704 résultats pour "vertu"
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Faut-il bien vivre pour être heureux ?
sont pas les choses, mais seulement l'opinion que nous en avons. Et c'est là l'origine de nos troubles, de nossouffrances, de nos malheurs. Épictète l'affirme :« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les opinions qu'ils en ont [...] Lors donc que noussommes traversés, troublés ou tristes, n'en accusons pas d'autres que nous-mêmes, c'est-à-dire nos opinions»(Manuel, V ).Mors, mis en garde contre le trouble (taraxé), nouspourrons, comme le sage, écarter de nous le...
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Doit-on chercher le bonheur à tout prix ?
ne jamais être comblé.La première et principale leçon d'Epicure est donc celle-ci : ne pas céder aux désirs vains ; se contenter desdésirs naturels. Vivre en accord avec la nature consiste d'abord à ne pas céder au vertiges des désirsillusoires. Epicure les nomme vains, notre époque parlerait d'une course à la consommation.Il y a plus. Certes tout plaisir est un bien en soi. Mais certains plaisirs peuvent se révéler nuisibles. Certestoute souffrance est un mal, mais endurer certaines dou...
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3. L'ERRANCE, SIGNE DE L'IGNORANCE
[SOCRATE-MÉNON]
— S. Les honnêtes gens veulent-ils
LA CONCEPTION DU SAVOIR 153 père honnête ne deviendrait mauvais, s'il était per suadé par de sages conseils ; mais en l'instruisant tu ne feras jamais du méchant un homme de bien». Te rends-tu compte que sur le même point il se dédit et tient des propos contraires ? -M. C'est évident. - S. Peux-tu me dire quelque autre domaine où d'un côté ceux qui se prétendent des maîtres non seulement sont reconnus comme incapables d'ense...
- DU PRINCIPE DE L'ARISTOCRATIE
- Dissertation: Faut-il être vertueux pour être heureux ?
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Biographie d'ANTISTHÈNE
Antisthène (~440–336 av. J.-C.) La sagesse par le renoncement Après avoir suivi les cours de Gorgias et fréquenté Prodicos et Hippias, Antisthène devient l'élève de Socrate. D'origine très modeste, sa naissance est objet de méprise, raison pour laquelle il dédaigne les richesses et se moque des Athéniens de pure souche. Brouillé avec Platon qu'il brocarde, il assiste aux derniers instants de Socrate. Il fréquente le gymnase du Cynosargue (« le chien blanc ») et s'entoure de la classe la plus mép...
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La fin de l'éthique est-elle le bonheur terrestre ?
Le Bonheur est le bien absolu"Tous les hommes recherchent d'être heureux, c'est le motif de toutes les actions de tous les hommes, jusqu'à ceux qui vont se pendre " affirme Pascal dans ses " Pensées ". En effet, tout homme cherche le bonheur. Il est ce que chacun désire suprêmement. Et pour reprendre l'analyse aristotélicienne dans l' " Éthique à Nicomaque ", le bonheur n'est désiré que pour lui-même. Et à la question "pourquoi être heureux ? ", il n'est pas de réponse sinon une réponse aussi...
- Grand cours: LE DROIT (11 de 16)
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- Satisfaction des sens et Bonheur
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Lorenzaccio : Lorenzo, un homme seul qui n'est plus solidaire de la société
La portée de l'acte de Lorenzo n'est donc plus politique. Il s'agit pour lui de la possibilité de revenir à sa vertu d'antan, et de s'affranchir du masque dont il a été lui-même le créateur à travers le vice et la débauche, devenant par conséquent Lorenzaccio. Malgré tout, le personnage lui-même soupçonne selon un possible retour à sa pureté originelle, puisque il n'est davantage capable de différencier qui répand le vice et la corruption, est-ce lui-même consciemment, ou son alter-ego maléfique...
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Le bonheur est il une affaire d'Etat ?
