7106 résultats pour "natura"
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Faut-il avoir peur du savoir ?
- Le savoir peut faire peur dans la mesure où il donne à l'homme une puissance et qu'il peut s'opposer à la viehumaine. Il s'agit alors de réfléchir à un savoir moral, qui permettrait de donner des règles et des limites au savoir.C'est pour cela d'ailleurs que beaucoup de philosophes ont proposé de réfléchir à la science et aux différentssavoirs. Ainsi la bio-éthique veut d'abord réfléchir aux savoirs qui sont légitimes et qui ne comportent pas dedangers et interdire les rech...
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L'homme est-il un loup pour l'homme ?
L'homme cherche seulement son bien proprePar une démarche naturelle, l'homme est à l'origine d'antagonismes qui ne peuvent manquer d'aboutir à unelutte permanente: «l'homme est» bel et bien «un loup pour l'homme» (Plaute). Hobbes, quant à lui, affirme quechacun est toujours pour l'autre une menace perpétuelle et que «les hommes aiment l'empire exercé surautrui». « Homo homini Deus, Homo homini Lupus. » (Hobbes). « Le peuple romain, peu équitable envers les rois à cause de la mémoire de...
- La poésie peut-elle constituer une aide à la compréhension du monde qui entoure les lecteurs ?
- Désir et ordre du monde
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Epictète: Partage des choses
Discussion La portée de ce texte est considérable : non seulement il définit d'une façon limpide et radicale la liberté et lebonheur, mais il donne aussi les éléments d'une définition de la personne en tant que volonté libre et inaliénable.Il ne faut pourtant pas négliger le fait que la liberté de notre esprit et la pleine maîtrise de nos facultés sontprofondément remises en cause. Que l'on songe, par exemple, aux critiques qu'adresse Spinoza aux Stoïciens dansl'Appendice de la premiè...
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l'homme est un être de désir: qu'en pensez-vous ?
n'était qu'une partie de la nature comme une autre, c'est-à-dire soumis à des lois. Les passions sont desphénomènes naturels comme les autres, qui ont des causes naturelles, comme tous les autres phénomènes naturels.Être passionné, ce n'est pas avoir une nature vicieuse ; il n'y a pas de nature vicieuse. Qu'un homme soit ambitieux,cruel, jaloux, cela s'explique de la même façon qu'on explique la chute des corps ou qu'un chien a la rage. On neblâme pas un chien parce qu'il a la rage on ne blâme p...
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La théologie chrétienne de l'amour
Je vais aujourd'hui vous parler de la théologie chré tienne de l'amour, mais je voudrais le faire sous un angle un peu particulier, puisque ce qui m'intéresse dans cette théologie, ce n'est pas simplement ce qu'elle signifie pour les croyants, mais ce qu'elle peut vouloir dire aussi pour les non-croyants, ce en quoi elle va leur léguer un héritage qui sera repris sous diverses formes dans la philosophie qui est, comme je vous l'ai souven...
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Charles XII de Suède
Ralenti par la guérilla polono-russe, au lieu de marcher sur Moscou avec quarante-trois mille hommes, il oblique versl'Ukraine, à l'appel de Mazepa et de ses cosaques, espérant y compléter ses forces, les Russes ayant opposé à sesraids la tactique de la terre brûlée. Sa marche vers le sud ne permit pas de recevoir les convois d'approvisionnementde Lewenhaupt, harcelés par l'ennemi. Après l'hiver de 17081709 qui décima ses forces, Charles XII, intraitable, neput s'emparer du magasin de Poltava,...
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HUME : Enquête sur l'entendement humain; Enquête sur les principes de la morale
HUME 325 nerait des essais dont certains, plus tard, furent rebaptisés Enquêtes. Le public accourrait, l'homme, enfin lisible, serait déjà moins seul, bientôt célèbre. On imaginerait encore que, des années plus tard, il mourrait serein. On attendrait le temps de la reconnaissance : Hume en bonne place face aux géants de la philosophie, salué par Kant pour avoir été le premier à ébranler la métaphysique ; Hume philosophe empiriste...
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Parties des animaux - Aristote
Textes commentés 47 On ne comprendrait guère que le traité des Parties des animaux s'ouvre par une sorte de revalorisation de la « culture générale » (paideia), si l'on ne remarquait, d'abord, que l'éloge est mitigé, et ensuite, qu'il touche à la question de la dialectique. Éloge mitigé, en effet, puisque, dans son domaine propre, le savant qui possède la «connaissance de la chose» (epistèmè tou pragmatos) reste, sur le fond, davantage compéten...
