486 résultats pour "infini"
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Dissertation - Le théâtre
I. Expliquer cette singularité : Une pièce de théâtre n’est jamais finie Comment c’est possible, qu’est-ce qui dans une pièce va lui permettre de se régénérer à l’infini ? A. Un texte de théâtre est un texte incomplet Premièrement, le théâtre possède une caractéristique qui lui est propre, une singularité qui se traduit par un pouvoir de régénération infinie à travers les différentes mises en scène d’une même pièce de théâtre. En effet, un texte de théâtre est systématiquement incom...
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Le subconscient
Communiquez avec votre subconscient, parlez avec lui, c'est déjà réaliser un énorme changement dans sa vie. C'est soudainement comprendre que nous ne sommes pas seul au monde, que dans les instants de solitude, il est là, à nos côtés, il nous est si proche que nous ne savons même pas qu'il est là, qu'il veille comme une mère poule sur son poussin ! Lorsque j'étais incarcéré, j'ai réalisé, ô combien il était si proche de moi ! J'ai réalisé comment il me consolait, et ce, depuis t...
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L'Univers (Travaux Pratiques Encadrés - Espaces pédagogiques interactifs)
Amas stellaire : groupement d'étoiles formant des nuages très lumin eux. Ils sont de deux sortes. Les amas glob ulaires, très denses , lointains et de forme sphérique , sont composés d'étoiles liées par la force de gravita tion. Dans les amas ouverts, moins denses , les étoiles sont nées simultanéme nt d'une même nébuleuse . STADES DE L'ÉVOLUTION DES ÉTOILES Géante rouge : stade d'une étoile -d'une masse de une à 10 fois celle du Soleil- en fin de v...
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Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie. Blaise Pascal, Pensées, 206. Commentez cette citation.
il est inscrit dans un monde dont « le centre est partout et la circonférence nulle part ». Un chrétien comme Pascal comprend immédiatement que cet univers est vide de Dieu. L'univers des scientifiques du XVII ième est un univers où ne règnent que de la matière et les lois de la physique. Un univers muet qui ne parleplus à l'homme, à son cœur. Il ne nous entretient plus de Dieu, il n'est plus un univers merveilleux dont la perfectionnous incite à la louange du Créateur. C'est l'univers glac...
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Nous sommes responsables de l'erreur de R. DESCARTES
En suite de quoi, me regardant de plus près, et considérant quelles sont mes erreurs (lesquelles seules témoignent en moi qu'il y a de l'imperfection), je trouve qu'elles dépendent du concours de deux causes, à savoir de la puissance de connaître qui est en moi, et de la puissance d'élire, ou bien de mon libre arbitre: c'est-à-dire de mon entendement, et ensemble de ma volonté. Car par l'entendement seul je n'assure ni ne nie...
- Mais, si l'atome est d'une inconcevable petitesse, pourquoi l'action chimique n'est-elle pas infiniment rapide? Pierre Duhem, la Théorie physique, son objet, sa structure, ABU, la Bibliothèque universelle
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Gottfried Leibniz (1646-1716)
L'union de l'âme et du corps, une controverse
je t?chai de faire voir qu'? la v?rit? le m?canisme suffit pour produire les corps organiques des animaux, sans qu'on ait besoin d'autres natures plastiques, pourvu qu'on y ajoute la pr?formation d?j? tout organique dans les semences des corps qui naissent, contenues dans celles des corps dont ils sont n?s, jusqu'aux semences premi?res?; ce qui ne pouvait venir que de l'auteur des choses, infiniment puissant et infiniment sage, lequel faisant tout d'abord avec ordre, y avait pr??tabli tout ordre...
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Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie. [ Pensées (1670), 206 ] Pascal, Blaise. Commentez cette citation.
il est inscrit dans un monde dont « le centre est partout et la circonférence nulle part ». Un chrétien comme Pascal comprend immédiatement que cet univers est vide de Dieu. L'univers des scientifiques du XVII ième est un univers où ne règnent que de la matière et les lois de la physique. Un univers muet qui ne parleplus à l'homme, à son cœur. Il ne nous entretient plus de Dieu, il n'est plus un univers merveilleux dont la perfectionnous incite à la louange du Créateur. C'est l'univers glac...
