28 résultats pour "merry"
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Merry vit de nombreux hommes debout, observant et murmurant, tous
compagnie des messagers de Gondor, et derrière encore douze autres hommes de la Maison du roi. Ils passèrent le long des rangs des hommes qui attendaient, le visage dur et impassible. Mais quand ils furent arrivés presque à la fin de la rangée, un homme jeta un regard rapide et perçant sur le hobbit. Un jeune homme de taille et de corpulence moindres que celles de la plupart, se dit Merry, répondant à son regard. Il saisit la lueur de clairs yeux gris, et il frissonna, car il lui apparut...
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Merry ouvrit de grands yeux sur le défilé des pierres
Le roi soupira, mais personne ne répondit jusqu’à ce qu’enfin Eomer parlât. « Nous n’en savons rien, et nous avons le cœur lourd, dit-il. Mais pour ce qui est des Chemins des Morts, vous en avez vous - même passé les premières marches. Non, je ne prononce aucune parole de mauvais augure ! La route que nous avons gravie est l’approche de la Porte, là -bas dans le Dimholt. Mais aucun homme ne sait ce qui s’étend au -delà. » « Aucun homme ne le sait, dit Théoden, pourtant l’ancienne lé...
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Merry fut incapable de parler
chair non morte, rompant le charme qui unissait ses tendons invisibles à sa volonté.
- Merry christmas
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Excerpt from The Merry Wives of Windsor - anthology.
MISTRESS FORD. O sweet Sir John! FALSTAFF. Mistress Ford, I cannot cog, I cannot prate, Mistress Ford. Now shall I sin in my wish: I would thy husband were dead. I'll speak it before the best lord, Iwould make thee my lady. MISTRESS FORD. I your lady, Sir John? Alas, I should be a pitiful lady. FALSTAFF. Let the court of France show me such another. I see how thine eye would emulate the diamond. Thou hast the right arched beauty of the brow thatbecomes the ship-tire, the tire-valiant, or any tir...
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-- C'était un compliment, répondit Merry Brandebouc, et donc, naturellement, faux.
— D’aucuns ! s’exclamaFrodon.Vousvoulez direOthon etLobelia. Quelleabomination ! Jeleur donnerais Cul-de-Sac ettout lereste, siseulement jepouvais ramener Bilbonetaller battre lepays aveclui.J’aime la Comté. Maisjecommence àsouhaiter enquelque sorted’être partiaussi. Jeme demande sije ne lereverrai jamais. — Moi aussi,ditGandalf. Etjeme demande biend’autres choses.Adieu,maintenant ! Ayezsoindevous- même ! Guettez-moi, surtoutauxmoments lesmoins probables ! Aurevoir ! Frodon l’accompagna àla port...
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Aussi bien que jamais, vous pouvez en être sûr, dit Gandalf.
CHAPITRE HUIT LE NETTOYAGE DE LA COMTÉ La nuit était tombée quand, mouillés et las, les voyageurs finirent par atteindre le Brandevin, et ils trouvèrent le chemin barré. À chaque extrémité du Pont, il y avait une grande grille garnie de point es, et ils purent voir que, de l’autre côté de la rivière, de nouvelles maisons avaient été construites : à deux étages avec d’étroites fenêtres aux côtés verticaux, nues et faiblement éclairées, tout cela était assez lugubre et répondait pe...
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de Guérison, c’étaient de belles demeures réservées
CHAPITRE HUIT LES MAISONS DE GUÉRISON Quand ils approchèrent de la Porte en ruine de Minas Tirith, un brouillard de larmes et de fatigue voilait les yeux de Merry. Il prêta peu d’attention à la dévastation et au massacre qui se voyaient partout. Il y avait du feu, de la fumée et de la puanteur dans l’air, car de nombreux engins avaient été brûlés ou jetés dans les fosses à feu, et beaucoup de tués aussi, tand is que de-ci de- là gisaient de nombreux cadavres des grands monstres su...
