4388 résultats pour "connaissante"
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FAUT IL SE MEFIER DES LIVRES ?
§ Si les livres apparaissent comme ce qui est une connaissance erronée qu'il faut rectifier, il semble quel'éduction ne doive pas passer par une forme d'apprentissage, c'est-à-dire de donnée qui vient del'extérieur pour être saisie par un sujet, mais bien par une forme de conversion, de rentrée du sujet enlui-même afin qu'il trouve en lui les propres clés de son éducation et son propre objet du savoir. § C'est en outre la thèse que semble poser Platon dans ces différents ouvrages, mai...
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- Sujet : « Est-on le mieux placé pour se connaître soi-même ? »
La connaissance de soi est donc difficile à atteindre du fait de la présence du temps et des relations entre la conscience et l'inconscience. De même que la présenced'autrui peut-être un impact à la connaissance de soi car il peut-être en mesure de mieux nous connaître que personne. On peut donc se demander si l'Homme est-il le« mieux placé » pour savoir ce qu'il pense et ressent ? - L'interrogation « est-on le mieux placé » présume qu'il existe en dehors de nous, d'autre places, d'autres points...
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Pourquoi apprendre ?
conversion sur soi-même. § En effet, si le but de l'éducation est une rentrée en soi même, comme le postule Rousseau pour unepart, alors il semble que l'éduction ne doive pas passer par une forme d'apprentissage, c'est-à-dire dedonnée qui vient de l'extérieur pour être saisie par un sujet, mais bien par une forme de conversion,de rentrée du sujet en lui-même afin qu'il trouve en lui les propres clés de son éducation et sonpropre objet du savoir. § C'est en outre la thèse que semble...
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Autrui me connaît-il mieux que je ne me connais moi-même ?
critère de connaissance. Je suis ce que je fais mais aussice que je dis. C'est dans l'essencedu langage que l'on trouve uncritère qui légitime la parolecomme accès à la connaissancede soi par les autres. On interroge ici le sens de"mieux " une meilleureconnaissance serait uneconnaissance plus objective. Transition les limites de laconnaissance qu'autrui peut avoirde moi sont tirées de l'exempleutilisé précédemment Utilisation d'un exemple littéraireà l'appui de la thèse Définition...
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Peut-on mieux connaître autrui que soi-même ?
C. Pourtant, cela ne veut pas dire que Merleau-Ponty nie qu'il y ait des difficultés à comprendre autrui. En effet, l'intériorité d'autrui, même si elle nous est compréhensible, reste une représentation. Dans laPhénoménologie de la perception , il prend l'exemple de deux situations : le deuil et la colère « Le deuil d'autrui et sa colère n'ont jamais exactement le même sens pour lui et pour moi. Pour lui, ce sont dessituations vécues, pour moi ce sont des situations re...
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Connaitre la vérité, est-ce découvrir le réel ?
vérité se distingue donc par le fonctionnement interne de son évaluation des propositions qui la constitue – oùfonctionnement interne autonome signifie une certaine indépendance abstraite envers le réel (penser à laconnaissance des vérités mathématiques, logiques, etc.). Dès lors il faut se demander si le réel, et sa découverteen est l'objet, en questionnant plus en avant les modalités du rapport de la connaissance (vraie ou non) au réel. Nb. Ici se loge l'opposition entre la conception...
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La science permet-elle de connaître la réalité ?
Ces deux derniers obstacles se révèlent notamment dans le cadre du développement historique de la pensée scientifique, et surtout, et plus important encore dans lecadre de l'enseignement pédagogique, au point que l'on peut parler d'obstacle pédagogique à la connaissance scientifique. Cette affirmation se vérifie très bienlorsque les élèves arrivent pour la première fois en classe de physique-chimie, avec des connaissances erronées, constituées par l'expérience de la vie quotidienne.Ainsi, on ret...
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LA VÉRITÉ MATHÉMATIQUE EST-ELLE LE MODÈLE DE TOUTE VÉRITÉ ?