Cependant, c'est à l'État d'assurer à l'homme le respect de certains droits qui satisferont ses besoins fondamentaux que l'individu ne pourrait satisfaire seul. Sans cela,l'homme serait trop malheureux pour être vertueux.Ainsi, il revient à l'État, de permettre à ses citoyens de pouvoir vivre, en leur donnant droit à tout ce qui peut contribuer à rendre leur vie convenable (logement,travail, éducation, santé). L'État et la constitution doivent donc favoriser un bonheur qui, sinon, serait impossi...
- PLATON : MENON (Résumé & Analyse)
- fin (philosophie) - philosophie.
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Définition:
AMORALISME, substantif masculin.
ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, La Foire sur la place, 1908, page 708. ? Chez un individu (confer amoral B)?: ? 4. Decraemer se laissa emporter, fit comme les autres, se paya de cette id?e, de ce mensonge, qu'une fois l'usine en marche et sa situation r?tablie, il verrait ? mettre en accord ses principes et sa conduite. Pour l'heure, s'il ne voulait pas dispara?tre au milieu de cette ?pre bataille, l'amoralisme et la brutalit? ?taient une quasi-n?cessit?. MAXENCE VAN DER MEERSCH, Invasion...
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Faut-il que l'homme souffre pour progresser ?
La souffrance que l'on cherche, que l'on s'inflige, est une manière d'éviter tout examen de conscience. Nietzsche a, tout au long de son oeuvre, condamné la moralechrétienne, qui n'est à ses yeux qu'une pure et radicale négation de lavie. A croire en une prétendue vertu rédemptrice de la souffrance, onfinit par rechercher «du plaisir dans l'insuccès, dans le dépérissement,la douleur, la malchance, la laideur» (La Généalogie de la morale). L'antéchrist de Nietzsche (1844-1900) a été écrit en...
- Mme de La Fayette, La princesse de Clèves: Comment est mis en lumière le personnage de Mlle de Chartres ?
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- ÉTHIQUE À NICOMAQUE, Aristote
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L’argumentation : Nul ne fait le mal volontairement
commettant le mal sait ce qu'il fait et se rend compte de la répercussion négative de son geste puisque tout être humain utilise le processus du raisonnement et que lorsque l'ont réfléchi attentivement aux actions qu'on s'apprête à faire, nous sommes conscients de nos gestes. Or, Socrate a tort dans son raisonnement d'affirmer que de faire de telles «actions demeurent avantageuses pour la personne qui les commet » 3puisque d'une part, cette personne est rongé par le remord d'avoir commis un tel...
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Le bonheur véritable se confond-il avec le bien-être ?
qu'on vivra de cette façon, mais en tant que quelque élément divin est présent en nous . » (« Ethique à Nicomaque » 1177b27). Il balance entre un bien surhumain et un bien trop humain. Cela se traduit chez lui par une oscillation entre l'idéal théorétique symbolisé par la sagesse et l'idéal pratiquesymbolisé par la « prudence ». La « phronésis » est cette vertu intellectuelle qui est le propre des hommes capables de délibérer correctement sur ce qui leur est bon et avantageux, et d'ordon...
- Plan Princesse de Clèves
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A travers le roman et l'adaptation filmique de Frears des Liaisons Dangereuses, comment expliquer que tant de personnages se dévoilent et se confessent, alors que dans un contexte religieux et culturel du XVIIIe siècle, seul un homme d'église est habilité à entendre un pêcheur en confession ?
une nouvelle faute. De la même façon, dans la lettre 150, le chevalier écrit car il ne peut contenir ses sentiments.De nouveau, la lettre cristallise la passion amoureuse. Le chevalier l'écrit malgré contre la volonté de sa maîtresse. Transition : La lettre s'impose dans le roman là où dans la société du XVIIIe siècle, le recours à un prêtre seraitobligatoire ainsi la lettre est un élément au service de l'amoralité. Les confidences se font à l'abris des regards ousous le regard d'un personnage...
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Qu'est-ce que le courage ?
