259 résultats pour "venues"
- VERNE, Jules (8 février 1828-24 mars 1905) Ecrivain Venu à Paris pour y faire son droit, il se passionne pour le théâtre, pour lequel il commence à écrire.
- Commentez, en l'appliquant à notre époque, ce jugement de Goethe : « La littérature nationale, cela n'a plus aujourd'hui grand sens; le temps de la littérature universelle est venu et chacun doit travaillera hâter ce temps. » ?
- Combien de fois j'étais venu manger là de bonnes fritures et boire du vin blanc avec Zimmer, au petit bouchon de la Gerbe-d'Or, sous la treille du père Winter, quand le soleil chauffait l'air et que la verdure brillait autour de nous!
-
Le Théâtre français
par Pierre-Aimé Touchard
Après la Libération, les grands noms du théâtre français contemporain
demeuraient ceux de Claudel et de Giraudoux auxquels se joignait un
nouveau venu, Henri de Montherlant.
par Pierre-Aimé Touchard
- BERLIOZ, Hector (11 décembre 1803-8 mars 1869) Compositeur Venu à Paris en 1821 pour y faire des études de médecine, Berlioz s'enthousiasme à l'Opéra pour les tragédies lyriques de Gluck.
-
On dit : Corneille est venu le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela. Corneille avait de grands modèles parmi les anciens. Racine ne l'a pas suivi, personne n'a pris une route, je ne dis pas plus différente, mais plus opposée; personne n'est plus original à meilleur titre. » (Vauvenargues.)
CORNEILLE ET RACINE 57 beaucoup de Sentences (Sénèque le tragique, Lucain et Séneque le philosophe). 2. A ses prédécesseurs dont il avait reçu, comme Corneille, le cadre et les règles du genre; son génie s'y adapte très facilement, il y est très à l'aise. 3. A Corneille lui-même, dont il a fait un si bel éloge àl'Aca- démie en 1685, et qui le premier fit de la tragédie un drame psy- chologique, une étude d'âmes et un conflit de volontés. II. Cependant il n'a pas suivi...
-
idées, c'est pourquoi l'Occident en était venu à se mépriser et se jetait en troupeau sur les routes, fuyant vers le nord, sans
doute vaguement conscient qu'il s'était déjà perdu en sécrétant trop de laideurs qui ne valaient même plus la peine d'être
défendues.
IV C’était unenuit étrange, tellement paisiblequeNew York nesesouvenait pasenavoir vécudesemblable depuisplusd’une trentaine d’années. CentralParkdésert, vidédemilliers deCaïn. Onaurait puyenvoyer jouerdeblondes fillettesenjupe courte, duveteuses, toutesfraîches, rosesdeplaisir depouvoir enfincourir derrière uncerceau. Ghettosnoirsetportoricains calmes comme deséglises. Ledocteur Norman Halleravaitouvert sesfenêtres. Ilécoutait laville etn’entendait rien. D’ordinaire, montaientversluiàcette heur...
- Dans ses notes rédigées au cours des années 1942-1972 et intitulées Le territoire de l'Homme, Elias Canetti écrit : « Tout ce qu'on prend en note, tout ce qu'on met par écrit contient encore un petit grain d'espoir, quand bien même il ne serait venu que du seul désespoir ». A l'aide d'exemples et d'analyses précis, puisés dans le roman, la poésie, le théâtre, vous expliquerez et commenterez cette phrase, en vous demandant comment l'écriture peut à la fois rendre compte du désespoir et
-
-
La Suggestibilite
.
D.Comment cette conviction vous est-elle venue? R.(Embarras) D.D'où vient qu'ayant cette conviction vous avez fait des lignes inégales? R.Parce qu'il y avait des lignes un peu moins épaisses; c'est peut-être ce qui les faisait paraître moins longues. D.Ma parole influait-elle sur vous? R.Oui. D.Avez-vous cru réellement que les lignes étaient tantôt plus grandes, tantôt plus courtes? R.Dès le début, j'ai cru: mais vers le milieu, je me suis aperçu que pour quelques-unes elles étaient plus...
