289 résultats pour "leibniz"
- LEIBNIZ: catégories et concepts
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LEIBNIZ: Connaissance et raison
de la raison innée. [III. Une collaboration inégale] Dans son second paragraphe, Leibniz tempère en quelque sorte son rationalisme, en précisant de surcroît le rôle desstructures rationnelles par rapport aux données empiriques. Il admet en effet que les sens externes nous sontnécessaires pour penser, et insiste : si nous ne possédions aucun sens, nous ne pourrions pas penser. En d'autrestermes, la raison seule, privée d'informations sensibles, resterait stérile et inefficace. Il faut donc admett...
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KANT et Leibniz
dans l'étymologie de la chose (et rappelons que la chose est un mot pour la cause), la question du droit en amont de la vérité, et l'origine de la raison elle-même en même temps que son intérêt (le souci constant deKant, dans la Critique de la raison pure). Il faut bien reconnaître que celle-ci est impliquée de toutes les façons dans ce qui est nommé sontribunal. Elle est à la fois accusée (pour tout ce qu'il y a d'irrationnel dans l'« anti-finalité » qu'on trouvedans le monde)...
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Leibniz: La force de l'esprit
milliers de gouttelettes de la vague) ; enfin, mes souvenirs existent virtuellement en mon esprit. Bref, l'activitépsychique déborde largement l'activité consciente, même si la conscience en représente la perfection. C. La connaissance La perception ne commence à devenir une connaissance qu'avec la mémoire, grâce à laquelle on peut reconnaîtreun être déjà vu, et, par habitude, s'attendre à tel événement lorsque tel autre le précède (la vue du bâton fait fuirle chien). C'est là toute la connaiss...
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Le calcul différentiel (histoire et principe)
sinus correspondant aux milieux considérés. Comme Fermat l'avait remarqué, la détermination d'un minimum (ou d'un maximum) se ramène à un calcul de tangente . Pour l'exprimer plus précisément, la tangente d'une courbe est « horizontale » en ses points extrêmes. PASCAL ET LE TRIANGLE ARITHMÉTIQUE Pascal a donné une impulsion décisive pour l'invention du calcul intégral, en étudiant les rapports réciproques entre différentes séries de nombres et ce...
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Sur l’origine radicale des choses
Nous faisons sans cesse, sur nous-mêmes, l'expé rience d'un tel principe unitaire. Notre âme, pour parler comme Leibniz, est le référent permanent, nécessaire, et un, de notre rapport à nous-mêmes. Tout ce que nous pouvons savoir du monde, nous le pouvons à partir de ce principe qui, de manière exemplaire, ne se confond pas avec les choses qu'il examme. ' Ce qui, pourtant, intéresse Leibniz, c'est l'unité dominante du mon...
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PEUT-ON PARLER D'UNE LIBERTE INTERIEURE ?
coup, dans une sorte de paralogisme ? Ainsi, lorsque la pensée commune, dans son expérience immédiate de la liberté, définit cette dernière comme uneabsence de contraintes, elle fait de l'intériorité une sorte de limite absolue qui émancipe justement le sujet descontraintes et des nécessités extérieures, limite où se manifeste le pouvoir grisant de la volonté qui s'impose àl'ordre imposant des choses. Cette notion de liberté intérieure est sous-tendue par une opposition radicale entre volon...
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Les vagues de la mer - Inconscient - Leibniz
Les vagues de la mer 99 Ce violon qui s'envola soudain au-dessus de l'orchestre y a fait retour aussitôt, et s'y est déjà enfoui, laissant le souvenir mélo dieux de son arabesque. Les yeux parcourent le flot multiple, tendu à l'horizon comme une ligne droite. Limite. Va et vient entre l'unité du ciel, doucement marbrée de nuages, et celle de la mer, indéfi niment recomposée. Une multitude fondue se déploie dans la tensi...
