Résultats pour "lamentable"
- Citations avec lamentable
- Ne parlons plus du Mur des lamentations ; nous avons cessé de nous lamenter.
- Lamentations, Livre des - résumé.
- « Ancien Testament »: LAMENTATIONS
- FRA ANGELICO Guido di Pietro: La Lamentation (analyse du tableau).
- LAMENTATIONS DE LA NATURE d’Alain de Lille
- Christus (Petrus), Lamentation.
- Église de NEREZI (Yougoslavie): La Lamentation.
- Israël. Jérusalem. Le mur des Lamentations.
- PEINTRE DE DAMOS: Lamentation des Néréides (analyse).
- LAMENTABLE ET VÉRIDIQUE TRAGÉDIE D’ARDEN DE FEVERSHAM (résumé)
- Ce fut une convulsion terrible pendant cent ans, accompagnée d'un infiniment inutile et lamentable rappel des âmes. Léon Bloy, le Désespéré, ABU, la Bibliothèque universelle
- «Titre», A chacune de vos absences, brèves ou longues, votre chien aboie sans cesse, ou se lamente bruyamment.
- Pourquoi l'homme veut-il s'affliger en contemplant des aventures tragiques et lamentables, qu'il ne voudrait pas lui-même souffrir ?
- "L'existence (...) est une douleur constante, tantôt lamentable et tantôt terrible." Schopenhauer, Le Monde comme volonté et représentation, 1819. Commentez cette citation. ?
- « Pourquoi l'homme veut-il s'affliger en contemplant des aventures tragiques ou lamentables, qu'il ne voudrait pas lui-même souffrir?... Quelle est cette pitié, inspirée par la fiction de la scène? Ce n'est pas à aider autrui que le spectateur est incité, mais seulement à s'affliger, et il applaudit d'autant plus à l'auteur de ces fictions qu'elles l'affligent davantage. Si le spectacle de ces malheurs antiques ou imaginaires ne l'attriste pas, il se retire, avec des paroles de mépris ou de critique. S'il éprouve de la tristesse, il reste attentif et tout content. » Avez-vous pris conscience, au théâtre ou au cinéma, du paradoxe que souligne ici saint Augustin (354-430) ? Comment l'expliquez-vous ?
- Évoquant le romancier qui par son art soumet l'esprit et l'imagination de son lecteur, Marcel Proust écrivait : « Par lui nous sommes le véritable Protée qui revêt successivement toutes les formes de la vie. A les échanger ainsi les unes contre les autres, nous sentons que pour notre être, devenu si agile et si fort, elles ne sont qu'un jeu, un masque lamentable ou plaisant, mais qui n'a rien de bien réel. Notre infortune ou notre fortune cesse pour un instant de nous tyranniser, nous jouons avec elle et avec celle des autres. C'est pourquoi en fermant un beau roman triste, nous nous sentons si heureux. » Marcel Proust, Nouveaux Mélanges. En faisant appel à votre expérience personnelle et en vous appuyant sur des exemples précis, vous commenterez et apprécierez ces réflexions.