40 résultats pour "blanchot"
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BLANCHOT (Maurice)
coup (1983). Parallè le me nt à cette œuvre narrative qui évoque mais dépasse le genre fantastique, il poursuit dans des périodiques (le Journal des débats, Criti que, la Nouvelle Revue française) une réflexion critique qui, à cô té du Lau tréa mont et Sade de 1949, sera recueillie dans des volumes successifs : Faux Pas (1943), la Part du feu (1949). l'Espace littéraire ( 1955), la Bête de Lascaux (1959), le Livre à venir (1959), l'Entre tien infi...
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BLANCHOT Maurice : sa vie et son oeuvre
et les romans de Blanchot appartiennent à ce second courant : ils n'« utilisent » pas le langage comme s'il était l'instrument didactique d'une maîtrise, mais ils s'abandonnent au contraire à sa logique dérivante, à sa rumeur intransitive. Ils laissent « l'initiative aux mots ». Pour Blanchot, la littérature est donc une expérience inaugurale, une pratique ourlée à même la matérialité verbale. Pratique toujours paradoxale : tous les livres de Blanchot...
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Espace littéraire, l' [Maurice Blanchot] - Fiche de lecture.
.--- . 6 • Création littéraire / 41 Ecrire, c'est se faire l'écho de ce qui ne peut cesser de parler. Maurice Blanchot ► L'Espace littéraire de Maurice Blanchot (Galli mard, 1955) est une réflexion sur la création littéraire. L'auteur y montre tout ce qu'implique le travail de }'écrivain - et de l'artiste en général - quand celui-ci écarte les compromis. La phrase« Écrire, c'est se Jaire l'écho de ce qui ne peut cesser de parler......
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Blanchot, Maurice
the danger of totalitarianism is that all negativity or independent action will be appropriated by the state, all opposition recuperated, all criticism absorbed. His fear, expressed in L'Écriture du désastre (1980) ( The Writing of the Disaster , 1986), is that the totalization of the state in modernity will lead to a world in which 'the prisoners construct their prison themselves' ( [1980] 1986: 45 ). The disaster, as Blanchot conceives it, is encapsulated by the totalitarian state, with i...
- Blanchot, Maurice - écrivain.
- Blanchot, Maurice - littérature.
- Blanchot (Maurice)
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THOMAS L’OBSCUR de Maurice Blanchot : Fiche de lecture
par son livre. Thomas creuse sa propre fosse, puis il a la vision d'une Anne arai gnée. Les deux jeunes gens finissent par s'aimer. mais ne par viennent ni à communiquer, ni à se comprendre. Anne s'abolit dans le mutisme et le sommeil. Elle dépérit et agonise devant Thomas impuissant qui médite ensuite sur l'absence, sur l'ab surde. Thomas marche vers la mer, à tra vers une ville qui déjà se néantise, et il s'abîme enfin dans les vagues avec lesque...
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Maurice BLANCHOT : L'Arrêt de mort
111ustration J. Simon "Je ne suis pas rnaî1re du langage. Je /'écoule seule ment dans son effa cemenl , m'effa ça ni en lui , ve rs celle limite silencieuse oû il a/tend qu'on le re cond uise pour par ler, là oû défa ille la présen ce comme elle d éfai lle là oû parle le désir ", écril Mauri ce Blan cho l dans un ouvrage uilérieur , Le Pas au-delà. Le livre Sentences, sentence J. est malade, condamnée à mourir , à 1 'instar du narrateur, cond...
