4388 résultats pour "connaissante"
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L'apprentissage se réduit-il à de l'information ?
constituer une méthode d'enseignement de base, ne serait-ce pas une activité qui, ne faisant pas appel à un réelraisonnement, se distinguerait profondément de la véritable activité d'apprentissage à proprement parler ? Dans un deuxième temps nous pouvons alors nous intéresser à ce qui permet d'opérer une réelle distinction entreapprendre et s'informer. On observe en premier lieu qu'il y a une différence indéniable entre une connaissance, objetdu véritable apprentissage, et une simple information...
- L'expérience est-elle à l'origine et au fondement de toutes nos connaissances ?
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Exemple lettre de refus d'adhésion à un organisme
Après avoir pris connaissance de votre appel, je vous notifie par la présente mon refus d'adhérer ... Exemple lettre de refus d'adhésion à un organisme Je fais suite, par la présente, de votre appel du ... dans lequel vous m'informez de vous faire parvenir une lettre de refus d'adhésion ... Après avoir pris connaissance de votre appel, je vous notifie par la présente mon refus d'adhérer ... Exemple lettre de refus d'adhésion à un organisme Je fais suite, par la présente, de votre appe...
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La philosophie peut-elle connaître ce qui est ?
« claires et distinctes ». Cependant, lorsque la philosophie use de cette méthode, elle parvient à des résultatsprobants et peut alors affirmer qu'elle connaît ce qui est. Transition : Cependant, le critère des idées « claires et distinctes » est-il un critère suffisant ? La raison est une illusion parmi d'autres. 2. a) Le critère de certitude n'est effectivement pas forcément très fiable, car rien ne prouve que ce dont noussommes certains est bien ce qui est vrai. La raison croit...
- Pouvons-nous avoir de notre propre passé une connaissance exacte?
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Valeur de l'intuition et du raisonnement ?
Et sans nier le rôle de l'intuition dans l'activité scientifique, en particulier dans la découverte scientifique, il importecependant de préciser qu'en son essence la connaissance scientifique n'est pas intuitive mais bien discursive.Réduite à elle-même, l'intuition serait ineffable. Même l'intuition philosophique dont parle Bergson, lorsqu'elle veuts'exprimer, est bien obligée de se « loger dans des concepts ».En apparence, l'intuition me révèle l'être profond des choses tandis que la scie...
- La connaissance scientifique est-elle l'unique forme que puisse revêtir le savoir humain ?
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EN QUOI LA RENCONTRE D'AUTRUI PEUT-ELLE ENRICHIR LA CONNAISSANCE DE SOI ?
En quoi la rencontre d'autrui peut-elle enrichir la connaissance de soi? • Il n'est pas demandé. si la rencontre d'autrui peut enrichir la connaissance de soi (ni même, en toute rigueur, quelle peut être l'importance relative de la rencontre d'autrui dans la connaissance de soi). • Réfléchir aux modalités possibles de la connaissance de soi non pour les « réciter >> mais pour appréhender l'apport spécifique que peut avoir la rencontre d'autrui. •...
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- LA CONNAISSANCE DE L'INCONSCIENT APPORTE-T-ELLE QUELQUE CHOSE D'ESSENTIEL À LA CONNAISSANCE DE L'HOMME ?
- Définition: Agnosie (du gr. a, priv., et gnôsis, connaissance, manque de connaissance).
- La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses. Platon. Commentez cette citation.
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PRESENTATION DU PROGRAMME ET DES ÉPREUVES
PRÉSENTATION DU PROGRAMME ET DES ÉPREUVES 1. Le Roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde. Dans le prolongement du travail effectué en Seconde, le roman, situé dans un contexte littéraire, historique et culturel, est étudié, sous l'angle des personnages, comme une représentation de l'homme et du monde. Une œuvre intégrale est étudiée. 2. Le théâtre : texte et représentation. En Seconde, les élèves ont abordé...
- Le désir de connaissance est-il chez l'homme naturel ?
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Peut-on connaître l'inconscient ?
