85 résultats pour "effrayer"
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Dictionnaire en ligne:
ÉPOUVANTÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif masculin.
épouvanté à la pensée, à l'idée d'un mal. — [Avec l'idée de vive réprobation morale] Inspirer de la répulsion, une profonde horreur. (Quasi-)synonyme : horrifier. Du seul point de vue humain, sa dureté m'épouvante (JULIEN GREEN, Journal, 1948, page 224) : Ø 2.... il ajoutait à cela en ce moment un air de commisération qu'il accentuait tant qu'il pouvait. Agnès, épouvantée par la commisération, accepta aussitôt, malgré sa répugnance à être seule avec lui. PIERRE DRIEU LA ROCHELLE, Rêveuse bourg...
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L'Écriture Dans Les Liaisons Dangereuses
Valmont tourne en dérision un vers patriotique pour le comparer à sa conquête des femmes. II/ Psychologie du libertin. Le libertinage est né du désoeuvrement de l'aristocratie privée de guerre et menacée par la puissance bourgeoise. De plus,« libertinus » en latin veut dire esclave.Ces deux raisons expliquent la profusion de métaphores de la séduction sous la forme de conquêtes militaires ou de soumissiond'esclaves :Métaphores de l'esclavage :L 79 : « l'esclave fugitive, livrée de nouveau à son...
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On trouva leurs corps roulés par le flot sur la plage avec les débris de leurs barques, et l'on vit pendant neuf jours, sur la
route montueuse qui mène à l'église, des cercueils portés à bras et que suivaient des veuves pleurant, sous leur grande
cape noire, comme des femmes de la Bible.
pauvre insensé. Ilse rendit aveclebedeau etdeux fabriciens àl'endroit oùl'enfant disaitavoirvuune croix, etilytrouva deux planches garniesdeclous, quelamer avait longtemps rouléesetqui vraiment formaient unecroix. C'étaient lesépaves d'unancien naufrage. Ondistinguait encoresurune deces planches deuxlettres peintes ennoir, un J. et un L.,etl'on nepouvait douterquecene fût undébris delabarque deJean Lenoël, qui,cinq ansauparavant, avait péri enmer avec sonfilsDésiré. A cette vue,lebedeau etles fa...
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Sam était hors de lui.
les bandits firent demi -tour et s’enfuirent sur la Route de Hobbit ebourg, mais, ce faisant, ils sonnèrent du cor. « Eh bien, il était grand temps de rentrer », dit Merry. « Grand temps. Peut -être est - il même trop tard, pour sauver Lothon en tout cas, dit Frodon. C’est un pauvre imbécile, mais je le plains. » « Sauver Lot hon ? Que veux -tu dire ? répliqua Pippin. Le détruire, dirais -je. » « Je crois que tu ne comprends pas tout à fait, Pippin, dit Frodon. Lothon n’a jamais...
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LUCRÈCE ET LA MORALE ÉPICURIENNE
qu'est la vie ! Ne sais-tu pas ce que crie la nature ? Qu'elle ne veut pour le corps que l'absence de douleur, pourl'esprit que le sentiment de bien-être, sans inquiétude et sans angoisse ?Il faut peu de chose au corps : tout ce qui supprime la douleur peut aussi lui procurer bien des délices. La natureelle-même ne réclame alors rien de plus agréable : s'il n'y a pas dans les maisons des statues dorées de jeunes genstenant dans leurs mains droites des lampes allumées pour éclairer les orgies de...
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Fiche de lecture : le Prince de Nicolas Machiavel
monarchies dirigées par un prince seul (ch IV), des sociétés qui vivaient libres avant l'arrivée de l'envahisseur (chV), des monarchies nouvelles (ch VI et VII) mais aussi devenus princes par scélératesses (ch VIII) ou desmonarchies ecclésiastiques (ch XI). Dans la seconde partie, Machiavel s'intéresse aux armes, thème récurrent dansses écrits. Il fait la distinction entre armes propres, auxiliaires ou mercenaires. Il écrit ainsi au chapitre XI : « les[armes] mercenaires et auxiliaires s...
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Article de presse: La " vache folle ", chronique d'une négligence d'Etat
Le comité prend néanmoins une première recommandation de bon sens : la destruction des carcasses d'animaux infectés.Proposition adoptée par le gouvernement, qui offre de compenser auprès des malheureux éleveurs 50 % du prix des animauxdétruits. Non content d'avoir déjà laissé recycler au moins six cents carcasses d'animaux déclarés malades sans parler des autres, le ministre de l'agriculture, avare de ses deniers, dissuade les fermiers de rapporter scrupuleusement le moindre cas de maladiesurven...
