3095 résultats pour "james"
-
Puis-je vivre sans les autres ?
chose dont je ne puisse douter c'est de ceci : que je suis, en tant que je pense. La première certitude, la plusclaire des évidences est donc la simple conscience que j'ai d'être et de penser. Mais si je suis sûr de monexistence comme être pensant, comment pourrais-je jamais me convaincre de l'existence des autres ? Eneffet, je n'ai une intuition immédiate que de moi-même, je ne pourrai jamais penser l'autre comme je me pensemoi-même : c'est ce qui fonde mon intériorité et l'extériorité de l'a...
-
Le mot "dispute" dans l'oeuvre de DESCARTES
Si c'est elle-même, donc elle peut se porter à quelque chose sans y être déterminée par l'entendement, et néanmoins c'était ceque vous niiez tantôt et qui fait encore à présent tout le sujet de notre dispute : Pour ce qui regarde le fruit de ces Méditations, j'ai, ce me semble, assez averti dans la préface, laquelle je pense que vous avezlue, qu'il ne sera pas grand pour ceux qui, ne se mettant pas en peine de comprendre l'ordre et la liaison de mes raisons,tâcheront seulement de chercher à tout...
-
L'attitude philosophique peut-elle être définie par la décision de ne jamais croire ?
En outre, une telle attitude n'est pas sans présupposés. On peut se demander si croire ou ne pas croire peut êtreen quelque manière le résultat d'une décision. Est-ce que l'on décide de croire? La croyance est-elle toujours perçuecomme telle ? Après tout, il en va peut-être de la croyance comme de ces dessins que les enfants décèlent dansles nuages, on ne la voit pas pour ce qu'elle est. Elle est bien plutôt ce dans quoi on voit le réel, une modalitégénérale du rapport à la réalité. La croyance...
-
XVII
Quelqu'un qui rencontre une bonne chance
Je n'ai pas pensé à
fameux mémoire, carils’était misdans l’idée queletemps pressait etqu’il fallait décidément terminercedocument. M. Dick étaitgrand amateur depain d’épice. Pourluirendre sesvisites plusagréables, matante m’avait chargé d’ouvrir pourluiun crédit chezunpâtissier, avecl’ordre denejamais luien fournir parjour pour plusdedix pences. Cette règlestricte etlepayement qu’elleseréservait defaire elle-même descomptes del’hôtel oùilcouchait, me portèrent àcroire qu’elle luipermettait defaire sonner sonargent...
-
L'Argent
qu'on lui rapportait de toutes parts.
Se levant, il l'interrompit. Lui qui ne riait jamais, il eut un petit ricanement, tellement cette duperie brutale à l'égard d'une femme jeune et jolie, l'amusait. " Un conseil, mais je ne vous le refuse pas, ma bonne amie... Ecoutez-moi bien. Ne jouez pas, ne jouez jamais. Ça vous rendra laide, c'est très vilain, une femme qui joue. " Et, quand elle s'en fut allée, hors d'elle, il s'enferma avec ses deux fils et son gendre, distribua les rôles, envoya tout de suite chez Jacoby et chez d'...
- James WHISTLER: ARRANGEMENT EN GRIS ET NOIR N°1
-
II
Ma soeur, Mrs Joe Gargery, n'avait pas moins de vingt ans de plus que moi, et elle s'était fait une certaine
réputation d'âme charitable auprès des voisins, en m'élevant, comme elle disait, « à la main ».
– Et pourquoi yes-tu allé ? Voilàceque jevoudrais savoir,s’écriamasœur. – Je nesais pas, dis-je àvoix basse. – Je nesais pas ! reprit masœur, jene leferai plusjamais ! Jeconnais cela.Jet’abandonnerai undeces jours, moi qui n’ai jamais quittécetablier depuis quetues au monde. C’estdéjàbien assez d’être lafemme d’unforgeron, etd’un Gargery encore,sansêtretamère ! » Mes pensées s’écartèrent dusujet dontilétait question, carenregardant lefeu d’un airinconsolable, jevis paraître, danslescharbons veng...
- James TISSOT: JEUNE FEMME EN VESTE ROUGE.
-
-
d'être bloqués dans ce désert : il faudrait manger, il faudrait se coucher, comment ferait-on,
mon Dieu !
ces choses-là, çane s'écrit pas…J'aifailli ypasser mais,maintenant, çava déjà mieux, etje crois bienquej'enréchapperai, cettefois-ci encore. »Ill'examinait, effrayédesprogrès dumal, ne retrouvant plusrienenelle delabelle etsaine créature d'autrefois. « Alors, toujours voscrampes etvos vertiges, mapauvre tantePhasie. »Mais elleluiserrait la main àla briser, ellecontinua, enbaissant lavoix davantage : « Imagine-toi quejel'ai surpris… Tusais que j'endonnais malangue auxchiens, denepas savoir dansq...
