1047 résultats pour "platone"
- ION, ou Sur l’Iliade, Platon - résumé de l'oeuvre
- AMANTS (Les) ou De la philosophie Platon (résumé & analyse)
- LÂCHÉS ou Sur le courage Dialogue de Platon (résumé)
- Platon (427-348 av JC)
-
Quelle est la signification et la portée de L'Allégorie de la Caverne de Platon ?
L'allégorie de la Caverne Au début du chapitre VII de La République , un débat capital est à l'ordre du jour : à qui doit être confi é le gouvernement de l'État ? La réponse abstraite devra ensuite être représentée d'une manière concrète en recourant à l'allégorie de la Caverne. La thèse abstraite Pour mieux cerner l'essence de la Justice, on imagine une cité idéale – idéalement juste. Cette cité est composée de trois classes à l'image des trois parties de l'âme ; pour être parfaiteme...
- POLITIQUE (Le) de Platon (résumé et analyse de l’oeuvre)
- Platon: Bien général et bien particulier
- HIPPARQUE ou L’homme cupide de Platon (résumé)
-
-
LA PHILOSOPHIE, JEU GRATUIT ET VAIN ?
II. DISCUSSION — A — Esthétique et Philosophie. Il est bien vrai que toute philosophie est création d'une œuvre et peut-être faut-il dire que dans cette création le philosophe cherche avant tout ce que Gœthe appelle une délivrance. L'homme n'estpas fait pour vivre simplement. Ce qu'il y a de laideur dans le monde et d'absurdité dans l'existence, il ne peutl'accepter. Et de même que l'artiste engendre la beauté, de même le philosophe apporte au monde les raisons et lesens que le monde n'a pas...
- Platon, L'apologie de Socrate, paragraphe XXa
-
Platon, La République, livre 2 : Mythe
Textes commentés 43 La réforme de la Cité est inséparable d'un effort de rationalisation del la religion dont le sens a été dévoyé par les poètes et les tragédiens. , Attribuer en effet aux Dieux les errements de la nature humaine n'aboutit pas seulement à trahir leur essence mais à véhiculer des mythes aussi mensongers qu'absurdes et immoraux. a) Mensongers car l'autorité d'Homère lui-même ne suffirait pas à accréditer l'image peu flatteuse de dieux hai...
-
PLATON: Doit-on « laisser aller ses propres passions » ?
. POUR MIEUX COMPRENDRE LE TEXTE Pour Calliclès. la vertu n'est pas la tempérance, l'obéis sance passive à la loi, mais le dérèglement, l'excellence dans l'action d'assouvir le plus possible nos désirs quels qu'en soient les moyens. Elle est identifiée à la capacité de satisfaire jusqu'à ses plus fortes passions (1. 1-16). Aussi faut-il renverser la hiérarchie platonicienne de l'âme (texte 19) : ce n'est pas le courage qu'il faut...
-
L'Art est-il une vengeance à l'idée de vérité ?
2. - Cependant, cette réconciliation avec la vérité est une réconciliation pernicieuse, car en imitant la nature, l'artne fait que s'en éloigner. Comment, nous étant ainsi éloignés de la vérité, pourrions-nous alors y revenir ? - Platon écrit que : « L'art de l'imitation est donc bien éloigné du vrai, et c'est apparemment pour cette raisonqu'il peut façonner toutes choses : pour chacune, en effet, il n'atteint qu'une petite partie, et cette partie n'estelle-même qu'un simula...
-
Le système platonicien.
justice. Socrate a une telle confiance dans le savoir et dans la vérité qu'il est persuadé que les injustes et lesméchants ne sont que des ignorants. S'ils connaissaient vraiment la justice, ils la pratiqueraient, car nul n'est «méchant volontairement ». Dans sa perspective rationaliste il n'est de salut que par le savoir. Le véritable point dedépart de la philosophie de Platon est la mort de Socrate en 399 avant J.-C. Événement politique : c'est le partipopulaire revenu au pouvoir qui, par...
-
La politique
Qu ’ est - ce que la politique ? – I A - D JB Nanta E CT1 2 Ajoutons que l ’ on n ’ a pas ici affaire à deux « mondes » (il n ’ y a pas, contrairement à ce qu ’ on dit parfois, de « monde des Idées » chez Platon) : on a bien a ffaire à la m ême réalité, saisie tout d ’ abord par les sens, et e nsuite par l ’ intelligence. Précisons enfin que contrairement à notre fa çon de penser, plus on se dirige vers l ’ intelligible, et p...
