2632 résultats pour "bonheurs"
- Article Paix
- Commentaire littéraire du poème « Il n'y a pas d'amour heureux » de Louis Aragon
-
La religion comme expression fantastique de l'aliénation économique de l'homme ?
Pour l'homme qui s'est approprier lui-même, pour l'homme qui ne s'est pas perdu à lui-même, pour cet homme en plénitude (plein de lui-même) il n'y a pas d'espace, d'écart à combler. Dèslors la religion est inutile, elle n'a plus de place. Elle n'aura à nouveau de la place que si l'homme ai lieu de retrouver sans cesse, se perd à nouveau, laissant dès lors un vide à combler.Cependant l'homme dont on vient de parler avec sa conscience de soi est un homme abstrait. Ce qui signifie aussi bien l'homm...
-
René-Guy CADOU, Hélène ou le règne végétal : LA MAISON D'HÉLÈNE
Ce poème nous présente une conception du bonheur essentiellement fondée sur l'évocation d'un monde proche del'enfance. 1. Le regard du locuteur, en effet, évoque celui d'un enfant étonné par le caractère merveilleux du lieu, une maisondont les vitres sont « broutées » par un arbre, où les agneaux viennent s'allonger sur les marches, évoquant l'Archede Noé, ne peut que faire naître une atmosphère magique. Ainsi les images permettent-elles au poète d'animer leséléments inanimés, les fleurs du para...
-
Tout s'achète-t-il avec de l'argent ?
même buts dans la vie, chacun recherchant simplement une vie heureuse. Le bonheur des uns fait parfois le malheurdes autres, il est certain, mais d'une manière générale, le bonheur pourrait se définir comme l'accomplissement desoit, un moment d'extase, de bien être recherché par tous. En s'interrogeant sur les composants du bonheur,l'amour et l'amitié semblent en être les maîtres mots pour la majeure partie d'entre nous. La reconnaissance et laconsidération des autres sont très importante...
- j-j rousseau la nouvelle heloise
-
PODCAST >>> EPICURE - Lettre à Ménécée (fin)
c'est à dire préparer l'avenir, et retrouver la jeunesse du savoir vivre. Le souvenir de son passé, ce n'est pas uniquement se souvenir des expériences malheureuses. On parle souvent du passé pour oublier ses malheurs présents. Le plaisir de vivre, ce n'est pas s'écarter de la jeunesse. Se souvenir des moments de vie heureux du passé permet de supporter les épreuves de la vieillesse. La problématique du bien pratique: Le bien n'est pas une idée transcendante. ni chimérique...
- Ne désirer que ce qu'on pense pouvoir obtenir, est-ce une bonne règle de vie ?
-
- LA DISTANCIATION FLAUBERTIENNE
-
kant : «De tout ce qu'il est possible de concevoir dans le monde, et même en général hors du monde, il n'est rien qui puisse sans restriction être tenu pour bon, si ce n'est seulement une BONNE VOLONTE.»
morale. La réussite d'un malpropre ne le rend pas moins immoral ni plus respectable. Si la volonté bonne échoue celan'enlève rien à sa valeur .En effet, l'efficacité peut susciter l'admiration, mais non le respect. Par exemple, les campsd'extermination se caractérisaient par une remarquable efficacité; cependant ils n'en restaient pas moins ignobles etatroces. Le succès n'est donc pas un critère moral, ou bien les vainqueurs auraient toujours raison.Cela reviendraità penser que le plus fort avai...
- Explication de texte Aristote
-
STENDHAL: ROME, NAPLES ET FLORENCE (1817 et 1826) PAGES D'ITALIE (1818-1828) NAPOLÉON (1817-1838) - ANALYSE D'OEUVRES
aristocratie de l'intelligence à laquelle il avait conscience d'appartenir. Son républicanisme instinctif allait-il s'insurgercontre l'auteur du coup d'État de brumaire Henri Beyle était alors presque un enfant. Et puis, ce n'était pas sa fautes'il était le petit cousin des Daru. Il se trouve donc engagé dans l'aventure napoléonienne un peu malgré lui.Comme P.-L. Courier, il eût assurément préféré que Napoléon fût resté Bonaparte ; la dignité impériale ne lui imposepas moins. En voulut-il à Napo...