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- LEIBNIZ: Opuscules philosophiques choisis
- LE MEILLEUR DES MONDES (Théodicée) - LEIBNIZ
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Sens et connaissance
métaphysique en tant qu'une pensée ou bien en tant que quelque chose qui est seulement pensable, qui ne fait paspartie du réel mais du possible. En réunifiant les propos de Leibniz et de Kant, nous pouvons déduire que lamétaphysique n'est pas une connaissance parce qu'on ne peu pas en faire une expérience sensible qu'est unecondition nécessaire pour connaître. Ce n'est qu'une pensée puisqu'elle fait partie du possible et n'est pas uneréalité objective. Mais n'y a t il pas de...
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Devrait-on apprendre à penser ?
».Mais s'il apparaît qu'on apprend bien à penser, peut-on pour autant réduire cet acte à une « méthode » deraisonnement ? L'expression « apprendre à penser » a fait se confronter deux grands philosophes : Descartes et Leibniz. PourDescartes l'art de penser se renvoie à l'esprit et aux parcelles innées de raison que chaque homme possèdenaturellement. Descartes propose un discours de la méthode et fait donc une place à l'art du raisonnement droit,mais la méthode qu'il préco...
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Esthétique de Hegel: la beauté artistique est supérieur à la beauté naturelle
Reste le fait que Dieu est la raison primitive : il n’est pas lui-même loi : il est simplement raison primitive : toute loi est rationnelle dans l’univers. Athée : on se sent perdu dans un monde absurde où les choses s’enchaînent de façon implacable et incompréhensible. Règles sont aussi invariables que la fatalité des athées ; Point commun entre raison primitive et fatalité : caractère inévitable ; distinction : la fatalité est absurde et n’a pas de sens. La raison primiti...
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inconscient
Introduction Dès le XVII e siècle, Spinoza soulignait le fait que nous ignorons « ce que peut le corps », anticipant ainsi l’idée d’inconscient : Personne n’a jusqu’à présent déterminé ce que peut le Corps, c’est-à-dire que, jusqu’à présent, l’expérience n’a enseigné à personne ce que le Corps est en mesure d’accomplir par les seules lois de la Nature, considérée seulement en tant que corporelle, et ce qu’il ne peut accomplir sans y être déterminé par l’Espr...
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L'Inconscient
Introduction Dès le XVII e siècle, Spinoza soulignait le fait que nous ignorons « ce que peut le corps », anticipant ainsi l’idée d’inconscient : Personne n’a jusqu’à présent déterminé ce que peut le Corps, c’est-à-dire que, jusqu’à présent, l’expérience n’a enseigné à personne ce que le Corps est en mesure d’accomplir par les seules lois de la Nature, considérée seulement en tant que corporelle, et ce qu’il ne peut accomplir sans y être déterminé par l’Espr...
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inconscient
Introduction Dès le XVII e siècle, Spinoza soulignait le fait que nous ignorons « ce que peut le corps », anticipant ainsi l’idée d’inconscient : Personne n’a jusqu’à présent déterminé ce que peut le Corps, c’est-à-dire que, jusqu’à présent, l’expérience n’a enseigné à personne ce que le Corps est en mesure d’accomplir par les seules lois de la Nature, considérée seulement en tant que corporelle, et ce qu’il ne peut accomplir sans y être déterminé par l’Espr...
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LEIBNIZ: Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
volonté divine ne peut être prise que du bien ».« Tout est pour le mieux » ne doit donc pas être compris comme «tout est bien », et la pensée de Leibniz n'a riend'un optimisme béat. Il ne pouvait rien avoir de meilleur qu'un monde où le péché originel existe. «Dieu permetquelques maux, pour que beaucoup de biens ne soient pas empêchés. »Le mal et le péché ne sont donc que des éléments servant la beauté et l'harmonie de l'ensemble. Mais leur causeessentielle est l'imperfection, la limitation...
- Leibniz, Discours de métaphysique, article 13.
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LEIBNIZ: vérités expérimentales et vérités mathématiques
qui se voit assez par l'expérience et par les images sensibles». On pourrait, sur une figure «bien dessinée»,constater qu'elle présente certaines propriétés, mais un tel constant est insuffisant du point de vue mathématique,qui exige que ce qui paraît «évident» soit démontré.— La fin de l'avant-dernière phrase invite à évoquer le problème du passage des données empiriques aux conceptsmathématiques. La perception a pu servir de stimulus initial à l'élaboration des notions et figures math...
