492 résultats pour "sensation"
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Explication David Hume, extrait de « de la norme du goût »
ressentir. Pour Hume l'esthétique n'est pas dans l'objet lui même, « elle existe seulement dans l'esprit qui la contemple ». C’est à dire qu'il crée un sentiment en nous. Ce sentiment génère en nous une satisfaction. La beau est donc accompagner par une satisfaction lors d'une vision d'un objet. Beaucoup d'auteurs considèrent le beau comme une fatalité, donc comme un sentiment. Le concept fait référence à des règles intellectuelles. Or le beau ne...
- Cours: THEORIE ET EXPERIENCE (4 de 7)
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Les plantes médicinales (Exposé – SVT – Collège/Lycée)
GINKGO (GINKGO BILOBA) -Famille des ginkgoacées . -Arbre à feuilles bilobées caduques. -Répartition : originaire du Japon , cultivé comme arbre d'ornement dans les régions tempérées . - Propriétés médicinales : anti inflammatoire, antiasthmatique , stimule la circu lation sanguine et la mémoire. -Modes de préparation : feuilles en teinture, poudres, jus ; graines en décoction . GINSENG (PANAX GINSENG) -Famille des araliacées. -Plante herbacée vivace...
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qu'est-ce que connaître ?
connaissance intellectuelle. a) Pour nous faire une idée de ce mode de connaissance, partons d'exemples concrets.Supposons qu'on me demande, à moi qui ignore tout de la botanique, si je connais cette plante. Je pourrai répondreque je l'ai vue et qu'on la trouve sur les coteaux calcaires, mais je ne prétendrai pas la connaître, et je renverrai lecurieux à un botaniste, qui pourra en donner une définition logique par le genre prochain et la différence spécifique :la connaissance du botaniste est d...
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Au nom de quoi le plaisir serait-il condamnable ?
froidement et sans parti pris : « Nous les faibles nous sommes décidément faibles ;nous ferons donc bien de nerien faire de ce pour quoi nous ne sommes pas assez forts » Mais cette condamnation amère […] a pris les dehors pompeux de la vertu […] comme si la faiblesse était un acte de mérite » (ibid). Deux remarques : 1- la faiblesse condamne le plaisir parce qu'elle n'a pas assez de force ou de vigueur pour en prendre (le plaisir devient donc mauvais et l'abstinence bonne) : on a donc un ren...
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faut-il mentir?
vivant, mais il est au contraire devant le monde : la conscience, c'est la distance qui existe entre moi et moi-même et entre moi et le monde. 1. La conscience fait-elle la grandeur ou la misère de l'homme ? Blaise Pascal répond qu'elle fait à la fois l'une et l'autre. Parce qu'elle rend l'homme responsable de ses actes, la conscience définit l'essence de l'homme et fait sa dignité . J'ai conscience de ce que je fais et peux en répondre devant le tribunal de ma conscience et cel...
- Baudelaire, "Parfum exotique", Les Fleurs du Mal
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Pouvons-nous vivre heureux tout en ayant conscience qu'on va mourir ?
Epicure, La Lettre à Ménecée : « Habitue-toi en second lieu à penser que la mort n'est rien pour nous, puisque le bien et le mal n'existent que dans lasensation. D'où il suit qu'une connaissance exacte de ce fait que la mort n'estrien pour nous permet de jouir de cette vie mortelle, en nous évitant d'yajouter une idée de durée éternelle et en nous enlevant le regret del'immortalité. Car il n'y a rien de redoutable dans la vie pour qui a compris qu'iln'y a rien de redoutable...
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Penser la mort, est-ce un moyen d'échapper à sa propre mort ?
« Habitue-toi en second lieu à penser que la mort n'est rien pour nous,puisque le bien et le mal n'existent que dans la sensation. D'où il suit qu'uneconnaissance exacte de ce fait que la mort n'est rien pour nous permet dejouir de cette vie mortelle, en nous évitant d'y ajouter une idée de duréeéternelle et en nous enlevant le regret de l'immortalité. Car il n'y a rien deredoutable dans la vie pour qui a compris qu'il n'y a rien de redoutable dans lefait de ne plus vivre. Celui qui...