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- Ce fut une convulsion terrible pendant cent ans, accompagnée d'un infiniment inutile et lamentable rappel des âmes. Léon Bloy, le Désespéré, ABU, la Bibliothèque universelle
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Est-il raisonnable de croire en Dieu ?
Référence : Nietzsche, Gai savoir « Notre sérénité. - Le plus grand récent événement - à savoir que "Dieu est mort", que la croyance au Dieu chrétienest tombée en discrédit - commence dès maintenant à étendre son ombre sur l'Europe. Aux quelques rares, tout aumoins, doués d'une suspicion assez pénétrante, d'un regard assez subtil pour ce spectacle, il semble en effet quequelque soleil vienne de décliner, que quelque vieille, profonde confiance se soit retournée en doute : à ceux-lànotre vieux...
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Vocabulaire:
COÏNCIDENT, -ENTE, adjectif.
? 1. Une infinit? de spectres lumineux de m?me dimension, s'ils viennent ? co?ncider exactement dans le m?me lieu, ne sont plus une infinit? de spectres lumineux?: c'est un seul spectre infiniment lumineux. JOSEPH, COMTE DE MAISTRE, Les Soir?es de Saint-P?tersbourg, tome 2, 1821, page 230. ? 2. Si je transporte id?alement le r?chaud allum? d'aujourd'hui sur celui d'hier, je constate sans doute que la forme est rest?e la m?me?: il suffit, pour cela, que les surfaces et les ar?tes co?ncident; ma...
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Esthétique de Hegel: la beauté artistique est supérieur à la beauté naturelle
Reste le fait que Dieu est la raison primitive : il n’est pas lui-même loi : il est simplement raison primitive : toute loi est rationnelle dans l’univers. Athée : on se sent perdu dans un monde absurde où les choses s’enchaînent de façon implacable et incompréhensible. Règles sont aussi invariables que la fatalité des athées ; Point commun entre raison primitive et fatalité : caractère inévitable ; distinction : la fatalité est absurde et n’a pas de sens. La raison primiti...
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Le mot "imaginaire" chez René DESCARTES
Mais les choses auxquelles sous quelque considération seulement je ne vois point de fin, comme l'étendue des espacesimaginaires, la multitude des nombres, la divisibilité des parties de la quantité et autres choses semblables, je les appelle indéfinies,et non pas infinies, parce que de toutes parts elles ne sont pas sans fin ni sans limites. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, REPONSES DE L'AUTEUR AUX SECONDES OBJECTIONS. De plus, à quoi servirait l'infinie puissance de cet infini imaginaire, s'il...
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Baruch Spinoza (1632-1677): Dieu - La nature humaine - Les modes finis et limités : les corps
Œuvre L'œuvre de Spinoza est courte mais elle eut un retentissement immen se et lui valut d'être l'objet de mouvements d'admiration et d'enthou siasme, mais aussi d'indignation et de rejet. L'Ethique fut achevée en 1675.Auparavant, il avait écrit un ouvrage de méthode intellectuelle, le De Emendatione intellectus, « Sur la réforme de l'entendement», rédi gé avant 1662, et le Tractatus theologicopoliticus, «Traité théologico politique » é...
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lecture analytique de Dom Juan
que l'auteur s'adresse : - Certes, les hommes sont tenus pour responsables de leurs « erreurs », ils n'ont pas su profiter de leur présence au monde, font un mauvais usage du cadeau de la vie que Dieu leur a fait (« tu ne nous a point donné un coeur pour nous haïr et des mains pour nous égorger ») mais cependant, le lecteur peut être sensible à l'ironie discrète de Voltaire qui présente une Création peu enviable : « Toi qui as tout donné » (l. 4-5), « ta bonté qui nous a donné cet instant » mais...
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sinus - mathématiques.
