704 résultats pour "vertu"
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Diderot écrit : « Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant, voilà le projet de tout honnête homme qui prend la plume, le pinceau ou le ciseau. » Mais il déclare d'autre part : « Presque toujours, ce qui nuit à la beauté morale redouble la beauté poétique. On ne fait guère que des tableaux tranquilles et froids avec la vertu; c'est la passion et le vice qui animent les compositions du peintre, du poète et du musicien. » Commenter et discuter ces deux affirmations ap
civilisé, poli, moins ses moeurs sont poétiques ».L'art qui ne ferait place qu'à la vertu serait d'ailleurs froid et conventionnel, car il trahirait la vérité; un être parfaitest bien exceptionnel. L'oeuvre qui ignorerait le mal ne donnerait pas une image exacte de la réalité; tette absencede vérité ne pourrait tromper qu'un lecteur naïf et serait non seulement contraire au plaisir esthétique, mais d'unprofit discutable. Enfin le style même de ces oeuvres tombe souvent dans l'emphase du s...
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Commentaire de texte : Ethique à Nicomaque Livre VI Chapitre 10 (Aristote)
dans un premier temps de la crainte du tyran qui pour ne pas s’attirer sa foudre imite ses idées, puis par les hommes qui ont voulu imiter les hommes aux pouvoirs dans le but de s’attirer leurs faveurs, pour pouvoir si possible augmenter leur popularité et leur propre influence. C’est donc pour cela que l - 2, 3 « la conduite de tels personnages n’a en l’espèce aucune signification ». Aristote dit par la suite que l - 3, 4 « ce n’est pas en effet dans le pouvoir absolu que résident la vertu et l...
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L’apparition de l’intelligence et ses manifestations essentielles. - Le discernement des rapports. - L’invention.
PHILOSOPHIE DES SCIENCES par un mot, ce qui est bien naturel et même indispensable. Puis, sans y prendre garde, on «réalise (•) l'abstraction » ; et l'on dira,· par exemple, que la pesanteur est la cause de la chute des corps. On imite, sans le vouloir, le « bachelierus » de MoLIÈRE: «Opium fa cit dormi re, quia est, in eo, virtus dormitiva » ••. Pour en revenir à l'instinct, que signifie, étymologiquement, ce terme ? Il signifie : piquer, stimuler,...
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Le vice implique-t-il la connaissance de la vertu ?
La notion de faute n'est pas seulement pensée par l'homme vertueux Une totale immoralité est chose impensable. Même l'homme le plus vicieux connaît la signification de la notion de faute. On peut très bien en avoir le sentiment sans savoir ce qu'est la vertu. Même la plus vile des crapules sait ce qu'est la faute A ucune organisation criminelle n'aurait jamais été créée si ses membres n'avaient pas eu un élémentaire sen- «La plus haute vertu comme le...
- Perdiguier Agricol, dit Avignonnais la Vertu.
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Commentaire Composé : Les liaisons dangereuses
est très claire « Adieu, mon ange, je t'ai prise avec plaisir, je te quitte sans regret : je te reviendrai peut-être. Ainsiva le monde. Ce n'est pas ma faute. » l.18-19. Le personnage est très franc, il met un terme à leur relation.L'antithèse « je t'ai prise avec plaisir, je te quitte sans regret » montre l'indifférence du vicomte à l'égare dessentiments de Mme de Tourvel. Il pense qu'il peut décider comme bon lui semble de commencer ou de terminer unerelation. Il l'a séduite, il a...
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Comment être capable de se juger soi-même ?
rectitude de la pensée, l'esprit critique et une certaine considération pour le « regard » extérieur des autres.Pascal en fait une priorité : « Il faut se connaître soi-même ; quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela sertau moins à régler sa vie »Marguerite Yourcenar en parle comme d'une expérience essentielle : « Le véritable lieu de naissance est celui où l'ona porté pour la première fois un coup d'œil intelligent sur soi-même »La connaissance de soi appelle une exigence de lucidité...
- LIVRE D’OR DE LA VERTU (Le) Friedrich Spee
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- La bataille de Morat La vertu guerrière des Suisses.