-
MORALES DE L'INTÉRÊT ?
Ainsi Epicure nous incite à classer nos désirs, et à adopter face à eux une stratégie telle que nous serons facilement comblés et rarement insatisfaits. Il y a d'abord les désirs naturels (dont certains sont naturels et nécessaires et d'autres seulement naturels) ; et ensuite les désirs vains. Les désirs naturels et nécessaires comprennent tous les désirs tels que, s'ilsne sont pas satisfaits, nous mourons (boire, manger, dormir). Les désirs seulement naturels peuvent être le désir...
-
Sur quel fondement repose la société?
l'injustice. » Dans ce passage de La République, Glaucon, ami de Socrate prend la parole pour tenterde définir la justice. Contre Thrasymaque qui vient de soutenir que la justice estnaturelle et se confond avec la loi du plus fort, Glaucon pense, au contraire, que lajustice résulte d'une convention. « Glaucon : - Ecoute ce que je me suis chargé d'exposer d'abord, c'est-à-dire quelle estla nature et l'origine de la justice.On dit que, suivant la nature, commettre l'injustice est un bien...
-
«Peut-on se satisfaire du nécessaire ?
et peuvent devenir superflu. Kant critique cette met en avant une morale se distinguant par des aspects qui vont au-delà du nécessaire, par exemple, le fait de se nourrir ne suffit plus, nous prenons en compte des règles organisant la cuisine. Nous pouvons alors remarquer que la culture ajoute à la nécessité naturelle une autre sorte de nécessité qui la fait devenir une nécessité superflue. C’est là qu’intervient l’ambiguité du nécessaire... Nous ne faisons que rarement la différence entre...
-
La responsabilité morale et politique envers autrui ?
- rien de tout cela n'est bon moralement sans réserve. Toutes ces dispositions permettent, en effet, aussi bien unusage souhaitable qu'un usage critiquable: le courage peut être mis au service du crime. C'est précisément lavolonté qui en décide, en tant qu'elle est bonne ou mauvaise. Qu'est-ce qui est bon sans restriction, cad de façoninconditionnelle ?« De tout ce qu‘il est possible de concevoir dans le monde, et même en général hors du monde, il n'est rien quipuisse sans restriction être tenu...
-
-
LA CULTURE TRAVAILLE-T-ELLE A NOUS RENDRE PLUS HUMAIN ?
aussi suprêmement nécessaires à la perfection de la nature humaine et de sa béatitude. Nous voyons eneffet ceux qui vivent en barbares, sans civilisation, mener une vie misérable et presque animale, etcependant, le peu qu'ils ont, tout misérable et grossier, ils ne se le procurent pas sans se prêtermutuellement une assistance quelle qu'elle soit. » Transition : La culture rend-elle cependant toujours humain, ou ne peut-elle pas être à la source d'une forme d'inhumanité ? 2....
- Etre heureux, est-ce n'avoir aucune contrainte ?
-
Peut-on être heureux sans être libre ?
La liberté comme fardeauLa liberté est un poids. Beaucoup d'hommes préfèrent même un bonheurà une liberté pleine et entière. Que l'on songe à la médiocrité decertains couples qui, par peur de la solitude ou au nom du confortconjugal, restent ensemble. Sartre développera ce thème. Sartre doit son immense notoriété à la vogue de l'existentialisme (philosophie de la liberté et de la responsabilité), dont il fut considérécomme le fondateur, même si la lecture de la « Phénoménologi...
- Notre destin n'est pas d'être heureux ?
-
Satisfaire ces besoins, est-ce satisfaire le plus de ses désirs possibles ?