-
Du Côté de Chez Swann
l'amour un plaisir subjectif, que la part du goût pour la beauté d'une femme devait y être la plus grande,
l'amour peut naître l'amour le plus physique sans qu'il y ait eu, à sa base, un désir préalable.
jamais rien à faire! Je suis toujours libre, je le serai toujours pour vous. A n'importe quelle heure du jour ou de la nuit où il pourrait vous être commode de me voir, faites-moi chercher, et je serai trop heureuse d'accourir. Le ferez-vous? Savez-vous ce qui serait gentil, ce serait de vous faire présenter à Mme Verdurin chez qui je vais tous les soirs. Croyez-vous! si on s'y retrouvait et si je pensais que c'est un peu pour moi que vous y êtes!" Et sans doute, en se rappelant ainsi leur...
-
fée - littérature.
Cependant, inquiété par des rumeurs, Raimondin soupçonne son épouse de lui être infidèle. Il rompt sa promesse et espionne Mélusine dans ses appartements un samedi. La surprenant dans son bain, il découvre son terrible secret. Mélusine disparaît dès que son époux lui révèle sa trahison. Mélusine est choisie par la famille de Lusignan qui règne sur le Poitou. Elle s’octroie ainsi une ascendance surnaturelle, faisant de Mélusine la figure fondatrice de sa lignée. La maison des Lusignan la désigne...
-
La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette. La scène de l'aveu au prince de Clèves.
- l'accumulation de questions lignes 39- 41 révèlent la jalousie qui menace de submerger le prince. Celui-ci, malgré son rang, n'enest pas moins homme.- Amertume de la phrase « vous me rendez malheureux par la plus grande marque de fidélité que jamais une femme ait donné àson mari »lignes 50-52 : la tristesse du prince provient du fait qu'il ne peut en vouloir à sa femme : celle-ci lutte de toutes sesforces contre une passion qu'elle n'a pas souhaité, contre un sentiment qui la domine et qu'elle...
-
Le savoir objectif ou la connaissance s’imposant à tous le esprits
414 La science découvre-t-elle ou construit-elle son objet ? La valeur d’une théorie se mesure-t-elle à son efficacité pratique ? Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible ? La machine fournit-elle un modèle pour comprendre le vivant ? Doit-on concevoir des limites à l’expérimentation sur le vivant ? L’homme se réduit-il à ce que nous en font connaître les sciences humaines ? Les sciences humaines peuvent-elles adopter les méthodes des sciences de la nature ? P...
-
Anthologie philosophique: DESCARTES
58 1 DESCARTES : «JE PENSE DONC JE SUIS » paisible solitude, je m'appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opi nions. Or il ne sera pas nécessaire, pour arriver à ce des sein, de prouver qu'elles sont toutes fausses, de quoi peut être je ne viendrais jamais à bout; mais, d'autant que la raison me persuade déjà que je ne dois pas moins soi gneusement m'empêcher de donner créance aux choses qui ne so...
-
Le mot "faillir" dans l'oeuvre de DESCARTES
Au reste je n'ai pas seulement appris aujourd'hui ce que je dois éviter pour ne plus faillir, mais aussi ce que je dois faire pourparvenir à la Connaissance de la vérité. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Sixième. Mais parce que la nécessité des affaires nous oblige souvent à nous déterminer, avant que nous ayons eu le loisir de les examinersi soigneusement, il faut avouer que la vie de l'homme est sujette à faillir fort souvent dans les choses particulières ; MEDITATIONS METAPHYSIQ...
-
Peut-on être libre face à la vérité ?
indifférence, qui révèle un défaut de connaissance plus qu'une perfection de la volonté, n'est que « le plus basdegré de liberté ». Être libre, en effet, ne consiste pas seulement à être indépendant, déterminé par rien, mais aussià développer sa propre nature. Or l'homme a une nature rationnelle. Notre volonté est donc destinée à s'accomplirdans la reconnaissance du vrai, et notre nature à y trouver son épanouissement. Nous serons donc d'autant pluslibre que nous aurons des raisons évidentes d...
-
-
La vérité est-elle différente de la réalité ?
même au péril de ma vie, m'empêcher de penser que la neige est blanche, et el feu, chaud. Vous certes, qui, parneige, et feu, entendez certaines substances extérieures, non perçues et non percevantes, vous avez le droitdénier que la blancheur et la chaleur soient des qualités inhérentes ) ces substances. Mais moi, que entends parceces mots les choses que je vois et touches, je suis obligé de penser comme les autres hommes. et, tout comme jene suis pas sceptique sur la nature des choses, ne...
