110 résultats pour "paresse"
-
Les Idées et les Ages d'Alain
Ce texte est intitulé Les Idées et les Âges d’ALAIN, de son vrai nom Emile-Auguste Chartier, philosophe et ancien professeur de français du fin XVIII ème siècle, début XIX ème. Cet extrait de texte a pour thème l’importance du travail dans la société et étudie ainsi, plus particulièrementl’effet qu’il produit sur l’homme. La thèse de ce texte semble être que pour l’auteur, le travail est vital pour que l’homme s’incorpore dans lasociété et qu’il n’a que des points positifs pour l’homme. I...
- Tanche: Un poisson paresseux des eaux tranquilles.
-
Rousseau: Travail et repos
Conclusion : La nécessité du travail a bien d'autres causes que la paresse. Rousseau a beau jeu d'évoquer les sauvages ;nul homme ne doit être plus actif que celui que le milieu ne protège pas. La paresse change de statut au coursdu texte : de tendance naturelle, elle devient première passion ; elle change de rôle : à la base elle pousse àl'inertie, puis elle devient le principal moteur de l'activité humaine. Mais ces deux silences, mis côte à côte,s'éclairent l'un l'autre pour donner une répo...
- introduction marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
-
Pour les paresseux tous les jours sont fête
'AÉpyoi~ aLÈv ÉopTci Pour les paresseux tous les jours sont fête Il s'agit d'un emprunt à un vers de Théocrite ( I 5, 26 ), Antiphon utilisant une fo1111ule voisine. en notant que pour les paresseux c'est tou- j
-
KANT: Paresse, ambition et insociable sociabilité
Kant propose de substituer à la Providence de Bossuet, la Nature. Cette dernière se sert des passionshumaines et des conflits qu'elles génèrent pour accomplir son dessein secret :« Le moyen dont se sert la nature pour mener à bien le développement de toutes ses dispositions est leurantagonisme au sein de la Société, pour autant que celui-ci est cependant en fin de compte la cause d'uneordonnance régulière de cette Société j'entends ici par antagonisme l'insociable sociabilité des ho...
- Marie, Levez Vous Jeune Paresseuse ! de Ronsard
- Coendon: Ce porc-épic vit sur les arbres comme les paresseux.
-
-
« Qu'est ce qui est plus égoïste que la paresse ? » se demande Henri Michaux.
Vous expliquerez et discuterez...
« Qu'est ce qui est plus égoïste que la paresse ? » se demande Henri Michaux. Vous expliquerez et discuterez cette remarque en vous appuyant sur le corpus, mais sans vous y limiter. Extrait de "Le paresseux" de Saint-Amant de « Accablé de paresse et de mélancolie » à « Ai-je pu me résoudre à t'écrire ces vers ». Extrait de Réflexions ou sentences et maximes morales de La Rochefoucault « De toutes les passions... » à « de tous ces biens ». Extrait de « Mes propriétés » de Henry Michaux de « L'âm...
-
Kant, explication de texte Les lumières
crois raisonner càd, croire parce qu'une majorité crois. Et même lorsqu'il fuis volontairement le raisonnement, lorsque par paresse ou par lâcheté il va se maintenir dans cette opinion. L'auteur énonce maintenant le problème du texte en réfutant la thèse adverse : En effet il sous entend la question suivante : Si les hommes adhèrent à une l'opinion parce qu'une majorité d'autres hommes y adhèrent, Alors eux même sont incapable de prouver qu'il s'agit d'une opinion droite, et dans ce cas com...
- Lion: Ce roi des paresseux dort dix à quinze heures par jour.
-
LA FONTAINE Jean de : sa vie et son oeuvre
société française, elle aussi, a changé. L'austérité est désormais de mise. La Fontaine quitte la vie dans les pas du Solitaire, compagnon du Juge arbitre et de l'Hospita lier, le héros de sa dernière fable : celle qui, en couron nant le douzième livre des Fables (1694), fera de cette œuvre la seule que le poète aura le sentiment d'avoir achevée. Rideau. Au totaJ, une tragédie ratée, parce que l'unité d'action y manque, parce que, jusqu'à l'ultime c...