- LEIBNIZ, Remarques sur Descartes. EXPLICATION DE TEXTE
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Liberté: Leibniz, Descartes, Kant, Sartre
blond ou brun, grand ou petit) et d'une situation donnée et déterminée ? Ainsi selon Jean-Paul Sartre, même dans les pires circonstances, l'homme conserve sa liberté certes au sein d'une situation déterminée (le paraplégique ne pourra pas choisir entre le saut à la perche et le 110m haies, de même que l'athlète de haut niveau n'aura pas à choisir entre participer à un championnat d'échecs et peindre une fresque au plafond d'une basilique) mais une liberté entière. Parce qu'il est un ê...
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La conscience est-elle naturelle ?
• Le raisonnementIl est un fait que chacun entend en lui-même la voix de sa conscience qui lui dicte son devoir.Quelle est la nature de cette voix ? Rousseau emploie l'expression a instinct divin ». Le mot « instinct » est engénéral utilisé pour caractériser les conduites animales ou ce qui, en l'homme, relève de son aspect « animal » ets'oppose à la raison. Or, ici, Rousseau l'emploie au contraire pour nommer ce qui va diriger l'homme vers uneconduite non animale (« sans toi je ne sens...
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Notre monde est-il le meilleur des mondes possibles ?
Car tous les possibles prétendant à l'existence dans l'entendement de Dieu, à proportion de leursperfections, le résultat de toutes ces prétentions doit être le monde actuel le plus parfait qu'il soitpossible. Et sans cela il ne serait point possible de rendre raison pourquoi les choses sont allées ainsiplutôt qu'autrement.Autrement dit, compte tenu de la compatibilité entre les possibles (c'est-à-dire entre les compossibles :tout possible compatible avec tous les autres possible...
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Histoire du calcul différentiel (TPE)
sinus correspondant aux milieux considérés. Comme Fermat l'avait remarqué , la détermination d 'un minimum (ou d'un maximum) se ramène à un calcul de tangente. Pour l'exprimer plus précisément la tangente d'une courbe est « horizontale " en ses points extrêmes . PASCAL ET LE TRIANGLE ARITHMÉTIQUE ,.,sc11/ a donné une impulsion décisive pour l'invention du calcul intégral, en étudiant les rapports réciproques entre différentes séries de nombres et ce...
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Leibniz: La raison provient-elle de l'expérience sensible ?
— Les deux exemples proposés par Leibniz montrent les dangers de l'induction (on peut rappeler celui de B. Russel :si un poulet induit du grain qu'à l'habitude de lui distribuer la fermière qu'il sera toujours choyé, il ne sera détrompéque le jour où la même fermière vient lui tordre le cou). Mais Leibniz va plus loin qu'une critique classique: il met enquestion ce qui fonde la possibilité de l'induction, le principe (en effet jamais strictement démontré) dudéterminisme. Considéré sur u...
- Leibniz propose à Louis XIV de conquérir l'Égypte
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Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Attribué à Leibniz
164 / Monde Voltaire a eu beau jeu dans Candide (1759) de se_gaus ser d'une formule qu'il ne comprend pas et qu'il mal mène. Leibniz n'écrit pas« tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes», mais « L'on a montré que cet univers doit être effectivement meilleur que tout autre univers possible» ou encore: « Il faut dire que Dieu, entre les suites possibles de cho ses, infinies en nombre, a choisi la meilleure, et que par conséquent la...
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Leibniz - Préface aux Nouveaux essais sur l'entendement humain: Les sens
c'est-à-dire démontrée. Même les premières propositions mathématiques, d'où toutes les autres sont déduites, etque Leibniznomme ici les « principes » (ce qu'on peut appeler parfois en mathématiques des « axiomes »), ne dépendent pas del'expérience(les sens et les exemples) pour ce qui est de leur établissement : ils sont posés parce qu'ils s'imposent par eux-mêmesà l'esprit qui ne peut pas les nier sans se contredire, ce qui est la définition même de la nécessité (« ce qui est etqui ne peutpas n...