PRÉALABLE: JUGEMENTS ANALYTIQUES ET SYNTHETIQUES CHEZ KANT Kant distingue 3 types de jugements:a) Le jugement analytique (ou tautologique) est un jugement qui n'a pasbesoin de l'expérience, l'esprit n'a pas besoin de sortir de lui-même pourconnaître. Ces jugements indépendants de l'expérience sont dits a priori. Ilsont une qualité et un défaut. Leur qualité est la rigueur et la certitude de nepas se tromper. Leur défaut: l'esprit piétine, bégaie et n'apprend rien.Exemples: un tri...
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Le recours à des pratiques irrationnelles. voire superstitieuses. vous paraît-il explicable à notre époque caractérisée par le développement des connaissances scientifiques ?
et de chercher les ressorts profonds de son audience et de sa pérennité (4). Contrairement aux médecins qui tiennent leur légitimité d'un diplôme, conféré par une institution extérieure à leur personne, les guérisseurs tirent leur justification d'eux mêmes, c'est-à-dire de leur« don ». L'aptitude qu'ils auraient de guérir, personne ne la leur a conférée. Elle est innée. C'est leur propre corps qui est la source de leur pouvoir. Et...
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Somme théologique - Saint Thomas d'Aquin
ignorants. Ce principe sous tend cet argument, c'est ce qui fait dire à Saint Thomas qu'il serait « injuste » quecertains hommes soient privés de la connaissance de Dieu. La notion de justice renvoie au fait que en droit tout lemonde doit avoir accès à la connaissance de Dieu. C'est pourquoi il faut deux régimes de vérité, le mode de la raisonqui n'est accessible qu'aux scientifiques et le mode de la foi qui est accessible à tous. 2) La partialité sociale de la scienceLes raisons pour lesquelles...
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Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?
«connaître» et «se connaître» il existe une différence. Effectivement, connaître c'est appréhender un objet extérieur en vue d'en décrire, d'en expliquer les propriétés. En revanche, se connaître, c'est réfléchir sur soi, se replier sur son intériorité. Une connaissance extérieure ne sera jamais une connaissance intérieure. Comme nous l'avons énoncé, connaître l'autre de façon extérieur serait ignorer son intérieur, son «soi» c'est-à-dire un intérieur présentant des actes, des désirs, des contra...
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Connaissons-nous par la seule raison ?
2. Remise en question du rôle premier de la raison dans la processus de connaissance : -Mais, puisque je reconnais que la connaissance commence avec la perception, ne dois-je pas attribuer la connaissance dumonde à la seule perception ? Si la raison en effet ordonne le donné de la perception, la connaissance commence avec le donné qui me parvient via mes sens dumonde extérieur. Pas de connaissance sans perceptions, qu'elles soient tactiles, visuelles, auditives, olfactives ou gustatives. En cese...
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JUSQU'À QUEL POINT CONNAÎTRE IMPLIQUE-T-IL DE DOUTER ?
Le doute est synonyme d'absence de certitude. Il est dans cette perspective un état de conscience ou même unétat de fait. (pensons par exemple à l'expression : « semer le doute ») Le fait de douter, en revanche, n'est pas un état de conscience ou de fait, mais une attitude. On peut, dans ce second cas, distinguer le doute sceptique, qui consiste à suspendre tout jugement, ce qui revientà admettre la faiblesse de notre raison à produire des connaissances vraies, et le doute méthodique attaché à l...
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Suis-je ce que j'ai conscience d'être ?
actes, des jugements… C’est à ce niveau que se pose la question de savoir si nous sommes réellement ce que nous avons conscience d’être. Je peux prétendre être facile à vivre au quotidien, être ouvert aux autres, jalouse… mais est -ce vraiment ce que je suis ? Comment puis -je m’assurer que ce que je pense de moi s’accorde avec la réalité ? Pour atteindre cette connaissance de soi, des obstacles sont à surmonter. Il faut tout d’abord que j’analyse mes ac tes, opinions, pensées pour te...