- L'homme peut-il réaliser son humanité dans le travail ?
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Dans le salon d'une mondaine, brillante et sophistiquée, de la fin du XIXe siècle, Guy de Maupassant fait porter par l'élégant Mariolle, un des personnages du roman Notre coeur (1890), le jugement suivant, au cours d'une conversation avec le romancier Gaston de Lamarthe : «Au temps où les romanciers et les poètes les (= les femmes) exaltaient et les faisaient rêver, elles cherchaient et croyaient trouver dans la vie l'équivalent de ce que leur coeur avait pressenti dans leurs lectures.
réalistes et entre autres à Zola : rappeler contre un certain optimisme du XVIIIe siècle et même du romantisme (cf.George Sand) qu'il n'y a pas de morale naturelle au sens précis du terme ; les paysans ne sont pas vertueux parceque la nature aurait sur eux on ne sait trop quelle influence bienfaisante : dans le village à peu près déchristianiséde Rognes ne règne que la violence des instincts, luxure, avarice, meurtre (La Terre). Assez curieusement onretrouve ici les attaques de Baudelaire...
- Après la pluie - Tiré du recueil « le miroir des jours » d'Albert Lozeau
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MACHIAVEL: Un prince bien avise ne doit point accomplir sa promesse...
Texte: Machiavel, Quelles sont les qualités du prince ? " Un prince bien avise ne doit point accomplir sa promesse lorsque cet accomplissement lui serait nuisible , et que les raisons qui l'ont déterminé a promettre n'existent plus : tel est le précepte a donner . il ne serait pas bon sans doute , si les hommes étaient tous gens de bien , mais comme ils sont méchants ,et qu'assurément ils ne vous tiendraient point leur parole , pourquoi devriez vous leur tenir la votre? et d'ailleurs , un prince...
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La liberté est-elle absence de contraintes ?
De quelle justice Xerxès s'est-il servi lorsque avec son armée il attaqua la Grèce (1), ou son père quand il fit laguerre aux Scythes ? Et encore, ce sont là deux cas parmi des milliers d'autres à citer ! Eh bien, Xerxès et son pèreont agi, j'en suis sûr, conformément à la nature du droit - c'est-à-dire conformément à la loi, oui, par Zeus, à la loide la nature -, mais ils n'ont certainement pas agi en respectant la loi que nous établissons, nous ! Chez nous, les êtres les meilleurs et les plu...
- Philosophie de l'éducation
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VOLTAIRE: Derviche (Candide) - commentaire
188 TEXTES COMMENTÉS ET COMPARÉS Voltaire a composé Candide pour réfuter le système philo- sophique de Leibniz, l'optimisme, suivant lequel Dieu a créé le meilleur des mondes possibles. Pas plus que dans ses autres contes, il ne se propose de raconter une histoire vraisemblable, de placçr des personnages psychologiquement vrais dans un milieu réel. Il promène ses héros, le jeune Candide et son maître Pangloss, à travers toutes sortes d'aventures extraor- dinaires et fâcheuses qui so...
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La religion conduit-elle l'homme au-delà de lui-même ?
1. La religion comme invitation faite à l'homme de se dépasser. L'expression au-delà de lui-même nous invite à considérer en quoi la religion est, pour l'homme, le moyen de sedépasser lui-même. N'est-il pas en effet évident que la religion en général, en proposant à l'homme une réalisationde son être dans sa vie terrestre comme dans sa vie future, le guide dans le sens d'une négation de ce qu'il estnaturellement? Toute religion demande au fidèle, au croyant, un détachement : il doit s'efforcer...
- René Pomeau et Jean Ehrard (Littérature française, t. V : de Fénelon à Voltaire, Arthaud, 1984) analysent ainsi le mythe du «bon sauvage» au XVIIIe siècle
- Balzac - Le lys dans la Vallée
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Commentaire du poème Avec ses vêtements ondoyants et nacrés
b) Elle ressemble à un serpent (faune des pays chauds) -allongement suggéré : comparaison vers 3 (« longs »), enjambement vers 3 /4, et v8 « elle se développe », lerapprochement est également possible par le jeu des sonorités (allitérations en S v3, en B et T pour rendre comptedes gestes des charmeurs de serpents). -elle évoque une certaine lascivité : symbolique biblique du serpent, image de la tentation dans la Paradis terrestre. 3. Par le mystère qu'elle dégage Elle...