-
EXTRAITS DE LA PENSÉE DE PLATON (Anthologie philosophique)
74 1 UNE BRÈVE HISTOIRE DE LÉTHIQUE l'argent», parce que c'est principalement avec de l'argent que les désirs de ce genre trouvent à se satisfaire. - Ce sont des appellations correctes, dit-il. - Si donc nous affirmions que le plaisir de cette espèce et son affection se portent vers le profit, ne disposerions nous pas d'un principe de base pour appuyer notre rai sonnement, de manière à clarifier pour nous de quoi il s'agit chaque...
-
-
la nécessité des lois et l'imperfections des lois pour Platon
La SITUATION de ce texte est la suivante : Le politique de Platon est un dialogue qui fait suite au Sophiste et dans lequel les personnages restent les mêmes, les interlocuteurs principaux sont l’étranger et Socrate le jeune. L’attachement politique de la philosophie à une origine platonicienne. En effet, Platon à pris part à trois dialogue : la république, le politique et les lois, qui sont des ouvrages dans lesquels platon traite de politique. par conséquent, ils ont tous les trois placé...
-
Commentaire de texte Les Caractères, La Bruyère « des jugements » 11
« médecins » l.15, « remèdes » l.22, « maux » l.22… qui démontrent que les vices sont perçus par La Bruyère comme une sorte de maladie que seule la sagesse peutguérir, pourtant les hommes semblent se tromper de remèdes en mettant toutes leurs croyances dans des choses qui ne seraient pas nécessaires s'ils faisaient preuve desagesse. En effet, cela est renforcé aux lignes 15-16, lorsque La Bruyère évoque la chute des « médecins » face à l'acquisition de la sagesse des hommes. Cela prouveque ce n'...
-
Peut-on parler de bonheur commun ?
C'est aux philosophes et non aux philodoxes que doit revenir le gouvernement de la cité. Au début du livre VI,Socrate trace des premiers un portrait particulièrement élogieux : le philosophe est « par nature, doué de mémoire, de facilité à apprendre, de grandeur d'âme et de bonne grâce » ; il est « parent de la vérité, de la justice, du courage et de la tempérance ». Comment dans ces conditions, lui refuser le gouvernement de la cité ? Rendant hommage à l'habileté de la démonstration de...
-
Fiche de cours en philo : LA JUSTICE .
l'universalité de la loi à la singularité du cas, l'acte de juger, de rectifier (selonl'image implicite du droit) en tenant compte des circonstances, en appréciant.Aussi, venir devant le juge, est-ce venir devant la justice vivante. La peineprononcée a quelque chose d'une indemnité réparant autant que faire se peutl'échange injuste imposé à la victime.La justice dans les échanges économiques a quelque chose de la justesse. Onéchange des choses utiles, des services. L'échange peut-il tendre...
-
Est-ce au peuple de faire les lois?
C - NAISSANCE DE LA TYRANNIE.Le refus de tout maître et la corruption de la société par l'excès de liberté mènent au désordre, à l'insécurité, etfont le jeu des tyrans qui profitent de l'anarchie, s'emparent du pouvoir et confisquent toute liberté.C'est parce qu'en démocratie chacun est un tyran ne connaissant aucune mesure que ce régime se perd et sedégrade en tyrannie.Celle-ci naît donc de la liberté entendue comme principe exclusif de la chose politique. 2) Ce n'est pas au peuple de faire l...
-
Peut-il y avoir des idées la ou il n'y a pas de débat ?
connaissance puissent être variables. Chez certains le sou¬venir est presque effacé, chez d'autres, comme lesphilosophes, il a été ravivé.Platon donne un nom à ces différents degrés. Chez l'esclave, cette connaissance, qui n'est pas une connaissancescientifique parce qu'il n'a pas pratiqué les mathématiques, est ce que Platon appelle une opinion droite, paropposition à ['opinion fausse, qui caractérisait le savoir de l'esclave avant les questions de Socrate, et au véritablesavoir,...