-
Jean-Marie Tjibaou : le choix de la paix
Aimer et respecter. Insidieusement, la mort resserrait son filet. La pire épreuve, la plus sordide, Jean-Marie Tjibaou l'avait subie après l'exécutiond'Eloi Machoro et de Marcel Nonnaro par les tireurs d'élite du GIGN, en janvier 1985, lorsque certains des militantsindépendantistes de Canala lui avaient fait l'injure de croire que ces deux compagnons de lutte avaient pu être " éliminés " avecson accord. Ces insinuations, nées sur les murs de Nouméa à l'initiative d'extrémistes caldoches, lui...
- Quelque chose peut-il jamais mériter qu'on lui sacrifie sa vie ?
-
Dictionnaire en ligne:
DISSIPER, verbe transitif.
est tout le reste du monde, tout ce qui n'est pas elle, et qui la distrait, la dilue, la dissipe... PAUL VALÉRY, Tel quel I, 1941, page 60. SYNTAXE : Dissiper une impression, une anxiété, un chagrin, une crainte, des inquiétudes, un malaise; dissiper un songe, un rêve, une chimère, des illusions. b) [Par extension, une impression, un mal physique] Dissiper une migraine. L'usage journalier de l'eau [carminative] dissipe les cuissons occasionnées par le feu du rasoir (HONORÉ DE BALZAC, Histoire...
- ADMIRABLE CRIGHTON (L') (résumé & analyse) de James Matthew
- Le Pays où l'on n'arrive jamais de André DHOTEL (Résumé & Analyse)
- MYSTÉRIEUX UNIVERS (Le) James Jeans - résumé, analyse
- [Notre sentiment à l'égard d'autrui n'est jamais désintéressé] HUME
-
- BÊTE DANS LA JUNGLE (La) (résumé & analyse) Henry James
- Mrs. MEDWIN de Henry James - résumé, analyse
-
XV
Je devenais trop grand pour occuper plus longtemps la chambre de la grand-tante de M.
« Joe, dis-je, nepenses-tu pasque jedoive unevisite àmiss Havisham ? – Et pourquoi, monpetit Pip ? ditJoe après réflexion. – Pourquoi, Joe ?...Pourquoi rend-ondesvisites ? – Certainement, monpetit Pip,ilya des visites peut-être qui...ditJoe sans terminer saphrase. Maispourcequi est de rendre visiteàmiss Havisham, ellepourrait croirequetuas besoin dequelque chose,ouque tuattends quelque chose d’elle. – Mais, nepourrais-je luidire quejen’ai besoin derien... quejen’attends riend’elle. – Tu lepourra...
- AILES DE LA COLOMBE (Les) Henry James (résumé & analyse)
- STEPHEN LE HÉROS James Joyce (Résumé et analyse)
-
Peut on vaincre la mort ?
La mort n'a pas que des effets sur notre organisation physique, mais aussi surnos représentations morales : elle provoque crainte, effroi et inquiétude.Toute une tradition philosophique s'est attachée à contrer ces effets surl'homme, tradition commencée avec Epicure. Dans la « Lettre à Ménécée »celui-ci déclare : « Familiarise toi avec l'idée que la mort n'est rien pour nous, car tout bien et tout mal résident dans la sensation ; or, la mort est laprivation de cette dernière ». Ep...
-
Le mot "parfait" dans l'oeuvre de DESCARTES
de rien procède quelque chose, je ne la pouvais tenir non plus de moi-même. mais qu'il fallait, de nécessité, qu'il y en eût quelque autre plus parfait, duquel je dépendisse, et duquel j'eusse acquis tout ce quej'avais. Car si j'eusse été seul et indépendant de tout autre, en sorte que j'eusse eu, de moi-même, tout ce peu que je participais de l'êtreparfait, j'eusse pu avoir de moi, par même raison, tout le surplus que je connaissais me manquer, et ainsi être moi-même infini,éternel, immuable, t...
- ASSURANCE SUR LA MORT (résumé) James Mallahan Cain
-
- Un vrai ami ne doit jamais approuver les erreurs de son ami.
-
Je n'ai jamais parlé d'autre chose que de moi. Alain Robbe-Grillet
chaque roman de Robbe-Grillet donne en effet à lire le retour des mêmes obsessions : sadisme, masochisme, etc.Maurice Blanchot, d'ailleurs, l'avait bien perçu qui démontrait que l'essentiel du Voyeur était ce crime sexuel que lenarrateur ne cherchait tant à dissimuler — et même au lecteur — que pour essayer d'en éluder la culpabilité.Dans ces conditions, la pseudo-objectivité du nouveau roman n'est rien d'autre que le masque derrière lequel sedissimule une subjectivité totale. Robbe-Grillet le d...