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La philosophie de Parménide
Héraclite et certains Pythagore. Au contraire, diront les autres, mus par le sentiment que Parménide ne parle pasnégativement contre quelqu'un, mais positivement pour quelque chose, il y a bien en un sens une troisième voie ;mais cette troisième voie, n'étant pas voie de vérité, ne peut, si elle doit cependant être voie, que correspondre, àmi-chemin de la vérité, à une sorte d'hypothèse qui, par elle-même sans valeur philosophique, reste cependant à laportée de ceux qui ne peuvent pas s'élever...
- On habite avec un cœur plein, un monde vide.
- CORRIGÉ DE COMMENTAIRE DE TEXTE PHILOSOPHIQUE
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L'homme politique est-il un artiste ou un technicien ?
de classe. Ces lois sont à la fois fixes et soumises à un processus évolutif dialectique dont le capitalisme est ledernier moment. La politique comme objet de science, qui se révèle être une science économique, permet donc à lafois de comprendre le passé et de prévoir l'effondrement du capitalisme sous le poids de ses propres contradictions -et en particulier de la loi de baisse tendancielle du taux de profit.L'histoire ne semble pas avoir donné raison à Marx, puisque la révolution prolétarienne...
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La Pastorale, 6e symphonie 1808 Ludwig van Beethoven (1770-1827)
La Pastorale, 6e symphonie 1 317 de la source, l'odeur de l'herbe foulée, la fraîcheur de l'aquilon, le frémissement des feuilles, la délicatesse des pétales. Un arc-en-ciel musical La Pastorale ne se limite toutefois pas à une carte postale musi cale des impressions d'un promeneur en extase. Beethoven ne se contente pas d'enregistrer à sa manière les bruits d'une nature qui lui offre son giron. Avant tout, il s'agit de dépeindre, le plus minu tieu...
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Le beau est-il universel ?
La « prétention à l'universalité du jugement esthétique »a. Cependant, la thèse que nous venons de soutenir sur le beau est sans aucun doute beaucoup trop triviale. PourKant, le beau est bien universel, car il est la valeur à laquelle se réfère tout jugement . Il est défini par Kant comme « ce qui plaît universellement sans concept ». Désintéressé, le jugement esthétique est purement contemplatif et ne porte que sur l'aspect de l'objet, indépendamment de tout intérêt qui pourrait...
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Le but de la science est-il une réussite technique ?
philosophies des techniques en définissant plus spécifiquement la techno-science comme « la science en action », c'est-à-dire la science qui se fait et comment elle se fait et non une construction idéalisée ou diabolisée. Elle secaractérise comme suit : les techno-sciences sont d'abord une rhétorique, une éristique. Elles sont des entreprisescomplexes mobilisant en réseaux des acteurs humains divers mais également des acteurs non humains, comme desmachines, des moyens de transports et de com...
- En quoi le passage de la scène de l'incident du train dans la neige dans La Bête Humaine de Zola marque-t-elle un point de non-retour dans l'intrigue?
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Tout savoir est-il aussi un pouvoir?
On peut d'ailleurs se demander si cette conception utilitaire à la science n'est pas conforme à la sagesse et s'il nefaut pas tenir que la science est pour l'homme et non pas l'homme pour la science. Or quoi de meilleur pour celle-ciqu'une humanisation progressive de la vie grâce à une maîtrise de plus en plus complète des forces de la nature ?Voilà bien, il est vrai, un but immédiat de première importance, et peut-être le premier en importance. Mais il reste àpréciser les caractères d'une vie v...
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Travailler est-il un obstacle à la liberté ?
Abordons le problème de la division du travail, cad la répartition des tâches nécessaires et le problème général desconditions de travail. On peut considérer la division du travail du point de vue de son efficacité pour la production des biens nécessaires àla société, donc de son utilité économique. Mais il faut aussi considérer les conséquences de la division du travailsur la personne du travailleur. L'utilité économique de la division en métiers paraît évidente : elle est la condition d'une p...
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« L'homme n'est pas un empire dans un empire. » (Spinoza.)
Ces moralistes ont donc une conception erronée de la liberté. Parlant des passions, ils « semblent traiter non dechoses naturelles qui suivent les lois communes de la nature, mais de choses qui sont hors de la nature [...] Ilscroient en effet que l'homme [...] a sur ses actions un pouvoir absolu. » La religion et la tradition philosophique fontde l'homme une exception dans la nature en affirmant que sa volonté est libre, qu'il peut décider en toute autonomiede ses actes. Cette exception ne se ju...
