Résultats pour "discuterez"
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Vous discuterez de la relation entre démocratie et développement durable.
démocratie. Les questions liées aux changements climatiques ou à la biodiversité l’illustrent. Ensuite dans le temps en introduisant la notion de long terme, qui fait défaut, à nos démocraties en travaillant, selon Bruno VILALBA « sur la continuité entre les générations présentes et futures ».Néanmoins, cette relation fructueuse ne doit pas occulter l’antagonisme de plus en plus évident entre ces deux notions. En effet,...
- Vous discuterez de la question de savoir ce qui peut être à l'origine des grandes inventions techniques de l'humanité ?
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Albert CAMUS, Le Mythe de Sisyphe: Vous expliquerez, commenterez, et, si vous le jugez nécessaire, discuterez ce texte de Camus.
CAMUS 117 connaîtrai jamais. Ai-je le temps de m'en indigner? Vous avez déjà changé de théorie. Ainsi cette science qui devait tout m'apprendre finit dans l'hypothèse, cette lucidité sombre dans la métaphore, cette incertitude se résout en œuvre d'art. Qu'avais-je besoin de tant d'efforts? Les lignes douces de ces collines, et la main du soir sur ce cœur agité m'en apprennent bien plus. Je suis revenu à son commencement. Je comprends que si je...
- A l'aide d'exemples tirés de vos lectures ou puisés dans d'autres domaines artistiques, vous commenterez et vous discuterez ces propos d'Alfred de Vigny, dans la préface de son roman Cinq-Mars...
- Un auteur contemporain décrit le chef comme « l'homme qui est capable d'étudier une situation, de l'analyser, et qui possède le degré d'expérience, d'habileté ou d'intuition suffisant pour élaborer les techniques et prendre les décisions appropriées à la situation ». Vous réfléchirez sur cette définition du chef, en l'illustrant d'exemples empruntés au monde du travail, et, si vous le jugez utile, vous la discuterez ou la compléterez.
- « La vérité psychologique est le propre de l'observateur et du penseur: la vérité conventionnelle celui de l'homme de théâtre. Le théâtre est un art essentiellement de convention: il obéit à des lois particulières, toutes différentes de celles des autres genres littéraires. » A l'aide d'exemples précis choisis dans les pièces que vous connaissez, vous commenterez et discuterez au besoin ce jugement rapporté par Henry de Montherlant dans Notes sur mon théâtre.
- Un critique contemporain écrit : « Le plaisir poétique n'est pas un plaisir facile », et, plus loin : « La soif de merveilleux et d'évasion qu'éprouvent les adolescents, et la place réduite qui est faite dans leur vie et dans leur culture à la poésie, expliquent peut-être en partie le développement prodigieux, dans notre société, de la chanson. » Vous commenterez et discuterez ces deux assertions, en précisant et comparant les plaisirs que vous apportent respectivement la poésie et la chanson.
- Un critique contemporain, Marcel Raymond, analyse en ces termes « la tâche du poète » : « Alors qu'une civilisation industrielle rêve d'introduire dans l'esprit les lois rigoureuses qui règnent dans la physique, la tâche du poète sera d'ébranler l'homme, de lui faire perdre cœur, en présence de sa vie et de l'univers, et de le mettre en contact permanent avec l'irrationnel. » Cette analyse vous paraît-elle satisfaisante? Vous en examinerez la portée en vous appuyant sur des exemples, et, éventuellement, vous discuterez la conception du poète qu'elle illustre.
- « On oppose souvent le roman, au sens moderne du mot, c'est-à-dire tel qu'il apparaît en Occident en gros avec Cervantès, à l'épopée, en disant que celle-ci raconte les aventures d'un groupe, celui-là d'un individu; mais, depuis Balzac au moins, il est clair que le roman dans ses formes les plus hautes prétend dépasser cette opposition, et raconter par l'intermédiaire d'aventures individuelles le mouvement de toute une société... » A la lumière des œuvres romanesques que vous connaissez, vous commenterez et discuterez cette opinion de Michel Butor.
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Molière fait dire à Dorante que dans la tragédie, « l'on ne cherche pas de ressemblance » alors que dans la comédie, « il faut peindre d'après nature ». Qu'en pensez-vous ? Vous expliquerez et discuterez cette remarque en vous aidant des textes corpus, des œuvres étudiées en classe et de vos lectures personnelles.
Ses personnages appartiennent à toutes les classes sociales mais particulièrement à la classe moyenne. Dorante dans La Critique de l'école des Femme dit que : « On veut que ses portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait, si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle. » Chacun peut s'identifier dans les personnages d'une comédie. Ils incarnent un caractère général, Tartuffe, par exemple, est le symbole universel de l'hypocrisie, Harpagon dans l'Avare est un bourgeois avare. Les su...
- En préface à un recueil de textes de critique littéraire, Tout feu, tout flamme, Jean-Louis Bory écrit: « Curieux métier que le métier de professeur. Le public le plus vivant qui soit (le plus égocentrique aussi), nous devons l'intéresser coûte que coûte au commerce des morts. Par chance, ces morts-là sont bien plus vivants que bien des vivants. Il ne s'agit plus que d'en persuader les jeunes vivants qui nous écoutent. » Vous commenterez et, au besoin, discuterez ce propos, en vous fondant sur des exemples précis tirés de vos lectures et de votre expérience d'élève.
