des États-Unis, située dans le nord de la Californie.
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Fiche de révision : BERKELEY
A — Tout objet n'est qu'un ensemble de qualités (odeurs, couleurs, etc.) qui ne sont que des sensations. B — Les qualités secondes ont depuis toujours été reconnues pour des sensations et donc pour intégralementsubjectives ; mais dit Berkeley, les qualités premières étaient présentées (voyez Descartes) comme « essentielles àla matière » et fondaient l'existence d'une matière en soi indépendante de notre esprit ; or il est impossible si l'onadmet la subjectivité des unes, de nier celle des...
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Explication de texte:Berkeley, De l’obéissance passive
Les clés pour réussir Bien comprendre le texte Plan du texte • Tro is premièr es phr ases : les règles morales d'ac tion son t aussi univ erselle s que les propositi ons géomé triques. • Objection possible (quatrième phrase) : que devient l'univ ersalité lorsqu'un cas irré gul ier semble échapp er à la règ le? Elle est néanmoins mai ntenue, car • Fin du texte : la règle univ erselle s'applique après qu'on a vérifié que l'o bjet qu'elle concerne existe b...
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George Berkeley
1 1 Principales œuvres 1 Ce que montre George Berkeley, c'est que l'idée de matière n'est qu'un mot creux, dénué de toute signification. En donnant un nom à ce qui n'existe pas et que nous ne pou vons pas percevoir, nous commettons un abus de langage. Essai d'une nouvelle théorie de la vision (1709) Dirigé contre le cartésia nisme, l'ouvrage part du pro blème suivant : comment pouvons-nous voir la dis tance d'un objet?...
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George Berkeley (Vie, œuvre, Apports, Concepts, Commentaires).
r Principales œuvres 1 1 , Ce que montre George Berkeley, c'est que l'idée de matière n 'est qu 'un mot creux , dénué de toute signification. En donnant un nom à ce qui n'existe pas et que nous ne po u- vons pas percevoir, nous commettons un abus de langage . Essai d'une Il y a deux espa ces distincts Trois dialogues nouvelle théorie jun espace visuel et un espace entre Hylas et de la vision tactile) , et c'est par expé-...
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Fiche de lecture: Traité sur les principes de la connaissance humaine de George BERKELEY
La matière n'est qu'un mot Berkeley est d'abord un empiriste ; la publication de son Essai pour une nouvelle théorie de la vision est une critique de l'optique géométrique, mais plus encore la tentative de fonder une métaphysique pour le moins originale, établie sur l'hétérogénéité des données issues des sens et qui faisait de la nature un langage en étroite relation avec la stabilité toute relative des données tactiles. Son dessein se précise avec le Traité des principes de la connaissance...
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Berkeley, Trois dialogues entre Hylas et Philonous, 1713, Troisième dialogue
semble avoir aucun sens. Le réel se réduit -il à ce que l’on perçoit ? Peut -on admettre et comment cette matière comme étant réelle ou est -ce une notion dont on peut se passer ? Tel est le problème que Berkeley résout dans cet extrait de son ouvrage, Trois dialogues entre Hylas et Philonous . À travers l’analyse de la perception d’une cerise, il veut montrer qu’on peut penser la réalité de l’objet de la perception sans avoir besoin d’ admettre une réalité extérieure à la percepti...
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Vie et oeuvre de George BERKELEY
George Berkeley naît dans le comté de Kilkenny en Irlande. Ilentre au Trinity College en 1700, reçu bachelier ès arts quatreans plus tard ; il lit Descartes, Locke, Malebranche, Newton.Chargé de cours en 1707, il est ordonné diacre en 1709, année dela publication de l'Essai pour une nouvelle théorie de la vision. Ilpart pour Londres en 1713, fréquente Pope et Swift, puis accomplitdeux voyages en Italie (1713 ; 1716-1720), Rome, Naples,la Sicile. De retour à Londres puis à Dublin, il rêve de deve...
- Berkeley, George - philosophie.
- Berkeley, Busby - danse.