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ANALYSE PHILOSOPHIQUE DE LA PERCEPTION
est que toute perception est d'entendement et que les sens sont des fonctions de l'esprit. Il apparaît alors que laperception n'est pas donnée mais construite et qu'on ne saurait la comprendre sans dégager l'activité synthétique,c'est-à-dire unifiante, de la conscience. L'unité de la pensée se découvre constitutive de l'unité des objets.Cette théorie réflexive de la perception prend appui sur deux analyses particulièrement célèbres dans la philosophie.L'une est une analyse du Théétète de Plato...
- S. Weil, La condition ouvrière, Lettre à un élève.
- Etude d'un extrait de texte : Extrait de l'Entendement Humain de J.Locke
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Devons-nous toujours croire nos sens ?
ont une fois trompés " (Descartes, Méditations métaphysiques , I). Descartes passe de "quelquefois" à "jamais", au nom de la prudence. Il fait alors l'expérience du doute méthodique et affirme qu'un mauvais génie peut noustromper. L'expérience du rêve nous enseigne que nos sensations n'ont pas forcément d'objets extérieurs. Dès lors,qu'est-ce qui me prouve que je ne rêve pas les sensations que j'ai ? De plus, il ne semble pas que l'entendementpuisse réellement redresser les sens ou romp...
- philo bac: Peut-il exister des désirs naturels ?
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harmonie du soir
La métaphore du dernier vers est ainsi double. -Baudelaire fait de la femme aimée son soleil intérieur. -La femme aimée représente également une présence divine au centre de son souvenir. -On observe deux tendances dans ce poème : 1.Des vers 1à10 le poème souligne le mouvement avec : vibrant sur sa tige/s'évapore/tournent/valse/vertige/frémit La lecture du poème donne une impression de mouvement et de vertige. 2.A partir du vers 11, le poème va vers une immobilisation ''triste et beau'', '...
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L'HOMME CHEZ ARISTOTE
chez les autres. C'est pourquoi les premiers sont plus intelligents et plus aptes à apprendre que ceux qui sont incapables de se souvenir; l'intelligence, sans la faculté d'apprendre, est le par tage des êtres incapables d'entendre les sons, tels que l'abeille et les autres genres d'animaux pouvant se trouver dans le même cas; au contraire la faculté d'apprendre appartient à l'être qui, en plus de la mémoire, est pourvu du sens de l'ouïe. Les animau...
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Maine de Biran, Essai sur les fondements de la psychologie
Quoi qu'il en soit, il faut noter que dans notre texte le sentiment d'exister s'identifie au sentiment d'exercer savolonté sur son corps. La conscience d'être un moi, une « personne », et la conscience d'être une cause libres'identifient dans le « sentiment d'existence ». Biran écrit : « Mettre la liberté en problème c'est y mettre lesentiment de l'existence ou du moi qui n'en diffère pas, et toute question sur ce point devient frivole par cela mêmequ'on en fait une question. La...
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Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement
La mort n'est rien pour nous. La métaphysique matérialiste d'Epicure va lui permettre de délivrer l'humanitéd'une de ses plus grandes craintes : la crainte de la mort. Les hommes ontpeur de la mort. Mais que redoutent-ils en elle ? C'est précisément le sautdans l'absolument inconnu. Ils ne savent pas ce qui les attend et craignentconfusément que des souffrances terribles ne leur soient infligées, peut-êtreen punition de leurs actes terrestres. Les chrétiens, par exemple, imaginerontque quiconque...
- La perception : instrument ou obstacle pour la connaissance ?
