28 résultats pour "pippin"
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CHAPITRE DIX
GRANDS-PAS
Frodon, Pippin et Sam revinrent au petit salon.
nous sommes-nous conduitsaussisottement ? Nousaurions dûrester tranquillement ici. — Ça aurait mieux valu,ditGrands-Pas. Jevous aurais empêchés d’allerdanslasalle commune, sije l’avais pu, mais l’aubergiste n’apas voulu melaisser entrerpourvousvoir,nise charger d’unecommission. — Croyez-vous qu’il… ?commença dedemander Frodon. — Non, jene pense aucun malduvieux Poiredebeurré. Maisiln’aime pastrop lesmystérieux vagabondsde mon espèce. Frodon luilança unregard perplexe. — Eh bien,j’aiassez l’aird’...
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Le troisième jour depuis l’arrivée de Pippin
« Nous verrons probablement d’autres arrivants d’abord, dit Gandalf. Des fuyards de Cair Andros nous ont déjà rejoints. L’île est tombée. Une autre armée est venue de la Por te Noire, en traversant du nord-est. » « Certains vous ont accusé, Mithrandir, de vous complaire à apporter de mauvaises nouvelles, dit Denethor, mais pour moi, cela n’est plus une nouvelle : je l’ai su dès hier avant la tombée de la nuit. Quant à la sorti e, j’y avais déjà pensé. Allons en bas. » Le temps pas...
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Pippin s’en fut avec une demi-douzaine de gars sur des poneys.
voir. Le Patron et ce Sharcoux, dont ils ont parlé, ils pourraient faire quelque malheur là -bas avant le matin. » « Bon, Sam, dit Chaumine. Choisis un gars ou deux, et amène le chez moi. Tu n’auras pas besoin d’approcher du vieux village de H obbitebourg de l’autre côté de l’Eau. Mon Jolly, ici présent, te montrera. » Sam partit. Merry établit une surveillance autour du village et des gardes aux barrières pour la nuit. Après quoi, lui et Frodon s’en furent avec le Père Chaumine. Ils...
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« Personne ne nous a inquiétés, en tout cas, dit Pippin, et nous circulions lentement, sans faire garde.
« Voyons ! sedit-il àlui-même, sefrappant lefront. Qu’est-ce quecela merappelle donc ? » « Pas uneautre lettre quevous auriez oubliée, j’espère, monsieur Poiredebeurré ? » ditMerry. « Allons, allons,monsieur Brandebouc, neme rappelez pasencore cela !Maisvoilàquevous avezcoupé court àma réflexion. Oùenétais-je donc ?Nob,lesécuries, ah !j’ysuis. J’aiquelque chosequivous appartient. Si vous vousrappelez BillFougeron etlevol des chevaux : sonponey quevous aviez acheté, ehbien, ilest ici. Il est reve...
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CHAPITRE QUATRE LE SIÈGE DE GONDOR
de Lorien, mais non à le porter en service. Il avait à présent sans le savoir l’aspect parfait de l’Ernil i Pheriannath , le Prince des Semi- Hommes, comme on l’avait appelé, mais il ne se sentait pas du tout à l’aise. Et l’obscuri té commençait à lui peser. Il fit sombre et terne toute la journée. De l’aube sans soleil jusqu’au soir, la lourde ombre s’était épaissie et tous les cœurs dans la Cité étaient oppressés. Loin en dessus, un grand nuage porté par un vent de guerre flottait le...
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de Guérison, c’étaient de belles demeures réservées
CHAPITRE HUIT LES MAISONS DE GUÉRISON Quand ils approchèrent de la Porte en ruine de Minas Tirith, un brouillard de larmes et de fatigue voilait les yeux de Merry. Il prêta peu d’attention à la dévastation et au massacre qui se voyaient partout. Il y avait du feu, de la fumée et de la puanteur dans l’air, car de nombreux engins avaient été brûlés ou jetés dans les fosses à feu, et beaucoup de tués aussi, tand is que de-ci de- là gisaient de nombreux cadavres des grands monstres su...
