4175 résultats pour "esprit"
- 
                    Collège: Faire du sport
                    Sports et gymnastique On distingue deux principaux types d'exercices : les sports (avec ou sans compétition) et la gymnastique d'entretien. Chacunprésente des avantages et des inconvénients, selon les préférences de la personne concernée. De nombreux sports impliquent uneforme de compétition. Cela peut inciter certains à se surpasser pour vaincre leurs adversaires ou battre leur propre record. Lessports qui se pratiquent en équipe, comme le football, le rugby, le hockey, le basket-ball ou le vol... 
- 
                    MALEBRANCHE: Un vrai ami ne doit jamais approuver les erreurs de son ami
                    les « incorrigibles » que Socrate fut condamné, après avoir tenté de se montrer vraiment leur ami en leur révélantleurs erreurs et en les incitant à se remettre à la recherche de la vérité. Socrate affirme pour sa part qu'il aime par-dessus tout être réfuté, mais se heurte à la vanité de ceux qui demandent seulement qu'on les flatte.Déjà Socrate était allé voir les personnages les plus en vue dans la cité, les détenteurs de l'autorité, pour lesinterroger sur la vérité ; et il avait fait l... 
- L'HOMME chez DESCARTES
- La conscience me fait-elle connaitre ce que je suis ?
- Le mot "marcher" dans l'oeuvre de Descartes
- 
                    LA CRITIQUE: Sainte-Beuve, Taine, Fromentin
                    dans la période qui nous occupe : de i840 à i865 environ, il est le maître incontesté de la critique. Mais je dois, avant de me tourner vers lui, nommer deux hommes de grand talent, qui sont en dehors du courant principal des idées littéraires, et que pourtant!' on ne saurait oublier. A. Vinet 1, un Suisse, un protestant, a mêlé de fortes préoccupations morales à l'étude des œuvres littéraires : esprit grave, solide, ingé.nieux, fécond e... 
- 
                    Si la vérité est une, comment reconnaître en même temps la pluralité des opinions?
                    • Préciser l'opposition «exigence» I «souci» Les deux termes sont proches mais ils ne sont pas équivalents. «Exigence» renvoie à une tension de la volonté qui vise l'obten tion d'un but précis; le« souci» consiste plutôt dans /'attention que l'on porte à éviter un événement négatif. On exige ce que l'on a décidé d'obtenir, on se soucie de ce que l'on souhaite évi ter ou de ce qui est menacé. Cette nuance apparaît claireme... 
- 
                    Est-il légitime de réglementer le développement des techniques ?
                    ment dans le temps et apparition de nouveauté). C'est ce deuxième sens qui est surtout visé par la question, et qui la rend problématique : réglementer /'innovation technique, n'est-ce pas contraire à l'esprit même de l'innovation qui déjoue toujours nos attentes et crée en permanence, pour une chose que l'on atten dait, dix ou cent que l'on n'aurait pas pu imaginer ? N'est-ce pas le domaine par excellence qui réclame une libe... 
- 
                        
- 
                    Peut-on fonder les différences culturelles sur la nature	?
                    la société comme ayant corrompu la nature de l'homme. Cette première partie nous aura permis de montrer que la nature ne peut fonder les différences culturelles dans la mesure où il y a une rupture nette et irréversible entre la nature et la culture. Deuxième partie : Peut-il exister un plan de la nature au sein duquel la culture aurait sa place ? L'hypothèse étudiée dans cette deuxième partie est celle affirmant l'existence d'un plan de la nature. Nous la trouvons sous la plume de Kant et plu... 
- BACHELARD: l'expérience comme rectification de l'illusion commune et première
- 
                    D'Alembert recommandait comme une bonne méthode de formation intellectuelle de « s'exercer aux démonstrations rigoureuses » et de « ne pas s'y borner ». Expliquez et appréciez cette opinion.	?
                    celles du musicien et du poète.Toutes les disciplines comportent donc une part d'intuition irrationnelle; mais il n'en est pas non plus dans lesquellesn'intervienne quelque raisonnement. Toutefois les démonstrations rigoureuses ne se rencontrent qu'enmathématiques. Aussi, pense D'ALEMBERT, c'est avant tout à l'étude des mathématiques que doit se consacrer celuiqui aspire à former son esprit. Sans doute, il ne doit pas s'y borner, mais le rôle essentiel revient aux sciencesexactes, les autr... 
