682 résultats pour "necessité"
-
Freud métapsychologie : De « On nous conteste...» à «...ce dont nous avons fait l'hypothèse. »
C'est, comme le dit Freud, ce « gain de sens » que l'homme recherche : en lui infligeant une ultime blessure en luidisant qu'il ne se connaît pas totalement, Freud permet à l'homme de comprendre des actes qu'auparavant iln'entendait pas. On réalise qu'une partie de nous nous échappe, mais on réalise aussi que tous les actes ont uneexplication : on n'agit jamais sous le coup du hasard. Pour Freud, c'est surtout pour cela qu'il est important detravailler l'hypothèse de l'inconscient. Fr...
-
Comment conceptualiser philosophiquement l'idée de profondeur du monde ?
1. Qu'est-ce que le sens? Quand on emploie le mot « sens », que dit-on? Quand je dis que « la vie a un sens » , qu'« une voiture roule dans un certain sens » , quand je parle de « caresser quelqu'un dans le sens du poil », dis-je deschoses différentes, ou tous ces emplois du mot « sens » ont-ils - le même sens? Je me contenterai de citer icil'excellente définition de Merleau-Ponty: « Derrière toutes les acceptions du mot sens, nous retrouvons la mêmenotion fondamentale d'un être orienté ou polar...
-
Chapitre 30 De Candide, De « Candide En Retournant Dans La Métairie » Jusqu'À La Fin
apparaît comme la terre du retour aux origines, retour à la sagesse faitesd'expérience et de pragmatisme. D'ailleurs, le discours du vieillard eu dervicherappellent le discours du vieillard de l'utopie de l'Eldorado et la religion est réhabilité.L'installation dans le jardin marque la fermeture de l'espace géographique. B. Le recyclage des personnagesLe Turc au début du texte dit : « Je n'ai que vingt arpents. » A son image, la métairieest une « petite ère » dans laquelle vie une « petite sociét...
-
Sur l’origine radicale des choses (1697) de Leibniz
1. En plus du monde, ou agrégat des choses finies, on trouve quelque unité dominante qui n'existe pas seulement comme l'âme en moi, ou plutôt comme moi-même en mon corps, mais qui entretient avec ce monde une relation bien plus élevée. Car l'unité dominante de l'univers, non seulement régit le monde, mais le façonne et le crée ; elle est supérieure au monde et, pour ainsi dire, au-delà du monde. Bien plus : elle const...
-
est-ce un devoir de travailler ?
désir. Comme l'esclave est résolu à travailler pour le maître un fois qu'il a risqué sa vie, il va pouvoir travailler librement. Il apprend à connaître et à transformer la nature. Il a donc un moyen d'être libre puisqu'il a trouvé une chose, en l'occurence la nature, à dominer. L'esclave trouve donc dans le travail une certaine forme de liberté qu'il a conquise lui même. Enfin, on peut évoquer le "travail modern". Un individu a la possibilité de choisir son métier. En y parvenant il po...
-
La connaissance scientifique du vivant exige-t-elle que l'on considère l'organisme comme une machine ?
De plus le vitalisme affirme que le vivant est animé d'une énergie propre, manifestant une force spécifique qui tend àmaintenir l'organisation. Le vitalisme permet d'éviter le risque de la réduction du vivant à une machine, mais ilsuperpose au déterminisme l'hypothèse d'une force occulte incompréhensible. Il y a donc une finalité interne à toutêtre vivant, car le vivant a quelque chose de rebelle au mécanisme. Le vivant a la spécificité qu'il est irréductible à la simple juxtaposition de...
-
introspection
file:///C|/Documents%20and%20Settings/pierre/Mes%20documents/Copie...ite\ %20GREX/textes%20vermersch/introspection%20comme%20pratique.htm Depuis deux siècles que la liste de ces critiques s'allonge, y en a-t\ -elle qui ont convaincu ? Trop de bonnes raisons de dénigrer l'introspection rendent ces raisons suspectes ! A\ près tout, il suffirait qu'une seule soit fondée, les autres ne seraient pas nécessaires ! D'un point de vue un peu rad\ ical, prendre le temps de cette discussion est inutile....