Le cou rage . [Introduction "générique de film". Simple sensibilisation au sujet. On n'annonce ni on ne problématise rien.] Lestalons sont dans le vide. Seule la pointe de la botte repose sur le bord de la fenêtre, qui donne sur une hauteurmortelle. Devant ses amis dont il relève le défi, le jeune officier, dos à l'extérieur, doit à présent boire une bouteillede champagne au goulot et d'un trait. Un millimètre d'écart du centre de gravité et c'est la mort, ce que tous lesassistants savent, et...
- PLANCHE morale, ethique et spirituel 1er D
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Peut-on être à la fois ignorant et sage ?
Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ? Telles sont les questions que les hommes se posent. Lascience peut-elle y répondre ? Elle y prétend dans une certaine mesure. Mais ses réponses ne sont pas celles quenous attendons vraiment, car se prononçant uniquement sur des faits, la science se tait sur ce qui est au coeur denos interrogations, le sens de notre existence. ordre des idées 1) Idée centrale : Des sciences qui ne s'attachent qu'aux faits (les sciences positives) ne peuvent...
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Suffit-il de voir le bien pour le suivre ?
pas claires et distinctes. Parfois on ne sait pas quoi choisir, tout nous est égal. Ainsi, on fait souvent de mauvais choix etchoisissons le mal à défaut du bien puisqu'on ne sait pas quel choix reflète le bien. D'autre part, pour Socrate, la vertu est del’ordre du savoir : si l’on sait où se trouve le bien, on le veut et on le suit. Cependant on peut parfois pensersuivre le chemin du bien et finalement se tromper. En effet, quelque fois nous commettons un acte qui nous paraît être l...
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La quête du bonheur constitue-t-elle un esclavage ?
distinguer trois espèces de désirs : les désirs naturels et nécessaires qui correspondent aux besoins élémentaires(manger, boire, etc.) ; les désirs naturels mais non nécessaires (besoins sexuels, bien manger, etc.) ; les désirs ninaturels ni nécessaires (besoins artificiels résultant de la vanité, de l'ambition, de l'avarice, etc.). L'homme voulantatteindre le bonheur se limitera à satisfaire les premiers, éventuellement les deuxièmes (si ceux-ci ne créent pasd'habitude pouvant entraîner ensuit...
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Aristote et l'ordre politique
Pyth. II, v. 72. Et qui appartenait peut-être déjà au passé au moment où Aristote élaborait sa philosophie politique :cf. Pellegrin, préface de son édition des Politiques, p. 17-18. 10 Cf. Certaines des critiques faites par Habermas à H.Arendt. Voir résumé de J.-M. Ferry, Habermas. L'éthique de la communication, PUF, 1987.9 8 b/ La meilleure « pour la plupart des Cités ». S'agit-il du régime « constitutionnel » décrit en Pol. IV 8 ? (voir lesarguments en ce sens dans l'Appendice II). On peut obj...
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La thèse de Calliclès dans le Gorgias de Platon
«Ce sont les faibles, la masse des gens, qui établissent les lois 1 ..• 1 en fonction de leur intérêt propre.» Pla ton, Gorg ias 4 Cette accusat io n n'expr ime pas l a pen sée de Platon ma i s ce ll e d'un personnage qu'il m et en scène . le soph iste Calliclès. Le ju gement de c el ui -c i e st surprenant car nous sommes pl ut ôt enclins à sus pecter que le s lois sont destinées à servir les pu iss ants. T out au contraire, s'in dig...
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Aristote
Livre I Cha pitre 1 – Le Bien et l'ativité hum aine. La hiérarchie des biens. Les homm es agissent dans le but d'atteindre le bien.Chaque action tend vers le Bien, mais de par la mul tiplicité des fins qu'elles cherchent à atteindre, il est impor tant d'avoir à l'esprit quelle est la nature de la finalité absolue, à savoir, le Souverain Bien.La science qui relève de la connaissance du Bien c'est la Politique car seule celle-ci « dispo se parmi les sciences celle...
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La Princesse de Clèves (1678) - Madame de La Fayette (1634-1693)
"belles personnes" "une des plus grandes héritières" : Évoquer cela semble important pour l'auteur car sa richesse lui permettra d'avoir un choix large dans sa vie, elle sera très convoitée par les hommes. Elle a donc une place importante "sa fille" : Elle est liée à sa mère "mademoiselle de Chartres" : Elle n'est pas mariée à son âge, ce qui est assez mal vu. La particule dans son nom de famille nous renseigne sur sa classe...