- 
                    FRIEDRICH HEGEL : LA RAISON DANS L'HISTOIRE (Résumé & Analyse)
                    HEG EL La Raison dans l'Histoire 1837 « Rien de grand dans le m o nde ne s'est accompli sans passions.» (Il, 2)· >Repères Dans cette introduction aux Leçons sur la philosophie de l'Histoire, Hegel (1770-1831) justifie le projet d'une connaissance rationnelle de l'Histoire, visant à réconcilier les hommes avec une réalité qui semble étrangère à leurs idéaux. Assignant à la philosophie la tâche de «penser ce qui est» et non pl... 
- 
                    SCIENCE, HISTOIRE, MÉMOIRES AU XIXe Siècle
                    1. SCIENCE ET PHILOSOPHIE. Taine, dont j'ai parlé, Renan, dont je parlerai, l'Anglais Darwin t, qui ne m'appartient pas, voilà !es !rois grands modificateurs des esprits contemporains : c'est d'eux, de l'un plus, de l'autre moins, assez souvent de tous les trois tant bien que mal amalgamés et fondus, c'est d'eux que nous tenons la plupart de nos idées géné rales. Darwin surtout - plus mal compris à mesure qu'il était moins direc... 
- 
                    Considerez vous l'ambition comme une qualité ?
                    L'histoire est en apparence chaos et désordre. Tout semble voué à la disparition, rien ne demeure : « Qui acontemplé les ruines de Carthage, de Palmyre, Persépolis, Rome, sans réfléchir sur la caducité des empires etdes hommes, sans porter le deuil de cette vie passée puissante et riche ? Ce n'est pas comme devant latombe des êtres qui nous furent chers, un deuil qui s'attarde aux pertes personnelles et à la caducité des finsparticulières: c'est le deuil désintéressé d'une vie humaine brillante... 
- 
                    Commentaire de l'imagination de Pascal
                    qu'il fait allusion au fait que l'imagination fait croire à certains qu'ils sont riches, et à d'autres qu'ils sont pauvres. La définition de seconde nature : pour la définir je prends la deuxième sens de cette équivoque pour juste , l’imagination nous fait croire que nous avons une autre nature par exemple quand nous sommes sains il nous faitcroire que nous sommes malades et de cette façon elle crée une seconde nature dans l’être humain. Ou bien onpeut dire que la définition ou l’explicati... 
- 
                    Vie et oeuvre de Gaston BACHELARD
                    Une carrière originale Né à Bar-sur-Aube en 1884, fils d'un marchand de journaux et de tabac, Gaston Bachelard, commis des postes pendant dix ans, mènesimultanément des études à la faculté des sciences de Paris. Il obtient, en 1912, une licence de mathématiques. Après la guerre, ilenseigne la physique et la chimie au collège de Bar-sur-Aube. Il découvre la philosophie et brûle les étapes : licencié de philosophie en1920, agrégé en 1922 et docteur ès lettres en 1927, il devient professeu... 
- 
                        
- 
                    Rousseau, Discours sur l'origine et  les fondements de l'inégalité parmi les hommes, Ire partie.
                    Textes commentés 45 ---i a) Au XVIIIe siècle, comme au XVIIe, on appelle «idée», suivant la i définition cartésienne « toute perception de l'esprit » et donc aussi bien i une sensation qu'un concept. Une image c'est donc une idée 1 particulière ; une idée générale est ce que nous appelons un concept. b) La distinction établie par Rousseau est validée par une expérience 1 proposée au lecteur « Essayez de tracer l'image d'un arbre en g... 
- 
                    La raison évolue-t-elle  ?
                    l'infiniment petit.a) La variabilité de la pensée des hommes suivant la latitude, la civilisation et même les dispositions individuelles aété signalée depuis qu'on réfléchit et a fourni le principal argument des sceptiques de tous les temps.. Mais on aprocédé au cours de ce siècle à une étude plue méthodique des mécanismes intellectuels des diverses catégoriesd'humains et on a cru observer en particulier que les principes directeurs de la pensée changent quand on passe del'enfant à l'adulte ou d... 
- Commentaire: HEGEL - L'art est-il langage ?