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À cette réflexion, Gandalf se redressa
davantage de savoir et de sagesse que vous ne l’imaginez. » « Quelle est donc cette sagesse ? » demanda Gandalf. « Elle est suffisante pour percevoir qu’il est deux folies à éviter. L’usage de cet objet est dangereux. À l’heure présente, l’en voyer aux mains d’un Semi -Homme sans intelligence dans le pays de l’ennemi lui - même, comme vous l’avez fait, vous et ce fils à moi, est pure folie. » « Et le Seigneur Denethor, qu’aurait -il fait ? » « Ni l’une ni l’autre de ces deux ch...
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Sam était hors de lui.
les bandits firent demi -tour et s’enfuirent sur la Route de Hobbit ebourg, mais, ce faisant, ils sonnèrent du cor. « Eh bien, il était grand temps de rentrer », dit Merry. « Grand temps. Peut -être est - il même trop tard, pour sauver Lothon en tout cas, dit Frodon. C’est un pauvre imbécile, mais je le plains. » « Sauver Lot hon ? Que veux -tu dire ? répliqua Pippin. Le détruire, dirais -je. » « Je crois que tu ne comprends pas tout à fait, Pippin, dit Frodon. Lothon n’a jamais...
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CHAPITRE QUATRE
UN RACCOURCI VERS LES CHAMPIGNONS
Au matin, Frodon se réveilla tout dispos.
changement quisemblait s’êtreemparé delui. Cela nesonnait pascomme lavoix del’ancien SamGamegie, assis là, hormis uneexpression inhabituellement pensive. — Vois-tu lanécessité dequitter laComté maintenant –maintenant quetondésir deles voir s’est déjà réalisé ? demanda-t-il. — Oui, monsieur. Jene sais comment l’exprimer, maisaprès cettenuit,jeme sens différent. Ilme semble voir devant moi,enquelque sorte.Jesais quenous allons suivre unetrès longue route,jusque dansl’obscurité ; mais jene peux pas...
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« Ce n’est qu’une poésie burlesque, je crains, dénaturée dans la mémoire des vieilles. Je laisse à votre jugement d’en interpréter le sens, s’il y en a un. Mais les vieilles gens se servent toujours d’une infusion de cette herbe contre les maux de tête. »
de pareilles choses. Mais qui sait ce qu’elle disait aux ténèbres, seule, dans les amères veilles de la nuit, lorsque toute sa vie semblait s’étriquer et les murs de son appartement se resserrer autour d’elle, comme une cage pour retenir quelque bête sauvage ? » Eomer se tut et contempla sa sœur comme s’il se remémorait tous les jours de leur vie passée en commun. Mais Aragorn dit : « J’ai vu aussi ce qu e vous avez vu, Eomer. Peu d’autres chagrins parmi les mauvaises fortunes de...
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CHAPITRE SEPT LE BÛCHER DE DENETHOR
dôme. « Arrêtez ! Arrêtez ! cria Gandalf, s’élançan t vers l’escalier de pierre qui précédait la porte. Arrêtez cette folie ! » Car là étaient les serviteurs de Denethor, leurs épées et des torches à la main, mais, sous le portique, se tenait seul sur la dernière marche. Beregond, vêtu du noir et argent de la Garde, et il tenait la porte contre eux. Deux étaient déjà tombés sous son épée, souillant le mausolée de leur sang, et les autres le maudissaient, le qualifiant de hors...
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Mais Denethor ne lui permit pas d’aller loin.
orque qui ordonna l’assaut contre le plus grand ennemi du Seigneur de Mordor. Un po uvoir et un esprit malfaisant le guidèrent. Dès que les grandes catapultes furent installées, elles commencèrent, avec un grand accompagnement de hurlements et force craquements de cordes et de treuils, à lancer des projectiles à une hauteur surprenante, d e sorte qu’ils passaient bien au- dessus des remparts pour tomber avec un bruit sourd à l’intérieur du premier cercle de la Cité, et bon nombre d’entre e...