- FAUX PAS Maurice Blanchot (résumé)
- Arrêt DE MORT (L') de Maurice Blanchot
- LAUTRÉAMONT ET SADE. (résumé) Maurice Blanchot
- CELUI QUI NE M’ACCOMPAGNAIT PAS. Maurice Blanchot (résumé)
- ATTENTE L'OUBLI (L’). Maurice Blanchot (résumé)
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UN BESOIN IRRÉPRESSIBLE Écrire, c'est se faire l'écho de ce qui ne peut cesser de parler. Maurice Blanchot
44 / Fonctions de la littérature . ITl tournée vers le recueillement, et Blanchot cite à ce propos une lettre de Rilke (Autriche, 1875-1926): «Depuis des semaines, sauf deux courtes interruptions, je n'ai pas pro noncé une parole; ma solitude se ferme enfin et je suis dans le travail comme le noyau dans le fruit. » Cette solitude permet à !'écrivain de se mettre à l'écoute d'une force «interminable», ce «besoin d'écrire» souvent étouffé p...
- Le Livre à venir de MAURICE BLANCHOT (résumé)
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- AU MOMENT VOULU (résumé) Maurice Blanchot
- ARRÊT DE MORT (L’) de Maurice Blanchot (résumé)
- RESSASSEMENT ÉTERNEL (Le). (résumé) Maurice Blanchot
- THOMAS L’OBSCUR. (résumé & analyse) Maurice Blanchot
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Maurice BLANCHOT (né en 1907) : Le roman, œuvre de mauvaise foi
nous les faire sentir et vivre à travers les mots. ( ... ).Le roman est une œuvre où les événements, les personna ges, en tant que fictifs , se réa lisent sur les mots par un acte double, en perpét uel porte-à-faux, celui de l'éc riture et celui de la lecture . Que cette fiction ait justement besoi n des mots pour se ré aliser, qu'en dehors d'eux elle n'ait aucun moyen spécifique de se man i fester, cela suffirait à faire comprend re combien la fict i...
- Blanchot Maurice , né en 1907 à Quain (Saône-et-Loire), écrivain et critique français.
- « Tout art tire son origine d'un défaut exceptionnel. Maurice Blanchot, Le Livre à venir. Commentez cette citation.
- Maurice Blanchot affirme: » Rien de plus joyeux que Don Juan, rien aussi de plus sain; c'est vraiment un héros superbe. » Cette définition correspond-elle à votre vision du personnage de Molière? Vous répondrez à cette question en utilisant des exemples précis de la pièce.
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- Bofa (Gustave Blanchot - encyclopédie.
- AMINADAB de Maurice Blanchot (résumé)
- TRÈS-HAUT (Le). Maurice Blanchot (résumé & analyse)
- DERNIER HOMME (Le). (résumé) Maurice Blanchot
- Après coup, Blanchot : Fiche de lecture
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Blanchot et l'écriture
42 / Création littéraire • 6 propos· une lettre de Rilke (Autriche, 1875-1926): « Depuis des semaines, sauf deux courtes interrup tions, je n'ai pas prononcé une parole; ma solitude se ferme enfilJ et je suis dans le travail comme le noyau dans le fruit.» Cette solitude permet à }'écrivain de se mettre à l'écoute d'une force« interminable», ce« besoin d'écrire» sou., vent étouffé par les exigences de la vie pratique. Il dqit pour cela se...
- Écrire, c'est se faire l'écho de ce qui ne peut cesser de parler. Maurice Blanchot
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La mort ôte-t-elle tout sens à l'existence humaine ?
toute connaissance, et aussi de tout plaisir et de toute douleur, donc le vrai lieu de tout bien et de tout mal,puisque le bien réel n'est que le plaisir et le mal la douleur. Nous pouvons désigner la pensée d'Epicure comme unsensualisme qui fonde toute la vie intérieure sur la sensation. La mort étant la disparition des sensations, il ne peuty avoir aucune souffrance dans la mort. Il ne peut pas y avoir davantage de survie de la conscience, de la penséeindividuelle: « Ainsi le mal qui effrai...
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Chants de Maldoror de Lautréamont
Strophe xv : " Il y a des heures dans la vie où l'homme ... » (Maldoror. la conscience et le Créateur). Strophe XVI : «Il est temps de serrer les freins à mon ins piration ... » Chant Ill Après la variété du chant précédent. les cinq strophes de celui-ci tournent autour du thème de la Providence divine : ce monde déréglé ne peut que refléter les dérègle ments de son Auteur. Strophe 1 : « Rappelons les noms de ces êtres imaginai r...