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Les passions, maladies de l'âme
belle au plus tôt, pour le joueur de courir au casino. Mais demain, voici l'amoureux au désespoir, l'ivrogne malade, lejoueur ruiné. Ils ont sacrifié leur bonheur aux sollicitations immédiates, ils n'ont pas su se penser avec vérité dans lefutur ». Cette négation du temps comme avenir est ce que Alquié appelle « le désir d'éternité ». Or c'est du passéque le présent tient sa puissance de fascination, dans cette forme de passion. Elle est égocentrisme et résurgencedu passé. Le passionné aime dans...
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La raison s'agit-elle de notre devoir?
explique que nous sommes libres avec tous ces devoirs : puisque notre raison aperçoit notre devoir, malgré cela nous sommes tous libres de choisir à ne pas le suivre. De ce fait, la liberté est universelle, donc elle est morale. Contredire la liberté, c’est contredire la morale. Il faut respecter la liberté chez soi et chez autrui. Dans nos actions vis-à-vis d'autrui, nous devons toujours garder à l’esprit leur liberté. Si nos actions ne tiennent pas compte de cette liberté, à ce mome...
- Correspondances de Baudelaire
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Condillac, Etienne Bonnot de
concerning Human Understanding (1689) by Pierre Coste and read Voltaire's books on Newton. He was the contemporary of such Enlightenment luminaries as Helvetius, Diderot, Buffon, La Mettrie and Holbach. Voltaire and Diderot both expressed the very highest regard for his writings. Condillac was on friendly terms with Rousseau, and was frequently to be seen at the salons in and around Paris where so much of the intellectual activity of the Enlightenment took place. He spent nine years (1758-67...
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La religion est-elle fondée sur la peur de la mort ?
La mort n'est rien pour nous. La métaphysique matérialiste va aussi permettre de délivrer l'humanitéd'une de ses plus grandes craintes : la crainte de la mort. Les hommesont peur de la mort. Mais que redoutent-ils en elle ? C'est précisémentle saut dans l'absolument inconnu. Ils ne savent pas ce qui les attendet craignent confusément que des souffrances terribles ne leur soientinfligées, peut-être en punition de leurs actes terrestres. Les chrétiens,par exemple, imagineront que quiconque à mal a...
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KANT: Que toute connaissance commence avec l'expérience....
elle a recours aux formes pures que sont le temps et l'espace, elle tient de l'expérience possible, tandis que la métaphysique procède par conceptssans recours à l'intuition. Avec la connaissance sensible, il apparaît encore plus clairement qu'avec la connaissance empirique que le sujet a un pouvoir de connaître, qu'il est transcendantal (c'est-à-dire condition de possibilité de laconnaissance). Conclusion Dans cet extrait, Kant fait une ébauche du processus de la connaissanc...
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Qu'est ce que connaitre ?
a) Pour nous faire une idée de ce mode de connaissance, partons d'exemples concrets.Supposons qu'on me demande, à moi qui ignore tout de la botanique, si je connais cette plante. Je pourrai répondreque je l'ai vue et qu'on la trouve sur les coteaux calcaires, mais je ne prétendrai pas la connaître, et je renverrai lecurieux à un botaniste, qui pourra en donner une définition logique par le genre prochain et la différence spécifique :la connaissance du botaniste est du type scientifique.Il est au...
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Définition: AFFECTIF, -IVE, adjectif.
9. Il faut admettre pour l'acteur une sorte de musculature affective qui correspond à des localisations physiques des sentiments. Il en est de l'acteur comme d'un véritable athlète physique, mais avec ce correctif surprenant qu'à l'organisme de l'athlète correspond un organisme affectif analogue, et qui est parallèle à l'autre, qui est comme le double de l'autre bien qu'il n'agisse pas sur le même plan. L'acteur est un athlète du coeur. Pour lui aussiintervient cette division de l'homme total...
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Définition: Définition: AFFECTIF, -IVE, adjectif.
9. Il faut admettre pour l'acteur une sorte de musculature affective qui correspond à des localisations physiques des sentiments. Il en est de l'acteur comme d'un véritable athlète physique, mais avec ce correctif surprenant qu'à l'organisme de l'athlète correspond un organisme affectif analogue, et qui est parallèle à l'autre, qui est comme le double de l'autre bien qu'il n'agisse pas sur le même plan. L'acteur est un athlète du coeur. Pour lui aussiintervient cette division de l'homme total...