-
prétends qu'il n'y a pas enseignement, mais réminiscence, afin de me mettre d'emblée en évidente contradiction avec moi-même !
lA CONCEPTION DU SAVOIR 159 que je sois convaincu; je n'en serais pas moins inté ressé à entendre comment toi, tu as engagé l'argumen tation. -Socr. De la façon que voici : nous sommes bien d'accord que pour avoir ressouvenir de quelque chose, il faut auparavant l'avoir su? -Sim. Tout à fait. -Socr. D'accord aussi qu'il y a ressouvenir quand l'acquisition de la connaissance se fait dans les conditions suivantes : quelqu'un a vu...
-
Dom juan moliere le livre
ACTE PREMIER SCÈNE I SGANARELLE, GUSMAN SGANARELLE, tenant une tabatière - Quoi que puisse dire Aristote et toute la Philosophie, il n'est rien d'égal au tabac: c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la venu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et...
-
LE MONDE COMME IL VA
directeur, homme éloquent, lui parla dans ce cabinet avec tant de véhémence et d'onction que la dame avait,
quand elle revint, les yeux humides, les joues enflammées, la démarche mal assurée, la parole tremblante.
des traits si vifs et si touchants que Babouc versa des larmes. Il ne douta pas que ces héros et ces héroïnes, ces rois et ces reines qu'il venait d'entendre, ne fussent les prédicateurs de l'empire; il se proposa même d'engager Ituriel à les venir entendre, bien sûr qu'un tel spectacle le réconcilierait pour jamais avec la ville. Dès que cette fête fut finie, il voulut voir la principale reine, qui avait débité dans ce beau palais une morale si noble et si pure; il se fit introduire che...
-
« Vous n’êtes certes pas ladre, Eomer, dit Aragorn, de donner ainsi au Gondor la plus belle chose de votre royaume ! »
se souviendront de nous, car il n’en réchappa que peu de vivants, et le Fleuve en a gardé la plupart. Mais ce fut heureux pour vous, car s’ils ne nous avaient pas rencontrés, le roi des prairies n’aurait pas été loin, et s’il l’avait fait, il n’aurait pas eu de pays où revenir. » « Nous le savons bien, dit Aragorn, et jamais ce ne sera oublié à Minas Tirith comme à Édoras. » «Jamais est un mot trop long même pour moi, dit Sylvebarbe. Tant que dureront vos royaumes, voulez -vous di...
-
« Nob, espèce de nigaud à la caboche laineuse ! s’écria-t-il. Ne peux-tu
« Personne ne nous a inquiétés, en tout cas, dit Pippin, et nous circulions lentement, sans faire garde. Nous pensions avoir laissé tous les ennuis derrière nous. » « Ah, pour ça, non, Maître, c’est d’autant plus regrettable, dit Poiredebeurré. Mais il n’ est pas étonnant qu’ils vous aient laissés tranquilles. Ils ne se lanceraient pas contre des gens armés, munis d’épées, de casques, de boucliers et de tout ça. Ça leur donnerait à réfléchir. Et je dois dire que ça m’a un peu interloqué...
-
Spinoza: L'imagination joue-t-elle un rôle dans la connaissance ?
Même face à la vérité, ces imaginations dues aux perceptions du corps ne disparaissent pas. Sil'entendement qui réside dans la partie éternelle de l'esprit est le lieu de la connaissance vraie, il n'en va pas demême pour l'imagination qui réside dans la partie périssable de l'esprit, et qui ne fournit qu'une connaissance dupremier genre. II/ L'imagination et les forces de l'individu qui les a : [...] Nous n'imaginons pas le soleil proche parce que nous ignorons sa vraie distance, ma...
-
LES AUTRES TEMPS DE L'INDICATIF
' 23. LES AUTRES TEMPS DE L'INDICATIF a Le plus-que-parfait du verbe venir est-il? A. Tu avais venu. 0 B. Tu étais venu. D C. Tu serais venu. 0 D. Tu venais. 0 Il Quelle est la forme correcte ? A. Nous vînmes. 0 ~ B. Nous vinmes. 0 C. Nous venimes. 0 D. Nous venîmes. 0 El Le plus-que-parfait du verbe boire est-il? ~ A. Vous avez bu. 0 B. Vous aviez bu. 0 C. Vous aurez bu. 0 D. Vous bussiez. 0 a La forme cor...
