256 résultats pour "obéissance"
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Peut-on résister en obéissant ?
le plaisir d'inventer des produits gratuits (…) Avec la complicité d'autres travailleurs (qui font ainsi échec à laconcurrence fomentée contre eux par l'usine), il réalise des « coups » dans le champ de l'ordre établi (…) Dansl'institution à servir, s'insinuent ainsi un style d'échange sociaux, un style d'inventions techniques et un style derésistance morale » (M. de Certeau, L'invention du quotidien, I, Arts de faire , Gallimard, « Folio-essais », 1990, pp.45-47). Conclusion Il...
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l'obeissance est elle toujours une contrainte
pouvant faire plaisir aux autres sans pour autant avoir reçu un ordre. Plus le temps passe plus les ordres auxquels il faut faire face devienne contraignant, et plus les ordres défilent plus ils seront dure à accepter rien qu’à l’idée de perdre sa liberté et son intégrité. Comme pour les lois auxquels certaines personnes ne respectent plus ayant perdu cette confiance. La confiance des paroles qui nous disent quoi faire et qui un jour n’auront plus de sens pour certaines personnes....
- l'obéissance morale n'est-elle qu'obéissance à des règles établies
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L'obéissance est elle incompatible avec la liberté ?
peuple obéit à des lois qu'il s'est fixé lui même par des votes justes et un consentement commun, l'obéissance n'aplus lieu d'être puisque les hommes n'obéissent finalement qu'à eux mêmes. Cette idée est résumée dans la célèbrephrase de Rousseau: « l'obéissance qu'on s'est prescrite est liberté. ». Ainsi, loin d'être incompatibles, l'obéissanceet la liberté sont ici favorables l'une à l'autre et l'obéissance à la loi garantie la liberté de tous.Ceux qui obéissent de façon ponctuelle ou tempor...
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Résistance et obéissance (Alain)
sanglante de la répression, tel le massacre des étudiants sur la place Tian’anmen en Chine mais plusfondamentalement à sa détermination à anéantir l'esprit critique. Un pouvoir qui prétend imposer aux citoyensleurs idées, ainsi que le souligne tragiquement G. Orwell dans 1984 est par essence tyrannique. Implicitement,Alain montre qu'il y aurait, pour les hommes au pouvoir, une faute politique à exercer la tyrannie par la censure dela liberté d'expression, faute qui se retournerait contre eux pui...
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l'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité qu'en obéissant a lui seul ?
en respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, et cette guerre est la guerre de chacun contrechacun. »Les éléments fondamentaux sont mis en place :— parce que l'homme est poussé par un insatiable appétit de domination et qu'il cherche aussi à se protégercontre les agressions d'autrui par des actions préventives, la situation (« état de nature ») qui précède la vieen société se ramène à une guerre perpétuelle ;— la paix entre les hommes ne peut être obtenue que si tout le monde se...
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La liberté est-elle rendue impossible par la nécessité de l'obéissance aux lois?
• Éclaircissements : A. Quels sont les rapports de la liberté et de la loi? -La loi. loin de restreindre la liberté, n'en est-elle pas plutôt la condition? Sans lois. les rapports des hommes seraient réglés par la force. La liberté des uns entraverait celle des autres. À supposer même que la domination soit un rapport durable, la relation commandement-obéissance serait en fait une relation de servitude réciproque, puisqu'elle repose...
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L'obéissance n'exclut-elle nécessairement la liberté ?
(Sartre). -Il ne saurait y avoir de contrainte, si forte qu'elle fût, qui ne soit l'objet d'unchoix libre initial. Ainsi, la collaboration, sous l'Occupation allemande, étaitl'objet d'un choix libre de la part des Français, car il y avait toujours lapossibilité d'entrer dans la Résistance. C'est pourquoi Sartre a pu énoncercette célèbre phrase, qui n'est en rien une boutade (comme peuvent le croireles historiens ignorants) : "L'homme n'a jamais été aussi libre que sousl'Ocuppa...
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Commandement et obéissance de SPINOZA
obligé de se soumettre à des ordres fondés sur le seul intérêt de son maître; le fils accomplit sur l'ordre de ses parents des actions qui sont dans son intérêt propre; le sujet enfin accomplit sur l'ordre de la souveraine Puissance des actions visant à l'intérêt général et qui sont par conséquent aussi dans son intérêt particulier. SPINOZA, Traité des autorités théologiques et politiques, trad. M. Francès, coll. «Bibliothèque...