- 
                    SAINT AUGUSTIN: le désir de savoir
                    ARTICULATI ON FORMELLE DU TEXTE « Supposons que quelqu'un... Par exemple ... Il faut au moins que ... c'est-à-dir e que ... mais ... Autrement , une fois que ... qu'aurait-il d'autre à chercher ... (puisque ... ) s'il n'avait en même temps ... et si cette évidence ... ? Plus le mot est connu sans toutefois l'être pleinement, plus l'esprit désire connaître ce qu'il lui en reste à connaître. Si en effet il ne connaissait que .. . Parce qu'il sait au co... 
- 
                    L'étude du cerveau permet-elle d'expliquer la pensée humaine ?
                    ne peut pas le considérer comme une simple machine à penser. L'intelligence ne se déduit pas de la matière.] Il faut se méfier des tendances réductrices de la sciencePour le matérialisme, l'esprit n'est pas un principe, mais s'explique parautre chose que lui-même : il est l'effet ou le résultat de processusmatériels économiques (Marx), mais aussi atomiques (Épicure),pulsionnels et sexuels (Freud), cérébraux (neurosciences)... Lesupérieur s'explique alors par l'inférieur. Mais le p... 
- 
                    Peut-on ne jamais philosopher ?
                    Il n'existe pas d'hommes qui ne philosophent pas - 4~(·'~· Le simple fait d'être homme implique que l'on se pose des questions sur l'existence, le rapport au monde et à autrui. Ces questions sont des questions spécifiquement philosophiques. Le «bon sens est la chose du monde la mieux partagée>> A insi que l'écrit Des cartes dans son Dis cours de la méthode , «la puissance de bien juger et distinguer le vrai uQn peut dire que... 
- 
                    Dilthey Wilhelm
                    Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)WILHELM DILTHEY Avec Schopenhauer, puis avec Nietzsche, se construit lentement ce qu'on appellera la « théorie de la vision dumonde » (Weltanschauung). « Vivre c'est apprécier » disait Nietzsche, c'est évaluer, c'est choisir, c'est donner soi-même un sens à un monde naturel et humain qui n'en a pas avant notre « interprétation ». De ce point de vue, chaque système philosophique n'a pour vérité que la psychologie de son auteur, sa « vision dumonde », exprimant une... 
- 
                    Objet physique et. objet mathématique
                    ~IÉTHODES DES MATHÉMATIQUES 245 toutes les soiences n'ont pas le mème caracll·re de suLjecliYité. C'est de ce point de vue que nous pournns comparer l 'oLjet pl1ysique et l'objet mathématique; l'un semble plus réel, l 'aulre plus construit. * * * L'objet mathématique est en grande partie l'œuvre de l'esprit. - Le monde ne nous présente nulle part de figures géométriques et le nombre tel n'existe pas. C'est de là que vient la cla... 
- 
                        
- 
                    La science dans la poésie de Leconte de Lisle
                    La religion indoue est peut-être celle qui permet d'établir le mieux le lien entre le dogme et les conditionsextérieures, mais la même harmonie est montrée entre la vie grecque et l'Olympe, entre la vie juive et Javeh, commeentre chacun de ces dieux et Les pays où le culte leur est rendu. B) L'autre grande théorie est celle de l'identité des espèces de la nature. Cette hypothèse cosmogonique est visibleà chaque pas dans l'œuvre de Leconte de Lisle. La créature, au début du monde, co... 
- 
                    Gaston Bachelard: La science s'oppose-t-elle à l'opinion ?
                    Elle s'appuie, en effet, sur des préjugés, des idées reçues, ou une observation première des phénomènes. L'opinionpense mal, ou plutôt : elle ne pense pas du tout.La science, au contraire, n'est pas observation première. Elle n'est ni prisonnière de l'apparence, ni asservie auxpréjugés. En outre, elle est observation polémique, confrontation et examen critique d'un réel activement sollicité.C'est pourquoi la science ne croit pas aux évidences : «Rien ne va de soi. Rien n'est donné. Tout est cons... 