- Vrai, nous n'avons pas un rouge liard, mais tout gueux que nous sommes, c'est nous cependant qui avons moissonné le blé et vendangé le raisin... Paul Lafargue, le Droit à la paresse
-
L'Etat
Le philosophe amène la notion d'amour du travail brièvement « l'homme aime son travail ». Il est évident qu'une reconnaissance professionnelle ne peut qu’entraîner une satisfaction de la part du travailleur. Ainsi l'homme retirera du plaisir à exécuter son travail en dehors à toute préoccupation financière. Cette dernière étant la clé de notre survie dans la société. « La prise du travail est bien plus sûre », l'auteur est persuadé que l'action est plus efficace que de dire qu'...
- Devant donc être libres de tout leur temps pour veiller, par leur force intellectuelle et corporelle, aux intérêts de la République, ils chargeaient les esclaves de tout travail. Paul Lafargue, le Droit à la paresse
-
France Quéré et «l’incertitude de l’avenir»
Session de iuin 1991 décrire comme imparable et dont ils n'essaient par conséquent jamais de nous délier? Au contraire, ils semblent enliser à plaisir la jeunesse dans son malheur. La crainte de ne pas trouver d'emploi, disent-ils avec le plus grand sérieux, dissuade les jeunes de 10 s'appliquer à leurs études ; l'éventualité du divorce les empêche de se marier. Oui, sous ces banalités perce une équivoque compli cité. En s...
-
- Lion Ce roi des paresseux dort dix à quinze heures par jour Le lion est le plus sociable de tous les félidés.
- Le sens commun tient volontiers le travail pour une malédiction et la paresse pour un vice. Y a-t-il là ou non une contradiction ? (Pistes de réflexion seulement)
-
DROIT A LA PARESSE (LE), Réfutation du « droit au travail» de 1848, paru en 1883. Paul Lafargue
Marès Thomas Fiche de lecture LE DROIT A LA PARESSE ? Paul Lafargue Éditions Alia, 2011 Biographie : Paul Lafargue est un socialiste fran çais n é à Santiago de Cuba en 1845. Il est le gendre de Karl Marx et il est surtout connu pour son essai « Le droit à la paresse » en 1880.Il fonde, en 1871 apr ès avoir soutenus la commune de Paris, une section marxiste de la 1 ère internationale et participe à la cr éation du par...
-
Sur cette pensée de La Bruyère : « L'ennui est entré dans le monde par la paresse. »
Cette constatation ne dément pas d'ailleurs, l'affirmation de La Bruyère, car, en dernière analyse, cette indifférence à l'égard des labeurs profes sionnels est une forme de la paresse. Quiconque a vécu, et observé autour de soi, a aussi remarqué que les personnes les plus sujettes à l'ennui sont souvent les plus dissipées, les moins accoutumées à la réflexion, à la vie intérieure. Leur activité exté rieure peut tromper les gens su...
-
Les Cinq Cents Millions de la Begum
II DEUX COPAINS
Octave Sarrasin, fils du docteur, n'était pas ce qu'on peut appeler proprement un paresseux.
et l'Alsace avait exaspérée, était allé s'engager au 31ème bataillon de chasseurs à pied. Aussitôt Octave avait suivi cet exemple. Côte à côte, tous deux avaient fait aux avant-postes de Paris la dure campagne du siège. Marcel avait reçu à Champigny une balle au bras droit ; à Buzenval, une épaulette au bras gauche, Octave n'avait eu ni galon ni blessure. A vrai dire, ce n'était pas sa faute, car il avait toujours suivi son ami sous le feu. A peine était-il en arrière de six mètres. Mais ces six...