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La vie morale n'est-elle qu'obéissance aux règles
établies ?
Introduction : On se représente fréquemment la morale comme un système de règles, commandements ou Interdictions , auxquels l'individu doit se c onformer pour ne pasêtre fautif. Une telle conception peut s éduire un esprit épris de distinctions tranchées en même temps qu'elle permet d'avoir fac ilement bonne consciencelorsqu'on a obéi à la règle; mais n'est-ce pas rabais ser la vie morale au rang d'une observance mécanique et en bannir toute recherche, tout élan, touteinvention? I. La vie morale...
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La vie morale n'est-elle qu'obéissance à des règles établies?
LE DEVOIR, LE DROIT, LA RESPO:SSABILITÉ 345 de la loi naturelle qui les fonde, et c'est à elles que va ! 'obéissance. Voudrait-on d'ailleurs considérer les loîs naturelles comme « établies '" c'est-à-dire définitivement fix{:cs, nous devrions objecter que si, en soi, il y a des lois naturelles éternelles et immirnhles, pour nous, les lois naturelles ne se découvrent que lentement, à mesure que l'individu et ! 'humanité progressent...
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L'obéissance à la loi doit-elle être absolue ?
chacun, conformément à sa nature égoïste, recherche son intérêt. Tout le monde faisant de même chacun est unemenace pour chacun et la meilleure défense étant l'attaque, c'est bien une guerre généralisée qui se développe. Orl'homme, comme tout vivant, est soumis à cette loi naturelle qui le fait spontanément rechercher ce qui lui permetde conserver sa vie et fuir ce qui la menace. Cette loi naturelle conduit, en l'absence de règles, à la mort et poursortir de cette contradiction et assurer les co...
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L'obéissance aux lois est-elle légitimement fondée ?
« raisons fonctionnelles ». Le fameux argument « si tout le monde en faisait autant» semble tomber sous le coup decette exclusion, dans la mesure où on entend par là qu'il faut des règles et la nécessité d'y obéir si on veut que«vivre ensemble » soit vivable, la solitude radicale ne pouvant exister pour chacun d'entre nous. De même, laconsidération d'ordre psychologique fondant l'obéissance aux lois sur le besoin de limites, d'interdits, face àl'angoisse que déploie le psychisme s'i...
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L'obéissance au devoir peut-elle s'accompagner de la recherche du bonheur ?
si elle permet d'apporter un plaisir et d'éviter une douleur. Et c'est bien ce que développe John Stuart Mill dans l'Utilitarisme dans la droite ligne de Bentham. Comme il le dit : « Le principe d'utilité pose que les actions sont moralement bonnes dans la mesure où elles tendent à promouvoir le bonheur. » Donc l'obéissance au devoirs'accompagne donc nécessairement de la recherche du bonheur car est moral ce qui est bon et procure du plaisir.Mill effectivement définit le bonheur co...
- Obéissance et Soumission
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L'obéissance est-elle nécessairement contraire à la liberté ?
Le principe de la moralité réside dans l'autonomie, soit la faculté de sedéterminer soi-même de par une législation rationnelle. L'homme est lié à sondevoir par une loi qui ne lui est pas extérieure. Aucun intérêt ne vient leforcer à faire son devoir, aucune force étrangère à sa propre volonté ne vientle contraindre.Si le devoir procédait d'une contrainte, l'homme ne serait pas libre maishétéronome, c'est-à-dire sous la dépendance d'une loi qui ne procède pas delui-même. Le dev...
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Obéissance et liberté
B/ N'est-ce pas plus profondément que les hommes sont angoissés par leur liberté, qu'elle leur pèse, quoi qu'ils en disent ? 1/ Obéir aveuglément (à une loi, à un parti, aux préceptes d'une religion), n'est-ce pas au fond rassurant ? L'homme y trouve la certitude (illusoire) d'être dans le bon camp, d'agir comme il faut. • Ex. : le fanatisme religieux ou politique. 2/ Mais il renonce, ce faisant, à sa qualité d'homme et à l'usage de s...
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ROUSSEAU: Gouvernement et obéissance
apparents.« Commander à des hommes » implique en effet que l'on commande à de véritables consciences volontaires, et nonà des sujets passifs. L'homme a en lui une volonté et une liberté qu'il s'agit de toucher, pour qu'elles déterminent uncomportement réglé sur la loi.L'aboutissement du vrai pouvoir est résumé à la fin du texte : il s'agit d'obtenir que les citoyens fassent leur devoirsimplement parce qu' ils y songent eux-mêmes, et non en se pliant à des ordres survenant de l'extérieur, d'« en...