Cette localisation de l'inconscient au sein même du psy chisme soulève une première difliculté : comment connaître ce qui échappe à l'observation ? Sa connaissance ne pourra donc pas être descriptive comme celle d'un ol~et physique ou d'un mouvement corporel que l'on peut constater et dont on peut déterminer la nature, les propriétés et les lois. L'acte de connaître suppose, en effet, que l'ol~jet de connaissance soit non seulemen...
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Faut-il se méfier de sa conscience ?
par quoi va t-on se méfier de sa propre conscience sinon par cette conscience même ? Le sujet, par là, semble très équivoque, et assujetti à diverses confusions. Pour ce, nous verrons en quoi il serait irrationnel de se méfier de sa conscience, puisqu'elle constitue le socle de notre humanité mais cependant, qu'elle semble porter bien des failles qui nous mèneraient à douter de celle ci. La question est en effet réellement troublante. Spontanément nous aurions plutôt tendance à répondre que la...
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Moralité dans les sciences
• Démarche Possible : Partir de l'indépendance apparente des deux notions-clés et justifier qu'on ne peut s'y tenir. Dans un premier moment on peut s'interroger sur la pertinence de la question du fait que les sciences visent la connaissance tandis que la morale règle l'action. On voit mal comment l'idéal de connaissance pourrait contredire les idéaux de la morale. Bien au contraire, la sa gesse du philosophe ne doit-elle pas s...
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Bonheur et vertu ?
l'âme concupiscible. C'est une maladie, une perversion, qui remet en cause la totalité de l'individu. Dans cettetyrannie du supérieur par l'inférieur, l'homme devient esclave des désirs sans frein ; c'est pourquoi il estnécessairement malheureux. Il devient incapable de jugement, d'honneur, et, au lieu d'être maître de soi, il estsoumis à ce qu'il y a de plus bestial en lui. Céder aux passions, au désir, rêver d'être tyran est donc en fait rêver d'être impuissant, confondr...
- Les sciences humaines épuisent-elles la connaissance de l'homme ?
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L'histoire est-elle une reconstitution du passé ?
L'histoire n'est pas que le récit des faits tels qu'ils se sont passés Les méthodes que l'on applique à la connaissance des faits naturels ne sont pas applicables à l'étude du passé humain. L'histoire ne peut pas se contenter de relater. Elle doit également interpréter. L 'histoire n'est authentifiés. Pour cela, C'est ne rien comprendre pas une collection il faut procéder à des à l'enchaînement des faits de faits bruts recoupements . Au...
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La science nous rend-elle plus capables d'être libres ?
Analyse du sujet · La science est la connaissance relative à des phénomènes obéissant à des lois et vérifiés par des méthodes expérimentales, au moyen de trois composantes : l'observation, l'expérimentation et les lois. · L'observation des faits, c'est l'étude objective des phénomènes. Elle se doit d'être la plus objective et la plus précise possible,et ne doit pas se laisser influencer par les émotions, la foi, l'espoir ni par une possibleexplication, qui risqueraient de l...
- CONNAISSANCE DE LAMARTINE. Henri Guillemin (résumé)
- Faut-il épurer la connaissance de toute interprétation ?
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Le doute est-il utile à la connaissance et nuisible à l'action ?
« Parce qu'alors je désirais vaquer seulement à la recherche de la vérité, je pensais qu'il fallait [...] que jerejetasse comme absolument faux tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute, afin de voir s'il neresterait point après cela quelque chose [...] qui fut entièrement indubitable. » Le doute de Descartes est provisoire et a pour but de trouver une certitude entière & irrécusable. Or il est sûr que les sens nous trompent parfois. Les illusions d'optique en témoignent assez...
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La connaissance scientifique abolit-elle toute croyance ?
certaines ne sembleront pas aussi absurdes aux siècles futurs. Certaines autorités sont valables, d'autres sont douteuses. Enfin, si les méthodes scientifiques sontgénéralement les plus fiables, elles ne sont pas infaillibles et ne répondent pas à toutes les questions.L'épistémologie contemporaine définit quelques critères applicables à la connaissance scientifique. Les hypothèses doivent être testables et testées plusieurs fois. Lesthéories doivent être les plus explicatives possible et les plu...