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Après avoir fait soit un résumé qui respecte le mou¬vement de la page suivante, soit une analyse qui en dis¬tingue et ordonne les thèmes principaux, vous dégagerez du texte le problème qui vous paraît le plus important, vous le discuterez s'il y a lieu et vous exposerez vos vues personnelles sur la question.
L'AFRIQUE NOIRE d'un même clan, et sur l'autorité des chefs coutumiers à l'influence régionale ou locale . • Si les chefferies ont été souvent intégrées au système ou ont vu leur influence réduite, les oppositions ethniques restent fortes, et faussent le jeu politique : ainsi, au Zimbabwe, le parti au pouvoir, la ZANU, est animé par les Shonas, majoritaires, alors que le parti d'opposition ZAPU est implanté chez les Ndebeles, minoritaires (20 % de...
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A la fin du xixe siècle, Oscar Wilde écrivait dans la préface au Portrait de Dorian Gray : « L'appellation de livre moral ou immoral ne répond à rien. Un livre est bien écrit ou mal écrit. Et c'est tout. [...] L'artiste peut tout exprimer. » le Portrait de Dorian Gray, traduction Jaloux-Frapereau, Stock, 1925, p. 10. A l'aide d'exemples précis, et sans vous limiter forcément à la littérature, vous commenterez et discuterez cette opinion. ?
hautes valeurs éthiques.Pour G. Sand, dans la préface de La Mare au Diable, l'art a « une mission de sentiment et d'amour », « le romand'aujourd'hui devrait remplacer la parabole et l'apologue des temps naïfs ». Elle se plaint que la peinture de truands,fréquente dans les romans d'Eugène Sue, dresse les riches contre les pauvres, en instaurant la peur. Il faut aucontraire faire aimer les miséreux : La Mare au Diable raconte comment un riche laboureur ému par une sauvageonnefinit par l'épouser....
- Roger Martin du Gard, répondant à un de ses admirateurs qui lui demandait de le guider dans ses lectures, écrit : « Les lectures, comme les voyages, les promenades et les repas, ne prennent leur valeur que par le besoin qu'on en a. Tel livre que j'ai rejeté il y a un an sans pouvoir le finir, me bouleverse aujourd'hui... Lisez le livre qui vous sollicite, et n'hésitez pas à le rejeter si vous ne l'assimilez pas sans effort. Le moins de contrainte possible en ces matières ! » (Correspondance générale, Tome II, 1980.) Que pensez-vous de cette réponse ? Correspond-elle à votre propre expérience? Dans quelle mesure un enseignement de la littérature est-il compatible avec ce point de vue? En un développement composé, vous commenterez et discuterez ce texte en vous fondant sur des exemples précis.
- On pouvait lire dans Les Lettres françaises du 25 février 1954 (Gallimard) ces lignes de Thomas Mann : «Le classicisme, ce n'est pas quelque chose d'exemplaire ; en général, et hors du temps, même s'il a beaucoup et tout à faire avec les deux idées implicites ici, celle d'une forme, et celle de la précellence de cette forme. Bien loin de là, le classicisme est plutôt cet exemple tel qu'il a été réalisé, la première création d'une forme de vie spirituelle se manifestant dans la vie individuelle, ce qui a autrefois modelé un type originel, où la vie ultérieure se reconnaît, dans la perspective duquel elle se développe ; il s'agit donc d'un mythe, car le type est un mythe, et l'être est retour, absence du temps, éternellement présent. En ce sens seulement, le classicisme a valeur d'exemple, non quand il désigne simplement une forme vide. L'époque classique est celle des patriarches, du mythe, de la première création de ce qui a modelé notre vie nationale.» Vous expliquerez et discuterez cette conception du classicisme en vous appuyant sur des exemples précis tirés de la littérature française ou des littératures anciennes ou des littératures étrangères, à votre gré.
- «Pour douer notre littérature d'une action efficace, il fallait trouver le secret de l'action sur les esprits : ce secret est la clarté. Comprenons ce mot : il faut évidemment le soustraire à des interprétations grossièrement faciles. Paul Valéry a insisté souvent sur le fait que de nombreuses gens la confondent avec leur propre paresse d'esprit. Il ne s'agit pas d'être compris par les distraits. La clarté de Racine n'est qu'une apparence ; je défie un lecteur moyen d'expliquer tout ce que dissimule un discours de Mithridate ou d'Athalie derrière des mots simples et bien choisis, mais chargés d'allusions, de subtilités ; de mensonges, de pièges, de dessous psychologiques. La clarté française n'est pas l'évidence ; elle est le résultat d'une forme d'esprit qui demande à chaque expression de représenter un objet défini : je veux dire d'éluder toute équivoque [...]. En France, pas de halo autour des mots, pas d'ai/ra qui influence mystiquement le lecteur. S'il y a mystère, il est fait de la contexture même de la phrase et de l'impression diffusée par le choix des termes, le rythme du discours, non du prolongement vague des substantifs et des épithètes. Cela n'a empêché ni Maynard, ni Chateaubriand, ni Lautréamont, ni Verlaine, ni Loti de répandre un mystère aussi grand que celui des plus illustres maîtres du mystère à l'étranger.» Edmond Jaloux, Introduction à l'histoire de la littérature française (Préface.) Vous commenterez et, éventuellement, vous discuterez ces réflexions. (Il va de soi que vous pourrez utiliser d'autres exemples que ceux qui sont invoqués par l'auteur.)