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La liberté est-elle rendue impossible par la nécessité de l'obéissance aux lois?
• Éclaircissements : A. Quels sont les rapports de la liberté et de la loi? -La loi. loin de restreindre la liberté, n'en est-elle pas plutôt la condition? Sans lois. les rapports des hommes seraient réglés par la force. La liberté des uns entraverait celle des autres. À supposer même que la domination soit un rapport durable, la relation commandement-obéissance serait en fait une relation de servitude réciproque, puisqu'elle repose...
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La liberté peut-elle se définir comme l'obéissance à la raison ?
2. Mais cette liberté spontanée est souvent méconnaissance de la nécessité et des déterminations (des contraintesdiverses). Comment être libre, devant le faisceau de contraintes qui se présente à nous... Tout un ensemble de limites surgit,limites qui semblent faire obstacle à mon libre arbitre, au pouvoir d'agir à ma guise. Dès lors s'évanouit et meurt cepouvoir de choix et d'action que rien ne limitait. a. L'ordre de la nature. Devant la nature, ce que j'expérimente, au premier chef, c'est un...
- L'obéissance contrarie-t-elle la liberté ?
- La liberté est-elle compatible avec l'obéissance ?
- Rousseau - Gouvernement Et Obéissance
- l'obéissance est-elle toujours synonyme de sagesse ?
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- LE DROIT ET L'OBÉISSANCE
- LE DEVOIR ET L'OBÉISSANCE CHEZ BERGSON
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La liberté peut-elle se définir comme l'obéissance à la raison ?
Introduction -La raison est la faculté qui permet notamment de lier entre eux deux faits données, au sein d'un mêmeenchaînement causal. La raison est donc la faculté qui permet de rendre compte de la nécessité et du déterminismedes faits naturels.-La liberté, à l'inverse, c'est la sensation d'être tout à fait indépendant par rapport à un quelconque déterminismeextérieur. Etre libre, c'est se sentir indépendant de toute relation, c'est sentir l'absoluité de notre volonté.-Ainsi, la rais...
- La liberté est-elle en contradiction avec l'obéissance ?
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Exiger l'obéissance, est-ce porter atteinte à la liberté?
Il apparaît clairement par là qu'aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir commun qui les tienne tousen respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, et cette guerre est guerre de chacun contrechacun. » Hobbes, « Léviathan », p. 122-124. [Obéir n'est pas synonyme d'aliénation ou d'hétéronomie. L'obéissance à la loi est la condition de possibilité de la liberté.] Être libre, c'est respecter la loi morale en moi.Pour Kant, il n'y a de liberté réelle que dans...
- L'obéissance à la force politique est-elle toujours une obligation ?
- La vie morale n'est-elle qu'obéissance à des règles établies ?
- Comportement-chiens : L'obéissance du chien.
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L'obéissance à l'État est-elle toujours obligatoire ?
Hobbes vit dans une Angleterre troublée par une guerre civile dont les causes sont à la fois religieuses et politiques. Le principe même de lamonarchie est critiqué et le roi atteint dans sa personne. En Angleterre,Charles Ier est exécuté en 1649 et Jacques II doit s'enfuir en 1688. Hobbes va s'atteler à une tâche à la fois pratique et théorique. Il s'agit de soutenir la monarchie au pouvoir ; ce soutien prend la forme d'unouvrage théorique qui justifie l ‘autorité quasi ab...
- Résistance et obéissance, voilà les deux vertus (1) du citoyen.
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Pouvons-nous concevoir la vie morale comme une simple obéissance à des règles établies ?
à observer matériellement une règle reçue de l'extérieur, mais à s'imposer à soi-même cette règle: elle est autonomie et non hétéronomie. Ensuite, elle n'est pas une obéissance à des règles, c'est c'est-à-dire à des prescriptions particulières établies par les hommes pour certaines circonstances déterminées et par suite positives. Le respect de l'agent moral s'adresse, au..cJelà de la règle positive, à la loi naturelle qui la fonde;...
- Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen.
- De l'obéissance à la loi. Quel en est le principe ? A-t-elle des limites ?