-
-
La mort abolit-elle le sens de l'existence ?
personnelledans le mondeoù l'on construitsa proprefigure. - Notre :l'existence dont il est questionest celle quinous appartientet non pasl'existence engénéral. C'estdonc le sensque nousaccordonsnous-mêmes àl'existence quiest en cause. central estdonc lesuivant(plusieurspossibilités) : 1. La mort est-elle, en somme,ce maître tout-puissant ? 2. Comment uneréalitéimpossible àpenser et àfaire surgir –lamort – pourrait-elle mettre enquestion monexistencedon...
-
oreilles les douces paroles de Langue de Serpent ! »
des parois rocheuses, monta une courte pente et déboucha ainsi sur un larg e plateau. Les hommes l’appelaient le Firienfeld, champ d’herbe verdoyante et de bruyère dominant de haut les lits profondément creusés du Snowbourn, et posé sur les genoux des grandes montagnes derrière : Le Starkhorn au sud, et au nord la masse en dents de scie de l’Irensaga, entre lesquels les Cavaliers avaient en face d’eux le sinistre et noir mur du Dwimorberg, la Montagne Hantée, qui s’élevait de sombres pi...
-
BAUDELAIRE écrit dans son grand article sur Victor Hugo : Quand on se figure ce qu'était la poésie française avant qu'il apparût, et quel rajeunissement elle a subi depuis qu'il est venu, quand on imagine le peu qu'elle eût été s'il n'était pas venu, combien de sentiments mystérieux et profonds, qui ont été exprimés, seraient restés muets; combien d'intelligences il a accouchées, il est impossible de ne pas le considérer comme un de ces esprits rares et providentiels qui opèrent, dans
On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tête... Il joue de Toute la lyre pour exprimer toute la vie... Exploration poétique.3. Depuis les grands recueils de l'exil, les Contemplations et la première série de la Légende des siècles, que BAUDELAIRE peut connaître en 1861, HUGO n'est pas seulement le chantre des souffrances et des joies humaines. Ilest le « mage » qui écoute ce que dit la Bouche d'ombre, il comprend l'âme qui est en toutes choses, la vie prodigieus...
-
Définition:
AVÈNEMENT, substantif masculin.
renouvel?es... ? ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, ?pilogue, 1940, page 899. ? HISTOIRE. ? Droit de joyeux av?nement. Droit du souverain ? percevoir, lors de son av?nement, certaines taxes. Remarque?: Attest? dans DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. si?cle (Pierre Larousse)-Grand Larousse encyclop?dique en dix volumes, DICTIONNAIRE DE LA LANGUE FRAN?AISE (?MILE LITTR?. . Don de joyeux av?nement Don fa...
-
« Si c’est vraiment la dernière, je suis content, répliqua Saroumane : cela m’évitera la peine de la refuser encore. Tous mes espoirs sont ruinés, mais je ne désire pas partager les vôtres. Si vous en avez. »
pierre, en mémoire de choses oubliées, à présent perdues dans les régions dépeuplées. Car ils ne bougeaient ni ne parlaient oralement, se regardant d’esprit à esprit, et seuls leurs yeux remuaient et s’allu maient dans le va -et -vient de leurs pensées. Mais tout finit par être dit, et ils se séparèrent de nouveau pour quelque temps, jusqu’à ce que le moment fût venu pour les Trois Anneaux de cesser d’être. Disparaissant rapidement parmi les pierres et les ombr es, les gens de Lorien e...
-
36
En quittant le poste de police de La Mesa dans l'Explorer de Munro, nous empruntâmes Sprint Street pour
rejoindre l'autoroute de South Bay, en direction du sud.
puisse lesvoir ounon. — Votre fille,Naomi, dis-je.C’estl’enfant deMarty, non? Quand jementionnai lenom desafille, levisage deDani sedurcit. — Pourquoi vousêteslà?Naomi nesait pas quel genre detype étaitsonpère etjeveux queçareste comme ça. Munro pritlerelais avecuntiming parfait. Lesmains àplat devant luisur latable, iladressa àla jeune femme unlarge sourire. — Vous avezrefait votrevie,onn’est paslàpour toutbousiller. Quandlesgens arrêtent dedéconner, trouvent unboulot, élèvent leurgosse, paient...