-
La politique est-elle l'affaire de tous ?
requiert des compétences spécifiques. Mais le problème d'une professionnalisation de la politique ne date pas de lamondialisation : Platon évoque déjà longuement ce problème. Les sophistes : la politique est l'affaire des habiles. La question de la politique est un des aspects du conflit entre Socrate et les sophistes : ceux-ci vivent de ladémocratie pour mieux la détourner de son esprit ; pour eux, la politique n'est pas l'affaire de tous mais doit leparaître. L'éloquence qu'ils prat...
-
D'après Platon, que perdons lorsque nous nous exprimons à l'écrit ?
D’après Platon, que perdons-nous quand nous nous exprimons à l’écrit ? Dans l’ouvrage Phèdre, Platon, le célèbre philosophe grec du Vème siècle, met en scène un dialogue entre Socrate et Phèdre. Dans cet extrait, Socrate s’adresse à Phèdre en lui expliquant que l’écriture est inhumaine. Nous pouvons alors nous demander par qui la thèse est-elle soutenue par Socrate ou par Platon puisque la thèse semble contredite par le fait que ce dialogue ait été écrit. Socrate n’a en effet jamais écrit e...
-
-
HELLO
connaissance n'est pas un processus où l'esprit, lui-même passif, reçoit tout du dehors, se bornant à enregistrer des intuitions que l'extérieur lui envoie toutes faites. Il est en un sens passif, en un sens actif et producteur : la connaissance, en ses éléments, lui arrive, de l'extérieur; en sa forme, elle vient de lui et lui doit son intelligibilité. Le rationalisme ainsi compris se plie d'ailleurs à une grande, diversité de méthodes. Il peut être constructif, à la façon de celui de Leibniz;...
-
GLOSSAIRE DE PHILOSOPHIE
Eschatologie Fins dernières de l'univers ou de l'histoire humaine. Évidence L'évidence est la «vue ii directe, intuitive, d'une vérité. Est évident ce qui va de soi, ce qu'il est inutile ou impossible de démontrer. Les principes premiers, indémontrables, des mathé matiques, sont classiquement considérés comme évidents. L'évidence est chez les cartésiens le premier critère de la vérité. Idéalisme Terme utilisé de façon très diverses et...
-
GLOSSAIRE SUR LA PHILOSOPHIE
Eschatologie Fins dernières de l'univers ou de l'histoire humaine. Évidence L'évidence est la «vue ii directe, intuitive, d'une vérité. Est évident ce qui va de soi, ce qu'il est inutile ou impossible de démontrer. Les principes premiers, indémontrables, des mathé matiques, sont classiquement considérés comme évidents. L'évidence est chez les cartésiens le premier critère de la vérité. Idéalisme Terme utilisé de façon très diverses et...
-
l'art n'est-il qu'apparence ?
· La première, celle qui est vraiment et pleinement, est la réalité intelligible ou Idée. Pour Platon les Idées ne sont pas des produits de notre intelligence, constitutives de cette dernière (rationalisme) ouformées au contact de l'expérience (empirisme). Elles existent indépendamment de notre pensée. L'Etre estl'intelligible ou monde des Idées. Cette thèse rend compte et de la connaissance, la réalité est intelligible,objet d'une connaissance, et de l'ordre du monde. C'est par...
- La mort chez Platon, Montaigne, Epicure et Heidegger
-
ARISTOTE 384-322 av. J.-C. Ethique à Nicomaque (analyse)
26 • Aristote la recherche expérimentale et à la science positive. A 18 ans, il part à Athènes pour y faire des études. Il devient le plus brillant disciple de Platon (Platon a alors 60 ans). Pendant vingt ans, il va étudier. A la mort de Platon, il ira enseigner à Assos, puis à la cour de Macédoine. Il reviendra à Athènes fonder le Lycée, école rivale de l'Académie fondée par Platon. Un an avant sa mort, accusé d'impiété, il se rendit à Ch...
-
ARISTOTE: La tendance à l'imitation est instinctive chez l'homme
L'imitation devient donc support de connaissance. III L'imitation à l'origine de l'art De cette tendance naturelle et du plaisir pris à l'imitation, Aristote fait découler la naissance de la poésie. Il estintéressant de noter que ceux qui ont inventé la poésie avaient une faculté d'imitation plus grande que la plupartdes hommes. Le philosophe donne donc ici une figure de l'artiste, comme nature innée. L'artiste, le génie est donccelui qui est doué dès le départ de dispositions particulières, ici...