- La princesse de Clèves extrait 1 de Mme de la Fayette
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Existe-t-il une justice immanente ?
Le mérite n'est pas toujours récompensé Il n'y a pas de justice en soi qui garantirait la victoire de la vertu. La justice n'est qu'une convention établie par les hommes. Or, ceux-ci sont plus soucieux de défendre leurs intérêts que de reconnaître le mérite des autres. H n'y a pas de justice immanente L a justice n'existe point; la justice appartient à l'ordre des choses qu'il faut faire justement parce qu'elles ne sont point», dit Alain dans ses Propos. Po...
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Peut-on reprocher à un art de ne rien nous apprendre ?
de sorte qu'il serait logiquement impossible de reprocher à un art de ne rien nous apprendre (l'art étant par essence porteur d'un enseignement) ? 2- TOUT ART ÉTANT INSTRUCTIF , IL EST IMPOSSIBLE DE REPROCHER À UN ART DE NE RIEN NOUS APPRENDRE Aristote admet que l'art est mimétique. Cependant, il refuse la transcendance des idées et du même coup, la soumission de l'art à des normes extérieures établies par le censeur philosophe. Ce qui l'amène à légitimer que l'onreprésente des choses...
- La princesse de Clèves : Portrait de Mlle de Chartres
- La Princesse de Clèves - Le portrait de Mlle de Chartres
- BONHEUR ET CONTEMPLATION
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La recherche du bonheur peut-elle être un esclavage ?
La recherche du bonheur et ses dangers De l'hédonisme à l'ataraxie. Pour Épicure, le plaisir constitue le souverain bien. Il est « le commencementet la fin d'une vie bienheureuse ». Le bonheur serait un état de plaisir completet durable. Mais comment atteindre à un tel état ? Le plaisir n'est-il pasessentiellement éphémère, comme le soulignait Rousseau : « Aussi n'a-t-onguère ici que du plaisir qui passe ; pour le bonheur qui dure, je doute qu'il soitconnu. À peine est-il dans nos plus...
- Anagrame Ronsard
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Le mot "fer" dans l'oeuvre de DESCARTES
fissent une partie de son corps, et qu'ils lui fussent nécessaires pour marcher. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, REPONSES DE L'AUTEUR AUX QUATRIEMES OBJECTIONS, REPONSE A L'AUTRE PARTIE, REPONSE AUX CHOSES QUI PEUVENT ARRETER LES THEOLOGIENS. Et quoique le fer et le feu ne se manient jamais sans péril par des enfants ou par des imprudents, néanmoins, parce qu'ils sontutiles pour la vie, il n'y a personne qui juge qu'il se faille abstenir pour cela de leur usage. LES PRINCIPES DE LA PHILO...
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Le juste milieu est-il toujours préférable ?
1. Le juste milieu est toujours préférable car il permet de définir la vertu ou le bien . - Il faut savoir être mesuré car l'hybris est destructeur. Comme le montrait Platon, République IX 580 d : "Puisqu'il y a trois parties de l'âme, il me paraît qu'il y a aussi trois sortes de désirs propres à chacune d'elle, etaussi trois sortes de plaisirs et de commandement" : ces trois parties sont la concupiscence ( epithumia ) à avoir le désir relatif au plaisir du corps, le courage / coeur (...
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- Les Sonnets Encomiastiques De Du Bellay
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ÉTHIQUE DE NICOMAQUE - Livre II, chapitre I
2 l’art hippique lui-même et toute action se rapportant à la guerre tombent à leur tour sous l’art stratégique, c’est de la même façon que d’autres arts sont subordonnés à d’autres), dans tous ces cas, disons-nous, les fins des arts architectoniques doivent être préférées à toutes celles des arts subordonnés, puisque c’est en vue des premières fins qu’on pour- suit les autres. Peu importe, au surplus que les activités elles-mêmes soient les fins des actions, ou...