-
aondromaque
RÉSUMÉ Acte I Scène 1 : Séparés par une tempête, le roi d’Argos, Oreste, et son ami, Pylade, se retrouvent à Buthrote, capitale de l'Épire, à la cour de Pyrrhus, « le fils d'Achille et le vainqueur de Troie ». Oreste vient, au nom des Grecs qui sont inquiets de la survie d'un jeune prince ennemi, lui réclamer Astyanax, fils d'Hector et d'Andromaque, qu'elle a soustrait par ruse au carnage de la vill...
-
Arrêt rendu par la chambre mixte de la Cour de Cassation le 6 juillet 2007. Droit
On comprend que la mise en demeure est fondée sur le fait, que selon la cour d’appel, l’inexécution est prononcée à cause d’un préjudice commercial. Il est évident que le fait que lasociété D assigne en justice la société C un mois avant le terme de la clause relative à l’enlèvement aurait pu faire douter le caractère effectif de l’inexécution, mais ici la cour de cassation est venue dans lemême sens que la cour d’appel « la cour d’appel, ayant retenu, par des motifs non critiqués, que l'inexécu...
-
-
Fiche de lecture : La grande peur dans la montagne Auteur : Charles-Ferdinand Ramuz
Résumé de l’histoire : Chapitre 1 Le Président, soutenu par les jeunes, veut récupérer les terres en haut de la montagne pour faciliter les finances de la commune. Les vieux s'opposent au projet,préférant la vie des hommes à l'argent et soutenant qu'en leur jeune temps plusieurs hommes sont morts à Sasseneire, là-haut. On décide donc de voter: cinquante-huitcontre trente-trois sont en faveur du projet. Chapitre 2 Cinq hommes sont volontaires pour aller vérifier l'état des terres et du chalet...
-
STENDHAL, Le Rouge et le Noir, 1830, (chapitre XVII, Livre second)
Louis-Philippe le nomme consul de France à Civitavecchia en 1831. C'est l'occasion d'affirmer son amour de l'Italie. Ildéfend le romantisme et s'engage en faveur du libéralisme politique. Stendhal meurt en 1842 alors que ses œuvres sont ignorées du grand public. Comme il l'avait prévu, ses romans neseront découverts que cinquante ans après sa mort. SON ŒUVRE On peut distinguer trois facettes dans l'œuvre de Stendhal : — trois œuvres « autobiographiques » : son Journal (1804-1819) qui n'éta...
-
Barbey d'Aurevilly: Le Bonheur dans le crime - Les Diaboliques
1. La perfection et la noblesse de la figure féminineUne beauté inédite pour le narrateur, comme le souligne la phrase deux. Encore ne s'agit-il là que du profil. Simplesigne ou « attestation » d'une beauté plus complète qui reste à découvrir. La tournure négative et le comparatif desupériorité accentuent ce caractère inédit. « Pur » évoque la finesse des traits, le dessin parfait du corps vu deprofil. « Altier » désigne une démarche noble, quelque peu hautaine et fière. Il laisse entrevoir...
-
GIONO, Regain: Vous analyserez les impressions que vous ressentez à la lecture de ce texte et vous montrerez que la composition et la forme s'accordent étroitement avec la tonalité de l'ensemble.
GIONO 69 Dessous, c'est un vallon étroit et un peu d'eau. C'est donc des maisons qu'on a bâties là; juste au bord, comme en équilibre, puis, au moment où ça a commencé à glisser sur la pente, on a planté, au milieu du village le pieu du clocher et c'est resté tout accroché. Pas tout: il y a une maison qui s'est décollée, qui a coulé du haut en bas, toute seule, qui est venue s'arrêter, toute les quatre fers d'aplomb, au bord du ruisseau, à...
-
ALAIN, Les Propos d'Alain: « Sur-Homme »
ALAIN II I ce fou de Nietzsche a de beaux disciples, et inquiète un peu les pères de famille (. .. ) Vivre toute sa vie. Développer toutes les puissances que l'on sent en soi-même. Beau programme. Difficile programme. Écartons les petits obstacles, les petites lois, les petits juges, tous ces impru dents pygmées qui nous grimpent aux jambes. Bon. Mais que vas-tu faire maintenant de ta liberté? J'aperçois de plus grands obstacles, en toi-même....