-
Le travail est-il une nécessité triste
LE TRAVAIL EST AUSSI JOIE. Le travail, loin d'être une « nécessité triste, » peut devenir joie. Dans le « ManteauImpérial », V. Hugo, s'adressant aux abeilles, dit :« Oh ! vous dont le travail est joie ! »La nature humaine exige aussi l'action, et le travail en demeure la forme supérieure. Ilnous apporte la joie de la difficulté vaincue. En même temps qu'il nous confère lesentiment de notre puissance, il nous fait prendre conscience du sentiment de notreutilité. Par lui, nous sentons...
-
-
Ne travaille-t-on que par intérêt ?
et, d'autre part, dans l'intérêt subjectif, et leurs rapports avec les nécessités de la finitude ou de l'essence.Est-on libre de travailler? Dans l'affirmative, ce qui, du travail, est libre, est-il pourtant exempt d'intérêt? Untravail désintéressé est-il possible? Peut-on aller jusqu'à penser un travail qui serait à lui-même sa propre fin? Proposition de plan I La nécessité naturelle comme racine fondamentale du travail Michel FOUCAULT Les mots et les choses « Le travail en effet –...
-
La nécessité de travailler rend-elle la liberté humaine illusoire ?
Quarto, par définition, le travail est une activité humaine qui consiste à transformer la nature pour la mettre auservice de l'homme. Or selon cette définition du travail, il semblerait ainsi être le résultat d'une lutte contre lanature. Transformer la nature, c'est agir à son insu : la nature nous force à lui extraire ce dont on a besoin pourvivre. Or la liberté est habituellement conçue comme l'absence de toute contrainte étrangère. Mais la liberté semblesoumettre l'homme à des contrai...
-
Le travail est-il un devoir plutôt qu'une nécessité ?
Le travail favorise la vertu«Il est de la plus grande importance d'apprendre aux enfants àtravailler. » Kant, Réflexions sur l'éducation (1776). • Le travail est l'activité par laquelle l'homme transforme la nature pourla plier à ses besoins. La technique est l'ensemble des moyens qu'il meten oeuvre pour cela. D'un côté, l'homme invente des outils pour mieuxexploiter les ressources naturelles, de l'autre, ces outils deviennenteux-mêmes l'objet d'un travail. Ce cycle voue l'homme à...
-
Existe-t-il une contradiction entre l'affirmation de la liberté humaine et l'affirmation scientifique du déterminisme ?
communes comme des théories des philosophes, ou même de nos propres opinions, il faut savoir garder une distanceidentique à celle qui est requise dans l'habileté du jeu, c'est-à-dire qu'il faut savoir cesser de jouer en temps voulu.Dans toutes les affaires importantes de la vie, nul ne nous oblige en effet que notre propre volonté. Mais l'attitude du sage ne se confond pas avec une fuite hors du monde ; il doit au contraire consentir à soncours, participer par son acquiescement à l'oeuvre de D...
-
Le travail est-il une nécessité ou un droit ?
Locke pose très simplement le problème. Dieu a donné la terre en commun aux hommes pour la satisfaction de leursbesoins. Les biens naturels sont donc offerts indistinctement aux hommes à l'exclusion de nul d'entre eux.Cependant, pour que les hommes usent de ces biens naturels, « il faut nécessairement qu'il existe un moyen de seles approprier, pour que des individus déterminés, quels qu'ils soient, puissent s'en servir et en tirer profit».La question de la propriété devient: comment pré...
-
MARX: Atome et liberté
immédiatement. L'exemple apporte une précision importante sur ce qu'il faut entendre par se rapporter. Unhomme singulier se rapporte à un autre homme singulier, non à une existence différente, par exemple un animalou un végétal. Dès lors son existence n'est pas relative (exister par autre chose), mais déjà conforme à son concept d'homme (exister par le même). Cependant, la réalisation de son humanité comme telle seraitimpossible s'il en venait à se rapporter à l'autre comme à un être n...