Dans un plan vectoriel euclidien orienté, la rotation d’angle θ par rapport à une base orthonormée directe est une matrice de la forme : 5 ANALYSE D’un point de vue analytique, la fonction sinus est définie, continue et dérivable sur l’ensemble des nombres réels . Elle est périodique, de période égale à 2 p, d’où : sin ( x + 2 p) = sin x Elle est croissante sur l’intervalle [- p/2, p/2] avec sin (- p/2) = - 1, sin ( p/2) = 1 et sin (0) = 0, et strictement décroissante sur l’intervalle [...
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Commentaire de texte Correspondances : Fleurs du Mal - « Spleen et Idéal » (Baudelaire)
du verbe « se réponde[nt] ». Comment cette communication peut elle touchée l’homme ? Le premier tercet reprendsous l’aspect d’une affirmation et de la vérité générale l’idée des « parfums » mais cette fois de telle manière etavec de telles images qu’ils apparaissent liés à l’expérience humaine : c’est la comparaison « comme des chairsd’enfants » ou leur personnification en des parfums « corrompus, riches et triomphants », qui les rend semblablesaux femmes et aux hommes qui les portent.Baudela...
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Dictionnaire en ligne:
ENGENDRER, verbe transitif.
la présentation interne de sa propre essence et se la rapporte à soi-même par un acte de volonté, comme, en Dieu, le Père engendre le Verbe et le lie à soi par le Saint-Esprit. ÉTIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie médiévale, 1932, page 18. B.— Par métaphore et au figuré. 1. [Le complément d'objet direct désigne une chose concrète] Donner forme, consistance, réalité (à quelque chose). Engendrer une forme. L'âme du vin chantait (...) Je sais combien il faut (...) De peine, de sueur et de s...
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sûr, tel est bien le cas de la vue de l'unité : car nous voyons la même chose aussi bien une qu'infiniment multiple.
70 PLATON PAR LUI-MÊME faitement égale à toute autre, sans la moindre diffé rence et sans comporter une partie ? Que crois-tu qu'ils répondraient ? - G. Ils diraient, je suppose, qu'il s'agit de nombres que seule la pensée peut atteindre, et auxquels il est absolument impossible d'accéder autrement.- S. Il y a donc chance, vois-tu, que ce soit pour nous une discipline indispensable, puisqu'il est clair qu'elle oblige l'âme à reco...
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Cours: la conscience etle problème du sujet
2 naissance à des machines (robots, intelligence artificielle) réputées intelligentes ; peut-on aller jusqu’à leur attribuer la conscience ? Peut-on fabriquer artificiellement une conscience ou bien seul quelque chose de vivant (et une machine n’est pas vivante) peut-il être dit conscient ? La conscience est-elle le propre de l’homme ou bien y a-t-il une conscience animale, voire une conscience artificielle ? Quant au mot « incon...
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suite ds
x 0 +∞ + h′ (x)
- R. Barthes: « La littérature représente un monde fini, le texte figure l'infini du langage: sans savoir, sans raison, sans intelligence »
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Définition:
ÉTENDUE, substantif féminin.
1935, page 3606) : Ø 3. Et l'on a toutes raisons de penser que la parenté des notes séparées par une octave, parenté soulignée par une désignation commune dans la notation musicale qui limite la gamme à l'étendue de l'octave, est due à la communauté harmonique... HENRI PIÉRON, La Sensation, guide de vie, 1945, page 171. · Par analogie. [Sens du toucher, de la vue] L'existence de l'étendue tactile et visuelle — étendue construite avec des qualités sensibles (points lumineux ou points de contac...
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L'HOMME DANS L'UNIVERS SELON PASCAL DANS LES PENSEES: Les puissances trompeuses. — Les deux infinis. — L'interdépendance universelle. — Le Pyrrhonisme. — La solution vraie.
essentielle, ils s'établissent par la forcé les autres par grimace. C'est ainsi que nos rois n'ont pas recherché ces déguisements. Ils ne se sont pas masqués d'habits extraordinairespour paraître tels ; mais ils se sont accompagnés de gardes, de hallebardes, de trognes armées qui n'ont de mainset de force que pour eux. Les trompettes et les tambours qui marchent au-devant, et ces légions qui lesenvironnent, font trembler les plus fermes. Ils n'ont pas l'habit seulement, ils ont la forc...