-
La Double Inconstance - Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (analyse détaillée)
et Flaminia de lui gagner son cœur (sc. 2). Flaminia ordonne à Lisette de séduire Arlequin, venu revoir Silvia (sc. 3), tandis que Trivelin essaie de l'acheter (sc. 4). L'un et l'autre ayant échoué (sc. 6), Flaminia décide de réunir Arlequin et Silvia pour gagner leur confiance (sc. 11). • Acte II: Silvia avoue à Flaminia qu'elle a éprouvé un certain trouble pour un officier du palais venu plusieurs fois dans son village et dont elle ignore...
-
La fenêtre éclairée: Un amour de Swann de Proust (commentaire)
saient la pulpe mystérieuse et dorée -la lumière qui remplissait la chambre et qui, tant d'autres soirs, du plus loin qu'il l'apercevait en arrivant dans la rue, le réjouissait et lui annonçait: « elle est là qui t'attend » et qui maintenant le torturait en lui disant: « elle est là avec celui qu'elle attendait >>. Il voulait savoir qui; il se glissa le long du mur jusqu'à la fenêtre, mais entre les lames obliques des volets il ne pouvait rien voir;...
-
Explication de texte: Nietzsche, Humain, trop humain
Les clés pour réussir Bien compr endre le texte Plan du texte • Parce que l'esprit scientifi que repose sur la méthode, et non sur les résul tats, sa disparition provoquerait un reto ur de la super stition et de l'absur dité. • C'est ce que montre la conversation de gens intelligents mais versés dans la seule connaissa nce des résultats : ils adh èren t à n'im porte quoi et croient à la premiè re hypothèse venue-ce qui est particu lièrement gr ave...
-
-
Albert CAMUS « Retour à Tipasa » (L'Été)
- D'où les axes suivants : La fête des sens.I. Le bonheur retrouvé. II. Développement La fête des sens A. La vue 1. Un paysage vu de haut - Ce point de vue privilégié permet d'embrasser l'ensemble du cadre, ciel, terre et mer, et participe à l'impression debeauté. Les ruines de Tipasa sont en effet situées entre le Chenoua et la Méditerranée : le sol descend par étapesvers les plages. L'auteur décrit clairement ces différents plans et arrière-plans : D'un côté, derrière lui ou à sa gauche, l...
-
Nathalie Sarraute extrait du « Planetarium »
pur e, large, capable, elle, de tout oublier dans un mom ent de ten dress e, d'aban don ... Mais elle a tor t, il n'est pas si mauv ais, si stupide ... il la voit ai nsi, lui aussi , il sait comme elle peut être, comme elle est, il la conna ît mieux qu'elle ne croit. .. Il ne peut plus attendre, sout enir un instant de plus ce regard qu'elle tient posé sur ses yeux, il ne veut pas avec elle-qui tromp erait -il d'ailleu r s ? -a voir aux petites r...
-
La dame de Monsoreau v.
Et l'insolent se mit a machonner entre ses dents certain proverbe latin qui se traduit en francais par l'axiome: Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es. Henri fronca le sourcil, un eclair de terrible courroux illumina ses grands yeux noirs, et, pour cette fois, certes, c'etait bien un regard de roi que le prince lanca sur ses indiscrets amis. Mais, sans doute epuise par cette velleite de colere, Henri retomba sur sa chaise et frotta les oreilles d'un des petits chiens de sa corbeille. En c...
-
Voyage de J.
cappitaine, faignans avoir grand joye de nostre venue: lequelaultres pour veoir ledict cappitaine &luy firent une merveilleuse feste, faignans estre joyeulx de sa venue, lequel pareillement, mss. 28 b 26 ledict Ledict seigneur, AB. 29 a 1 allerl'aller, mss. 2 Canadaa Canada, mss. 8 dou... lesdictes... d'une lieuedu lieu ou... noz... demye lieue, mss. 14 femmesfemmes &filles, C. 20 chascunchascune, mss. 25 yuesyver, mss....
-
Notre Dame de Paris
À propos, damoiselle Mahiette, que dites-vous de nos ambassadeurs flamands?
\24 Au Petit-Bourbon, ma chère! si bien qu'on avait illuminé en verres magiques le mot Espérance qui est écrit sur le grand portail. \24 À l'Hôtel de Ville! à l'Hôtel de Ville! Même que Husson le Voir jouait de la flûte! \24 Je vous dis que non! \24 Je vous dis que si! \24 Je vous dis que non! La bonne grosse Oudarde se préparait à répliquer, et la querelle en fût peut-être venue aux coiffes, si Mahiette ne se fût écriée tout à coup: \24 Voyez donc ces gens qui se sont attroupés là-bas...