- Quelles réflexions vous suggère cette phrase de La Rochefoucauld : « Nul ne mérite d’être loué sur sa bonté, s’il n’a pas la force d’être méchant. Toute autre bonté n’est le plus souvent qu'une paresse ou une impuissance de la volonté ».
- Milan Il plane paresseusement en quête de déchets Le milan en vol est une silhouette bien populaire en Europe, où les amis de la nature se plaisent à suivre les orbes et arabesques de ce majestueux rapace diurne, lorsqu'il plane en survolant la campagne, apparemment infatigable.
-
35
Assis seul dans un box au fond du Black Iron Burger Shop de la 5e Rue Est, Perrini essuya les dernières
traces de hamburger et de rondelles d'oignon frites sur ses lèvres et étira paresseusement les bras.
— Tant quetume tiens endehors deceque tufais, jem’en cogne, répliqua Perrinienluilançant unregard glacial. L’instant d’après,lesourire aveclequel ill’avait accueillie avaitréapparu. — Ilfaut que jeretourne auboulot. J’aiune montagne dechoses àfaire. Elle pritson sacetse leva. — Profite dupetit cadeau, ditPerrini enindiquant lesac. Yen aencore plein,làd’où çavient. Il lui adressa unclin d’œil, attrapa sonverre etlevida. Quand ille reposa, Linaavait déjàfranchi laporte. Vingt minutes plustard, Per...
-
- « L'idée même que la signification d'une œuvre valable puisse être épuisée après deux ou trois lectures est une idée frivole. Pire que frivole: c'est une idée paresseuse. Ce qui seul s'évanouit rapidement, c'est le divertissement que procure la chose nouvelle. Reste son apport permanent: mais celui-là ne se livre pas sans effort à la jouissance superficielle. » Claude-Edmonde Magny. Commentez et, si vous le jugez bon, discutez cet avertissement au lecteur, en vous appuyant sur des exem
-
Dissertation : Si l’on y regardait bien, l’on verrait que, même parmi nous, c’est pour parvenir au repos que chacun travaille : c’est encore la paresse qui nous rend laborieux.
ZIOUCHE QEIS Dans Journal, Jules Renard écrit que « C’est un mauvais travail que celui qu’on fait pour n’avoir plus à travailler. ». Elle exprime une vision du travail assez commune où, le travail serait vu comme un fardeau au quel on souhaiterait échapper. Le travail ne doit pas être fuit, du moins si l’on souhaite faire un bon travail. Jean Jacques Rousseau, dans son essai sur L’origine des Langues, fixe une autre vision du travail complètement opposée à celle de Jules Renard. Ainsi...
- «Pour douer notre littérature d'une action efficace, il fallait trouver le secret de l'action sur les esprits : ce secret est la clarté. Comprenons ce mot : il faut évidemment le soustraire à des interprétations grossièrement faciles. Paul Valéry a insisté souvent sur le fait que de nombreuses gens la confondent avec leur propre paresse d'esprit. Il ne s'agit pas d'être compris par les distraits. La clarté de Racine n'est qu'une apparence ; je défie un lecteur moyen d'expliquer tout ce
-
Friedrich Nietzsche, Le Gai Savoir, § 42 (commentaire)
L'attitude « vulgaire » face au travail Tout d'abord, Nietzsche souligne à deux reprises dans ce texte que cette attitude qu'il juge « vulgaire » est caractéristique de la modernité, elle s'est implantée presque sans partage dans les « pays civilisés », au point qu'on a presque du mal à comprendre, aujourd'hui, qu'une autre attitude face au travail soit possible, et ait été possible par le passé. « C'est maintenant un souci commun »...