- Cours: LA PERCEPTION (5 de 7)
- La recherche du bonheur
- Le personnage de roman
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Puis-je faire confiance a mes sens ?
nomme la dialectique. Si l'on s'en remet à Platon, on peut donc affirmer qu'il ne faut pas faire confiance à ses sens,mais qu'il faut s'en détacher pour accéder à la vérité du réel, car cela ne peut se faire que par l'usage de la raison. Transition : Toutefois, concevoir un monde idéal accessible uniquement par la raison, n'est-ce pas courir le risque de se perdre dans la raison ? Il est nécessaire de renouer avec les sens. 2. a) Comme le notera Aristote, la doctrine platonicienne pose en fa...
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L'homme est-il dépendant du langage ?
par la voix ou par d'autres mouvements du corps, jamais cependant jusqu'à ce jour on n'a pu observerqu'aucun animal en soit venu à ce point de perfection d'user d'un véritable langage c'est-à-dire d'exprimersoit par la voix, soit par les gestes quelque chose qui puisse se rapporter à la seule pensée et non àl'impulsion naturelle. Ce langage est en effet le seul signe certain d'une pensée latente dans le corps ; tousles hommes en usent, même ceux qui sont stupides ou privés d'esp...
- Grand cours: CONSCIENCE & INCONSCIENT (b de j)
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http://www.devoir-de-philosophie.com/page-echange.html?doc=http://www.devoir-de-philosophie.com/echange/premiere-victoire-stendhal-rouge-noir-2863230-1.html&idd=2863230
» : « tou tes ces l u m iè res m’éblou i ren t », « j’en tend is une voix », « on me condu is i t au Mo re de Venise », « j’y t rouvai la tê te somb re et pâ le d’Ham le t »… E n f i n, i l t r adu i t les man ifesta t ions exté r ieu res de cet te gué r ison : « Je res ta i muet te », « ce f u t tou jou rs le même rav issemen t », « mes ma i ns bat t i ren t , ma bouche app laud i t… ». L’ impa r fa i t , l u i, déta i l le les i mp ressions i n t i mes ; A nna Damby rev i t ses m...
- MARCEL PROUST: La passion construit son objet.
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Comment puis-je dire que je suis le même alors que je change au cours du temps ?
sommes obligés de la détacher du corps pour qu'elle ait un sens. - Personne ne peut, par exemple, prétendre avoir jamais eu une impression claire et distincte de son âme. « De quelle impression cette idée pourrait-elle être tirée ? Il est impossible derépondre à cette question sans contradiction ni absurdités manifestes » déclarera Hume ( Traité de la nature humaine , Livre I, partie IV, section VI) - En effet, l'âme est supposée rester continue et constante,...
- Apercevoir, c'est sentir ; comparer, c'est juger ; juger et sentir ne sont pas la même chose.
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L'existence de la matière suffit-elle à rendre compte de l'existence de la pensée?
et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse ; mais que je ne pouvais pas feindre pour cela queje n'étais point ; et qu'au contraire de cela même que je pensais à douter de la vérité des autres choses ilsuivait très évidemment et très certainement que j'étais ; au lieu que si j'eusse seulement cessé depenser, encore que tout le reste de ce que j'avais jamais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison decroire que j'eusse été, je connus de là que j'étais une substance dont toute...
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Aux catégories correspondent les «principes de l'entendement » qui expriment ce que l'entendement exige de l'intuition pour qu'une connaissance soit possible et qui sont donc les règles de l'usage objectif des catégories.
57 Les principes de l'entendement B. Ce qui s'accorde avec les conditions matérielles de l'expérience (de la sensation) est réel. C. Ce dont l'accord avec le réel est déterminé suivant les conditions générales de l'expérience est nécessaire (existe nécessairement). (Raison pure, I, p. 232.) Aux postulats de la pensée empirique en général, KANT rattache une réfutation de «l'idéalisme matériel>> de DESCARTES, qui déclare indémontrable l'existenc...