On peut réussir quelque chose à partir du moment où l’on sait quoi réussir : il est possible de réussir sa sauce béchamel, parce qu’on sait ce qu’est une sauce béchamel et comment la préparer. Mais une vie, ça se réussit comment ? Nous sommes vivants avant même de décider que nous allons vivre. Alors une vie réussie, comment ça marche ? Il y a des critères de réussite : l’amour, des enfants, une maison, une voiture, de l’argent, un travail intéressant et valorisant, des ami...
-
HONORÉ DE BALZAC: Physiologie du mariage.
A propos de cet ouvrage, Balzac déclara à Mme Hanska : > NOTES DE L'ÉDITEUR « Les fautes des femmes sont autant d'actes d'accusation contre l'égoïsme , « Dans la première partie surtout, le souci du moraliste qui voudrait sauver une institution conompue et menacée s'exprime en pages éloquentes , lucides, parfois L'auteur limite so n enquête à la bourgeoisie: «C'est qu'il ne saurait être question de la paysanne " dont le visage est brûlé p...
-
ÉVOLUTION ET UNITÉ DE LA PENSÉE DE VOLTAIRE
bonheur en soi n'est pas de ce monde, il n'a jamais douté de l'efficacité des moyens qu'il proposait pour adoucir aumoins nos maux, nous exhorter à la patience, et nous assurer ainsi, en attendant mieux, un bonheur relatif. Ce bonheur, Voltaire l'a d'abord cherché dans des satisfactions d'ordre matériel. Il s'agit d'organiser notre existenceen profitant des dernières découvertes que la science et l'industrie mettent à notre disposition. Il faut ensuite jouir, avec modération, car l'abus en est...
- Quelle Écriture Argumentative Est La Plus Efficace Pour Convaincre ?
-
-
Vocabulaire:
CHARROYER, verbe transitif.
charroyage, synonyme de charroiement. Charroyage du bois (A. H?bert, La Robe de corail, 1938, Le Torrent, Montr?al, 1973, page 116). D?RIV?S?: Charroyeur, substantif masculin. Celui qui charroie. Les tombereaux des charroyeurs (GEORGES DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Vue de la Terre promise, 1934, page 35 ). Charroyeur de glace (GABRIELLE ROY, Bonheur d'occasion, 1945, page 811 ).
- Pour être heureux, faut-il cesser de désirer ?
- Pensée 181 de Pascal
-
ANALYSE LITTÉRAIRE DE ELECTRE DE GIRAUDOUX: Les images de la femme _ La mort _ Un théâtre poétique _ Une tragédie moderne ?
LE MYTHE ANTIQUE DANS ÉLECTRE DE GIRAUDOUX torité familiale (Acte 1, scènes 3, 4, 7) : en tant que fille de Clytemnestre, elle est soumise à la volonté de sa mère ; en tant que fiancée du jardinier, elle est soumise à l'autorité de son futur mari ; mais elle est aussi la sœur aînée d'Oreste : observez la façon dont elle joue sur cette supériorité toute relative. L'intransigeance de la jeunesse. Relevez tous les éléments qui f...
-
Etude du chant xiii - l'Odyssée
Zeus des suppliants puisse-t -il les punir, qui veille sur le monde et condamne tous les coupables. » (v213) _ La Magie d’Athéna : Athéna protège de nouveau Ulysse : « Athéna s’approcha sous les traits d’un tout jeune pâtre de troupeau » (v222) ; « je te rendrai méconnaissable à tous les yeux » (v397) ; « Sur ces mots, Athéna lui donna un coup de baguette. » (v429) _ L’Hospitalité : L’hospitalité est également représentée dans le chant XIII lors du départ d’Ulysse de Ph...