- DÉLIE, objet de plus haute vertu
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MONTESQUIEU et la politique
riche en « affaires » pour qu'il soit facile de comprendre que le plus vertueux des hommes politiques a bien du mal àrésister aux sollicitations et aux pressions. Même lorsqu'il ne s'enrichit pas personnellement, il a vite fait de se prêterà des irrégularités en faveur de son parti, d'une société amie, etc.La vertu est donc une forme de courage. Elle est un motif exclusif et auto-suffisant, car elle se définit précisémentpar la capacité de faire le bien pour le bien et non pour une récompense. L...
- Comment la bonté, pour être une vertu véritable, réclame-t-elle d'être intelligente ?
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Le vice, c'est le mal que l'on fait sans plaisir - Colette
II – Vice & mal a) En effet, dans son Traité de la réforme de l'Entendement , au paragraphe 1, Spinoza fait bien la distinction entre le bien et le mal ou plus exactement, il nous montre que les notions de bien et de mal ne sont relatives qu'ànotre puissance d'agir. Ainsi, le bien est ce qui nous offre une plus grande puissance d'agir tandis que le mal est uneréduction de cette puissance : « L'expérience m'avait appris que toutes les occurrences les plus fréquentes de lavie ordinaire sont vai...
- PAMÉLA ou La vertu récompensée Samuel Richardson
- LAO-TSEU : TAO-TE KING – LIVRE DU TAO ET DE SA VERTU (Résumé & Analyse)
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Éthique, IV, proposition 20, démonstration et scolie. Aristote
Textes commentés 43 Comment expliquer les comportements auto-destructeurs, et principalement le suicide, dans la mesure où toute chose fait nécessairement effort pour persévérer dans son être ? Avec IV, 20, Spinoza commence une explication de ce que signifie être vertueux, et montre que ce n'est pas autre chose que vivre selon son propre conatus (cf. IV, 20 à 24). Mais avant même de développer cette thèse, il traite une objection qui ne peut manqu...
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Le plaisir conduit-il au bonheur ?
parfois avec le bien comme s'il était le mal, et avec le mal comme s'il était le bien", (Épicure). [Le bonheur ne concerne pas seulement le corps, mais aussi l'âme. Le plaisir seul ne conduit pas aubonheur. Cicéron n'admet pas que le plaisir seul puisse conduire au bonheur. S'il ne faut pas nierl'existence du corps, il ne faut pas non plus oublier les aspirations de l'âme. Le bonheur n'est pas concevable sans la connaissance du bien et la pratique de la vertu.] Le plaisir n'est pas une...
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Marc-Aurèle: Passions et liberté
ou fautif, simplement. 2. (Lignes 6 à 10) La vertu comme reconnaissance et aide de l'autre pour le sortir de son vice. · Si le vice est, par nature, dans l'home, il faut aussi se souvenir que l'homme peut être vertueux. Vice et vertu secôtoies donc dans la nature humaine. Mieux encore, le fait même que le vice fasse partie de la nature même del'homme met en relief le fait qu'il est aussi dans sa nature d'être vertueux.· Et la vertu se traduira par une reconnaissance de la souffrance de l'autre,...
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Peut-on accorder une valeur positive à l'oubli ?
Mais si ce qui est oublié est ce que la conscience cherche à effacer, à enfouir au fond d'elle-même, et ce que lamémoire refuse de se rappeler (par traumatisme), il est alors refoulé : mais dans ce cas encore, je ne le saisi pascomme oubli ; c'est un oubli dont je n'ai pas conscience, sauf parce qu'il se manifeste par d'autres voies,symptômes de la souffrance, et retours que la mémoire devra exorciser. 2) Faut-il savoir oublier ? L'éternel retour = vouloir oublier serait donc une contra...
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La raison est-elle révolutionnaire ?
La raison n'est pas forcément révolutionnairePour Platon, pour Aristote, la raison est la faculté qui nous permet deconnaître la vérité et de nous comporter conformément au bien et à lajustice. Aristote estime que la sagesse de l'homme raisonnable résidedans un comportement mesuré, dans le refus des excès. Pourquoi un «juste milieu » ? La vertu est-elle un compromis ? Pas du tout. Le justemilieu définit au contraire la perfection : ce à quoi l'on ne peut rien ôterni ajouter. Le juste milieu...