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- Perception et sentiments
- La conscience et la subjectivité
- Comparaison entre La chevelure et un hémisphère dans une chevelure.
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Explication du texte d'Emmanuel Kant
différence est à noter entre l'homme et l'animal puisque lui agit et réagit, et le dernière ne fait que réagir. Le 'je' est une manifestation de sentiments imprévisible puisque changeant. Le sujet qualifié de conscient est celui qui se remet en question, prend le risque du doute de soit et d'incertitude. L'oeuvre de la conscience peut donc être hasardeuse si elle n'arrive vas a accéder a une vérité ou a une connaissance absolue, caractéristiques de sujet conscient, donc libre. La conscience...
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AFFECTER 2, verbe transitif .
continuellement soumis, par les substances toxiques que fabriquent nos organes dans leurs désordres fonctionnels, par celles qui pénètrent en luiavec les aliments et avec l'air, par la carence des fonctions physiologiques et mentales essentielles. ALEXIS CARREL, L'Homme cet inconnu, 1935, page 135. 12. L'inhibition peut n' affecter que la surface du geste, et rester un masque. Mais elle peut aussi être prise à son jeu et conduire progressivement ceux qu'elle frappe à l'apathie affective et mo...
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Les plantes guérisseuses
GINKGO (GINKGO BILOBA) -Famille des ginkgoacées . -Arbre à feuilles bilobées caduques. -Répartition : originaire du Japon , cultivé comme arbre d'ornement dans les régions tempérées . - Propriétés médicinales : anti inflammatoire, antiasthmatique , stimule la circu lation sanguine et la mémoire. -Modes de préparation : feuilles en teinture, poudres, jus ; graines en décoction . GINSENG (PANAX GINSENG) -Famille des araliacées. -Plante herbacée vivace...
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Quand nous percevons,comment savons-nous que nous ne rêvons pas?
sont peut-être toujours que des images de ces objets que nous percevons, et jamais les objets eux-même. Peut-être alors qu'au simple niveau de la perception, je ne peux pas savoir si je rêve ou pas. b) le doute est permis En constatant que les perceptions lors des rêves sont du même ordre que les perceptions en état de veille,puisqu'en effet on peut effectivement croire qu'on est éveillé alors qu'on dort, peut-on réellement « savoir », quandon perçoit, qu'on ne dort pas ? Il est po...
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Qu'est que connaitre ?
a) Pour nous faire une idée de ce mode de connaissance, partons d'exemples concrets.Supposons qu'on me demande, à moi qui ignore tout de la botanique, si je connais cette plante. Je pourrai répondreque je l'ai vue et qu'on la trouve sur les coteaux calcaires, mais je ne prétendrai pas la connaître, et je renverrai lecurieux à un botaniste, qui pourra en donner une définition logique par le genre prochain et la différence spécifique :la connaissance du botaniste est du type scientifique.Il est au...
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Harmonie du soir Charles Baudelaire
ont mis à la mode. Fonctionnement du pantoum : reprise des vers 2 et 4 de la première strophe aux vers 1 et 3 de la deuxième strophe et ainsi de suite. b. A qui s’adresse le poème ? Il faut attendre le dernier vers avant de savoir à qui s’adresse le poème : « Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ». On peut penser que Baudelaire fait référence à Madame Sabatier. L’expression de « moi » et « toi » permet de se référer à leur relation amoureuse. De plus le « souvenir »...
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Verlaine et la peinture
intervention intellectuelle. Dans ce poème, les mots sont des touches de couleurs que le poète juxtapose. Jacques Borel, disait à propos de Romances sans paroles : « Notes brèves, juxtaposées, touches de couleur ou de lumière, ce sont là les vrais éléments constitutifs du poème, comme sur la toile où Monet ou Pissaro les dispose, c'est le bleu et non la robe ou le ciel, le rouge et non le toit, l'ocre...