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- mise en abyme ou mise en abîme, procédé rhétorique qui consiste à introduire dans une oeuvre une figuration de cette même oeuvre et cela, éventuellement, à l'infini.
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savions point que tout ce qui est en nous de réel, et de vrai, vient d'un être parfait et infini, pour claires et distinctes que fussent nos idées, nous n'aurions aucune raison qui nous assurât qu'elles eussent la perfection d'être vraies.
Quatrième partie 137 Comme, encore que nous voyions le soleil très clairement, nous ne devons pas juger pour cela qu'il ne soit que de la grandeur que nous le voyons; et nous pouvons bien imaginer dis tindement une tête de lion entée sur le corps d'une chèvre, sans qu'il faille conclure pour cela qu'il y ait au monde une chimère : car la raison ne nous dicte point que ce que nous voyons ou imaginons ainsi soit vérita...
- La forêt, déjà reculée dans le lointain, ne laissait distinguer à sa base que des formes vagues, mais elle dessinait vigoureusement les découpures gracieuses et infiniment variées de sa feuillée qui semblait suspendue comme une guipure noire devant la ligne du crépuscule. La bibliothèque électronique du Québec
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LES CARACTÈRES DU CONCEPT
Mais quel est le rapport entre les deux extrêmes : les êtres (Socrate, le morceau de craie); l'Être? C'est le problèmedu rapport de l'unité et de la totalité. Socrate est un singulier (individu); — L'Être comme concept, c'est l'universel abstrait; — L'Être comme idée, c'est l'universel concret. — Par ailleurs Athénien est plus spécial que Grec, et Grec est plus général qu'Athénien, quoique plus spécialqu'Européen. Le spécial et le général sont donc relatifs. Le singulier et l'universel...
- La morale de notre temps est fixée dans ses lignes essentielles, au moment où nous naissons ; les changements qu'elle subit au cours d'une existence individuelle, ceux, par conséquent, auxquels chacun de nous peut participer sont infiniment restreints.
- Parce que les actes humains pour lesquels on établit des lois consistent en des cas singuliers et contingents, variables à l'infini, il a toujours été impossible d'instituer une règle légale qui ne serait jamais en défaut.
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suites de math
Pour que la limite soit 3 il faut que pour tout nombre ε fixé aussi petit que l'on veut, la suite contienne, à partir d'un certain rang, une infinité de termes dans l'intervalle ]3-ε;3+ε[. On dit donc qu'une suite u admet une limite finie l si ∀ε>0 ∃n0 tel que ∀n>n0 |un-l|
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L'idée de Dieu
« N'avez-vous pas entendu parler de cet homme insensé qui, ayant allumé une lanterne en plein midi, courait sur laplace du marché, criant sans cesse : Je cherche Dieu Je cherche Dieu! - Et comme là-bas se trouvaientprécisément assemblés beaucoup de ceux qui ne croyaient pas en Dieu, il provoqua une grande hilarité. L'a-t-onperdu ? dit l'un. S'est-il égaré comme un enfant ? dit un autre. Ou bien se cache-t-il quelque part ? A-t-il peur denous ? S'est-il embarqué ? A-t-il émigré ? L'insensé...
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- Il est extrêmement utile de faire souvent réflexion sur les manières presque infinies dont les hommes sont liés aux objets sensibles ; et un des meilleurs moyens pour se rendre assez savant dans ces choses, c'est de s'étudier et de s'observer soi-même.
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Un critique contemporain écrit des Confessions qu'elles sont « infiniment variées, brillantes comme un recueil de poèmes mais offrant des maximes aux moralistes, en tous les cas uniques par leur accent, et par la mélodie inimitable du style ». Vous commenterez ce jugement sur le style de l'oeuvre de Rousseau.
je entourer d'un balustre d'or cette heureuse place ! Que n'y puis -je attirer les hommages de toute la terre ! » Ce ton exalté est pourtant souvent terni par la tentation élégiaque : « J'aimais trop sincèrement, trop parfa itement, si j'ose dire, pour pouvoir aisément être heureux. » Pourtant, le registre lé ger ne manque pas dans les quatre premiers Livres. Rousseau puise largement dans l'imaginaire picaresque : le pe rsonnage de l'orphelin s...