-
Exemple De Dissertation Rédigée Niveau Terminale
donnerait à la vie toute sa signification. Il compare ainsi l’homme à un « condamné à mort qui se prépare bravement au dernier supplice, qui met tous ses soins à faire belle figure sur l’échafaud, et qui entre temps est enlevé par une grippe espagnole». ( L’être et le néant ). L’imprévisibilité de la mort participe ainsi de son absurdité, remettant en question la nécessité de la réflexion sur son sens....
-
Est-il nécessaire pour l'homme de travailler ?
C'est dire, par conséquent, que la liberté est bien ce que l'homme peut gagner au travail pourvu que celui-ci ne soitpas aliénant. En lui donnant l'occasion de mettre en oeuvre ses facultés intellectuelles, ses compétences physiques, sesperformances individuelles, le travail permet à l'homme de prendre conscience de lui-même, de se réaliser. Le travail constitue, en effet, le moyen privilégié de l'objectivation de la conscience. Face au produit de son travail,l'homme, en s'y reconnaissant...
-
-
L'erreur est-elle de notre faute ?
philosophie ancienne ? (La philosophie) Pourquoi des philosophes? (Philosophie) " Avoir peur de la philosophie, c'est avoir peur de soi-même" Faut-il avoir peur de la philosophie? La réflexion philosophique est elle une nécessité ? (Philosophie) Faut-il vivre pour philosopher ou philosopher pour vivre? (Philosophie) Faut-il rire de la philosophie? Peut-on parler de vérité en philosophie ? (Philosophie) Citation de Claude Bernard sur la philosophie (Philosophie) En quoi la philosophie peut elle p...
-
Le stoïcisme (m e S. av. J.-C.)
LIBERTÉ ET NÉCESSITÉ
A
u III" siècle av. J.-C., les cités grecques ont...
Le stoïcisme (m e S. av. J.-C.) LIBERTÉ ET NÉCESSITÉ A u III" siècle av. J.-C., les cités grecques ont perdu leur indé pendance ; la vie civique recule ; le monde se globalise. Dans ce contexte troublé, naît une philosophie pour temps de crise : l'école du portique (stoa). Le but n'est plus la recherche du meilleur régime par le citoyen, mais la quête du bonheur par l'individu, dans un monde qui ne dépend pas de lui. La pensée se replie sur l'existence individuelle, confrontée à la nécessité...
-
David HUME: De tous les être animés qui peuplent le globe
transformation. La peine, le travail, apparaît dans les faits, en raison des contraintes auxquelles se trouve soumisela nature humaine dans son rapport avec la nature extérieure, comme la direction première dans laquelle s'engagel'action humaine sous peine de voir menacée la survie même de l'individu et de l'espèce. L'activité économiquedevient ainsi prototype de l'action. La définition de l'homme comme être de la consommation (la quantité infinie debesoins), mesurée conjointement à la r...
-
Commentaire de texte sur Marx
Le travail dans la société communiste commentaire du texte 2 b) travailleurs : les « producteurs associés ». Ce sont ces hommes « socialisés », « associés » qui doivent détenir les moyens de production ( champs, outils, usines, mines...). Cette association leur permettra le « contrôle commun » de la production « matérielle » et ainsi la satisfaction des besoins naturels de tous les hommes. La société co...
-
Pour comprendre une oeuvre d'art faut-il la replacer dans son époque ?
Il est inutile, pour comprendre une œuvre d'art, de la replacer dans son époque ·~[•]~· Le recours à l'histoire ne sert pas à comprendre le sens profond d'une création artistique. L'art a une existence autonome. Il ne manifeste pas l'esprit d'une époque. Il est au-delà des époques. L'imagination est précisément ce qui échappe au social G as ton Bachelard a bien montré le caractère fondamenta lement nouveau de toute rêverie poétiqu...
-
Si nous désirons être libre, qu'est-ce qui nous en empêche ?