- Cours: LA PERCEPTION (3 de 7)
- Cours: THEORIE ET EXPERIENCE (3 de 7)
- 
                    La raison est-elle universelle ?
                    niveau de développement auquel la raison n'apparaît pas ou n'apparaît guère : la vie psychique s'explique alorstotalement ou principalement par le jeu des associations. Mais dès que la pensée prend le caractère rationnel, ellese conforme aux principes qui régissent l'activité intellectuelle de l'adulte civilisé.Il y a donc bien un progrès de la raison en ce sens que les hommes, à mesure qu'ils s'instruisent et se formentl'esprit, s'habituent à penser plus rationnellement et à éliminer de l... 
- 
                    Pensez-vous comme Valéry que le diplôme est l'ennemi mortel de la culture	?
                    Diplôme / 71 Je n'hésite jamais à le déclarer, le diplôme est l'ennemi mortel de l;a culture Valéry llli>- Ce jugement de Paul Vaiéry figure dans «Bilan de l'intelligence». Il s'agit d'une conférence prononcée à l'Université des Annales le 16 janvier 1935. Le texte a ensuite été repris dan~ Variété III. flii- Après avoir montré que l'avenir de l'intelligence dépend de l'éducation et écarté, dans ce domaine, tout ce qui r... 
- Cours: TEMPS & MEMOIRE (7 de 9)
- 
                    Dictionnaire en ligne:
ÉPAISSISSEMENT, substantif masculin.
                    épaississement des esprits depuis trois quarts de siècle de culture barbare amène une sorte de nuit (CHARLES MAURRAS, Le Chemin de Paradis 1894, page XIII. ). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 3 2 
- 
                        
- 
                    Commentaire incipit de Molloy
                    tyrannie de l'éditeur pousse le narrateur à s'accrocher à la vie. Aussi, le narrateur se voit soumis à ce qui lui arrive. On peut le voir dans sa passivité face aux paroles des autresavec l'anaphore de la formule « cela n'a pas d'importance, parait-il » et dans ses réponses courtes « Bon. » quitraduit une soumission. On peut également remarquer son coté enfantin qui exprime la soumission d'un enfant à sesparents avec l'emploi du verbe « gronde » qui ici, renvoie au rapport écrivain/éditeur. Nous... 
- Pascal - Des moyens de croire
- Descartes
- 
                    L'usage de notre corps est-il culturel	?
                    Concernant l'action humaine, il critique dans la Structure du comportement (1942) deux positions opposées : lenaturalisme, qui la réduit à un mécanisme réflexe et l'intellectualisme cartésien ou kantien, qui la font émanermystérieusement de l'esprit. La Phénoménologie de la perception poursuit ce chantier en tentant de montrer quel'ouverture de notre conscience au monde est toujours déjà tissée par les rapports de notre corps propre' et de sonenvironnement. L'usage qu'un homme fera de s... 
- 
                    Paul VALÉRY : Variété
                    Illustration Jean Simon Paul Valéry. (l871- 1945) a publié entre 1924 et 1944 cinq recueils d 'essais, de préfaces, de discours et de tex t es en prose. Ces cinq recueils portent le titre de Variété (et une numé rotation de 1 à V) qui souligne l' h été ro gé néité de le ur contenu puisqu e s 'y trouve nt même deux mélo drames en vers, Amphion et Sémi ramis, publiés ici à l'occasion de leur orchestration par Arthur Honegge r. Si le contenu... 
- 
                    (Marcuse - L'homme unidimensionnel) TROISIÈME PARTIE PERSPECTIVES D'UN CHANGEMENT HISTORIQUE
                    faire son apparition : une raison qui mettrait par-dessus tout« art de vivre » et non le succès. Cela impliquerait une nouvelle définition des rapports de l'art et de la raison. L'artne serait plus rejeté dans l'irrationnel, mais réintégré à une raison nouvelle, il représenterait sa partie inventive,imaginative, créatrice. La science du même coup ne se bornerait plus à un rôle de mise en ordre et de conservationdu réel, mais aurait aussi pour fonction de projeter le possible sur des bases con... 
- 
                    DESCARTES: C'est proprement avoir les yeux fermes, sans tacher jamais de les ouvrir, que de vivre sans philosopher
                    ce dont l'émerveillement de l'enfant témoigne, quand un nouveau paysage s'ouvre devant ses yeux. La vueest en effet le sens privilégié de la découverte du monde dans sa diversité; mais voir le monde, ce n'est pasencore le comprendre, ni savoir s'y diriger. A cet égard, c'est la philosophie qui doit nous permettre decomprendre ce que nous voyons et de connaître la raison pour laquelle les choses se présentent ainsi et nonpas autrement à nos sens.Si donc la vue nous découvre ,.le... 