- Anatole France a écrit : « J'aime la vérité : je crois que l'humanité en a besoin ; mais elle a un plus grand besoin encore du mensonge qui la flatte, la console, lui donne des espérances infinies. Sans le mensonge, elle périrait de désespoir et d'ennui ». Vous semble-t-il que dans la production actuelle — qu'il s'agisse de littérature, de cinéma, de télévision — ce qui assure le succès soit justement le mensonge ?
- PODCAST: «On dirait qu'ils conçoivent l'homme dans la nature comme un empire dans un empire [...] Une volonté finie ou infinie requiert une cause par où elle soit déterminée à exister et à produire quelque effet et ainsi ne peut être dite cause libre, mais seulement nécessaire ou contrainte. » Spinoza, Éthique (1675).
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Est-il raisonnable de croire en dieu?
Référence : Nietzsche, Gai savoir « Notre sérénité. - Le plus grand récent événement - à savoir que "Dieu estmort", que la croyance au Dieu chrétien est tombée en discrédit - commencedès maintenant à étendre son ombre sur l'Europe. Aux quelques rares, tout aumoins, doués d'une suspicion assez pénétrante, d'un regard assez subtil pource spectacle, il semble en effet que quelque soleil vienne de décliner, quequelque vieille, profonde confiance se soit retournée en doute : à ceux-lànotre...
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Un, deux, trois ... l'infini - One Two Three ... lnfinity de George Gamow
MATHÉMATIQUES e f cé ieux mist r Gam L'humour, dans le domaine de la vulgarisation scientifique, est une chose rare. George Gamow, scientifique de renom aux géniales intuitions, est sans doute l'archétype de cette manière originale et peu fréquente de diffuser le savoir. L'extravagance au service de la science, merci mister Gamow. ~ 1 j 1 0 George Gamow est surtout connu pour son travail de vulgarisation de la science, dans un style à la fois précis et loufoque. 52...
- tique dans tous les êtres, ne tend partout qu'à une seule fin qui est de s'objectiver dans la vie et dans l'existence, sous des formes infiniment variées et différentes, résultant de son adaptation aux circonstances extérieures ; ce sont comme les variations nombreuses d'un même thème musical.
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Pouvons-nous connaître sans interpréter ?
sujets humains; de l'autre, l'idée d'un calcul universel, comme on la trouve chez Leibniz («Calculons)»)• L'étude des textes religieux étant, par excellence, l'occasion de conflits d'interprétation, Spinoza a tâché demontrer qu'il y avait une méthode proprement scientifique d'interprétation des textes. En affirmant cela, Spinozafaisait de la pensée interprétative une pensée du même type que la pensée géométrique à l'oeuvre dans lessciences de la nature. Pour trancher entre les...
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- Anatole France a écrit : « J'aime la vérité : je crois que l'humanité en a besoin; mais elle a un plus grand besoin encore du mensonge qui la flatte, la console, lui donne des espérances infinies. Sans le mensonge, elle périrait de désespoir et d'ennui. » Vous semble-t-il que dans la production actuelle — qu'il s'agisse de littérature, de cinéma, de télévision — ce qui assure le succès soit justement ce mensonge ? (Vous pouvez choisir entre la littérature, le cinéma, la télévision. Vou
- « L'esprit de l'homme est naturellement plein d'un nombre infini d'idées confuses du vrai, que souvent il n'entrevoit qu'à demi; et rien ne lui est plus agréable que lorsqu'on lui offre quelqu'une de ces idées bien éclaircie et mise dans un beau jour. Qu'est-ce qu'une pensée neuve, brillante, extraordinaire ? Ce n'est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n'a jamais eue, ni dû avoir. C'est au contraire une pensée qui a dû venir à tout le monde, et que que
- Que pensez-vous de la façon dont Antoine Adam voit les rapports de la passion et de la raison au XVIIIe siècle : «Dans ce monde, oeuvre d'un Dieu infiniment sage et bon, comment les passions auraient-elles pu apparaître comme des forces mauvaises ? Comment les nouveaux moralistes auraient-ils opposé, comme ceux de l'ancienne génération, les passions à la raison ? Bien loin de les condamner, ils les proclamaient nécessaires et fécondes. Cette époque, que tant d'historiens accusent d'êtr
- « La plupart des lecteurs attribuent à ce qu'ils appellent le fond une importance supérieure, et même infiniment supérieure, à celle de ce qu'ils nomment la forme. Quelques-uns, toutefois, sont d'un sentiment tout contraire. Ils estiment audacieusement que la structure de l'expression a une sorte de réalité tandis que le sens ou l'idée n'est qu'une ombre (...) Pour les amants de la forme, une forme, quoique toujours exigée ou provoquée par quelque pensée, a plus de prix, et même de sen
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Peut-on penser Dieu ?