-
Le Petit Parisien
Dimanche 24 mai 1885
MORT DE VICTOR HUGO
La fatale nouvelle - à laquelle hélas !
Mme Victor Hugo a écrit qu'elle entendit plusieurs fois la mère du poète raconter sa venue au monde : Elle disait qu'il n'était pas plus long qu'un couteau. Lorsqu'on l'eut emmallioté, on le mit dans un fauteuil, où il tenait si peu de place qu'on eût pu en mettre une demi-douzaine comme lui. On appela ses frères pour le voir : il était si mal venu, déclarait la mère, et ressemblait si peu à un être humain que le gros Eugène, son frère, qui n'avait que dix-huit mois et qui parlait à peine, s'écr...
-
Géographie LES GRANDES GLACIATIONS
Les grandes glaciations 1. AVANT UNE PÉRIODE GLACIAIRE 1 continent �t� 3. À LA FONTE DES GLACES rivages ennoyés formation de nouvelles plages furent inférieures de six à sept degrés aux moyennes actuelles, et le refroidissement des mers fut encore plus notable. La variation du niveau des mers Toute glaciation entraîne nécessairement la baisse du niveau des mers, car l'eau évaporée à l'équateur va se déposer en couches de glace sur les inlandsis e...
-
Tout à coup au bruit de son cheval, dont le galop faisait retentir le pavé sonore, quelques sentinelles se
retournèrent en criant :
- Il fuit !
XXXV –Épilogue Un ans’était écoulé depuis lamort duroi Charles IXetl’avènement autrône deson successeur. Le roi Henri III,heureusement régnantparlagrâce deDieu etde samère Catherine, étaitalléàune belle procession faiteenl’honneur deNotre-Dame deCléry. Il était parti àpied avec lareine safemme ettoute lacour. Le roi Henri IIIpouvait biensedonner cepetit passe-temps ; nulsouci sérieux nel’occupait àcette heure. Le roi deNavarre étaitenNavarre, oùilavait silongtemps désiréêtre,ets’occupait fort,...
-
-
Dictionnaire en ligne:
DÉSORMAIS, adverbe.
d'Arc, tome 2, 1908, page 18) : Ø 4. L'idée d'entrer en possession d'une vie à moi m'énivrait. Jusqu'alors, j'avais grandi en marge des adultes; désormais j'aurais mon cartable, mes livres, mes cahiers, mes tâches; ma semaine et mes journées se découperaient selon mes propres horaires;... SIMONE DE BEAUVOIR, Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958, page 25. 2. [Avec un verbe au passé] a) [Pour souligner la durée indéfinie] Puis laissant tout tomber, indifférent, désormais, aux choses terrestr...
-
TPE " l'immigration et les médias "
vague caractérisée par l'afflux de main d'½uvre lors de la révolution industrielle. La deuxième vague caractérisée par le besoin de main d'½uvre pour reconstruire la France a la fin de la première guerre mondiale. Et enfin la troisième vague caractérisée par l'arrivée d'immigrants pour la reconstruction de la France après la seconde guerre mondiale.Pour rappel, les migrations ont toujours eu lieu particulièrement sur le sol Européen pour des causes telles que la pauvreté, la guerre et les dictat...
-
Monsieur Bergeret a Paris
--Oui, dit M.
Elle s'arrêta de manger du poulet et dit: Papa, je t'admire. Je suis fière de toi. Tu es un grand homme. C'est aussi l'avis de Riquet, le petit chien, dit M. Bergeret. II Le mobilier du professeur fut emballé sous la surveillance de mademoiselle Zoé, et porté au chemin de fer. Pendant les jours de déménagement, Riquet errait tristement dans l'appartement dévasté. Il regardait avec défiance Pauline et Zoé dont la venue avait précédé de peu de jours le bouleversement de la demeure naguère si pai...
-
Mille et un jours en prison a Berlin
émotion.