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Effrayant Cauchemar
présence comme si tu me tenais la main fermement en me susurrant ne t'inquiète pas car au fond tout passe.. Et je crois bien qu'ils m'ont tous pris pour une folle car je suis passé a différend stade de mon comportement mais y'a pas à dire c'était une mascarade car tout c'est gens sur qui tu aurais dû compter non jamais été vraiment la pour t'aider, sans doute aucun.Hilana
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- CHOUETTE EFFRAIE
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Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie. Pensées (1670), 206 Pascal, Blaise. Commentez cette citation.
-~l « Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie. » Blaise Pascal, Pensées23 Ce cri d'effroi n'exprime pas la détresse de Pascal, mais celle du libertin dont l'existence est tout entière tournée vers la quête du plaisir. Car celui qui néglige Dieu ne s'expose-t-il pas à l'angoisse d'une extrême solitude ? Afin d'éveiller l'inquiétude de celui qui délaisse le salut de son âme, Pascal emprunte aux découvertes scientifiques de son temps. En effet, le XVIIe siècle se caractérise par le dé...
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Ionesco écrit dans Notes et contre-notes: « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant. » En vous appuyant sur votre expérience théâtrale et ciné-matographique, mais aussi sur les comiques dont vous connaissez les sketches, vous direz si cette affirmation cor¬respond à l'idée que vous vous faites du comique.
78 / Les sujets littéraires CORRIGÉ SEMl·RÉDIGÉ Introduction On constate à la fois, de nos jours, une prolifération de films et de spectacles comiques, correspondant à un renouveau du genre dû notamment au café-théâtre, et une présence plus grande de l'angoisse aussi bien dans nos vies que dans nos villes. Ces deux phénomènes sont ils contradictoires? Un auteur contemporain, Ionesco, déclarait pour sa part dans Notes et contre-notes: « Le...
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Le désenchantement du monde ?
Avec les découvertes de Galilée , tout change. Galilée est le premier à avoir l'idée de pointer la lunette récemment découverte sur le ciel. Il découvre des tâches solaires, des volcans et des cratères lunaires, et montre que la voielactée est faite de milliers d'étoiles. C'est donc que le monde supralunaire n'est pas parfait, immuable, incorruptible.Ces cratères et ces tâches sont le signe qu'il y a changement, génération & corruption partout dans l'univers. Galilée est le premier à formule...
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Définit-on bien l'homme en disant qu'il est un être qui s'invente des Dieux ?
monde-là dont la religion est l'arôme spirituel ». Ainsi, à travers la critique de la religion, la critique doit atteindre la situation réelle de l'homme. « L'abolition de la religion en tant que bonheur illusoire du peuple est l'exigence que formule son bonheur réel.Exiger qu'il renonce aux illusions sur sa situation, c'est exiger qu'il renonce à une situation qui a besoin d'illusions. La critique de la religion est donc en germe la critique de cette vallée de larmes dont la religion est l'aur...
- Dissertation sur La Religieuse de Diderot
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La liberté peut-elle faire peur ?
doit-il pas être contesté, voire renversé ?) 2- LA PEUR DE LA LIBERTÉ : UNE STRATÉGIE DE LA DOMINATION a) le paradoxe de la servitude volontaire Pour La Boétie, nous « naissons avec notre liberté et avec la volonté de la défendre ». en effet nous préférons instinctivement vivre libres plutôt qu'asservis. Comment dès lors se peut-il que tant d'hommes acceptent de selaisser tyranniser ? C'est que, selon La Boétie, la servitude est toujours volontaire : toute autorité politique n'a...
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APEURÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
Remarque : Nouveau Larousse illustr? donne le synonyme ?peur? (confer aussi Petit Larousse Illustr? 1906). Dans le contexte, apeur? sugg?re aussi un ?tat intense de frayeur g?n?rale, de panique (exemple 3). STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 79. Forme d?riv?e du verbe "apeurer" apeurer APEURER, verbe transitif. Faire peur, effrayer. Apeurer le public. Antonyme?: rassurer?: ? 1. Cette sorte de mise en demeure que lui avait brusquement adress?e l'abb? Gevresin, de clore ses litig...
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La fin de Satan
On entendait suinter le néant goutte à goutte.
L'ange continuait de descendre, splendide, Dans cet effarement immense de la nuit. V Le vautour ne sait plus s'il poursuit ou s'il fuit Quand il voit l'aigle au fond du nuage apparaître. Isis, se retournant vers ce radieux être Beau comme vesper, l'astre et l'ange avant-coureur, Se dressa dans un geste effrayant dont l'horreur S'accroissait sous le voile, et lui cria: \24« Lumière, « Qu'es-tu? Que nous veux-tu? N'avance pas. Arrière, « Arrière! Les rayons sont de ce gouffre exclus. «...