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Sam était hors de lui.
les bandits firent demi -tour et s’enfuirent sur la Route de Hobbit ebourg, mais, ce faisant, ils sonnèrent du cor. « Eh bien, il était grand temps de rentrer », dit Merry. « Grand temps. Peut -être est - il même trop tard, pour sauver Lothon en tout cas, dit Frodon. C’est un pauvre imbécile, mais je le plains. » « Sauver Lot hon ? Que veux -tu dire ? répliqua Pippin. Le détruire, dirais -je. » « Je crois que tu ne comprends pas tout à fait, Pippin, dit Frodon. Lothon n’a jamais...
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« Ce n’est qu’une poésie burlesque, je crains, dénaturée dans la mémoire des vieilles. Je laisse à votre jugement d’en interpréter le sens, s’il y en a un. Mais les vieilles gens se servent toujours d’une infusion de cette herbe contre les maux de tête. »
de pareilles choses. Mais qui sait ce qu’elle disait aux ténèbres, seule, dans les amères veilles de la nuit, lorsque toute sa vie semblait s’étriquer et les murs de son appartement se resserrer autour d’elle, comme une cage pour retenir quelque bête sauvage ? » Eomer se tut et contempla sa sœur comme s’il se remémorait tous les jours de leur vie passée en commun. Mais Aragorn dit : « J’ai vu aussi ce qu e vous avez vu, Eomer. Peu d’autres chagrins parmi les mauvaises fortunes de...
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Excerpt from A Christmas Carol - anthology.
External heat and cold had little influence on Scrooge. No warmth could warm, no wintry weather chill him. No wind that blew was bitterer than he, no falling snowwas more intent upon its purpose, no pelting rain less open to entreaty. Foul weather didn’t know where to have him. The heaviest rain, and snow, and hail, and sleet,could boast of the advantage over him in only one respect. They often “came down” handsomely and Scrooge never did. Nobody ever stopped him in the street to say, with g...
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absurde !
Deux des Shiriffes quittèrent immédiatement le groupe pour aller vers lui. « Chef ! dit Merry. Rappelez immédiatement vos hommes dans les rangs, si vous ne voulez pas qu’ils aient affaire à moi ! » Les deux hobbits, sur un ordre vif du chef, revinrent d’un air maussade. « Et maintenant, allez ! » dit Merry, après quoi, les voyageurs veillèrent à ce que le pas de leurs poneys fût assez rapide pour pousser en avant les Shiriffes aussi vite qu’ils pouvaient marcher. Le s oleil sorti...
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Harlond
CHAPITRE DIX LA PORTE NOIRE S’OUVRE Deux jours plus tard, l’armée de l’Ouest fut toute rassemblé e sur le Pelennor. Celle des Orques et des Orientaux était repartie de l’Anórien, mais, harcelées et dispersées par les Rohirrim, les troupes s’étaient débandées et avaient fui sans grand combat vers Cair Andros, et, cette menace détruite et une nouvelle f orce arrivant du Sud, la Cité était aussi bien garnie d’hommes qu’il était possible. Les éclaireurs rendaient compte qu’il ne restai...
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Pippin s’en fut avec une demi-douzaine de gars sur des poneys.
voir. Le Patron et ce Sharcoux, dont ils ont parlé, ils pourraient faire quelque malheur là -bas avant le matin. » « Bon, Sam, dit Chaumine. Choisis un gars ou deux, et amène le chez moi. Tu n’auras pas besoin d’approcher du vieux village de H obbitebourg de l’autre côté de l’Eau. Mon Jolly, ici présent, te montrera. » Sam partit. Merry établit une surveillance autour du village et des gardes aux barrières pour la nuit. Après quoi, lui et Frodon s’en furent avec le Père Chaumine. Ils...
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Il arriva bientôt à un espace découvert, où une petite
« Eh bien, il faut partir dès que possible, dit Eomer. Même ainsi, nous ne pouvons espérer arriver au secours de Gondor aujourd’hui. » Merry n’attendit pas d’en entendre plus long, mais il s’éloigna à pas de loup pour se prépa rer à l’ordre de marche. C’était la dernière étape avant la bataille. Il ne lui paraissait guère probable que beaucoup y survécussent. Mais il pensa à Pippin et aux flammes dans Minas Tirith, et il domina sa propre peur. Tout alla bien ce jour -là, et ils n ’eu...