Toutes mes malles, valises, colis, etc., etc., étaient prêts pour l'inspection, régulièrement alignés dans la petite gare de fortune construite à cet endroit. On avait été averti, ou on avait deviné, que j'étais un prisonnier de nationalité anglaiseoiseau rare en ces parages,car tous les inspecteurs des deux sexes s'étaient donné rendez-vous autour de mes bagages, et de ma personne. Il y avait des dames: d'ordinaire, on utilise leurs services discrets pour faire les perquisitions chez les pass...
-
L'auberge de l'ange gardien
maison et nous sommes tout seuls.
L'HOMME.Est-ce que tu te sens malade? JACQUES.Non, mais j'ai trop faim, je n'ai pas mange hier; je n'avais plus qu'un morceau de pain pour Paul. L'homme sentit aussi ses yeux se mouiller; il tira de son bissac un bon morceau de pain, du fromage et une gourde de cidre, et presenta a Jacques le pain et le fromage pendant qu'il debouchait la gourde. Les yeux de Jacques brillerent: il allait porter le pain a sa bouche quand un regard jete sur son frere l'arreta: Et Paul? dit-il, il n'a rien pour...
-
L'Argent
flambaient davantage, son désir éclatait, soulevait la femme ardente qu'elle semblait être.
nommait, donna l'ordre de l'introduire immédiatement ; puis, rappelant le valet, il lui commanda de renvoyer tout le monde, fatigué, ayant très faim. Lorsque la comtesse entra, elle n'aperçut même pas Maxime, que le dossier du grand fauteuil cachait. Et Saccard s'étonna davantage, en voyant qu'elle avait amené avec elle sa fille Alice. Cela donnait plus de solennité à la démarche : ces deux femmes si tristes et si pâles, la mère mince, grande, toute blanche, à l'air suranné, la fille viei...
-
L'Immortel
lord Palmerston,--on le cote très haut à l'Institut et au quai d'Orsay.
ABEL DE FREYDET. Tu penses qu'au milieu de ces aventures, j'ai oublié les graines, paillassons, arbustes, toutes mes emplettes; ce sera pour bientôt, je resterai ici quelque temps. Astier-Réhu m'a bien recommandé de ne rien dire, mais de fréquenter les milieux académiques. Me montrer, qu'on me voie, c'est plus important que tout. IV «Méfie-toi, mon Freydet.... Je connais ce coup-là, c'est le coup du racolage.... Au fond, ces gens se sentent finis, en train de moisir sous leur coupole.... L'Acadé...
-
Oeuvres de Napoleon Bonaparte, TOME III
peuple, et sera toujours le jouet des subalternes que l'Angleterre corrompt, et qui le circonviennent de peur
qu'il ne soit éclairé.
Le général Vialannes, commandant la cavalerie du maréchal Davoust, est entré a Presbourg. M. le général comte de Palffy a écrit une lettre à laquelle le maréchal Davoust a répondu. Un corps de trois mille Autrichiens s'était retranché dans la position de Waldermünchen, au débouché de la Bohême. Le général Baraguay-d'Hilliers, à la tête de trois bataillons de dragons à pied, a marché contre ce corps, qui s'est hâté d'abandonner sa position. Le général Baraguay-d'Hilliers était le 18 à Treinitz en...
-
-
Les douze travaux d'Hercule.
arrache un doigt, le héros le prend alors à la gorge, il serre et serre de plus en fort... et finalement étouffe la bête. Après ce combat, il dépeça la dépouille avec les propres griffes du lion, tranchantes comme du verre, et revêtit la peau telle une armure invulnérable. Au retour, il se pressa d'annoncer à Molorchos de ne pas honorer sa disparition mais plutôt de sacrifier sa bête à Zeus car le jour de sa propre mort n'était pas encore venu. L'Hydre de Lerne. Lerne se trouve près d'A...
-
Wedekind, l'Éveil du printemps (extrait).
ans de plus que moi. Jeannot Rilow dit qu’il ne rêve encore que tartes à la crème et gelée d’abricots. MORITZ : Je te demande un peu : comment Jeannot Rilow peut-il en juger ? MELCHIOR : Il lui a demandé. MORITZ : Il lui a demandé ? Je ne m’y serais hasardé avec personne. MELCHIOR : Mais tu me l’as bien demandé, à moi. MORITZ : Dieu sait oui ! Peut-être que Jeannot avait déjà fait son testament auparavant. Un jeu étrange, vraiment, celui qu’on nous joue. Et il faut encore que nous rendi...