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René Descartes, Discours de la méthode, 3e partie. « Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l'ordre du monde »
Plan : Introduction I. Le sens de la maxime cartésienne a) Un paradoxe b) Changer mes désirs » c) Nos pensées sont en notre pouvoir II. Le contentement: finalité de la maxime morale a) Du mécontentement b) Au contentement III. L'efficacité de cette maxime a) Justification de la maxime morale b) La certitude d'une morale technicienne c) « Faire de nécessité vertu » Conclusion Introduction Quand un conflit éclate entre nos désirs et l'ordre...
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MONTAIGNE - Essais I - XXVI : LA VERTU AIMABLE
B. Lignes 4-15 : ses conditions : la santé et la sérénité de J'âme ; ses motivations : sagesse et vertu. L'aspect doux et séduisant de la vertu, confusion conçue comme une évidence, des notions de sagesse, vertu et bonheur. C. Lignes 15-20 : démonstration par la négative : l'absence de vertu entraîne déplaisir, faiblesse et illusions malfaisantes. JJI. - LA SIGNIFICATION PHILOSOPHIQUE: Expression d'un humanisme raffiné surtout préoccupé par le...
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t ement q uel p arti il p rendrait.
communiquer, et avec lequel il la vérifie. C'est pour cette raison que je m'entretiens volontiers avec toi plutôt qu'avec tout autre, persuadé comme je suis que tu as parfaitement étudié toutes les matières qu'il convient (348e) au savant d'approfondir, et en particulier celle de la vertu. Et quel autre consulte rais-je préférablement à toi? Toi qui te piques d'être homme de bien, non pas à la manière de quelques uns, qui...
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Aristote et l'amitié
Il est évident qu'il tente de fustiger le bonheur individuel, dès les premières lignes du texte. Mais n'avance-t-il pas le recours à l'amitié telle l'opinion ordinaire ? N'y a-t-il pas pour lui une relation plus profondeentre l'individu et autrui, à travers justement l'amitié ? Il en va d'une conception eudémoniste ( recherche commefin : le bonheur ) de l'homme à travers l'exercice de sa vertu. Cependant faut-il entendre la vertu dans un senschrétien, ce qui compromettrait la réalisation du bon...
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Le terme "désirer" dans l'oeuvre de DESCARTES
LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, PREMIERE PARTIE, Art. 32. mais désirer, avoir de l'aversion, assurer, nier, douter, sont des façons différentes de vouloir. LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, PREMIERE PARTIE, Art. 37. car, tout ainsi qu'on ne donne point aux machines qu'on voit se mouvoir en plusieurs façons diverses, aussi justement qu'onsaurait désirer, des louanges qui se rapportent véritablement à elles, parce que ces machines ne représentent aucune actionqu'elles ne doivent faire par l...
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commentaire rennee descartes
de nous alors nous pouvons le réaliser. Descartes se pose alors la question de savoir si on désire les bonnes choses qui ne dépendent pas que ne nous. Nous pouvons penser que les choses que l’on a désirées sont bonnes. Mais l’auteur du texte René Descartes écrit totalement l’inverse de ce qui a été dit auparavant. Il prétend que l’on ne désire pas les bonnes choses « pour ne pouvoir désirée avec trop d’ardeur ». De ce fait dans le texte, il donne sa théorie sur les désirs des homme...
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Rousseau-Discours sur l'origine...
conservation de l'espèce en permettant à l'homme de faire le bien d'autrui en même temps que son propre bien. Rousseau commence par concéder dès les premières lignes du texte que le fait d'accorder à l'homme le sentiment de pitié comme vertu naturelle peut engendrer d'éventuelles contradictions que nous verrons à la fin de l'analyse. Le terme de vertu naturelle tel que l'entend Rousseau signifie une qualité morale qui est présente en chaque être dès sa naissance et qu'il n'acquiert pas de...
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L'Athéisme représenté chez Sade
ordre, Eugénie: n'appelez-vous pas religion le pacte qui le lie à son Créateur, et qui l'engage à lui témoigner, par un culte, lareconnaissance qu'il a de l'existence reçue de ce sublime auteur?»(p.42) Dolmancé explique que les valeurs peuvent être conçues différemment, donc, cela va dépendre du point de vue des gens. Quesont les vertus pour quelqu'un qui ne croit pas à un dieu? Que sont les péchés ou les actions immorales pour une personne athée?En niant l'existence de Dieu, Sade attaque la bas...