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Connaître, est-ce expérimenter ?
En revanche, la théorie ne peut se passer d'une vérification expérimentale, qui doit être préparée et encadrée trèsprécisément, ne serait-ce quepour savoir vraiment quel signal (par exemple un point sur un écran) indiquera que l'on met effectivement enévidence ce que l'on cherchait. L'expérimentation doit également être reproductible et être soumise à des variationspour confirmer la théorie. Falsification et connaissance La connaissance progresse également lorsque l'expérience échoue po...
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DESCARTES: «Connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux [...] nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.»
La nature ne se contemple plus, elle se domine. Elle ne chante plus les louanges de Dieu, elle est offerte à l'homme pour qu'il l'exploite et s'en rende « comme maître & possesseur ». Or, non seulement la compréhension de la science se voit transformée, mais dans un même mouvement, celle de la technique. Si la science peut devenir pratique (et non plus seulement spéculative), c'est qu'elle peuts'appliquer dans une technique. La technique n'est plus un art, un savoir-faire, une routin...
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Peut-on se connaître soi-même ?
Demande d'échange de corrigé de THILLOU fabien ( [email protected] ). Sujet déposé : peut-on se connaître soi même ? Tout d'abord, il faut analyser la question :- Le peut-on ? qui implique la question de la possibilité et du droit- Le soi-même qui correspond à ce qui en soi reste le même. Au sens philosophique, on doit donc se demander cequ'est l'essence, ce qu'est le moi (pour Pascal), ce qu'est la substance.- Connaître : Il est nécessaire de parler de la connaissance. Une idée de plan : I) La pr...
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l'art permet-il de mieux connaitre la réalité ?
KANT, Critique de la faculté de juger , §43. « L' art, en tant qu'habileté de l'être humain, se distingue aussi de la science (comme le pouvoir du savoir ), à la manière dont le pouvoir pratique se distingue du pouvoir théorique, ou la technique de la théorie (commel'arpentage se distingue de la géométrie). » L'opposition entre art et science et une opposition entre théorie et pratique.On peut, à partir de cette opposition, voir ce qui oppose l'artiste et lescientifi...
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Se connaître soi-même, connaître les autres. Faut-il voir là deux actes indépendants ?
de certitude. Lorsque je veux contrôler ma connaissance, je suis de nouveau dans la position d'un observateur.Il découle de ceci que l'introspection ne saurait être suffisante, pour la connaissance d'autrui et qu'il n'est paspossible de se tourner vers soi pour y découvrir tous les hommes. La profonde identité des êtres, le cri du poète «insensé qui crois que je ne suis pas toi » n'a de valeur qu'au prix d'une grande abstraction. La connaissance d'autrui,la connaissance objective par l'obser...
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Sentir est-ce connaître ?
. 2) L'activité qu'est le connaître ne se limite donc pas à la sensation et comprend une construction faisant intervenir des structures a priori de la raison humaine. La connaissance s'élabore à partir dematériaux sensibles mais ne s'y limite pas. "Que toute notre connaissance commence avec l'expérience, cela ne soulève aucun doute. En effet, par quoi notrepouvoir de connaître pourrait-il être éveillé et mis en action, si ce n'est par des objets qui frappent nos sens et qui,d'une part, pr...
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qu'est-ce que connaître ?
connaissance intellectuelle. a) Pour nous faire une idée de ce mode de connaissance, partons d'exemples concrets.Supposons qu'on me demande, à moi qui ignore tout de la botanique, si je connais cette plante. Je pourrai répondreque je l'ai vue et qu'on la trouve sur les coteaux calcaires, mais je ne prétendrai pas la connaître, et je renverrai lecurieux à un botaniste, qui pourra en donner une définition logique par le genre prochain et la différence spécifique :la connaissance du botaniste est d...