Il est donc préférable de comprendre le désir comme la motivation de la conduite, et de l'assimiler ainsi à la volonté.Mais il convient aussi de préciser quelle conception de la liberté se trouve en jeu.Il est clair que si l'on entend par «être libre» la naïve capacité de faire ce que l'on veut quand on veut et comme onveut, les empêchements vont être nombreux: des contraintes simplement biologiques (je ne suis pas libre dem'envoler par la fenêtre) aux lois sociales (je ne suis pas libre de...
-
Peut-on parler d'une force des idées ?
montrer que l'ensemble du passé humain n'est pas livré au hasard, mais présente une rationalité et une nécessitéque l'on peut ressaisir.Progressant dans la voie ouverte par Kant, Hegel propose une sorte de révolution en faisant de l'histoire un desobjets centraux de la philosophie. Aristote affirmait dans la « Poétique » : « La poésie est plus philosophique et plusnoble que la chronique. » En effet, selon lui, alors que l'auteur dramatique construit une intrigue cohérente etlogique, l'hi...
-
En quoi les océans illustrent ils la nécessité, les difficultés et le succès de la coopération ?
Sujet. En quoi les océans illustrent ils la nécessité, les difficultés et le succès de la coopération ? Depuis la convention (accord de deux ou plusieurs personnes portant sur un fait) de Montego Bay en 1982 qui règle les rapports entre Etats concernant l’utilisation de la mer, on remarque une certaine coopération entre ces derniers. Cette coopération (politique d'entente et d'échanges culturels, économiques ou scientifiques entre États) peut se traduire par la protection de milieu marin...
-
-
Chacune de nos perceptions s'accompagne de la conscience… Sartre
COMMENTAIRE : INTRODUCTION : Le texte est composé de trois parties bien distinctes. Une première où Sartre, montre que c'est par la conscienceque l'homme met les choses en relation pour leur donner un sens supérieur. Puis dans un second temps, il pose leslimites de cette activité « dévoilante » en indiquant qu'elle n'est pas une nécessité,et que sans les hommes lemonde existera toujours, seulement dans une certaine léthargie, dont l'homme veillait à l'en sortir. Et, enfin, unetroisième part...
-
Jean-Paul SARTRE: La conscience dévoilante du monde
COMMENTAIRE : INTRODUCTION : Le texte est composé de trois parties bien distinctes. Une première où Sartre, montre que c'est par la conscienceque l'homme met les choses en relation pour leur donner un sens supérieur. Puis dans un second temps, il pose leslimites de cette activité « dévoilante » en indiquant qu'elle n'est pas une nécessité,et que sans les hommes lemonde existera toujours, seulement dans une certaine léthargie, dont l'homme veillait à l'en sortir. Et, enfin, unetroisième part...
-
Bonheur comme dignité
celui de la nature, il est bien plus spécifiquement celui de la culture. Les hommes ne sont pas des choses, mais desêtres raisonnables, qui n'agissent pas tellement sous la pression des contraintes de la nature mais bien plutôt selonleur volonté. Autrement dit, dans leurs actions, les hommes ont la capacité d'agir selon des principes, selon lareprésentation qu'ils se font de ce qui est raisonnable. Eux aussi (comme les choses de la nature) obéissent à deslois, mais en tant qu'êtres de cultu...
-
Notes de cours: LA LIBERTE
ZOOM SUR ... La pensée de Spinoza NÉCESSITÉ ET LIBERTÉ Imaginer que Dieu soit doté d'intellect et de volonté et qu'il choisisse entre des possibles, selon certaines fins, ce qu'il va créer, ce ne sont que préjugés de l'imagi nation. Le finalisme n'est qu'une illusion anthropomorphique : Dieu (c'est-à-dire la nature) n'agit pas pour une fin, mais la seule causalité à l'œuvre dans tout ce qui est, c'est la causalité...
-
NIETZSCHE: Qu'est-ce en fin de compte que l'on appelle « commun » ?
2ème partie : C'est l'expérience du commun qui fonde le langage. - Pourtant, Nietzsche ne conclut pas à l'échec du langage dans sa prétention à édifier le « commun ». En fait, pourl'auteur, le commun doit être préalable au langage, car c'est parce que nous avons des expériences communes quenous expérimentons le langage comme commun.- Le langage, pour être commun, ne se déploie pas seulement dans l'utilisation de mêmes mots entre les individus,mais d'abord dans une expérience commune. C'est p...