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Faut-il opposer croire et connaître ?
Analyse du sujet · Eléments de définition ® Connaître = Il s'agit ici de prendre le terme au sens fort de véritable savoir du vrai, de science. La connaissance repose donc sur notre faculté de connaître, c'est-à-dire intelligence ou raison, et non surnotre imagination. On l'opposera donc ici au simple préjugé ou opinion (dont la marque n'est pas le vrai,mais simplement le probable). La connaissance est certaine, elle marque la nécessité et l'universalité d'unevérité, quand l'opinion...
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Le soleil se lèvera-t-il demain ?
contre ce texte et l'image qu'il donne de la science comme fragile édifice que Kant réagira dans sa philosophie. Ilécrira que ce texte l'a fait sortir de son «sommeil dogmatique» et l'a poussé à chercher à «sauver la science» enmontrant que la nécessité des lois de la physique n'est pas réductible à une simple habitude. Ce sera l'objectifpoursuivi par la Critique de la raison pure, texte dans lequel Kant tentera de poser le caractère universel etnécessaire des lois de la nature que la s...
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Une proposition peut-elle être vraie en théorie et fausse en pratique ?
peut être réfutée par la pratique. Autrement dit, un ensemble de règles et de principes est faux, s'il n'a pas fait sespreuves dans la réalité. Notre problème consistera donc à déterminer si une théorie peut être réfutée par sa mise enapplication, ou au contraire, si sa vérité en est toujours indépendante. I. La vérité d'une théorie ne dérive pas de la pratique Une théorie ne semble tenir sa vérité que de la pratique, c'est-à-dire de l'expérience qu'on en fait. Cependant,si une théorie n'es...
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Gaston Bachelard : une conception nouvelle de la science
le biais d'instruments techniques et qu'il interprète à partir d'une théorie. Le rationalisme de la science moderne est donc un rationalisme ouvert et dynamique. Le travail scientifique est un travail permanent de rectification, une connaissance approchée et non la possession de vérités absolues et certaines. « Il ne saurait y avoir de vérité première. Il n'y a que des erreurs premières. » Bachelard, Études « On connaît contre une connaissance antérieure en détruisant des connaissances mal fai...
- VEDAS [La Connaissance]. (résumé & analyse de l’oeuvre)
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En quels sens peut-on dire que l'historien fait" l'histoire?"
Que vaut cette exigence de neutralité dans la connaissance historique ? Dans ses Leçons sur la philosophie del'histoire, Hegel la dénonce comme une illusion naïve : « l'historien moyen croit lui aussi qu'il est purement réceptif, qu'il se livre au donné ; mais il n'est pas passif avec sa pensée, il faitintervenir ses catégories et voit le donné à travers elles ». La réflexionhégélienne sur l'histoire insiste longuement sur l'insuffisance de l' « histoireoriginale », c'est-à-...
- Qu'est-ce qui distingue, dans la connaissance du vivant, le normal et le pathologique ?
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Etre cultivé rend-il meilleur ?
constitution du discours, et non pour le sentiment de l'orateur. […]mais ici l'effet est certain, la dépravation réelle,et nos âmes se sont corrompues à mesure que nos sciences et nos arts se sont avancés à la perfection. Dira-t-onque c'est un malheur particulier à notre âge ? Non, messieurs ; les maux causés par notre vaine curiosité sont aussivieux que le monde. » C'est donc bien le contraire qui se produit avec la culture de l'homme, elle le pervertit. Etc'est bien ce que l'on peut voir chez...
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L'exemple du morceau de cire chez Descartes
doute de la première méditation plane encore sur leur existence, celle-ci n’ayant pas encore été démontrée. Nous verrons cependant que l’esprit peut connaître l’esprit, c’est-à-dire qu’il peut se connaître lui-même. Sera donc d’abord ici décrit le contexte de la Seconde Méditation qui précède la discussion du morceau de cire. Nous nous attarderons plus en détails sur la distinction entre la connaissance de la nature du corps et celle de la nature de l’esprit...