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Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?
Kant, Critique de la raison pure Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation DEUXIEME CORRECTION Cette question, c'est le philosophe Leibniz qui l'a posée, dans un contexte métaphysique; plus près de nous,Heidegger l'a reprise pour procéder à une critique de la métaphysique. En somme, cette interrogation appartient à latradition philosophique. Mais, de nos jours, les physiciens et astrophysiciens ne sauraient l'éluder puisqu'elle fondetoute leur réflexion sur les caus...
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LES CRITÈRES DE LA VÉRITÉ
.. "" • • • • • • • • • • • • • reconnaîtrons qu'une idée es< claire et distincte. Le critère pure ment psychologique de l'évidence est donc insuffisant. Il faudrait un critère logique de la vérité. Descartes, notons-le, est conscient de ce problème. Dans ses Réponses aux cinquièmes objections il reconnaîtra précisément que « l'erreur ne consiste qu'en ce ce qu'elle ne paraît pas comme telle ». Et dans le Discours de la Méthod...
- LEIBNIZ: Voici comment les hommes viennent à se former la notion d'espace
- Commentez ces mots de Leibniz : « Il y a dans toute erreur une part de vérité. » ?
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- G. W. Leibniz: Vouloir vouloir et pouvoir vouloir.
- Peut-on appliquer à l'habitude le mot de Leibniz : « Le présent est chargé du passé et gros de l'avenir ? »
- LEIBNIZ: «C'est par la voie des définitions ou analyses continuées jusqu'au bout [...] qu'on peut arriver à la caractéristique ou écriture universelle...»
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Essais de théodicée
Gottfried Wilhelm Leibniz
Le meilleur des mondes possibles (§
il y aurait quelque chose à corriger dans les actions de Dieu, s'il y avait moyen de mieux faire. Et comme dans les mathématiques, quand il n'y a point de maximum ni de minimum, rien enfin de distingué, tout se fait également ; ou quand cela ne se peut, il ne se fait rien du tout ; on peut dire de même en matière de parfaite sagesse, qui n'est pas moins réglée que les mathématiques, que s'il n'y avait pas le meilleur (optimum) parmi tous les mondes possibles, Dieu n'en aurait produit aucun. J...
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DISCOURS DE MÉTAPHYSIQUE, 1686. GoTTFRIED WlLHELM LEIBNIZ - résumé de l'oeuvre
1686 Vivons-nqus dans le meilleur des mondes possibles? ~ Dieu a fait en sorte que le mal contribue indirectement au bien. Notre monde est donc le meilleur des mondes possibles. 49 Si Di eu éta it tout -puis sa nt, il n 'aurait pas donn é naissance à un mond e où le mal es t possible.
- Les perceptions externes ne sont-elles qua des rêves bien liés, suivant l'expression de Leibniz ?
- La langue artificielle comme calcul heuristique et théorique. G. W. LEIBNIZ.
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DIEU, L'HARMONIE ET LE MAL CHEZ LEIBNIZ
de contradiction, les principes moraux (amour des parents, affection), les principes d'arithmétiques et de géométrie. Dans le Livre I des Nouveaux Essais sur l'entendement humain , Leibniz précise : « La science morale n'est pas autrement innée que l'arithmétique, car elle dépend aussi des démonstrations que la lumière interne nous fournit » . Leibniz critique vivement Locke qui refuse l'innéisme et pense que ces vérités reposent sur l'expérience des sens. – les vérités contingentes, c'est-...
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- Commentez et discutez cette formule de Leibniz : « Il n'y a rien dans l'intelligence qui n'ait été d'abord dans les sens ; - si ce n'est l'intelligence elle-même. »
- PRINCIPES DE LA NATURE ET DE LA GRACE FONDÉS EN RAISON Leibniz (résumé et analyse de l’oeuvre)
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Leibniz
« Tout est pour le mieux
dans le meilleur des mondes possibles»
■ Indications générales
Voltaire s'est moqué de...