-
La nature humaine conduit-elle chaque individu à la paix ou à la guerre ?
que dans la cité, c'est-à-dire dans une société organisée qui permet aux hommes d'entretenir des relations paisiblesqui lui permettront de mener la vie la meilleure possible. On s'aperçoit ici que non seulement la nature humainepréfère la paix qui est plus sécurisante, mais encore, que celle-ci seulement pourra permettre aux individus detendre vers une vie bonne. Seule la paix permet à la nature humaine de tendre vers un bien, et d'entrer avec autruidans des relations vertueuses dont le...
-
Pourquoi l'homme a-t-il parfois besoin de l'inconscience ?
-Nietzsche peut nous permettre d'aller plus loin, au-delà d'une insuffisance dela conscience humaine, pour affirmer une nécessité de redescendre auxniveaux inconscients du psychisme. Dans La Généalogie de la morale , il fait l'éloge de l'oubli : l'oubli est ce qui permet d'éviter d'investir trop fortementnotre puissance de vie sur les difficultés que nous fait rencontrer l'existence,ce qui aurait pour effet d'affaiblir cette puissance. Il insiste en donnant unstatut positif à la faculté d'...
-
Faut il dire que la société dénature l'homme ou qu'elle l'humanise ?
C'est au second chapitre du premier livre de la « Politique » que l'on retrouve en substance la formule d'Aristote. On traduit souvent mal en disant : l'homme est un « animal social », se méprenant sur le sens du mot « politique », qui désigne l'appartenance de l'individu à la « polis », la cité, qui est une forme spécifique de la vie politique, particulière au monde grec. En disant de l'homme qu'il est l'animal politique au suprême degré, et en justifiant sa position,Aristote,...
-
-
Commentaire composé. Maurice Barrès, Les Déracinés (1897). « Cet arbre est l'image expressive d'une belle existence »
Sentez-vous sa biographie ? Je la distingue dans son ensemble puissant et dans chacun de ses détails qui s'engendrent. Cet arbre est l'im age expressive d'une belle existence. Il ignore l'immobilité. Sa jeune force créatrice dès le début lui fixait sa destinée, et sans cesse elle se meut en lui, Puis-je dire que c'est sa force propre ? Non pas, c'est l'éternelle unité, l'éternelle énigme qui se manifeste dans chaque forme. Ce fut d 'abord sous le s...
-
• Nécessité et efficacité d'un
droit de la consommation
► Le consommateur doit-il être considéré comme
un acteur juridique peu...
• Nécessité et efficacité d'un droit de la consommation ► Le consommateur doit-il être considéré comme un acteur juridique peu capable de se prendre en charge lui-même? Est-il nécessaire et efficace de créer un véritable droit de la consommation? A. L'intérêt du droit de la consommation La nécessité de protéger le consommateur Le non-professionnel est toujours en position de faiblesse par rapport à un professionnel mieux informé et souvent à l'origine de la rédaction des contrats. Certains con...
-
TD – Droit constitutionnel général : Séparation des pouvoirs et interdépendance des organes
de tous les pouvoirs, a été à même de mettre en place une dictature de l'exécutif et une propagande idéologiqueimposante. Ainsi, si la séparation des pouvoirs semble une nécessité démocratique, comment peut-elle être mise enplace au travers des organes investis ?L'interdépendance des organes : l'effet obligatoire de la théorie La théorie de séparation des pouvoirs impliquant ladivision de ceux-ci, la création d'organes disposant de ces pouvoirs est inévitable. Mais comment ces organess'or...
-
Pourquoi désirer ce qui n'est pas nécessaire ?
don (comme on le fait en offrant un cadeau). Nous sommes donc bien, ici, au-delà du besoin et de l'utilité, ainsi quede tout ce qui est « productif », « lucratif », « avantageux ». Or, c'est le cas de toute une série d'activitéshumaines, comme le notait Georges Bataille dans La Part maudite: à côté de la dimension utilitaire de nos activités,dictées par l'utilité et le besoin, il existe une autre dimension qui « est représentée par les dépenses ditesimproductives: le luxe, les de...
