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Platon
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Platon
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Platon Phédon [ou De l’âme ; genre moral] Traduction, noti ces et not es par Émile Chambr y La Bibliothèque électronique du Québec Collection Philosophie Vol ume 4 : versi on 1.01 2
- phédon résumé
- PLATON : Phédon
- Phédon de PLATON (Résumé & Analyse)
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Phédon [ou De l’âme ; genre moral] - Platon
Platon Phédon [ou De l’âme ; genre moral] Traduction, noti ces et not es par Émile Chambr y La Bibliothèque électronique du Québec Collection Philosophie Vol ume 4 : versi on 1.01 2
- Le personnage de PHÉDON de Platon
- Phédon.
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Platon, Le Phédon, commentaire de texte 82d-83d
la véritable réalité. Elle n'est pas comme comme le corps, elle est différente, elle ne fonctionne pas de la même manière, elle serait bien naïve de ne pas se méfier du corps adepte des plaisirs qui la retienne loin de toute facultés de connaissance du monde vrai. Si elle souhaite la connaissance des êtres, du vivant, toutefois même s'en rapprocher, elle doit s'en reporter uniquement à elle-même, elle doit '' se rassembler elle-même en elle même '' (Ligne 13-14). Platon nous laisse supp...
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Expliquez le texte suivant : Platon, Phédon
En revanche, le misologue a une tout autre importance : c'est un théoricien dans la mesure où il soutient uneconception de la réalité : « il n'y a rien » selon lui et ses semblables « de sain ni d'assuré en aucune chose » et riend'univoque ne peut donc être dit à propos de quoi que ce soit de réel. Il y a ici une filiation de doctrines que l'onpeut rapporter brièvement : l'héraclitéisme soutenait, au VI° siècle avant notre ère, que tout est dans unécoulement perpétuel, que le fond de...
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PLATON, Phédon: les amis du savoir
qui lie l'âme au corps et au sensible et c'est la tâche de la philosophie et du philosophe d'ouvrir lavoie à la séparation de l'âme et du corps et à la prise de conscience de la nécessité de détacherl'âme du corps. II) La nécessité d'une délivrance de l'âme et le corps comme source d'illusion (de « les amis du savoir, dis-je… » à « tandis que ce qu'elle voit par elle-même est intelligible et invisible »). § La philosophie a pour tâche de montrer à l'homme que les sens ne...
- LE PHÉDON DE PLATON (Fiche de lecture)
- PHÉDON, ou De l’âme de Platon
- PHÉDON, ou De l’âme de Platon (résumé)
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4. LE RISQUE DE LA MISOLOGIE
[SOCRATE-PHÉDON]
— S. Commençons par prendre
NÉCESSITÉ DE LA PHILOSOPHIE 43 discernable, sous prétexte que dans la suite nous en rencontrerions d'autres ainsi faits que nous les croyons tantôt vrais, tantôt faux, au lieu de nous en prendre à nous-mêmes et à notre incompétence, nous finissions par être tout contents de cesser d'en souffrir en nous déchargeant sur les raisonnements de notre propre res ponsabilité, passant dès lors le reste de nos jours à détester et à vitupérer les...
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Platon, Phédon
COMMENTAIRE DE TEXTE sont fortement distingués), mais aussi dans une perspective hiérarchique : le corps est fortement dévalorisé par Socrate. C'est pour cette raison que la mort perd son caractère effrayant. -2. Les méfaits du corps (lignes 7 à 13, Jùsqu'à « ... esclaves attachés à son service! ») A Le corps source .continuelle de troubles Socrate développe ici l'argument qui soutient son apologie de la mort. Le corps est une...
- PLATON : PHEDON (Résumé & Analyse)
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Fiche de lecture: Le PHEDON de PLATON.
Cinquième preuve par l'activité de l'âme. Mais, objecte Simmias, l'âme pourrait bien être semblable à l'harmonie d'une lyre. L'harmonie est chose plus divineque les cordes et le bois de l'instrument; pourtant la lyre brisée, l'harmonie s'évanouit. L'âme, plus divine que lecorps, ne serait-elle pas de même la résultante des fonctions et des éléments matériels, destinée à disparaître lejour où ces éléments se dissolvent?L'existence de l'harmonie, répond Socrate, est toujours postérieure à celle de...
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Le Phédon
Épisode relatant la mort de Socrate.
instants après il eut un sursaut. L’homme le découvrit : il avait les yeux fixes. En voyant cela, Criton lui ferma la bouche et les yeux. Telle fut la fin de notre ami. Echécrate, d’un homme qui, nous pouvons le dire, fut, parmi les hommes de ce temps que nous avons connus, le meilleur et aussi le plus sage et le plus juste.
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Platon, Phédon, 83c-d : Le clou de l'âme
Le clou de l'âme 141 moins bien. La vie s'anime bientôt des souvenirs laissés par les frustrations et les assouvissements. Une décantation originale tend à modeler l'appréhension des choses au gré des aven tures du désir. Les douleurs ressenties et les joies éprouvées tis sent en effet une mémoire dense, qui s'installe durablement au cœur des choses, et marque l'intériorité de chacun. Brû lures et blessures y forment leurs...
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Platon, Phédon, 84e-85b, trad. M. Dixsaut, GF-Flammarion.
90 Le temps de vivre sible: quelque chose comme une mise à l'épreuve qui confir mera, ou invalidera le sens d'une vie. La mort qui menace et surviendra en fixe la direction pour toujours : une telle orien tation se révèle enfin. C'est alors que toute action se charge de son propre sens, dans cette gravité qui fait qu'elle semble répondre de l'être tout entier et en exprimer la nature pro fonde. Le chant du cygne se...
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Platon, Phédon, 60b-c, trad. M. Dixsaut, GF-Flarnmarion.
La chaîne de Socrate 121 rappelle à l'âme qu'elle est aussi expression du corps : elle ne se délie de lui que par un effort. Cela est vrai même lorsque le corps lui-même s'épanouit suffisamment, et qu'elle en accom plit la puissance d'agir par la puissance de comprendre qu'elle manifeste. La blessure est morale autant que physique, car elle manifeste un monde hostile ou simplement difficile à vivre. « La joie venait toujour...
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Texte du Phédon 83a à 83e de Platon (commentaire)
possession de l’âme. Ensuite, Platon nous dévoile que dans l’étude des réalités, la philosophie permet de repérer que les yeux sont remplis d’illusions, plein d’illusions aussi tous les sens. Il n’y a que la sagesse qui peut enlever les obstacles, les difficultés, pour apprendre davantage. Le corps serait -il vraiment le tombeau de l’âme, selon la pensé e de Platon ? Nous savons bien que Platon développe dans son écrit un antagonisme entre l’âme et le corps, l’un défaisant à l’autr...
- PHÉDON, ou De l’immortalité de l’âme en trois dialogues, Moses Mendelssohn