-
les édentés
arbre à un autre, par exemp le) : incapab les de se dresser sur leurs membres, ils s'y halent péniblement à l'aide de leurs griffes. Que ce soit dans les arbres ou sur le sol, ils n'usurpent passent 7SO/o de leur temps à dormir, certains _-zoos ne les enferment pas sont autobloquantes, comme celles des chauve-souris : le paresseux ne tombe jamais, même si on lui enlève le cerveau. Pour le capturer, il est plus simple de scier la branche. Son p...
-
mammifères (faune & Flore).
La plupart des petits des mammifères ne sont pas suffisamment développés pour mener une existence indépendante juste après la naissance. Ils doivent être l’objet desoins attentifs au moins pendant une partie de leur enfance. L’allongement de cette période de dépendance, très important chez les primates, permet de prolongerl’apprentissage des jeunes et a favorisé, au cours de l’évolution, l’apparition de comportements de plus en plus complexes. 4 VIE SOCIALE Les mammifères ont des organisations...
-
Nietzsche: Travaille-t-on uniquement pour survivre ?
lui-même le gain de tous les gains. • A l'opposée de cette conception, celle des « hommes rares » : le travail ne doit jamais être seulement un moyen(pour survivre) mais également un but en soi. Le travail est lui-même un gain, c'est-à-dire qu'il est source de joie. • Ainsi, si le travail doit nourrir, ce n'est pas uniquement l'estomac : il nourrit l'âme et l'intellect pour ces « hommesrares ». • Il ne faut pas négliger la vision aristocratique de Nietzsche : cette petite élite se distingue par...
-
Kant: "Qu'Est Ce Que Les Lumières ?"
l'homme sont mises en place pour accentuer le constat. L'individu y est dévalorisé, considéré comme un animal, dubétail, enfermé dans un parc, arrêté dans son souci de liberté par les dangers menaçants « oser », « danger »,« menacer » et la peur de l'accident. Kant attire notre attention sur la gravité de la minorité à vouloir s'aliéner, êtreservile et se complaire dans sa minorité. Les ¾ du texte accusent l'homme. Cependant, l'auteur apporte des nuances et met l'accent sur la difficulté dupass...
-
-
ANTHOLOGIE
Les 7 péchés capitaux parlent à tout le monde, mais savez-vous exactement de quoi il en retourne ? Ils réservent encore une part de mystère. Dans la religion le péché est la transgression volontaire ou non de la loi divine. Pour comprendre l'origine des Péchés Capitaux, il faut remonter à environ 400 après J.C. A l'origine, le moine Évagre le Pontique identifia huit passions ou pensées mauvaises : gourmandise , impureté, avarice , mélancolie (ou encore acédie), colère , paresse , v...
-
L'histoire des mammifères débuta discrètement à l'ère secondaire, et leur véritable
extension ne se manifesta qu'à la disparition des grands dinosaures.
Les corrélats crétacé extinction homme - Les origines de l'homme mammouth miocène musaraigne pléistocène thérapsidiens trias Les livres mammifères - l'évolution, page 3008, volume 6 La classification des mammifères Comme pour tous les êtres vivants, la base de la classification est l'espèce. On compte environ 4 250 espèces de mammifères. Celles-ci sont groupées en genres (1 050 environ), distribués dans 132 familles. Les familles se regroupent en 20 ordres de plus ou moins gra...
-
Est-ce que comprendre psychologiquement et juger moralement sont des attitudes mentales compatibles ou antagonistes ?
Psychologiquement, on juge de ce qu'est un individu ; mora ralement de ce qu'il vaut. Il. - PAS D'ANTAGONISME, MAIS COMPATIBILITE A. Pas d'antagonisme, car : a) bien que comprenant la vie intérieure de celui qu'i 1 observe, le psychologue peut, comme moraliste, porter sur elle des jugements de valeur; b) le mo raliste, d'autre part, peut, comme psychologue, donner l'expli cation des faits qu'il apprécie. B. Compatibilité parfaite et col...