- PODCAST: « Nul n'est méchant volontairement. » Platon, Gorgias.
-
-
La pensée politique de l'antiquité (gréco-romaine)
Section 2 : L'idéal démocratique Les intellectuels sont anti-démocrates . Ils sont des aristocrates à l'origine . L'idéal démocratique ne se voit que dans les discourspolitiques des hommes politiques . Le plus connu c'est le discours de Péricles . Stratège d'Athènes , plus haut magistrat de la ville, fait d'Athènes une ville purement démocratique . Il engage Athènes dans une guerre contre Sparte , 2 visions de la cité , guerreidéologique (431-404) . Dans ce discours il explique pourquoi la démoc...
-
Explication du texte Protagoras de Platon
passés, cela est sans bénéfice pour le présent. Cela doit donc être avantageux pour le futur. Ainsi la punition est effectuée dans un but préventif. Le châtiment doit être bénéfique pour l’injuste et servir d’exemple pour les autres, pour ainsi les dissuader de faire la même chose. Punir judicieusement revient à penser que la vertu peut être enseignée, car pour qu’un homme prenne conscience du mal qu’il a fait, il doit être justement puni. La vertu est étroitement liée à l’éducation. 3) Lor...
-
La Politique d'Aristote (résumé et analyse)
4 Textes commentés I -Plan et objectif de la Politique Éthique à Nicomaque (= E.N.) (X, 10,fin du traité) II - La communauté politique Politique(= Pol.)(!, 1, 1252a 1-8) III -L'esclavage Pol. (!, 4, 1253b 31-1254a 1) IV -Contre le « communisme » de Platon Pol. (Il, 2, 126Ja 15-25) V -Régimes droits et régimes déviants Pol. (Ill, 6, 1279a 8-22) VI -Plan des livres IV-V- VI Pol. (IV, 2, 1289b 12-26) VII -Classification des régimes et c...
-
L'art a-t-il une valeur éducative ?
que l'apparence en utilisant les séductions du sensible (flatterie, plaisirs des sens ... ). Par exemple le bon peintreest celui qui est capable de représenter dans un espace à deux dimensions un objet qui, lui, occupe un espace àtrois dimensions. Plus l'image produite par le peintre semble vraie, plus elle est en fait infidèle à son modèle tel qu'ilest. L'exactitude de l'art repose sur la déformation du réel sensible (cf. les règles de 1a perspective). 2) Parce que l'art n'est qu'imitation ....
-
Peut-on discerner dans les changements du droit un progrès vers justice ?
considérerait-il la déclaration des droits de l'homme et du citoyen comme impropre à faire naître la justice, puisqu'il yest stipulé que tous les hommes sont égaux et qu'on n'y trouve donc pas un fonctionnement en castes (la cité n'estpas divisée en dirigeants, gardiens et producteurs). Transition : Le modèle platonicien de la justice se fondait sur le paradigme d'une cité autarcique n'ayantquasiment que la guerre comme mode de relation avec les autres cités. Cette situation ne l'empêchait-elle...
-
l'art et la réalité. ?
- Quel rapport l'art entretient-il avec la réalité ? Nous dit-il la vérité sur l'être ou bien travestit-il la réalité en nous faisant prendre l'illusion pour la réalité ? Que nous livre la représentation artistique sur la réalité ? Si le réelest déjà là, pourquoi en élaborer un double ? Pourquoi, en clair, produire une oeuvre fictive quand on dispose duvrai, émettre une copie quand on détient l'original ? Pascal a-t-il raison d'affirmer : « Quelle vanité que lapeinture qui for...
- PLATON, 1965. François Châtelet - résumé de l'oeuvre
-
Le Cratyle de Platon (résumé et analyse)
,_ ...... LECTURE D'UNE CEUVRE PHILOSOPHIQUE l'école d'Héraclite et la théorie du mouvement universel, Socrate affir me qu'il existe une chose belle et bonne en soi et qu'il en est de même pour chacun des êtres en particulier. Platon postule donc, derrière les apparences changeantes, l'écoulement de tout ce qui nous apparaît, l'existence de réalités absolues. Cependant ces Formes pures n'exis tent pas encore comme dans le Phédon dans un monde...