-
ELEMENTS DE VOCABULAIRE
324 Cadavre : Matériaux composant l’être vivant, sa forme dans un premier temps, mais ne possédant plus l’unité fonctionnelle indissociable d’un organisme vivant. Certitude : Connaissance qui ne peut faire l’objet d’aucun doute possible. Citoyen : Membre de la société qui, par son vote, participe directement ou indirectement à la fixation des objectifs collectifs de cette société, des moyens pour y parvenir ainsi qu’à la désignation de ceux chargés de les mettre en œuvre. Class...
-
La culture régit chaque aspect de la vie d’un homme.
Deuxièmement, il est question de la propagation de la culture africaine dans la ville. En effet, introduire la culture africaine dans la ville est un point, la propager en est un autre point. La propagation de la culture africaine au sein de la ville conduira à une insertion durable de la culture. La comparaison dans la phrase « fais-y bouillonner le tam-tam comme une mère en furie » (L12-13) accompagnée de l’exclamation qui est renchérit par une personnification dans la phrase « qu’il...
-
En vous appuyant sur les enseignements de l'histoire économique
depuis 1945, vous vous interrogerez sur la nécessité d'«organiser»
les échanges...
En vous appuyant sur les enseignements de l'histoire économique depuis 1945, vous vous interrogerez sur la nécessité d'«organiser» les échanges internationaux de biens et de services INTRODUCTION Il Accroche du sujet Depuis 1950, le commerce mondial de marchandises, c'est-à-dire la somme des exportations mondiales, est multiplié par 16, en volume, celle de la production mondiale par 6. Cet essor est particulièrement remarquable pour le commerce mondial de biens manufacturés. Comme est remarqua...
-
Le lien social
· Autrement dit, contrairement à ce que pourrait premièrement nous évoquer la formule de lien social, celle-ci, pour Aristote, ne relève pas de l’artifice, ce qui nous relie aux autres est intrinsèquement lié à notre nature même. · B) Le lien social comme loi morale à laquelle l’Homme ne peut se soustraire · Conception antique selon laquelle un homme qui vit sans oikos (c’est-à-dire sans lois) n’est pas un homme « Celui qui vit seul est...
-
-
Guillaume d'OckhamLe rasoir d'Ockham :« Aucune pluralité ne doit être posée sans nécessité»■ Indications généralesMembre de...
Guillaume d'Ockham Le rasoir d'Ockham : « Aucune pluralité ne doit être posée sans nécessité» ■ Indications générales Membre de l'ordre des Franciscains, Guillaume d'Ockham (1285-1349) fut poursuivi par la Pape pour hérésie à cause de son Commentaire sur les«Sentences» de Pierre Lombard (1320), le manuel religieux de l'époque. Tout en criti quant la raison, il remet aussi en question les thèses traditionnelles de la théologie. li est notamment connu pour son principe d'écono...
-
L'art a-t-il une utilité pratique ?
L'art n'est pas un luxe superflu On ne peut pas dissocier l'art de la culture. Même les hommes préhistoriques, malgré leurs conditions de vie précaires, réservaient u~e place à l'activité artistique . L'art n'est pas un luxe, il est une nécessité humaine. Les premiers hommes étaient déjà des artistes B ien loin de connaître la société raffinée qu'évoque Rousseau, les hommes du paléolithique ne consacraient pas tout leur temps à ch...
-
Gagne-t-on à perdre ses illusions ?
titre évoque sont bien les rêves de Handke.Dans ces deux cas de figure, l'illusion est un véritable moyen d'essor, pour accomplir ses désirs, et même pour créer. Mais elle peut être également salvatrice. Prenonsl'exemple de la maladie. Des débats s'animent aujourd'hui sur la nécessité, ou non, de révéler la vérité quant à la gravité de son état à un malade en phase terminale. Aquoi bon prévenir une personne de sa mort « imminente » alors que le poids de cette révélation pourrait affecter considé...