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grande brute aux yeux louches qui ressemblait à un énorme orque. Puis il retira ses forces, enfermant le dernier reste des Hommes dans un grand cercle d’archers.
empestait, des ordures traînaient et le désordre régnait partout, l’endroit semblait inhabité depuis quelque temps déjà. « Où se cache ce misérable Lothon ? » dit Merry. Ils avaient fouillé toutes les pièces sans trouver d’autres créatures vivantes que des rats et d es souris. « Allons - nous nous tourner vers les autres pour fouiller les baraques ? » « C’est pire que le Mordor ! dit Sam. Bien pis, en un sens. Ça vous touche au vif, parce que c’est chez nous et qu’on s’en...
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CHAPITRE NEUF LES HAVRES GRIS
tout le monde les appelait à présent), pour avoir leur avis. « Je me demandais quand tu y penserais, dit Frodon. Ouvre -la ! » Elle était remplie d’une poussière grise, douce et fine, au milieu de laquelle se trouvait une graine semblable à une petite noix à la coquille argentée. « Que puis -je faire de ça ? » dit Sam. « Jette le en l’air par un jour de vent et laisse le faire son œuvre ! » dit Pippin. « Sur quoi ? » demanda Sam. « Choisis un endroit comme pépinière, et...
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CHAPITRE HUIT
LE NETTOYAGE DE LA COMTÉ
La nuit était tombée quand, mouillés et las, les voyageurs finirent par atteindre le Brandevin, et ils
trouvèrent le chemin barré.
« Je regrette, Monsieur Merry,ditHob, maiscen’est paspermis. » « Qu’est cequi n’est paspermis ? » « De recevoir desgens aupied levéetde consommer desvivres ensurplus, ettout ça », ditHob. « Qu’est cequi sepasse doncici ?ditMerry. L’année a-t-elleétémauvaise, ouquoi ? Jecroyais qu’ilavait fait unbel étéetque larécolte avaitétébonne. » « Enfin… non,l’année aété assez bonne, ditHob. Onfait pousser beaucoup denourriture, maisonnesait pas aujuste oùçapasse. Cesont tousces« ramasseurs » et« répartiteu...
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« Grand temps.
avec unlarge sourire. Puisluietses filscoururent verslevillage. Sam allavivement àla maison. Prèsdelagrande porteronde auhaut desmarches montant delavaste cour, se tenaient MmeChaumine etRosie avecNibs, arméd’une fourche, devantelles. « C’est moi !criaSam, toutenmontant autrot. Sam Gamegie ! Alorsn’essaie pasdeme piquer, Nibs. D’ailleurs, j’aisur moi unecotte demailles. » Il sauta àbas deson poney etgrimpa lesmarches. Ilsleregardèrent lesyeux écarquillés sansmotdire. « Bonsoir, MadameChaumine !...
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Les autres se retournèrent, stupéfaits, car la voix était celle de Sam.
Fondcombe dumieux quenous pourrons. — À quelle distance est-ce ?demanda Merry,jetantautour delui un regard las. Le monde paraissait vasteetsauvage, vudu haut duMont Venteux. — Je nesais passila route ajamais étémesurée enmilles au-delà del’ Auberge Abandonnée , à une journée de voyage, àl’est deBree, répondit Grands-Pas. Certainsdisentquec’est àtelle distance, etd’autres àtelle autre. C’est uneroute étrange, etles gens sontheureux d’arriver auterme deleur voyage, queletemps soitlong ou court. Ma...
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Robin Hood
I
INTRODUCTION
Robin Hood
The legendary hero Robin Hood is a popular figure from English folklore.
Errol FlynnIn 1938 Australian-born motion-picture actor Errol Flynn won the heart of Maid Marian and defeated his evil foes as RobinHood in The Adventures of Robin Hood.Corbis Some people believe that Robin Hood was an actual person, usually identified as Robert Fitzooth, the earl of Huntington. Others think that Robin was not a real personand that the stories about him developed for historical and cultural reasons. In medieval England, peasant masses struggled to make a meager living while a re...