-
-
L’Être et le changement I) L’Être comme essence PLATON, Hétéraclite
I I) Le principe de substance ARISTOTE , Les catégories → catégories (=moyens pour penser, outils, opérateurs qui permettent de penser) 1ere catégorie : substance Une substance à occupe la fonction de substantif, dit l’être, la chose dont parle le substantif. → La forme élémentaire de la pensée renvoi toujours à choses multiples à quelque chose de stable : le sujet. → Le sujet c’est la substance Substance =être qui peut changer sans que cela ne l’af...
- PLATON « GORGIAS »: Bonheur, désir et tonneau des Danaïdes
- ALCIBIADE ou De la nature de l’homme Platon (résumé & analyse)
-
QUELQUES PISTES DE LECTURE
320 Extraits conseillés chapitre par chapitre Qu’est-ce que la philosophie ? Platon Allégorie de la caverne République VII 514a-520 Le Banquet Le mythe de la naissance d’Eros 203 b-204 c Descartes Principes de la philosophie Préface Epicure Lettre à Ménécée Hegel Phénoménologie de l’esprit Préface Qu’est-ce que l’homme ? Bergson Essai sur les données immédiates de la conscience Chapitre 2 (les deux aspects...
- Platon: le juste et l'injuste, le beau et le laid, le bien et le mal
-
Lysias de Platon (commentaire)
l’âme réfléchit qu’elle peut se connaitre et donc connaitre. S’il ne se connait pas soi-même, il ne peut savoir ce qu’il veut vraiment pour faire son bien réel, qui est de se maintenir dans le bon état. L’amoureux, selon Lysias, est celui qui ne réfléchit pas et donc qui ne connait pas. Il poursuit l’apparence de l’amour, ce qui semble beau et il satisfait ses désirs sans savoir si c’est ce qu’il veut. Selon Lysias, « parmi ceux qui aiment, beaucoup désirent le corps avant de connaitre la...
-
Peut-on tirer des leçons de l'histoire ?
· Pour répondre à cette double question, il faut aussi mieux comprendre ce que l'on retient par les termes de leçon et d'expérience. · La leçon est comprise de nos jours comme ce qui est donné à apprendre par le maitre. Ce sens signifie pour nous que l'expérience puisse être notre maitre. Mais aussi que ce qui est donné par l'expérience puisse s'apprendre,c'est-à-dire que l'on puisse le répéter de manière sûre, comme nous l'avons-nous même appris. · La leçon nous ram...
-
Platon: Exercice du pouvoir et lois
l'esprit de la tradition, c'est la transgresser dans sa lettre. Dit autrement, l'art politique, qui est à l'origine des lois,ne saurait leur être soumis.— Cette dévalorisation de l'écrit explique aussi pourquoi l'homme politique ne prend pas la peine d'écrire une loinouvelle. 3. Contrainte et persuasion.Il est question d'une contrainte. L'homme politique ne cherche pas à persuader les citoyens qu'il a raison d'agircomme il le fait. Il impose ses réformes sans tenir compte de la volon...
-
-
Le pouvoir politique tend-il toujours vers le bien ?
inutiles aux cités. »Socrate n'en disconvient pas. Il souligne cependant que l'inutilité de la philosophie n'est pas le fait desphilosophes, mais des citoyens qui se refusent à chercher conseil auprès d'eux. Socrate s'explique au moyend'une image. Il compare la société à un navire dans lequel les marins, ignorants es lois de la navigation, sedisputent le gouvernail et méconnaissent le seul vrai pilote qui pourrait les guider, préférant le tenir pour un «bayeur aux étoiles », « un vain disc...
-
république VII de Platon
PLATON La République, livre VII (385-370) Platon : République, trad. par E. Chambry, Les belles lettres, Paris, 1961. [514 a – 517 a] L’allégorie de la Caverne. D’après ce tableau qu’est l’allégorie de la Caverne1, l’enjeu est de se représenter notre nature selon qu’elle est ou non éclairée par l’éducation. [514 a] Il faut se figurer des hommes dans une demeure souterraine en forme de caverne attachés depuis leur enfance. [514 b] Ils sont attachés de façon à ne pas pouvoir bouger ni le...