-
Paul Éluard (1895 - 1952), « Ma morte vivante », Le Temps déborde (1947) - Commentaire composé
Texte A Pierre de Ronsard (1524-1585), extrait de " Stances •, • Sur la mort de Marie •, Second Livre des Amours (1560). [Dans le Second Livre des Amours, Ronsard célèbre deux ftmmes dis parues prématurément :Marie, jeune paysanne qu'il a rencontrée en 1554 et pour qui il a éprouvé un grand amour, et Marie de Clèves, la jeune maîtresse du roi Henri IIL} Stances [ ... ] En ton âge le plus gaillard Tu as seul laissé ton Ronsard, D...
- Commentaire chapitre 30 Candide conclusion de Voltaire
-
Comment être Heureux
1) Prendre
1) Prendre la décision d’aller bien Lapalissade ? Pas si évident. Le philosophe Alain avait coutume de dire : « Il faut vouloir être heureux et y mettre du sien. Si l’on reste dans la position du spectateur impartial, laissant seulement entrée au bonheur et portes ouvertes, c’est la tristesse qui entrera. » Il est toujours plus facile, moins coûteux en énergie psychologique, de se laisser aller au malheur. A l’inverse, faire durer le bien-être nécessite des efforts. Pour expliquer cela, il...
-
- FICHE DE LECTURE, EPICURE, LETTRE A MENECEE
-
Schopenhauer : désir et souffrance
Pour désirer quelque chose, il faut que cet objet ne soit pas en ma possession. Rappelons d'ailleurs que Leibniz définissait le désir, dans son ouvrage intitulé Nouveaux essais sur l'entendement humain comme « l'inquiétude qu'un homme ressent en lui-même par l'absence d'une chose que l'on sait être source de satisfaction. » Platon faisaitd'ailleurs une analyse similaire en affirmant que Eros désirait la beauté parce que justement il n'était pas beau, néd'une mère Pénia( pauvreté) dépourvu...
-
ROUSSEAU: Faiblesse et sociabilité
Puisqu'il est ainsi établi que notre existence a besoin de prendre appui sur celle des autres, il est finalement possiblede préciser la nature du lien qui nous attache à eux. Et l'on peut constater que ce lien est double, puisqu'il y a d'unepart de l'intérêt, mais d'autre part de l'affection.Pour établir cette différence, Rousseau souligne que ce qui nous attire vers l'autre est davantage sa souffrance queson plaisir. Voir l'autre jouir d'un plaisir ne nous invite pas à nous y attacher : dans sa...
- TL1 2015-2016 Désir et raison s'excluent-ils nécessairement ?
- La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours
- Tous nos désirs peuvent ils être comblés ?
- Le désir est-ce nécessairement souffrir ?
-
Epictète: Ce qui dépend de nous...
déterminisme. En effet, dans un monde déterminé par la providence, comme l'est celui des stoïciens, il est difficiled'envisager la part d'imputabilité à l'action humaine. Et pourtant, au cours de ce texte, Épictète concilie ce quenous appellerons plus tard le déterminisme et la liberté et donc la responsabilité, en circonscrivant ce qu'il nousappartient à chacun de prendre en charge. Pour ce faire, et comme l'explique Épictète en un premier lieu, il faut distinguer entre ce qui dépend de nous...
-
- Éthique à Nicomaque
-
Karl Heinrich MARX: Le fondement de la critique irreligieuse...
religion. Dès lors, compte tenu de l'identité de l'homme avec l'Etat et la société, la thèse peut, à l'identique seformuler : « l'Etat, la société produisent font] la religion ». A compléter avec la formulation selon laquelle « la religionest la conscience de soi et de sa valeur de l'homme ». Dès lors, l'enchaînement des idées est le suivant : puisque lareligion est la conscience de soi de l'homme, on peut aussi bien dire que la religion (comme produit) est laconscience (de soi) du mond...
- Commentaire d'un dialogue entre Socrate et Calliclès (492a – 493c) - Gorgias de Platon
-
Pensez-vous que nous pouvons être heureux aujourd'hui comme le propose Épicure?