- Que pensez-vous de cette définition de l'écrivain classique par Maurice Blanchot : «L'écrivain qu'on appelle classique - du moins en France - sacrifie en lui la parole qui lui est propre, mais pour donner voix à l'universel. Le calme d'une forme réglée, la certitude d'une parole libérée du caprice, où parle la généralité impersonnelle, lui assure un rapport avec la vérité. Vérité qui est au-delà de la personne et voudrait être au-delà du temps. La littérature a alors la solitude glorie
- L'explication de texte, les notes critiques ont pu vous paraître fastidieuses et inutiles; Maurice Blanchot, dans L'Expérience de Lautréamont, affirme au contraire : «Tout commentaire d'une oeuvre importante est nécessairement en défaut par rapport à cette oeuvre, mais le commentaire est inévitable.» En vous appuyant sur des exemples précis, textes isolés ou oeuvres complètes, vous direz ce que vous pensez de la nécessité du commentaire.
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Maurice Blanchot et l écriture
propos une lettre de Rilke (Autriche, 1875-1926): «Depuis des semaines, sauf deux courtes interrup tions, je n'ai pas prononcé une parole; ma solitude se ferme enfin et je suis dans le travail comme le noyau dans le fruit.» Cette solitude permet à l'écrivain de se mettre à l'écoute d'une force« interminable», ce« besoin d'écrire» sou vent étouffé par les exigences de la vie pratique. Il doit pour cela se fermer au monde : «Quand écri...
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LEIRIS Michel : sa vie et son oeuvre
découvrir les grilles de déchiffrement de lui-même. Même décor politique dans Fibrilles, en 1966 : la révolu tion chinoise et la révolution cubaine permettent à Leiris de donner une nouvelle dimension à sa quête - à cette époque, il voyage beaucoup et collabore aux Temps modernes. Enfin, avec Frêle Bruit (1976), Leiris tente de donner un « terme » à la Règle du jeu. Par son caractère lacunaire, éventré, fragmentaire, ce quatrième volume fait entendre u...
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L'explication de texte, les notes critiques ont pu vous paraître fastidieu
ses et inutiles; Maurice Blanchot dans l'expérience de Lautréamont,...
L'explication de texte, les notes critiques ont pu vous paraître fastidieu ses et inutiles; Maurice Blanchot dans l'expérience de Lautréamont, affirme au contraire, « Tout commentaire d'une œuvre importante est nécessairement en défaut par rapport à cette œuvre, mais le commentaire est inévitable. » En vous appuyant sur des exemples précis, textes isolés ou œuvres com plètes, vous direz ce que vous pensez de la nécessité du commentaire. Corrigé PLAN DÉTAILLÉ I. «Tout commentaire est nécessaire...
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LAUTREAMONT : sa vie et son oeuvre
Faurisson; l'imaginaire primitif, génésique, océanique et ténébreux. créateur de monstres qui surpassent ceux des tableaux de Jérôme Bosch. Mais la vénération des surréalistes pour rœuvre leur semblait impliquer le refus d'une véritable analyse. Comme le proclamait Crevel en 1925, « il me para îtr a it sacrilège d'essayer une mosaïque de cailloux critiques autour de Maldoror >>. Revendication naïve, que de remarquables études n'allaient pas tarder à balaye...
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AUTRES SUJETS COMMENTÉS
Autres sujets commentés/ 367 peut puiser dans Les Fleurs du mal et dans Le Spleen de Paris pour se constituer une anthologie personnelle. II L'explication de texte, les notes critiques ont pu vous paraître fastidieuses et inutiles; Maurice Blanchot, ·dans L 'Expérience de Lautréamont, affirme au contraire: «Tout commentaire d'une œuvre importante est nécessairement en défaut par rapport à cette œuvre, mais le commentaire est inévitable.»...