édition Lafuma : « c'est le cœur qui sent Dieu et non la raison; Voilà ce que c'est que la foi. Dieu sensible au cœuret non à la raison. Par la raison nous ne pouvons nous former une image de Dieu déformée par notre propre capacitéde penser. Aussi pour ne pas déformer l'image de Dieu, il nous faut la recevoir par la cœur dans la grâce. Ainsi dieuserait radicalement impensable. On ne peut penser Dieu puisque il est un être absolu ui transcende notre capacité de penser; Cependant, si Dieun'est ab...
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DE LA FACULTÉ DE CONNAITRE , OU DE LA RAISON. — CARACTÈRE PROPRE DE CETTE FACULTÉ.
d'opinions, d'affections, ne changent rien à ce fond commun des intelligences. C'est ce qu'exprime le mot universel.2. Le caractère d'impersonnel jette de merveilleuses lumières sur l'origine de la raison. La raison est en nous et cen'est pas nous qui la constituons ; et non-seulement nous ne la constituons pas, mais nous ne saurions la modifier:elle est plus forte que nos efforts, elle est supérieure à nous. Si elle est indépendante de nous, si elle ne vient pasde nous, d'où vient-elle donc? sa...
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Si les sciences évoluent peuvent-elles etre dites vraies ?
----' L'évolution des sciences ne contredit -pas leur prétention à la vérité .,_ - 4~t.H1 La science permet bien d'établir des vérités scientifiques définitives. Son évolution n'est pas due à son impuissance à atteindre la vérité, mais au fait que la réalité physique est infinie et que l'esprit humain est limité. L'objet des incapables d'arriver elle a approfondi ou sciences est infini à des connaissances modifié son champ...
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Spinoza et la persécution
To us ces maux me semblèrent venir d'une seule cause, à savoir :( ... )E n effet ( ... ). Au contraire ( ... ). Mais l'amour d'une · chose éternelle et infinie ( ... ). » • « Espèce(s) »des « maux » décrits ici par Spinoza ? • Pourquoi - selon Spinoza - n'éprouve-t-on « nulle émotion » «à cause d'un objet qu'on n'aime pas»? - Imp ortance de cette notation dans l'argumentation déve- loppée par Spinoza ? · • Pourquoi dit-il « amour des choses...
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Lecture analytique de l'Ode XLIX de Théophile de Viau « Un corbeau devant moi croasse »
dans le poème : « devant moi », « offusque mes regards », « où je passe », « à mon cheval », « mon laquais », « J’entends », à moi », « J’ois » qui m’appelle », « Je vois », « Je vois ». A noter que dans les deux dernières références, le poète-narrateur = sujet + associé au sens de la vue + allitérations qui renforcent cette saturation au vers 7 et au vers 19. - le poète devient un peintre de l’apocalypse : la figure de l’hypotypose ( définition : une peinture vive, animée et frappante qui paraî...
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Les équations du premier degré (Travaux Pratiques Encadrés - Espaces pédagogiques interactifs)
et du côté droit : 15/5 = 5 On en déduit donc : x=5 le volume de chaque bille du sac est donc de 5 cm'. CAs G tNtRAL les mathématiciens aiment bien étudier les objets mathématiques sous leur forme la plus générale possible. Cela leur permet de découvrir l'ensemble de leurs propriétés, propriétés qui n'ont p lus qu'à être ensuite appliquées aux cas particuliers qu'ils rencontrent. la forme générale des équations du premier degré est la suivante...