Leibniz « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles» ■ Indications générales Voltaire s'est moqué de Leibniz - caricaturé par le personnage du savant Pangloss dans Candide - en prêtant à celui-ci un optimisme touchant à la bêtise tant il restait constant devant les circonstances les plus abomi nables. Pourtant Leibniz (1646-1716) est l'un des plus grands métaphysiciens et mathéma ticiens de l'histoire. Lecteur critique de Descartes, il discute aussi l'empirisme de Locke d...
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Candide
a) La réfutation de l'optimisme Volataire s'emploie à démontrer l'erreur de la théorie Leibnizienne. Leibniz prétend que " Dieu a choisi celui des mondes possibles qui est le plus parfait ". Il considère que le mal est nécessaire pour que le bien se produise. En réponse, Voltaire fait vivre dans " le meilleur des mondes possibles " un jeune homme qui a été instruit par la philosophie de Leibniz. Tant qu'il garde ses oeillières optimistes, les malheurs s'accumulent sur lui. La leçon est cla...
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Leibniz
1646 -1716
« Rien ne peut venir de Dieu qui ne soit parfaitement conforme
à la bonté, à la...
Leibniz 1646 -1716 « Rien ne peut venir de Dieu qui ne soit parfaitement conforme à la bonté, à la justice et la sainteté. � Essais de Théodicée Éléments de biographie t Un des plus grands esprits de son siècle Gottfried Wilhelm Leibniz, philosophe et mathématicien allemand d'une rare précocité intellectuelle, consacra sa vie à l'étude de domaines aussi variés que la philosophie, le droit, les mathématiques, la physique, la chimie ou encore l'histoire. Cultivé, curieux de tout, il n'a de ces...
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Les animaux savent-ils ?
Quand les contemporains parlent « d'animal social », ou quand Marx déclare que l'homme est « animal politique », ce ‘est pas au même sens que les Grecs. La polis n'est pas une communauté économique, au contraire : elle naît quand on peut s'affranchir de la contrainte économique etdisposer de loisirs. Ainsi les esclaves ne sont-ils pas citoyens, ainsi le statut des artisans est-il difficile (Aristote dit qu'ils sont en « esclavage limité »). Le travail est ressenti comme une nécessité (vi...
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Kant et Cicéron
QUESTIONNAIRE • Fonction(s) de la comparaison entre Cicéron (et le latin) et Platon et Leibniz (et « le philosophiquement juste >> ?) ? - Que veut faire app araître Kant par ce « rapprochement »? • Pourquoi , selon Kant, « ce qui est philo sophiquement juste, nul ne peut ni ne doit l'apprendre de Leibniz »? Qu'en pensez- vous? • « Il n'y a pas d'auteur classique en philosophie » : est-ce la conclusion du texte ? Est-ce ce que Kant veut faire...
- Plus on agit suivant la raison, plus on est libre, et il y a d'autant plus de servitude qu'on agit plus par les passions. Etes-vous d'accord avec ce jugement de Leibniz ?
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Essais de théodicée - Gottfried Wilhelm Leibniz : Le meilleur des mondes possibles (§ 7 et 8)
Dieu a choisi le meilleur de tous les univers possibles 1 Gottfried Wilhelm von Leibniz (1646-1716) Vous ne le savez peut-être pas encore, mais vous êtes une Monade et vous vivez dans le meilleur des mondes possibles. Voilà de quoi vous réjouir ou, au contraire, vous agacer forte ment, comme le fut Voltaire, qui écrivit Candide uniquement pour tourner en ridicule l'optimisme leibnizien, béat donc idiot. N'en déplaise à Voltaire, Leibniz est un philosophe fonda mental. Mais sa pensée...
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Texte de Leibniz, extrait des « Eléments de droit naturel » (in Le Droit de la Raison)
- la justice comprend la recherche du bien d'autrui et celle du nôtre. La relation entre les deuxdoit être précisée. Le texte indique que de manière générale, il est injuste de faire du biend'autrui le moyen d'obtenir le nôtre (recherche intéressée). Un exemple vient illustrer etpréciser : on n'appelle pas juste celui qui ne secourt pas autrui pour la raison que la personne secourue ne lui donnera rien en échange ; on n'appelle pas juste celui qui ne secourt pas autruialors que cela ne...