-
Le mal est-il nécessaire à l'homme ou non ?
Discussion : Le mal ne connaît pour nous que des acceptions négatives, il est donc a priori ce que l'on redoute, ce que l'on rejette, et l'idée d'un monde dans lequel on n'aurait pas à en éprouver les contraintes ne peut guère nous apparaître que comme une définition du paradis. Comment peut-on comprendre qu'il nous soit alors« nécessaire » ? La perspective de cette « nécessité », en ce qu'elle heurte notre bonne conscience, nous semble évidemment choquante et tout le travail va consister àmont...
-
Peut-on s'exclure de la société ?
Aristote veut montrer que la cité, la « polis », est le lieu spécifiquementhumain, celui où seul peut s'accomplir la véritable nature de l'homme : la« polis » permet non seulement de vivre mais de « bien vivre ». Il affirmede même que la cité est une réalité naturelle antérieure à l'individu :thèse extrêmement surprenante pour un moderne, et que Hobbes &Rousseau voudront réfuter, puisqu'elle signifie que l'individu n'a pasd'existence autonome et indépendante, mais appartient naturelle...
-
l'homme ne désire-t-il que ce dont il a besoin ?
[Il faut distinguer le besoin du désir. Le premier est nécessaire, le second peut être superflu. On peut désirer des choses dont on n'a pas besoin. Désirer ce qui a une valeur aux yeux des autres n'est pas forcément désirer ce qui nous est nécessaire.] Le désir n'est pas le besoinIl faut distinguer le désir du besoin. Le besoin est ce qui nous est réellement nécessaire, tandis que le désirest imaginaire.Désir est une forme d'appétit mesurée ou ardeur dévorant tout; pulsion de mort ou pulsion...
-
Faut-il préférer l'injustice au désordre ?
En 1513, Machiavel , diplomate originaire de Florence, achève la rédaction du « Prince ». Suite à un bouleversement politique à Florence, il avait été contraint d'abandonner ses fonctions et de se retirer. Il profita decet exil pour rédiger une sorte de traité expliquant à un chef politique la façonde sauvegarder son pouvoir et même d'accéder à la gloire. L'idée d'un tel ouvrage, constitué par des conseils adressés à un prince, n'était pas neuve en elle-même. Il existait déjà de nom...
-
Faut-il travailler pour être heureux ?
Kant affirme la positivité du travail pour trois raisons : 1. Dans la perspective d'une philosophie de l'histoire, l'impossibilité de vivre sans travailler apparaît comme le moyenpar lequel la Providence assure le développement des facultés humaines. Sans cette nécessité vitale, jamaisl'espèce humaine n'aurait été contrainte au progrès. (« Il lui faut beaucoup de préparation... ») 2. Dans une perspective métaphysique, le travail apparaît comme le moyen pour l'homme d'échapper à...
-
-
A-t-on le droit de s'opposer à la loi ?
B - Pourquoi le faut-il parfois ? * soit que certains principes perdent leur sens dans des circonstances exceptionnelles (on peut mentir à un ennemien temps de guerre, se demander s'il ne vaudrait pas mieux mentir à un malade condamné...)* soit que les lois juridiques positives que l'on prétend nous imposer nous apparaissent comme foncièrement iniqueset que nous récusions les valeurs mêmes dont ces lois se réclament ou l'autorité qui les établit. Ainsi, des lois fixantdes statuts d'esclavage ou...
-
l'homme est-il fait pour le travail ?
Les hommes travaillant ou par nécessité ou par choix, on observe que la vertu est la plus forte là où le choix a lemoins joué ; il y a donc lieu de considérer s'il ne vaut pas mieux préférer, pour la fondation d'une ville, des lieuxstériles où les hommes, forcés à être laborieux, moins adonnés au repos, fussent plus unis et moins exposés, par lapauvreté du pays, à des occasions de discorde ? Telle a été Raguse, et plusieurs autres villes bâties sur un solingrat. La préférence donnée à un pareil...