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CHAPITRE NEUF LES HAVRES GRIS
tout le monde les appelait à présent), pour avoir leur avis. « Je me demandais quand tu y penserais, dit Frodon. Ouvre -la ! » Elle était remplie d’une poussière grise, douce et fine, au milieu de laquelle se trouvait une graine semblable à une petite noix à la coquille argentée. « Que puis -je faire de ça ? » dit Sam. « Jette le en l’air par un jour de vent et laisse le faire son œuvre ! » dit Pippin. « Sur quoi ? » demanda Sam. « Choisis un endroit comme pépinière, et...
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Aussi bien que jamais, vous pouvez en être sûr, dit Gandalf.
CHAPITRE HUIT LE NETTOYAGE DE LA COMTÉ La nuit était tombée quand, mouillés et las, les voyageurs finirent par atteindre le Brandevin, et ils trouvèrent le chemin barré. À chaque extrémité du Pont, il y avait une grande grille garnie de point es, et ils purent voir que, de l’autre côté de la rivière, de nouvelles maisons avaient été construites : à deux étages avec d’étroites fenêtres aux côtés verticaux, nues et faiblement éclairées, tout cela était assez lugubre et répondait pe...
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Mais Denethor ne lui permit pas d'aller loin.
accompagnement dehurlements etforce craquements decordes etde treuils, àlancer desprojectiles àune hauteur surprenante, desorte qu’ils passaient bienau-dessus desremparts pourtomber avecunbruit sourd à l’intérieur dupremier cercledelaCité, etbon nombre d’entreeux,parquelque artificesecret,éclataient en flammes dansleurchute. Il yeut bientôt granddanger d’incendie derrièrelemur, ettous ceux quiétaient disponibles s’affairèrent à étouffer lesflammes quijaillissaient enmaints endroits. Puis,parmi l...
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« Si c’est vraiment la dernière, je suis content, répliqua Saroumane : cela m’évitera la peine de la refuser encore. Tous mes espoirs sont ruinés, mais je ne désire pas partager les vôtres. Si vous en avez. »
pierre, en mémoire de choses oubliées, à présent perdues dans les régions dépeuplées. Car ils ne bougeaient ni ne parlaient oralement, se regardant d’esprit à esprit, et seuls leurs yeux remuaient et s’allu maient dans le va -et -vient de leurs pensées. Mais tout finit par être dit, et ils se séparèrent de nouveau pour quelque temps, jusqu’à ce que le moment fût venu pour les Trois Anneaux de cesser d’être. Disparaissant rapidement parmi les pierres et les ombr es, les gens de Lorien e...
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« Grand temps.
avec unlarge sourire. Puisluietses filscoururent verslevillage. Sam allavivement àla maison. Prèsdelagrande porteronde auhaut desmarches montant delavaste cour, se tenaient MmeChaumine etRosie avecNibs, arméd’une fourche, devantelles. « C’est moi !criaSam, toutenmontant autrot. Sam Gamegie ! Alorsn’essaie pasdeme piquer, Nibs. D’ailleurs, j’aisur moi unecotte demailles. » Il sauta àbas deson poney etgrimpa lesmarches. Ilsleregardèrent lesyeux écarquillés sansmotdire. « Bonsoir, MadameChaumine !...
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Nous pouvons encore rencontrer derrière le tournant
Un arbre soudain ou une pierre levée
Que nul autre n'a vu que nous seuls.
Le chant s’approcha. Unevoix claire s’éleva alorsau-dessus desautres. Ellechantait danslabelle langue elfique dontFrodon avaitquelque connaissance, maislesautres aucune. Leson quisemariait àla mélodie semblait toutefois prendredansleuresprit laforme demots qu’ils necomprenaient qu’enpartie. Voicila chanson, tellequeFrodon l’entendit : Blanche neige !Blanche neige !Ôclaire dame ! Ô Reine d’au-delà desMers Occidentales ! Ô Lumière pournousquierrons ici Parmi lemonde desarbres entrelacés ! Gilt...
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CHAPITRE HUIT
LE NETTOYAGE DE LA COMTÉ
La nuit était tombée quand, mouillés et las, les voyageurs finirent par atteindre le Brandevin, et ils
trouvèrent le chemin barré.