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Montesquieu et le despotisme
Textes commentés 33 Le despotisme est, selon Montesquieu, le « mal politique absolu ». La comparaison qu'il esquisse entre la monarchie dont le principe est l'honneur et le despotisme, dont le principe est la crainte, montre que celui-ci n'est pas une déviation de celle-là. Despotisme et monarchie sont deux modes politiques différents par leur nature même. En effet, dans les États despotiques, il n'y a ni lois fondamentales ni dépôt de lois. Cet...
- DU PRINCIPE DE LA DÉMOCRATIE
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Le souci du bonheur est-il étranger à la morale ?
moderne, p. 492-493). On peut dire en effet que tous les philosophes anciens identifient le bonheur et la vertu et,tout au moins, les considèrent comme coïncidant nécessairement. Le bonheur, dit PLATON (Rép., I, 354 a), est laconséquence nécessaire de la vertu, parce que celle-ci est le bien naturel de l'âme, et le juste peut être maltraitéet même supplicié : il jouira du vrai bonheur (Ibid., 362 a). ARISTOTE désigne de même le bonheur comme la fin, lesouverain bien de l'homme; car l'être qui ag...
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Relations entre maitres et valets dans le théâtre du xviième et du xviiième siècles.
haine et en avoir peur. Malgré leurs relations conviviales, Sganarelle demeure inférieur à son maître dont l’opinion triomphera à ses dépends, et il faudra attendre un siècle pour que les domestiques commencent à affirmer leurs revendications comme par exemple dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais. II- Le valet dans le théâtre du XVIIIème siècle: La relation se transforme dans le courant du Siècle des Lumières : maîtres et valets réfléchissent à leur condition et s'en tr...
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Honoré de Balzac, La Maison Nucingen
l'affaire d'un moment ; elle fut acquise au sommet du Père-Lachaise 1 , le jour où il conduisait un pauvre honnête homme, le père de sa Delphine, mort la dupe de notre société, des sentiments les plus vrais et abandonné par ses filles et par ses gendres. Il résolut de jouer tout ce monde, et de s'y tenir en grand costume de vertu, de probité 2 , de belles manières. L'Egoïsme arma de pied en cape ce jeune noble. Quand le gars trouve Nucingen revêtu de la même armure, il l'estima comme au Moy...
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Princesse de Clèves: Le personnage face à l’histoire au XIXe Siècle, en quoi la construction du personnage du roman au fil des siècles nous permet-elle de mieux comprendre le monde ?
La jalousie / une femme jalouse a) un moi blessé b) la violence du dépit Les désordres de l'amour : la passion comme esclavage a) l'aveuglement et confusion intérieure b) l'aliénation amoureuse c) la déroute de la vertu ? L'anatomie du coeur humain a) le soliloque b) Intensité méditative a) - Nomme elle même le sentiment de jalousie - Un trio amoureux impossible - Décrit sa rivale mieux qu'elle à se victimise ou est sincère à idéalisation de sa rival...
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Définition:
ATTITRÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
/> ? 3. Dans l'int?rieur des cases rondes, b?tail, volailles et gens couchent; mais non point p?le-m?le, chacun a sa place attitr?e; tout est en ordre et tout est propre. ANDR? GIDE, Le Retour du Tchad, 1928, page 879. STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 59. Forme d?riv?e du verbe "attitrer" attitrer ATTITRER, verbe transitif. I.? Vieux. Accorder ? quelqu'un, par choix et titre conf?r? ou en vertu de l'habitude, la pr?f?rence sur d'autres pour ce qui concerne sa profession ou...
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La liberté et le bonheur sont-ils toujours compatibles?
- Toutefois, cette interprétation apparaît un peu légère, car peut-on vraiment considérer qu'il y a bonheur et liberté si cet homme est plus proche de la bête que de l'animal rationnel ? - Si l'on considère que non, l'on est contraint de chercher quelles seraient alors les conditions d'un bonheur et d'une liberté véritables. 2. Le bonheur et la liberté véritable reposent dans l'exercice de la vertu : - D'après A...