- MUSE TRAGIQUE (La) Henry James - résumé, analyse
- PAS D’ORCHIDÉES POUR MISS BLANDISH James Hadley Chase
-
Citations avec boom, nom masculin
Houston n'a jamais été tendre pour
FAMILIER – autopromo , promo , pub , tam-tam . QUÉBEC , FAMILIER – cabale (pour un candidat) , plogue (gratuite) . Non favorable — bourrage de crâne , endoctrinement , intoxication , lavage de cerveau , matraquage , propagande .
- SORT DE POYNTON (Le) Henry James (Résumé et analyse)
-
Oussama Ben Laden par Robert Fisk
New York et à Washington, ces mots prennent un sens plus fort. Durant quelques minutes, la puissance américaine est devenueune ombre. Ben Laden m'a toujours semblé rechercher une célébrité qu'il n'a jamais trouvée - jusqu'à ce que les Américains et Time lequalifient de « parrain du terrorisme international », et jusqu'à ce que les Etats-Unis offrent une récompense de 5 millions dedollars pour sa tête (somme d'une faiblesse insultante pour un millionnaire comme lui, a-t-il peut-être pensé). Lo...
- Le réalisme des mots et l'inhérence des noms. JAMES FRAZER.
-
-
La vérité est-elle différente de la réalité ?
même au péril de ma vie, m'empêcher de penser que la neige est blanche, et el feu, chaud. Vous certes, qui, parneige, et feu, entendez certaines substances extérieures, non perçues et non percevantes, vous avez le droitdénier que la blancheur et la chaleur soient des qualités inhérentes ) ces substances. Mais moi, que entends parceces mots les choses que je vois et touches, je suis obligé de penser comme les autres hommes. et, tout commeje ne suis pas sceptique sur la nature des choses, ne ne...
-
Métaphysique des moeurs, Deuxième section - Passage de la philosophie morale populaire à la métaphysique des moeurs
exemples ne servent qu'à encourager, c'est-à-dire qu'ils mettent hors de doute la possibilité d'exécuter ce que la loiordonne; ils font tomber sous l'intuition ce que la règle pratique exprime d'une manière plus générale; mais ils nepeuvent jamais donner le droit de mettre de côté leur véritable original, qui réside dans la raison, et de se régler sureux. Si donc il n'y a pas de vrai principe suprême de la moralité qui ne doive s'appuyer uniquement sur une raison pureindépendamment de toute expé...
- MEILLEUR GRAIN (LE) d Henry James - résumé, analyse
- PRÉCIS DE PSYCHOLOGIE de James (résumé et analyse de l’oeuvre)
-
A quelles conditions peut-on dire que nous n'avons jamais raison contre les faits ?
doit. Si l'on refuse, souvenez-vous que vous êtes attaqués, et qu'on va vous faire obéir par tous les moyens." Cettecitation tend bien à prouver que les relations entre les hommes demandent des faits et des preuves concrètes. Ilfaut une démarche logique, pour établir une argumentation solide et c'est en partie à travers les faits que l'onapporte à sa thèse que l'on réussit à convaincre, que l'on réussit à consolider son discours. Il y a ainsi toujours, dela part de l'interlocuteur, une atten...
- A titre individuel, un diplomate peut — parfois — être sincère ; un pays jamais.
- James Stewart et Robert Mitchum : l'Amérique aux deux visages
-
effrayer les loups.
disposé à tourner selon que les vents de la fortune et les varia- tions des choses le lui commandent, et comme j'ai dit plus haut, ne pas s'écarter du bien, s'il le peut, mais savoir entrer dans le mal, s'il le faut. Il faut donc qu'un prince ait grand soin qu'il ne lui sorte jamais de la bouche chose qui ne soit pleine des cinq qualités susdites, et qu'il paraisse, à le voir et l'entendre, toute miséri- corde, toute bonne foi, toute droiture, toute humanité, toute religion. Et...
-
-
Westerns
I
INTRODUCTION
Gene Autry
Known as the Singing Cowboy, Gene Autry was the star of nearly 100 Westerns during his career as an actor.
James Fenimore CooperNineteenth-century American writer James Fenimore Cooper, famed for his adventure novels of American frontier life, wasalso an ardent social critic. Cooper wrote a series of five novels, known collectively as the Leather-Stocking Tales, in whichhe detailed the adventures of a fictional frontiersman named Natty Bumppo. In Bumppo, Cooper portrayed a man ofnature and a friend of the Native Americans. In addition to fiction, Cooper wrote several nonfiction works criticizingAmeri...
-
Connolly James
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)\HDLN0000100083 Connolly James Homme politique irlandais * 5.6.1868, Édimbourg + 12.5.1916, Dublin De sensibilité marxiste, il fonde en 1896 le parti socialiste républicain irlandais, et devient par la suite l'un des leaders du mouvement Sinn Féin, qui combat l'occupation britannique en Irlande. En 1912, il crée le parti travailliste irlandais, puis participe activement à la grève générale de 1913 à Dublin. Il commence également à organiser une armée de citoyens e...