-
Est-il toujours possible de faire la différence entre travail et divertissement ?
cycle - pauvreté, dénuement où la fatigue est suivie de misère au lieu de régénération, ou grande richesse etexistence oisive où l'ennui remplace la fatigue, où les meules de la nécessité, de la consommation et de la digestionécrasent à mort, impitoyables et stériles, le corps impuissant - ruine l'élémentaire bonheur qui vient de ce que l'onest en vie. Marx En quoi consiste l'aliénation du travail ? D'abord, dans le fait que le travail est extérieur à l'ouvrier, c'est-à-dire qu'iln'appartie...
-
G. de Nerval, Poésies diverses, Petite Revue internationale — commentaire composé
Session de iuin 1991 Il était paresseux, à ce que dit l'histoire, Il laissait trop sécher l'encre dans l'écritoire. Il voulait tout savoir mais il n'a rien connu. Et quand vint le moment où, las de cette vie, t:n soir d'hiver, enfin l'âme lui fut ravie, Il s'en alla disant: "Pourquoi suis-je venu ?0• G. de NERVAL (1808-1855), Poésies diverses, Petite Revue internationale, 30 mai 1897. (1) Une épitaphe: inscription que l'on...
-
Abolir le travail et libérer le temps est-ce la même chose ?
Référence : Nietzsche « Chercher un travail pour le gain, c'est maintenant un souci commun àpresque tous les habitants des pays de civilisation ; le travail leur est unmoyen, il a cessé d'être un but en lui-même ; aussi sont-ils peu difficiles dansleur choix pourvu qu'ils aient gros bénéfice. Mais il est des natures plus raresqui aiment mieux périr que travailler sans joie ; des difficiles, des gens qui nese contentent pas de peu et qu'un gain abondant ne satisfera pas s'ils nevoien...
-
Pourquoi voulons-nous être libres ?
Cf. le Sous-sol : Dostoïevski s'engouffre ici dans la voie ouverte par Descartes (mais Descartes n'allait pas jusquelà) : si la liberté suppose la capacité de choisir A quand j'ai toutes les raisons de choisir B, alors le libre-arbitre peutnous conduire à commettre des actes gratuits, sans motifs, pouvant aller jusqu'au crime sans mobile, au crime quel'on commet alors même qu'il va à l'encontre non seulement de la loi morale, mais aussi de notre intérêt. On retrouvecette idée chez Gide, dans Les...
-
Pourquoi voulons-nous être libres ?
bien d'attester par là notre libre-arbitre ». Je peux donc sacrifier mon intérêt, mon bonheur, mon avantage, pour(me) prouver que je suis libre.Cf. le Sous-sol : Dostoïevski s'engouffre ici dans la voie ouverte par Descartes (mais Descartes n'allait pas jusquelà) : si la liberté suppose la capacité de choisir A quand j'ai toutes les raisons de choisir B, alors le libre-arbitre peutnous conduire à commettre des actes gratuits, sans motifs, pouvant aller jusqu'au crime sans mobile, au crime quel'o...
-
-
Le droit à la Paresse
rivaliser avec la machine ». Il en résulte une augmentation du temps de travail par la suppression des jours fériés et l'allongement des journées de travail, ce qui provoque une augmentation de la production. Lafargue explique ironiquement que les bourgeois sont alors « contraints » d'arrêter de travailler et de surconsommer. Ils soustraient pour ce faire une quantité d'hommes au travail productif pour les employer à leur service. La bourgeoisie « s'accommode » de ce mode de vie et ne peut plus...
- Saint Amant "Le parresseux"
-
Sur cette pensée de La Bruyère : L'ennui est entré dans le monde par la paresse. Elle a beaucoup de part dans la recherche que font les hommes du plaisir, du jeu, de la société. Celui qui aime le travail a assez de soi-même.