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Explication de texte:Berkeley, De l’obéissance passive
Les clés pour réussir Bien comprendre le texte Plan du texte • Tro is premièr es phr ases : les règles morales d'ac tion son t aussi univ erselle s que les propositi ons géomé triques. • Objection possible (quatrième phrase) : que devient l'univ ersalité lorsqu'un cas irré gul ier semble échapp er à la règ le? Elle est néanmoins mai ntenue, car • Fin du texte : la règle univ erselle s'applique après qu'on a vérifié que l'o bjet qu'elle concerne existe b...
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La liberté humaine est-elle rendue impossible par la nécessité de l'obéissance aux lois ?
... « On croit que l'esclave est celui qui agit sur commandement d'autrui, et que l'homme libre est celui qui seconduit selon son propre gré. Mais cela n'est pas absolument vrai. En réalité, celui qui se laisse entraîner par sonseul plaisir, au point de ne plus voir ni faire rien de ce qui lui serait utile, est soumis au plus grand esclavage, et seulest libre celui qui vit volontairement sous la conduite de la raison. Quant à l'action commandée, c'est-à-direl'obéissance, elle ôte bie...
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Jean GIONO, Refus d'obéissance
? 1. Les réalités de la guerreLes réalités de la guerre apparaissent essentiellement dans le deuxième paragraphe de l'extrait, sous la forme d'unrécit rétrospectif au passé : le ton est d'abord celui d'une relation objective des faits à l'état brut : « j'ai été soldatde deuxième classe », par exemple. L'utilisation de la première personne donne au texte l'aspect d'un témoignageauthentique ; en outre, le témoin est un humble soldat, un « sans grade », qui a servi dans « l'infanterie », « dansdes...
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- Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen.
- L'esprit ne doit jamais obéissance.
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Comment être libre tout en obéissant a une loi ?
expression vécue (voir La volonté, sujet 3). La première section des Fondements de la métaphysique des moeurs setermine en constatant : «L'homme sent enlui-même, à l'encontre de tous les commandements du devoir que la raison lui représente si hautement respectables,une puissante force de résistance : elle est dans ses besoins et ses inclinations, dont la satisfaction complète serésume à ses yeux sous le nom de bonheur» ; or la raison énonce la loi morale sans égard pour «ces prétentions siturbul...
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qui, par le droit de la guerre, et en l'état naturel des hommes,
pouvait lui être ôtée ; et l'avantage qu'il promet au vainqueur,
est son service et son obéissance.
III. L'obligation d'un esclave naît de ce que son maître lui a accordé la liberté de son corps. L'obligation d'un esclave envers son maître, ne vient donc pas de cela simplement qu'il lui a donné la vie, mais de ce qu'il ne le tient point lié, ni en prison ; car, toute obligation naît d'un pacte, et le pacte suppose qu'on se fie à une personne, comme il a été dit au neuvième art. du second chapitre, où j'ai défini que le pacte était une promesse de celui auquel on se...
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Que respecte-t-on en obéissant au droit : la force ou la justice ?
VI - LE POINT DE VUE DU CORRECTEUR Un sujet classique dans le problème qu'il pose, mais difficile dans sa formulation qui met en jeu de nombreuxconcepts. Calliclès : « La justice consiste en ce que le meilleur ait plus que le moins bon et le plus fort plus que le moinsfort. Partout il en est ainsi, c'est ce que la nature enseigne, chez toutes les espèces animales, chez toutes lesraces humaines et dans toutes les cités ! » Platon, Gorgias, Ive s. av. J.-C. La loi dont le sophiste Callic...
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L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité qu'en obéissant à lui-même ?
Concilier loi scientifique et liberté. Mais n'est-il pas possible de concilier loi scientifique et liberté ? Avec Spinozanous pouvons en effet poser qu'être libre, c'est agir selon les lois de sanature. La liberté d'affirmer ou de nier est une fiction : « Les hommes setrompent en ce qu'ils pensent être libres, et cette opinion consisteuniquement pour eux à être conscients de leurs actions, et ignorants descauses par lesquelles ils sont déterminés. L'idée de leur libe...
- L'obéissance est-elle la vertu du citoyen ?
- L'obéissance est-elle incompatible avec la liberté ?
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- La crainte est-elle le seul mobile à l obéissance aux lois ?
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La vie morale n'est-elle qu'obéissance à des règles établies ?
LE DEVOIR, LE DROIT, LA RESPO'.'ISABILITÉ 345