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Test Jérome / échange gratuit
familiale, pour assouvir l'« instinct de la chasse, le besoin de chasser selon le temps et la saison, d'obéir aux conseils éternels qui vous viennent de la terre et des nuages >>. Si l'orgueil le fait s'enfermer, aux yeux des autres, dans l'image d'un« héros factice >>, sur la fin il découvre sa vérité. Ayant fait l'expé rience la plus cruelle de la méchanceté des hommes, dégoûté de son désir sau vage pour Flora, nostalgique de son foyer, il rêve...
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AUGUSTE BARBIER (1805-1882). La cavale
(Iambes : l'Idole, III, A. Fayard, éditeur.) QUESTIONS D'EXAMEN 1. — L'ensemble. — Une vigoureuse satire contre Napoléon. — A qui s'adresse le poète? (remarquer la brusqueapostrophe du début); Sous la figure de quel animal représente-t-il la France? Montrez qu'il suit cette comparaison,sans défaillance, du commencement à la fin du poème; L'image est-elle pittoresque? Vous paraît-elle juste? (raisonsà l'appui); Quel est le cavalier? Ce dernier accorde-t-il quelque repos à la cavale exténuée?...
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La belle Gabrielle, vol.
L'idée ne pouvait pas venir à cette étrange créature que son patriciat, sa richesse, sa beauté, son amour, la rendissent à ce point fabuleuse et incompréhensible qu'un amant la repoussât épouvanté de son triomphe. Elle se croyait dans son noble coeur d'autant plus assurée d'avoir conquis Crillon, qu'elle s'était, sans réserve aucune de sa vie et de son honneur, livrée au plus hardi, au plus généreux chevalier du monde. S'il hésitait, ce devait être par délicatesse et magnanimité. Il faut l'enco...
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Quatre-vingt-treize
Et Gauvain reprit:
Ce sera une date sanglante que cette année 93 où nous sommes.
Et Gauvain reprit: \24 Liberté, Egalité, Fraternité, ce sont des dogmes de paix et d'harmonie. Pourquoi leur donner un aspect effrayant? Que voulons-nous ? conquérir les peuples à la république universelle. Eh bien, ne leur faisons pas peur. A quoi bon l'intimidation? Pas plus que les oiseaux, les peuples ne sont attirés par l'épouvantail. Il ne faut pas faire le mal pour faire le bien. On ne renverse pas le trône pour laisser l'échafaud debout. Mort aux rois, et vie aux nations. Abattons...
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ASSUMER, verbe transitif.
GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, L'Oblat, tome 2, 1903, page 157. ? Locution (commune aux sens 1 a, b) Assumer la responsabilit? de quelque chose (t?che ou acte moral)?: ? 4.... sa peinture est assez os?e pour bien porter les affronts, et elle promet un homme qui sait assumer la responsabilit? de ses oeuvres; il n'a donc qu'? faire un nouveau tableau. CHARLES BAUDELAIRE, Salon de 1845, 1845, page 18. c) [L'objet d?signe une valeur dont on revendique l'h?ritage] Assumer l'h?ritag...
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Han d'Islande
--Je ne vous évitais pas, j'étais comme le malheureux aveugle que l'on rend à la lumière après de longues
années, et qui se détourne un moment du jour.
dans le donjon. En passant à l'extrémité du corridor de l'orient, il avait recueilli quelques paroles et vu comme deux spectres se mouvoir dans la galerie à la clarté de la lune. Alors, naturellement curieux et hardi, il avait caché sa lanterne sous son manteau, et s'était avancé sur la pointe du pied près des deux fantômes, que son brusque éclat de rire venait d'arracher désagréablement à leur extase. Éthel fit un mouvement pour fuir Ordener, puis, revenant à lui comme par instinct et pour lui...
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La Chartreuse de Parme
Mademoiselle, avez-vous un ordre du gouverneur?
\24 Ah! si j'avais des armes! s'écria Fabrice; on me les a fait rendre pour me permettre d'entrer. Sans doute ils viennent pour m'achever! Adieu ma Clélia, je bénis ma mort puisqu'elle a été l'occasion de mon bonheur. Clélia l'embrassa et lui donna un petit poignard à manche d'ivoire, dont la lame n'était guère plus longue que celle d'un canif. \24 Ne te laisse pas tuer, lui dit-elle, et défends-toi jusqu'au dernier moment; si mon oncle l'abbé entend le bruit, il a du courage et de la vertu, il...
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Notre Dame de Paris
PHOEBUS.
dans l'attitude sombre et recueillie où les damoiselles l'avaient aperçu. Il était là, grave, immobile, absorbé dans un regard et dans une pensée. Tout Paris était sous ses pieds, avec les mille flèches de ses édifices et son circulaire horizon de molles collines, avec son fleuve qui serpente sous ses ponts et son peuple qui ondule dans ses rues, avec le nuage de ses fumées, avec la chaîne montueuse de ses toits qui presse Notre-Dame de ses mailles redoublées. Mais dans toute cette ville...