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Apprendre, est-ce seulement s'informer? (LA CONNAISSANCE ET LA RAISON)
III. APPRENDRE, S'INFORMER: POURQUOI? - Ce qui résulte de l'apprentissage est un savoir (pratique, technique, théorique), c'est-à-dire un acquis durable (même s'il nécessite un entretien périodique), susceptible de conférer un pouvoir, ou du moins une efficacité (cf. sujet n° 8). -L'accumulation des informations ne constitue pas un savoir authentique tout au plus un stock d'exemples ou d'arguments pour alimenter une discussion ou briller dans
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La science nous délivre t-elle des mythes ?
universelle. En effet, le mot « science » vient du latin « scientia » voulant dire le « savoir ». C'est le fait d'expliquer rationnellement les phénomènes naturels par des lois mathématiques en excluant toute explication par des éléments surnaturels. La science exclurai alors toute part de mythologie, croyance imaginaire, voire mensongère, exprimant une conception ou une idée abstraite. La mythologie est donc l'inverse de la rationalité philosophique et scientifique. Ainsi, nous pouvons dire que...
- SPINOZA: La passion succombe à sa connaissance vraie.
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Science et neutralité ?
B) "SCIENCE SANS CONSCIENCE N 'EST QUE RUINE DE L 'ÂME " RABELAIS , PANTAGRUEL Dès lors que la science ne relève plus uniquement de la théorie, mais aussi de la pratique, de l'action, elle apparaît soumise à la question de la morale. Si elle ne juge pas ses objets en fonction de la morale (objectivité), ellepeut elle-même faire l'objet d'un jugement moral, dans son application pratique. Ainsi la science n'est-elle pasdénuée d'intentions morales lorsqu'elle affirme avoir pour but...
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L'économie de l'« open technology » et de l'« open knowledge »
La circulation des connaissances aussi bien tacites que codifiées était favorisée par la créativité technique qui s'épanouissait par la dimension collective de la vieéconomique et sociale de Lyon.A Londres les connaissances ne circulaient pas rapidement et donc les inventions dans l'industrie de la soie n'étaient pas fréquentes, alors qu'a Lyon l'industrie de lasoie visait la compétence et l'autonomie des tisserands. Les institutions locales et jacquard lui-même étaient favorables pour que les g...
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Texte de Bachelard - La formation de l'esprit scientifique : Extrait chap. 1 : « La notion d'obstacle épistémologique »
une autre plus familière. Sans se soucier de l'original, elle le transporte, le transpose immédiatement en son milieu :le « bien connu ». Traduction alors est bien trahison. Elle prend des besoins pour des savoirs et l'on comprend mieuxen quoi consiste l'obstacle de l'opinion : elle recouvre et dissimule le savoir en le réduisant à ce qui peut servir. « Aquoi ça sert ? » demande l'opinion, là maintenant. Le scientifique ne doit-il pas toujours être utile ? Mais qu'est-ceque l'utile si ce n'est,...
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POURQUOI LA RAISON RECOURT-ELLE À L'HYPOTHÈSE ?
relève du domaine de l'opinion. Celle-ci se répartit en deux domaines : la croyance ou la perception pour les chosessensibles, l'illusion ou la conjecture pour les formes inférieures. Au monde intelligible, finalisé par l'Idée du Bien, quiéclaire toutes les autres Idées ou formes, correspond une connaissance intellectuelle par Idées. Les objetsmathématiques appartiennent au monde intelligible et sont l'objet d'une connaissance discursive. La totalité dudomaine intelligible est finali...
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Descartes: Science et arts
un individu de travailler ensemble ces qualités au point de parvenir à la perfection, il faut qu'il se spécialise. Unartiste qui choisit donc un domaine et qui y travaille peut donc, comme le dit Descartes, facilement exceller dansson domaine. Mais ce raisonnement, si il est valable pour les arts, ne l'est pas pour les sciences selon Descartes. Or,précisément, on a raisonné pour les sciences comme on a raisonné pour les arts. Descartes met en évidence le fait que si les sciences sont...