Trop heureux si, dans cette course effrénée, nous n'avons pas sombré dans un-e de ces perversions qui constituent le vice. Je connais plus d'un joueu( invétéré que l'ennui seul conduisit pour la première fois devant un tapis vert. II. Le véritable remède, c"est le travail. Aussi, mon cher ami, ni les distractions, ni la sociétè, ni les vqyages mêmes ne sont la médication que je vous conseillerai. Ce oo sont pas vqs plaisirs qu'il faut v...
- Français Devoir à la Maison : corpus Le groupement de textes proposé est constitué d’un genre littéraire précis; la poésie.
-
Le héros d'un roman de Virginia Woolf, Orlando, un jeune aristocrate de l'époque élisabéthaine, épris de littérature, invite dans sa riche demeure ancestrale un poète qu'il admire. Comme cette compagnie le change de celle des gentilshommes « au corps vif et hardi, mais à l'esprit paresseux et couard » ! Le nouveau venu, par ses bizarreries, ses paradoxes, ses impertinences, réveille l'antique demeure assoupie, enchante et affole son hôte, qui en vient à penser qu'il a introduit chez lu
• Le voici donc hors du repos (sens ler de « inquiéter » = in privatif + lat. quies, etis = repos, ce repos que la vienous pousse (protection instinctive) à tisser autour de nous.• Repos d'esprit, de conscience, repos social (conservatisme) qui sont commodité, adaptation aux circonstancesque nous voulons voir en « état de fait », égoïsme, privilèges :Montaigne le constate : « Nous avons la vue raccourcie à la longueur de notre nez. » • Or inquiéter = réveiller toutes les interrogations qui dorme...
- Kant-Qu'est-ce que les Lumières ?
-
Le travail et la technique : Friedrich Nietzsche, Le Gai Savoir, § 42.
TRANSITION 1. L'ATTITUDE « VULGAIRE » FACE AU TRAVAIL Nietzsche, Le Gai Savoir ..... les sépare, que charnn se méprend sur les véritables mobiles de l'autre . ..... Le paradoxe consiste en ce que l'attitude de chacun de ces tyjJes d'lwrmnes est en fait l'inverse de ce que l'on serait te11té de croire. Quel est le mobile fondamental qui pousse les uns et les ..... autres à travailler ? Qu'attendent-ils, les uns el les autres, de ....
-
BERGSON: l’observation (l’expérience) et l’intelligence (la théorie)
++++~++++++++++++++++++++ REPERER LE MOUVEMENT DU TEXTE Le texte se répartit très clairement en trois moments argu mentatifs: Thèse : on se représente encore trop souvent une séparation des fonctions d'observation et de généralisation. Critique de Pargument : « Rien de plus faux [. .. ]J> : les conséquences de cette façon de voir. Réfutation : « Comme si [. .. ]» : Bergson oppose à celle qu'il a critiquée sa conception de ce qu'...
-
-
Kant. Qu'est ce qu'est les lumières ?
celle-ci accède à la liberté en s'affranchissant de ses tutelles volontaires. La deuxième phrase reprend la première et explique ce qu'est « l'état de tutelle » : il s'agit de la situation dans laquelle se trouve un homme lorsqu'il est incapable de se « servir de son propre entendement sans la conduite d'un autre » autrement dit de penser par lui-même, ce qui le rend dépendant de la pensée d'autrui. « L'état de tutelle » dont il est question dans le texte est donc « seulement » une tutelle intel...
-
ju
p eut -être ici un e c ritiqu e impli cite du c atho licis me : le m ine ur d emand e à un p rê tre la si gni fica tion d e l'Ev angil e al or s qu e s e lon la R éfo rm e, le cr oyan t doit pa rve nir à s a p rop re int erp rét ation d es é cr itu res. D e mê me que le pa rents s em blent dispos é d 'un s a voi r in connu qu e leu r p er met d e d écid er d e c e qui est bon pou r leu r e nf ant, il s emble que le "m éde cin qu i dé cid e pour moi d e mon r...