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Marivaux, la Vie de Marianne (extrait).
jour il vous laisserait dans une indigence, dans une misère dont vous auriez plus de peine à sortir que jamais : je dis une misère, parce qu’il s’agit de vous éclairer, et non pas d’adoucir les termes ; et c’est à tout cela que j’ai songé depuis que je vous ai quittée : voilà ce qui m’a fait sortir de si bonne heure de la maison où j’ai dîné ; car j’ai bien des choses à vous dire, Marianne ; je suis dans de bons sentiments pour vous ; vous vous en êtes sans doute aperçue ? — Oui, Monsieur, lui r...
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La rotisserie de la Reine Pedauque
Ayant ainsi parlé, M.
Tyriens ou de Sidoniens débarquant sur quelque côte à demi déserte et déballant au pied des rochers leur pacotille pour tenter les filles des tribus sauvages? Ces trafiquants leur donnaient des colliers de cuivre, des amulettes et des médicaments, contre de l'ambre, de l'encens et des pelleteries, et ils étonnaient ces belles créatures ignorantes en leur parlant des étoiles avec une connaissance acquise dans la navigation. Voilà qui est clair et je voudrais bien savoir par quel endroit M. Mosaïd...
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Aussi bien que jamais, vous pouvez en être sûr, dit Gandalf.
CHAPITRE HUIT LE NETTOYAGE DE LA COMTÉ La nuit était tombée quand, mouillés et las, les voyageurs finirent par atteindre le Brandevin, et ils trouvèrent le chemin barré. À chaque extrémité du Pont, il y avait une grande grille garnie de point es, et ils purent voir que, de l’autre côté de la rivière, de nouvelles maisons avaient été construites : à deux étages avec d’étroites fenêtres aux côtés verticaux, nues et faiblement éclairées, tout cela était assez lugubre et répondait pe...
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portefeuille de cordouan; il avait extrait du portefeuille un parchemin
La brise venait desedéclarer pleinnord. Elleétait tellement favorabledanssaviolence, etsiutile àl'éloignement de l'Angleterre, quelepatron dela Matutina s'était décidcouvrir labarque detoile. L'ourque s'évadait dansl'écume, comme augalop, toutes voileshors,ventarrière, bondissant devague envague, avecrageetgaîté. Lesfugitifs, ravis, riaient. Ilsbattaient desmains, applaudissant lahoule, leflot, lessouffles, lesvoiles, lavitesse, lafuite, l'avenir ignoré.Le docteur semblait nepas lesvoir, etsonge...
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CHAPITRE HUIT
LE NETTOYAGE DE LA COMTÉ
La nuit était tombée quand, mouillés et las, les voyageurs finirent par atteindre le Brandevin, et ils
trouvèrent le chemin barré.
« Je regrette, Monsieur Merry,ditHob, maiscen’est paspermis. » « Qu’est cequi n’est paspermis ? » « De recevoir desgens aupied levéetde consommer desvivres ensurplus, ettout ça », ditHob. « Qu’est cequi sepasse doncici ?ditMerry. L’année a-t-elleétémauvaise, ouquoi ? Jecroyais qu’ilavait fait unbel étéetque larécolte avaitétébonne. » « Enfin… non,l’année aété assez bonne, ditHob. Onfait pousser beaucoup denourriture, maisonnesait pas aujuste oùçapasse. Cesont tousces« ramasseurs » et« répartiteu...
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talons.
– Écoutez-moi, Copperfield,ditSteerforth, vousmelesraconterez. Jene peux pasm’endormir debonne heurele soir, etjeme réveille généralement degrand matin. Nouslesprendrons lesuns après lesautres. Cesera juste comme dans les Mille etune Nuits . » Cet arrangement flattasingulièrement mavanité, etlesoir même, nouscommençâmes àle mettre àexécution. Je ne saurais dire,etjen’ai nulle envie delesavoir, comment j’interprétai lesœuvres demes auteurs favoris ; maisj’avais en eux une foiprofonde, etjeraconta...
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Définition et usage du mot:
BEAU, BEL, BELLE, BEAUX, adjectif et substantif.
· [En parlant d'une collectivité, d'un groupe] Une belle race (de personnes, d'animaux). · Locution périphrastique. Le beau sexe. Les femmes. Synonyme : le sexe féminin : Ø 7. Ainsi sous la domination de l'homme, le beau sexe était tout pareil à un troupeau bien conduit, et si bien morigéné, que ce troupeau en était arrivé à faire lui-même sa police, et à chasser spontanément de sa masse toutes les têtes indociles, toutes les brebis galeuses. VALÉRY LARBAUD, Fermina Marquez, 1911, page 67. SY...
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- victor hugo napoléon le petit
- Madame bovary
- La leçon de violon de Hoffmann