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La raison doit-elle se défier des sens
Le dualisme cartésien est aussi riche de sens, il ya la chose pensante, la rescogitans , esprit âme ou entendement ou raison qui est une chose qui pensec'est-à-dire qui doute, qui affirme qui connaît peu de choses qui en ignorebeaucoup, qui aime qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent.Son opposé est la res extensa et c'est elle qui nous intéresse par rapport ausujet, car il y bien une défiance de la raison face à la res extensa. Certes ellereprésente le monde des corps extér...
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Eugenie Grandet
Vous vous connaissez a ca, pas vrai?
J'ai bien vu que ca te contrariait; mais le vent etait aux des Grassins. Es-tu bete, avec tout ton esprit?... Laisse-les s'embarquer sur un nous verrons du pere Grandet, et tiens-toi tranquille, mon petit: Eugenie n'en sera pas moins ta femme. En quelques instants la nouvelle de la magnanime resolution de Grandet se repandit dans trois maisons a la fois, et il ne fut plus question dans toute la ville que de ce devouement fraternel. Chacun pardonnait a Grandet sa vente faite au mepris de la foi...
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Pourquoi avons-nous du mal à connaître la vérité ?
certitudes, près à les remettre en jeu. Lui même est toujours inquiet quant à la recherche de la vérité. Ne pourrait-on alors penser que nous avons du mal à connaître la vérité parce que l'activité de connaissance est elle-même uneactivité ingrate ? 2. Nous avons du mal à connaître la vérité parce que sa recherche, l'activité du connaître, est ingrate etdouloureuse. a) La vérité elle même est douloureuse à celui qui l'apprend, il y a comme une violence de la vérité qui remet encause tout ce à q...
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Peut-il exister un universel ?
l'idée d'une connaissance du réel qui soit scientifique, c'est-à-dire fon dée sur des connaissances immuables. La méthode dialectique que Socrate applique aux notions morales a été étendue à l'ensemble du réel parce qu'il y a une nécessité à fonder la connaissance sur des élé ments non-sensibles, héritage de Parménide. Ainsi, l'universel apparaît comme un élément primordial, essentiel à la notion même de connais sance. Il ne peut y avoir d...
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LA VÉRITÉ ET L'ERREUR
LA VÉRITÉ • 235 « Revenir sur un passé d'erreurs, trouver la vérité en un véritable repentir intellectuel», cela signifie d'abord que la connaissance scientifique ne se fait pas ex nihilo. Elle se fait toujours « contre une connaissance antérieure», c'est-à-dire par la destruction « des connaissances mal faites » : « Face au réel, ce qu'on croit savoir clairement offusque ce qu'on devrait savoir. Quand il se présente à la culture scientifique, l'esprit n...
- FICHE BAC FRANÇAIS – CONNAISSANCES
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Blaise Pascal: La raison peut-elle juger de tout ?
immédiate, cette capacité à saisir l'évidence de manière directe. Le coeur, non la raison, connaît ces véritésindémontrables que Pascal appelle «premiers principes» et qui sont les bases réelles de toute connaissance humaine,puisque tout raisonnement, en philosophie comme en sciences, les prend pour point de départ.Par cette distinction Pascal nous montre que le vrai ne se limite pas au rationnel, entendu au sens de «démontrablepar la raison », mais qu'il le dépasse et le fonde. Aussi...
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Réalité et théorie ?
la théorie de la relativité qui remit tout en cause et qui suscita des questions qu'on ne pouvait même pas imagineravant. La théorie de Newton était un système bien homogène, qui avait permis d'unifier les lois planétaires de Képleret la loi de la chute des corps de Galilée en expliquant le trajet elliptique des planètes autour du soleil comme unechute indéfiniment retardée. Cette théorie rendait compte de phénomènes divers, comme la variation de lapesanteur selon la latitude, ou encore le...
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Le philosophie peut-il raisonnablement parler de la science ?
·~M~• La science n'est pas une question de connaissance mais d'expérience. Les conceptions totalisantes du philosophe non spécialiste risquent de déformer la réalité. Il aura toujours tendance à vouloir la conformer à son propre point de vue. La généralisation tout objet dans les limites dernière, on rend toute philosophique d 'un savoir fermé . Le chose nécessaire. des faits manque philosophe applique alors d'objectivité plus qu 'il ne...