Critique de la sagesse épicurienne. La sagesse d' Epicure ne nous semble cependant pas entièrement satisfaisante pour au moins trois raisons. Nous venons de voir qu'il identifie le plaisir et la non-souffrance, le bonheur et l'ataraxie. Or, il y a bien une différence entre les deux, comme entre un état neutre et un bien réel , ou comme entre le zéro et un nombre positif. Sa doctrine peut donc éviter la souffrance, mais non nous donner un bonheur réel.Et même cela paraît douteux. En effet,...
-
Peut-on être maître de sa destinée?
sommes que des agrégats d'atomes, lorsque nous mourons, ce ne sont que nos atomes qui se séparent, qui sedésagrègent, ce n'est que notre corps qui se décompose, en un point d'abord (celui qui est blessé ou malade),puis en tous. Dès lors, rien de notre être ne survit, il n'y a rien après la mort, « la mort n'est rien pour nous ». Ceux qui pensent que la vie du corps, la pensée, la sensation, le mouvement viennent de l'âme, et que cetteâme pourrait survivre après la mort du corps, ont tort. Ca...
-
L'histoire doit être utile à l'action présente
70 L'HISTOIRE • dégoût : répugnance, répulsion, horreur ; désenchantement, écœure ment, lassitude. • oisifs : dépourvus d'occupation ; désœuvrés, inactifs. • bonheur : état de satisfaction complète, stable ; plénitude. • résignation: abandon volontaire, soumission (;t: lutte, révolte). • histoire : étude du passé. • loi : règle impérative émanant d'une autorité souveraine; norme uni verselle de l'esprit ; rapport nécessaire. • actif, action : qui agit, q...
-
l'inconscience est-elle souhaitable ?
Ainsi, selon Bergson, la conscience étant mémoire, notre passé nous accompagne intégralement et « se penche surle présent ». Dans ces conditions, le problème n'est plus d'expliquer la conservation du passé, mais au contraired'expliquer l'oubli. Car si la conscience est mémoire, si le passé se conserve automatiquement en nous, pourquoin'avons-nous pas toujours conscience de ce dernier, pourquoi l'oublions-nous? C'est que l'oubli est en fait unecondition de l'action. Car si l'homme avait co...
-
Quel plaisir peut-on trouver à vivre en société
Hume souligne que l’homme est un être dépourvu de qualités naturelles. Il a donc tout à la fois plus de besoins que les autres animaux (il lui faut des vêtements pour se protéger du froid par exemple), et moins de moyens pour les satisfaire, parce qu’il est faible. C’est donc pour pallier cette faiblesse naturelle que l’homme vit en société. Pour ainsi dire, la vie en commun permet aux individus de regrouper leurs forces pour se défendre contre les attaques et pour réaliser à plusieurs c...
-
-
Le souci de soi recommande-t-il seulement d'être heureux ?
vrai être ne nous dure pas assez ; il faut que notre esprit les étende et allonge et qu'avant la main il les incorporeen soi et s'en entretienne, comme s'ils ne pesaient pas raisonnablement à nos sens. « Ils pèseront assez quand ils yseront, dit un des maîtres, non de quelque tendre secte, mais de la plus dure [école épicurienne]. Cependant,favorise-toi ; crois ce que tu aimes le mieux. Que te sert-il d'aller recueillant et prévenant ta mâle fortune, et deperdre le présent par la crainte du...
-
Epicure et l'autosuffisance
Epicure les nomme vains, notre époque parlerait d'une course à la consommation. Il y a plus. Certes tout plaisir est un bien en soi. Mais certains plaisirs peuvent se révéler nuisibles. Certes toute souffrance est un mal, mais endurer certaines douleurs peut se révéler utile. Il ne faut pas rechercher toutplaisir, ni fuir toute douleur : il faut savoir raisonner, calculer les conséquences. Il ne faut pas céder à l'attrait del'immédiat, mais avoir une certaine intelligence du plaisir. On voit qu...