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Pierre Choderlos de Laclos Les Liaisons dangereuses - Lettre CXLI (141) - La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont
amoureux dans la lettre. La légèreté du texte, le manque de tact et de repentir du personnage donnent un côté superficiel au texte.Le vicomte montre peu de vraie affection envers sa destinataire, il lui dit des choses blessantes tout en l'appelant « mon ange ». Ilse montre en quelques sortes négligent. Il décrit leur relation comme « quatre mortels mois » ce qui est très péjoratif. C'étaitcomme si leur relation l'avait ennuyé à en mourir ou qu'elle n'était pas viable. Il lui avoue des choses dép...
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Qu'est ce qu'une société juste ?
choisit délibérément une telle attitude et la pratique ; celui qui n'est pas trop pointilleux, au sens péjoratif, sur lejuste, mais qui prend moins que son dû tout en ayant la loi de son côté, est un homme équitable, et cettedisposition est l'équité, qui est une forme de justice et non une disposition. » Transition : On en arrive à une définition de la société juste qui met en jeu à la fois la conception de l'ordre de la société et l'intervention permanente de l'individu, si bien que...
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La sincérité (devoir de philosophie)
Montaigne développe une philosophie de la sinc érit é. Il souligne le lien entre la philosophie et l’engagement à dire la v érit é ou “ bonne foi ”. Comme p édagogie du jugement, la sinc érit é rend possible un progr ès, qui concerne l’attitude ou la disposition de celui qui juge. La sinc érit é signifie l’absence de pr éjug és, condition d’une parole libre et ouverte . La sinc érit é jouit d’un r ôle particulier dans la vie morale, en ce qu’elle est la cond...
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La vertu, pour être morale, doit-elle être absolument désintéressée ?
de désirer. Devenue objective, universelle, la maxime est la loi morale . Le principe suprême de jugement en matière de moralité réside donc dans la conformité des actions à la loi en général. Autrement dit, « Je dois toujours meconduire de telle sorte que je puisse aussi vouloir que ma maxime devienne une loi universelle » - une loi universelle,cad une loi objective, valable pour tout être doué de raison.C'est précisément parce que, chez l'homme, la volonté ne se détermine pas nécessairement p...
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- ENQUÊTE SUR LA JUSTICE POLITIQUE et son influence sur la vertu et le bonheur en général
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l 'étude.
la vertu comme pouvant être enseignée et acquise. Voilà qui est, ce me semble, suffisamment démontré. (324d) Il reste encore une difficulté à éclaircir, et qui a pour objet les hommes vertueux. Tu me demandes pourquoi ils font apprendre à leurs enfants tout ce qui dépend des maîtres, et les rendent habiles en toutes ces choses, tandis qu'ils ne sauraient les rendre meilleurs que le dernier des citoyens dans la vertu où...
- DÉLIE, object de plus haulte vertu. (résumé & analyse)
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La raison et la passion s'opposent-elles indubitablement ?
qu'entériner une opinion préexistante. Quelle assurance avons-nous d'une telle opposition, dans la nature même del'homme, de la passion et de la raison ? La raison n'est qu'une esclave des passions. 2. a) « Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment. (...) La raison s'offre mais elle est ployable à toussens. Et ainsi il n'y en a point. » écrit Pascal dans ses Pensées (Pensée 530). En effet, ne constate-t-on pas que l'on arrive toujours à justifier nos actions, et ce quelles qu'e...
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Le bonheur s'accroît-il avec le temps?
Ceci impliquerait d'attendre qu'un homme soit mort pour déterminer son bonheur de sont vivant... Se baser sur le temps serait alors comme un calcul mathématiques mettant en jeu des unités et des nombres comptabilisant chaque instant de bonheur dont nous avons le souvenir et les additionnant tous à la manière d'une somme. Et quand bien même en partant de ce principe, certaines personnes plus jeunes que d'autres pourrait tout de même avoir une somme plus importante de ces précieux moments. C'...
- RECHERCHES SUR L’ORIGINE DE NOS IDÉES DE BEAUTÉ ET DE VERTU de Francis Hutcheson
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L’obéissance est-elle une vertu ? / Pourquoi Nietzsche met-il des guillemets aux mots “nature” et “raison" ?