« Je regrette, Monsieur Merry,ditHob, maiscen’est paspermis. » « Qu’est cequi n’est paspermis ? » « De recevoir desgens aupied levéetde consommer desvivres ensurplus, ettout ça », ditHob. « Qu’est cequi sepasse doncici ?ditMerry. L’année a-t-elleétémauvaise, ouquoi ? Jecroyais qu’ilavait fait unbel étéetque larécolte avaitétébonne. » « Enfin… non,l’année aété assez bonne, ditHob. Onfait pousser beaucoup denourriture, maisonnesait pas aujuste oùçapasse. Cesont tousces« ramasseurs » et« répartiteu...
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espoir à la suggestion d’un acte de vaillance
« Y a -t-il dans cette ba nde quelqu’un qui ait autorité pour traiter avec moi ? demanda -t-il. Ou, en fait, qui ait assez de tête pour me comprendre ? Pas toi, au moins ! dit - il, narquois, se tournant vers Aragorn avec dédain. Il en faut plus pour faire un roi qu’un morceau de verr e elfique ou une racaille comme celle- ci. Allons donc ! N’importe quel brigand des montagnes peut exhiber une aussi belle suite ! » Aragorn ne répondit rien, mais il accrocha le regard de l’autre et...
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avant que les neiges ne soient fondues.
chambre, sifflantcomme unsansonnet. Enlesentendant bouger,ilbattit desmains etcria : — Holà ! Venezgaidol ! derry dol !Mesbraves ! Il ouvrit lesrideaux jaunes,etles Hobbits virentqueceux-ci couvraient desfenêtres àchaque boutdela pièce, l’unetournée versl’estetl’autre versl’ouest. Ils sautèrent surleurs pieds, reposés. Frodoncourutàla fenêtre etse trouva devant unjardin potager, gris de rosée. Ils’était unpeu attendu àvoir dugazon jusqu’aux murs,dugazon toutmarqué d’empreintes desabots. En fait,...
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Mittelalter - Geschichte.
dominierten römischen Kirche. Das Papsttum, das in der Zeit der Machtlosigkeit des byzantinischen Kaisers in Italien bereits zu einer der führenden politischen Mächteaufgestiegen war, beanspruchte, da von Petrus gegründet, gegenüber allen anderen Kirchen den Vorrang. Es emanzipierte sich endgültig vom byzantinischen Kaiser, alsPapst Zacharias 751 die Errichtung der karolingischen Monarchie durch Pippin III. legitimierte, dem sein Nachfolger zudem den Schutz der römischen Kirche übertrug. Dieswar...
- Karolinger Karolinger, fränkisches Hochadelsgeschlecht, das vom 7.
- Karolinger - Geschichte.
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absurde !
Deux des Shiriffes quittèrent immédiatement le groupe pour aller vers lui. « Chef ! dit Merry. Rappelez immédiatement vos hommes dans les rangs, si vous ne voulez pas qu’ils aient affaire à moi ! » Les deux hobbits, sur un ordre vif du chef, revinrent d’un air maussade. « Et maintenant, allez ! » dit Merry, après quoi, les voyageurs veillèrent à ce que le pas de leurs poneys fût assez rapide pour pousser en avant les Shiriffes aussi vite qu’ils pouvaient marcher. Le s oleil sorti...
- Karl I.
- Karl I.
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« Nob, espèce de nigaud à la caboche laineuse ! s’écria-t-il. Ne peux-tu
« Personne ne nous a inquiétés, en tout cas, dit Pippin, et nous circulions lentement, sans faire garde. Nous pensions avoir laissé tous les ennuis derrière nous. » « Ah, pour ça, non, Maître, c’est d’autant plus regrettable, dit Poiredebeurré. Mais il n’ est pas étonnant qu’ils vous aient laissés tranquilles. Ils ne se lanceraient pas contre des gens armés, munis d’épées, de casques, de boucliers et de tout ça. Ça leur donnerait à réfléchir. Et je dois dire que ça m’a un peu interloqué...