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« Vous n’êtes certes pas ladre, Eomer, dit Aragorn, de donner ainsi au Gondor la plus belle chose de votre royaume ! »
se souviendront de nous, car il n’en réchappa que peu de vivants, et le Fleuve en a gardé la plupart. Mais ce fut heureux pour vous, car s’ils ne nous avaient pas rencontrés, le roi des prairies n’aurait pas été loin, et s’il l’avait fait, il n’aurait pas eu de pays où revenir. » « Nous le savons bien, dit Aragorn, et jamais ce ne sera oublié à Minas Tirith comme à Édoras. » «Jamais est un mot trop long même pour moi, dit Sylvebarbe. Tant que dureront vos royaumes, voulez -vous di...
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« Si c’est vraiment la dernière, je suis content, répliqua Saroumane : cela m’évitera la peine de la refuser encore. Tous mes espoirs sont ruinés, mais je ne désire pas partager les vôtres. Si vous en avez. »
pierre, en mémoire de choses oubliées, à présent perdues dans les régions dépeuplées. Car ils ne bougeaient ni ne parlaient oralement, se regardant d’esprit à esprit, et seuls leurs yeux remuaient et s’allu maient dans le va -et -vient de leurs pensées. Mais tout finit par être dit, et ils se séparèrent de nouveau pour quelque temps, jusqu’à ce que le moment fût venu pour les Trois Anneaux de cesser d’être. Disparaissant rapidement parmi les pierres et les ombr es, les gens de Lorien e...
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La dame de Monsoreau v.
Ventre de biche! dit Chicot, sitot qu'il eut distingue l'homme et l'animal qui venaient d'entrer en scene l'un portant l'autre: je te parlais d'un fameux predicateur qui prechait a Saint-Merry; il n'est plus necessaire d'aller si loin; ecoute un peu celui-la. Un predicateur a ane? dit Quelus. Pourquoi pas? mon fils. Mais c'est Silene! dit Maugiron. Lequel est le predicateur? dit Henri, ils parlent tous deux en meme temps. C'est celui du bas qui est le plus eloquent, dit Chicot; mais c'est...
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CHAPITRE HUIT
ADIEU À LA LORIEN
Cette nuit-là, la Compagnie fut de nouveau convoquée à la chambre de Celeborn, et le Seigneur et la Dame
les y accueillirent avec des mots courtois.
auraient volontiers suiviunguide surleFleuve etjusqu’à l’ombre deMordor, maisFrodon nedit rien, et Aragorn avaitencore l’esprit indécis. Son propre plan,alorsqueGandalf demeurait aveceux,avait étéd’accompagner Boromiret,avec sonépée, de contribuer àla délivrance duGondor. Carilpensait quelemessage desrêves étaitunmandat, etque l’heure était enfin venue oùl’héritier d’Elendil paraîtrait pourdisputer ladomination àSauron. Mais,danslaMoria, le fardeau deGandalf avaitététransféré surlui ; etilsavait...
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From As You Like It - anthology.
ROSALIND : Ay, and twenty such. ORLANDO : What sayst thou? ROSALIND : Are you not good? ORLANDO : I hope so. ROSALIND : Why then, can one desire too much of a good thing? [ To CELIA ] Come, sister, you shall be the priest and marry us.—Give me your hand, Orlando.—What do you say, sister?ORLANDO : [to CELIA ] Pray thee, marry us. CELIA : I cannot say the words. ROSALIND : You must begin, 'Will you, Orlando'— CELIA : Go to. Will you, Orlando, have to wife this Rosalind? ORLANDO : I will. ROSALIND...
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The Merchant of Venice By William Shakespeare
The Duke decides to spare Shylock's life, but he does give half of Shylock's money to Antonio, and he gives the rest of it to the state. Antonio says that he will not accept the money if Shylock will agree to become a Christian and if, in his will, he will agree to leave his money to his daughter, Jessica, and her new husband, Lorenzo. Shylock, broken and defeated, agrees to all these conditions and leaves the court. Overjoyed, Antonio and his friends offer to pay the young lawyer whatev...
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Christmas.
The new custom of Christmas gift giving allowed the marketplace to exert an unprecedented influence on holiday celebrations. Commercial innovations such asdepartment stores and mass advertising further expanded the custom of exchanging Christmas gifts. Seasonal retail sales helped fuel the economy, causing merchantsand advertisers to become some of the season’s most ardent promoters. Many holiday celebrants regretted these changes, however, and began voicing the nowcommon lament that Christmas h...