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George Berkeley
par T.
par T.E. Jessop Professeur de Philosophie à l'Université de Hull
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Analyse texte Berkeley
2 / 3 sensibles. (Pour le non-philosophe, la connaissance comprend 3 termes : 1) au dehors, l'objet R éel, existant en soi, R ce R m'envoie la signification de son existence, c'est 2) la P erception P ; cette perception, je la reçois en moi, 3) S ujet S. Par exemple : cette table (R), la perception que de cette table (P) j'ai, moi (S). R→ P→ S. Pour le philosophe Berkeley, R n'existe pas indépend...
- BERKELEY (George)_____________________________________________
- Berkeley: Philonous et Hylas
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- Berkeley et les couleurs
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George BERKELEY : Traité des principes de la connaissance humaine
Le Traité des prin cipes ( 1 710) ne jiu guère pris au sérieux lors de sa publica tion. Berkeley pas sait pour un écrivain talentueux , mais plu tôt excentr ique et il avait de la peine à se faire prendre au sé rieux comme phi losophe. Il décida alors de dramatiser ses idées et ses thèses pour mie~x les faire comprendre, ave c les Trois dia logues d'Hylas et Phi lonoüs (17 12). Le livre Exister, c'est percevoir L e premier ouvrage...
- Traité sur les principes de la connaissance [George Berkeley] - fiche de lecture.
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Commentaire sur un extrait des Principes de la connaissance humaine de Berkeley
rompu; or il n'en est rien, ce n'est seulement qu'une illusion d'optique qui nous trompe. De même, lors du sommeil, oncroit que le cauchemar est la vérité mais à notre réveil, on remarque bien que cela n'était que notre imagination. Lathèse exposée ici est la suivante : les sens sont parfois des facteurs trompeurs et en aucun cas ils ne peuvent nousrenseigner sur l'essence, c'est-à-dire la substance de la matière. Cependant, il existe bien une matière, une étendueindépendante de l'esprit (puisq...
- GEORGE BERKELEY : TRAITE DES PRINCIPES DE LA CONNAISSANCE (Résumé & Analyse)
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Berkeley, 3e dialogue entre Hylas et Philonous, Oeuvres, Aubier, t. II, traduction Leroy
main avec elle, une sensation tactile, la douleur même que j'éprouve après le choc, un état de conscience.Aucune chose matérielle n'existe énigmatiquement au-delà de mes perceptions. La seule réalité des chosesc'est d'être perçues : « Esse est percipi ». Je n'ai plus le droit de dire que j'ai une ou plusieurs idées de laporte. Il vaut mieux dire que la porte est un ensemble d'idées et n'est que cela. b) Explication détaillée du texte Hylas rappelle d'abord que Philonous l'accuse de septicism...
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Berkeley: le libre usage de la raison
Le vulgaire défini par la valeur qu'il accorde à ces principes II. Définition du vulgaire1. « ne font pas un libre usage de leur raison » : c'est l'idée cartésienne que l'entendement peut très bienne jamais sortir de son enfance. Ainsi il est toujours possible de vivre sans philosopher et c'est même ce que font laplupart des gens. Mais il est significatif que Berkeley n'emploie pas ici le terme de philosophie mais de libre usage dela raison. C'est que ce qui s'oppose au vulgaire...
- Berkeley, Traité sur les principes de la connaissance humaine (extrait) - anthologie.
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- TRAITÉ DES PRINCIPES DE LA CONNAISSANCE HUMAINE, George Berkeley
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Berkeley
■ Indications générales
George Berkeley (1685-1753), évêque de
Cloyne, a proposé une théorie métaphysique
provocante et originale appelée I'«...
Berkeley ■ Indications générales George Berkeley (1685-1753), évêque de Cloyne, a proposé une théorie métaphysique provocante et originale appelée I'« immatéria• lisme». Partant de l'empirisme, Berkeley consi dère toute notion abstraite comme une illusion: seules existent les choses singulières; mais celles-ci ne sont connues par nous qu'en tant qu'images reliées à d'autres images. ■ Citation «Je dis que la table sur laquellej'écris existe, c'est à-dire queje la vois et la touche; et sije...