“Toute morale est, à l’opposé du laisser-aller, une parcelle de tyrannie envers la “nature”, envers la “raison” également : mais cela ne suffit pas à constituer une objection à son encontre puisqu’il faudrait préalablement décréter, de nouveau à partir de quelque morale, que toute espèce de tyrannie et de déraison est prohibée. Le caractère essentiel et appréciable de toute morale est d’être une longue contrainte : pour comprendre le stoïcisme, ou Port-Royal, ou le puritanisme, on se rappel...
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Aristote: Une pratique aristocratique, Principe unique, réalisations multiples, Nature de la vertu
Mais quel est le bonheur spécifique de l'homme, c'est-à-dire quelle est sa finalité propre, ce qui le distingue entre tous les êtres ? C'est son activité raisonnable. Aussi la vertu humaine consiste-t-elle à exercer parfaitement cette activité. Mais le problème est que ceci peut recou vrir un très grand nombre d'actions différentes selon la place que l'on occupe. Il existe donc une multitude de formes de la vertu : la vertu de l'homme est...
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la morale
éthique (du grec ethos, « coutume », « usage », « caractère »), principes ou critères d’évaluation de la conduite humaine, parfois appelés mœurs (latin mores ) et, par extension, étude de tels principes. Encadrés ENCADRÉ Oppenheimer, la Science et le Bon Sens (extrait) Considéré comme le père de la bombe atomique pour avoir dirigé, de 1943 à 1945, le projet Manhattan à Los Alamos (Nouveau-Mexique, États-Unis), J. Robert Oppenheimer a consacré les dernières années de sa vie à l’étud...
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La recherche du bonheur nous aliène-t-elle ?
parcimonie).Une telle sagesse pratique unit étroitement l'aspiration au bonheur et la vertu. Prendre comme fin suprême uneamélioration de soi, viser des actions les meilleures possibles, n'exige pas le renoncement à tous les plaisirs. A première vue, l'existence d'un objet suprêmement désirable qui serait la cause finale des activités humaines ne faitpas de doute. Tous les hommes désirent être heureux , constate Aristote dans l' « Ethique à Micomaque ». Lebonheur constitue le souverain bie...
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Rabelais: textes extraits de Gargantua et Pantagruel
RABELAIS , Gargantua (1542), chap. XXI Orthographe modernisée ***** Très cher fils, Entre les dons, grâces et prérogatives desquelles le souverain plasmateur Dieu tout puissant a endouairé et aorné l'humaine nature à son commencement, celle-ci me semble singulière et excellente, par laquelle elle peut en état mortel acquérir espèce d'immortalité et, en décours de vie transitoire, perpétuer son nom et sa semence : ce qui est fait par lignée issue de nous en mariage légitime....
- NIETZSCHE: «Les profondes lois de la conservation et de la croissance exigent le contraire: que chacun s'invente sa vertu, son impératif catégorique.»
- Traité De la vertu morale Chapitre V Plutarque Quant à la justesse (phronésis),
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Comment le texte permet-il de distinguer « punition » et « vengeance » ?
Toutes séries sauf ... , Martinique, septembre 2002 SUJET 14 méchant volontairement. C'est par méconnaissance que l'on commet le mal. La faute doit donc être punie mais est toujours susceptible d'être rachetée. • prendre pour mobile: prendre pour cause, pour motif, mais aussi pour« fin », pour but (avant-dernier mot du texte). Contre l'opinion spontanée, Platon montre que ce n'est pas la faute en elle-même qui cause la punition, m...
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Les lois devraient avoir pour but la vertu plutôt que la paix
Les lois ne doivent pas préserver la paix...
Les lois devraient avoir pour but la vertu plutôt que la paix Les lois ne doivent pas préserver la paix aux dépens de la vertu . Les lois doivent être conformes à la morale et obliger les citoyens à agir moralement. L'idéal de tout État, c'est d'instaurer le règne de la vertu. Les lois expriment la morale P our Rousseau, les lois civiles doivent être l'expression des lois morales que l'individu retrouve en lui-même. ec Ce ne sont pas véritable ment des lois, celles q u i n'ont pas été instit...
- L'amitié chez Kant: extrait de la Doctrine de la Vertu, Métaphysique des moeurs, partie II
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- Quelles sont les diverses formes de courage et comment, en dépit de leurs diversités, peuvent-elles n'être que diverses formes d'une même vertu ?
- « La vertu n'irait pas si loin si la vanité ne lui tenait compagnie. » La Rochefoucauld, Maximes. Commentez cette citation.