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Explication du texte de leibniz
2/8 Rappel concernant la présentation des devoirs, notamment pour le baccalauréat. Nous avons mis entre crochets, en tête de certains paragraphes, des titres ou des numéros dans le but de faciliter votre lecture en rendant plus manifestes laconstruction du devoir et l'ordre des idées c’est-à-dire de leur discussion. N'oubliez pas, cependant, que, dans vos propres copies, ycompris le jour du baccalauréat, vous ne devez pas utiliser ce procédé typographique ,qui n'est qu'une aide pédagogique...
- Du seul point de vue touristique, il est déjà possible de prendre connaissance d'une rivière de façon qualitative, par simple impression visuelle
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Connais-toi toi-même. Devise de Socrate. Commentez cette citation.
Telle est alors la seule condition pour qu'une réflexion philo sophique puisse commencer. Cette formule célèbre de Socrate apparaît avant tout comme un idéal à atteindre étant donné que la connaissance de soi n'est pas celle de n'importe quel objet. Se connaître apparaît ainsi avant tout comme ce que nous devons viser, ce vers quoi nous devons tendre. On peut alors se demander ici s'il ne s'agit pas de la connaissance l...
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- La connaissance de soi nécessite-t-elle la médiation d'autrui ?
- La connaissance de l'histoire nous aide-elle à comprendre ?
- Quels problèmes posent la connaissance du vivant ?
- Une connaissance scientifique de l'homme est-elle possible ?
- La connaissance de soi suffit-elle à être maître de ses actes ?
- Y a-t-il des obstacles propres à la connaissance historique ?
- La connaissance du passé peut-il être un instrument de notre liberté ?
- Dans quelle mesure l'homme échappe -t-il à la connaissance qu'on peut avoir de lui ?
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- Peut-on parler d'une connaissance mystique de Dieu ?
- La connaissance scientifique est-elle axiologiquement neutre ?
- La technique peut elle nous aider dans l'apprentissage des connaissances ?
- Si nos sens nous trompent une connaissance est-elle possible ?
- La connaissance n'est-elle pas d'abord un acte vital ?
- Notre connaissance de la réalité n'est-elle qu'un ensemble d'hypothèses ?
- Les degrés de la connaissance chez Spinoza
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En quel sens ai-je besoin d'autrui pour être conscient de moi-même ?
besoin d'autrui, je me prendrai pour un objet de connaissance parmi d'autres. Ici surgit un nouveau problème :quand je me prends pour objet, est-ce bien un objet de connaissance que je suis, et pas seulement l'objet de mespropres désirs subjectifs, de mes passions, de mes sens que Descartes reconnaît être trompeurs ? Il convient dedéterminer si j'ai la possibilité de me prendre pour objet de connaissance. II – Ai-je la possibilité de me prendre pour objet de connaissance ? Toute connaissa...
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Explication de texte de Leibniz
Cned –7PH00CTPA0113 2/8 Rappel concernant la présentation des devoirs, notamment pour le baccalauréat. Nous avons mis entre crochets, en tête de certains paragraphes, des titres ou des numéros dans le but de faciliter votre lecture en rendant plus manifestes laconstruction du devoir et l'ordre des idées c’est-à-dire de leur discussion. N'oubliez pas, cependant, que, dans vos propres copies, ycompris le jour du baccalauréat, vous ne devez pas utiliser ce procédé typographique ,qui n'est qu'u...
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KANT et l'ignorance
KANT (Emmanuel). Né et mort à Königsberg (1724-1804). Fils d'un sellier d'origine écossaise, il fit ses études à l'Université de Königsberg, et s'intéressa davantage à la physique et à la philosophie qu'à la théologie. En 1755, ilest privat-dozent de l'Université de sa ville natale, puis il est nommé professeur extraordinaire de mathématiques etde philosophie. En 1770, il devient titulaire de la chaire de logique et de métaphysique. Il vécut dans une demi-retraite pendant onze ans ; puis, comme...
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La philosophie peut-elle être considérée comme un art ?