- TROIS DIALOGUES ENTRE HYLAS ET PHILONOUS, George Berkeley (résumé & analyse)
- ALCIPHRON OU LE PENSE-MENU, George Berkeley
- ESSAI POUR UNE NOUVELLE THÉORIE DE LA VISION, George Berkeley
- PRINCIPES DE LA CONNAISSANCE HUMAINE (Sur les) George Berkeley (résumé et analyse de l’oeuvre)
- Berkeley (George) Philosophe irlandais (Kilkenny, Irlande, 1685 - Oxford, 1753), évêque de Cloyne.
- ALCIPHRON [Alciphron or the Minute Philosopher]. (résumé & analyse) Georges Berkeley
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- Berkeley George, 1685-1753, né à Kilkenny, évêque anglican et philosophe irlandais.
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Berkeley compare la spéculation philosophique a un voyage en pays étranger : « à la fin, je reviens d’où j’étais parti le cœur content et plus satisfait de moi-même ». Commenter cette pensée. PLAN.
348 LA DISSERTATION PHILOSOPHIQUE B. - Ressemblances : a) dans les deux cas, il y a obser- ation satisfaisant lu curiosité b) dans les deux cas, cette observation est une tôclu délicate (selon Gobineau, il est difficile de bien voyager) e) dans les deux cas, quand l'observation est bien con- duite il semble y avoir découverte d'un monde nouveau (l'un intérieur, l'autre extérieur ; mais, pour Berkeley, le m9lule extérieur est un monde intérieur) 1• 2...
- La matière chez Berkeley
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Le Traité sur les principes de Berkeley
George Berkeley, prêtre et philosophe EXTRAITS «Être, c'est percevoir ou être perçu», telle est la formule qui est à la base de l'idéalisme de Berkeley Nos pensées, nos sentiments, les idées forgées par notre imagination n'existent pas hors de l'intelligence, chacun l'accor dera. Il me semble non moins évident que les sensations variées ou idées imprimées dans les sens , quel que soit leur mélange ou leur combinaison,( ... ) ne peuvent e...
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Le monde extérieur existe-t-il ?
nous ne pouvons pas nous représenter la matière indépendamment d'une certaine forme, d'une certaine étendue,d'une certaine figure. Tous les éléments qui composent notre univers, que l'on pense à la couleur, la saveur,l'étendue, le mouvement…n'ont aucune existence en dehors de la perception que nous en avons. L'étendue n'est nigrande ni petite, le mouvement n'est ni lent, ni rapide, ils ne sont donc rien ; de même je ne puis former l'idée d'uncorps étendu qui est en mouvement sans lui d...
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Collier, Arthur
objection (attributed to Malebranche) that Scripture assures us of an external world. Collier replies that it does not.He expands on his reply in A Specimen of True Philosophy (1730), where he develops an immaterialistinterpretation of the opening verse of Genesis.Collier's second argument is that God would have no reason to create an external world. It is therefore‘extrinsically impossible', or impossible in view of its cause. He goes on to claim, in arguments that resembleKant's first and seco...
- GEORGE BERKELEY : ALCIPHRON OU LE PETIT PHILOSOPHE (Résumé & Analyse)
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BERKELEY : Principes de la connaissance humaine
BERKELEY 115 tons point de nous-mêmes 1• » L'origine des connais sances humaines est dans la sensation ; et nous pou vons douter si les sensations sont des connaissances qui nous font sortir de nous-mêmes. Cela ferait, il est vrai, plaisir à Berkeley. Son intuition de base, selon laquelle « exister, c'est être perçu », n'est-elle pas fon damentalement la nôtre ? Il y a chez Berkeley ce sen timent d'évidence qui fait que, souven...
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Berkeley: La matière existe-t-elle ?
« Si par matière on entend une chose sensible dont l'existence consiste à être perçue, alors il y a de la matière. » Berkeley Berkeley va ici nier l'existence de la matière. Un tel jugement peut paraître étrange au sens où nous considérons tous sponta nément que la matière existe. Berkeley part d'un problème posé par un médecin, Molineux, qui s'interrogeait sur la capacité qu'aurait un aveugle-né recou vrant la vue de...
- BUSBY BERKELEY NOTICE BIOGRAPHIQUE