- 
                    L'Admiration. Que pensez-vous de ce mot de Madame de Lambert : « L'admiration est le partage des sots. »
                    quels sots pensait We de Lambert. On aurait tort de confondre ici la sottise et 'Ignorance. On voit des ignorants pleins de bon sens, intelligents meme, et tres capables d'admirer a bon escient. La sottise c'est l' ignorance qui s'ignore; c'est la nullite orgueilleuse, la mediocrite vaniteuse. C'est surtout l'absence de jugement, qui se traduit tout aussi bien, nous le constaterons, par l'admiration irraisonnee que par le refus d'admirer. * * L'admiration peut naitre de l'ignorance, de la sottis... 
- 
                        
- Suffit-il d'éclairer les hommes pour les rendre meilleurs ?
- 
                    Suffit-il de voir pour savoir 	?
                    La perception est la meilleure des connaissancesPour Hume, sont données à l'esprit d'abord des impressions, à savoirdes perceptions vives, et en second lieu les idées qui en sont les copiesaffaiblies (Traité de la nature humaine). Au point de départ de saphilosophie, nous rencontrons donc, non seulement des donnéesélémentaires, mais encore des données qui ne se distinguent que par lamanière dont nous en faisons l'expérience. Il n'y a pas d'extériorité,celle des choses dont nous i... 
- 
                    Faut-il prendre le risque de penser par soi-même	?
                    son entendement sans la direction d'autrui (Kant dit : "quand l'homme sort de sa minorité"). En effet, l'individu, quiaura découvert "la vocation de chaque homme à penser par soi-même", risque de croire que la liberté, qu'il a enfintrouvée, est illimitée. Or, ce ne peut être que source de biens grands maux que de tels individus, qui, pensant pareux-mêmes, estiment être libres, et ne font aucune différence entre l'usage public et l'usage privé de leur raison.Mais qu'entend-on par "usage public" e... 
- 
                    Comment bien user du doute ? Comment bien douter ?
                    Jugement aussi sévère que classique, mais fort contestable : en • vérité, il est un bon usage du doute sceptique, qui représente une magnifique expérience de la liberté de la pensée. En dévoilant l'inessentialité de ce qui sembleavoir une validité, le doute sceptique dissout tout dans la conscience de soi. Parce qu'il est la dissolution de tout cequi prétend se poser avec stabilité en regard de la conscience de soi, le doute sceptique désigne un exercice élevé de la réflexion libre. La... 
- Extrait de l'Encyclopédie, article philosophe, DUMARSAIS
- 
                    HEGEL et l'état de nature
                    HEGEL (Friedrich-Georg-Wilhelm). Né à Stuttgart en 1770, mort à Berlin en 1831. Il fit des études de théologie et de philosophie à Tübingen, où il eut pour condisciples Hölderlin et Schelling. Il futprécepteur à Berne de 1793 à 1796, puis à Francfort de 1797 à 1800. En 1801, il devient privat-dozent à l'Universitéd'Iéna puis, les événements militaires interrompirent son enseigne- ment, et il rédigea une gazette de province. En1808, il fut nommé proviseur et professeur de philosophie au lycée... 
- Le doute: force ou faiblesse ?
- 
                    Les grands hommes de l'histoire (Hegel)
                    • Quel est, finalement, le rôle des « grands hommes de l'h istoir e >> selon Hegel? - Est-ce eux qui « fo nt l'histoire »? - Peut-on, selon Hegel, « expli quer l'histoir e » par « les grands hommes »? • Quel est l'enjeu de ce texte? En quoi présente -t-il un inté rêt philosophi que? 
- 
                        
- matérialisme - philosophie.
- 
                    Molière, les Précieuses ridicules (extrait).
                    MAGDELON : Les madrigaux sont agréables, quand ils sont bien tournés. MASCARILLE : C’est mon talent particulier ; et je travaille à mettre en madrigaux toute l’histoire romaine. Source : Molière, les Précieuses ridicules, in Œuvres Complètes, Paris, Gallimard, Pléiade, 1971. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés. 
}})