– Cependant, une telle conception de la philosophie comme art de vivre et recherche de la sagesse, identifie lasagesse à l'épanouissement, définissant la vertu à partir du bien propre de chaque activité et du bonheur quis'en dégage. Or, le caractère moral d'une action, donc, l'action du sage, doit être plutôt liée au devoir qu'aubonheur. La vertu ne consiste pas tant en l'activité de notre nature, qui peut être est mauvaise, qu'en uneaction faite par devoir. C'est bien ce que remarque K...
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Pouvons-nous connaître sans raisonner ?
c'est bien qu'il y a raisonnement. C'est ce qu'affirme Kant dans la critique de la raison pure qui critique aussi bien la position rationaliste que la position empiriste en affirmant la nécessité del'intuition comme de l'entendement qui est une certaine façon de classer lesintuitions en systèmes.Néanmoins, une difficulté demeure pour penser la connaissance, car elle nepeut être connaissance que des phénomènes, je n'ai aucun moyen selon Kantd'accéder par les sens à la chose en soi. 3. L'in...
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JUSQU'À QUEL POINT CONNAÎTRE IMPLIQUE-T-IL DE DOUTER ?
Selon l'analyse classique de C. Bernard, l'esprit scientifique doit être en permanence prêt à douter de ce qu'il sait,pour être réceptif aux faits nouveaux et se rendre capable de les observer convenablement. Ces faits polémiques,qui doivent susciter des explications nouvelles, sont d'abord pris en charge par des hypothèses. Mais ces dernièresne peuvent être admises qu'après leur vérification expérimentale — ce qui signifie bien que, tant que cettevérification n'est pas faite, l'hypothè...
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La science peut-elle tenir lieu de philosophie ?
connaissances acquises, relativement aux différents ordres de phénomènes naturels ». (Cours de Phil. posit., t. I,Première leçon) Mais un « corps de doctrine homogène » ne se réduit pas à un résumé. Il constitue une synthèse,oeuvre d'une pensée créatrice qui fait intervenir des principes qui dépassent le donné des sciences particulières. Delà des philosophies différentes qui toutes prétendent bien tenir compte des acquisitions des diverses sciences.Ces oppositions restent irréductibles, car l'ex...
- L'histoire est une connaissance, sans être une science, car nulle part elle ne connaît le particulier par le moyen de l'universel, mais elle doit saisir immédiatement le fait individuel, et, pour ainsi dire, elle est condamnée à ramper sur le terrain de l'expérience.
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La validité d'un raisonnement suffit-elle à garantir la vérité de ce qu'il démontre ? (Pistes de réflexion seulement)
§ 1. Aristote et l'idée de la logique formelle et tout carré (B) est un losange rectangle (A). Mais, selon la forme de la proposition : Tout A est B. on ne peut tirer que quelque B est A. § 2. De la logique d'Aristote à la logique moderne Certes, la logique d'Aristote n'est pas sans lacunes ni surtout sans étroitesse, car elle n'étudie que les propositionsprédicatives du type : S (sujet) est P (prédicat ou attribut), exemple : Socrate est homme, mais non lespropositions relationnelle...
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Si l'histoire ne se répète pas, à quoi bon connaître le passé ?
Que l'histoire ne se répète pas ne signifie pas nécessairement que le passé ne peut rien nous apprendre sur le présent : les événements ne serépètent pas à l'identique, mais l'on peut penser que le déroulement global del'histoire obéit à un principe qui lui donne une structure permettant de relierles époques en un tout cohérent. Dans cette perspective, Hegel conçoitl'histoire comme guidée par l'Esprit, ou encore la Raison, de l'humanité. Lasuccession des événements et des états...
- Que préférez-vous : la littérature qui facilite l'évasion, le rêve, ou au contraire une littérature plus engagée qui pose — si elle ne leur apporte pas toujours de solution — les grands problèmes humains ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant, de façon précise, sur les œuvres que vous connaissez par vos études ou vos lectures.