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Plaisir et morale ?
III. — ACCEPTER LE PLAISIR EN LE CONTRÔLANT. Que va dire le moraliste devant ces constatations du psychologue ? a) Sa conclusion tout à fait classique est bien simple : on peut goûter les plaisirs, mais en surveillant toujours sonattachement, de façon à ne pas se laisser entraîner trop loin et à ne jamais sacrifier à un attrait un devoir, quel qu'ilsoit. b) Mais nous pouvons relever deux raisons de pousser loin le détachement et de sacrifier parfois les plaisirs permis :le parti pris de se livre...
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Baruch Spinoza: Qu'est-ce que la vérité ?
effet, «les idées ne sont pas autre choses en effet que des récits ou des histoires de la nature dans l'esprit». SPINOZA (Baruch). Né à Amsterdam en 1632, mort à La Haye en 1677. Il apprit l'hébreu, le latin, le français dans les écoles juives et latines, et travailla dans la maison de commercefamiliale. Accusé d' « effroyables hérésies », Spinoza échappa de peu à un assassinat en 1656, et fut excommuniéde la synagogue la même année. Il apprit la taille des instruments d'optique, vendit...
- SPINOZA : APPENDICE AU LIVRE 1 DE L'ETHIQUE
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BUFFON ET L'« HISTOIRE NATURELLE »
Daubenton pour l'anatomie des quadrupèdes, Guéneau de Montbéliard et l'abbé Bexon pour les oiseaux, Buffon dutrenoncer à traiter du règne végétal et de la micro-biologie. Avant tout, l'Histoire naturelle est une minutieusedescription de centaines d'espèces animales ou minérales. Mais Buffon a la passion des idées générales et desgrandes questions scientifiques. Dans les trois premiers volumes de 1749, qui constituent une sorte de prologue, etdans plusieurs Discours particuliers...
- Montaigne, des cannibales, I,31
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Un objet technique peut-il etre objet d'art ?
Analyse du sujet : - Un objet technique est généralement un objet qui ne vise pas la beauté et dont la fonction est purement utilitaire. - Cependant, cela n'empêche pas que les hommes fassent des tentatives pour allier la beauté et l'utilitaire : il en est ainsi du design, cette discipline qui cherche à harmoniser l'environnement humain enembellissant les objets. - La question reste cependant de savoir si le design s'est proposé un objectif qu'il...
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Lecture analytique DIDEROT « Le supplément au voyage de Bougainville »
3. Instinct de possession et volonté de domination. Sens de propriété « l.13 : je ne sais quelle distinction entre le tiens et le miens » qui leur fait envisager l’appropriation matérielle de l’île « l.8 : ce pays est à nous » Projet d’asservissement du peuple : l.13 « t’emparer comme de la brute » l.6 « notre futur esclavage » l.12 « nous asservir » l.7 « faire des esclave » Domestication des indigènes assimilés à des bêtes de sommes : l.13 « comme de...
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Le bonheur dépend-il de la volonté ?
par ses conséquences. Voir ici le texte de Berkeley, Obéissance passive , p. 363, 364. Nous devrons savoir faire un calcul des moyens en vue de cette fin qu'est le plaisir. Parfois il nousfaudra nous refuser un plaisir immédiat en vue d'un plaisir ultérieur plus grand. L'animal n'estguidé que par l'instinct, l'homme doit lui substituer l'instinct une réflexion fondée. Celui qui se vaudra d'emblée dans le plaisir sans réflexion, est en dessous de l'animal, véritable pourceauhumain, car il n'e...
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photographie de Margaret Bourke-White
1. Présenter ce document (nature, thème et contexte). La photographie a été prise par Margaret Bourke-White en 1937 à Louisville dans le Kentucky aux Etats-Unis. L’Amérique subit la crise économique causée par le crack de Wall Street de 1929. Malgrés le « New-Deal » programme de relance de l’économie et de lutte contre le chômage et la misère, mit en œuvre par Roosevelt (élus président en 1932), il existe un véritable désespoir social et humain le pays compte plusieurs millions...
- Peut-on parler de choix inconscient?
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La Faute de l'abbé Mouret de Zola (résumé)
Le jeune abbé revient dans son église, sourd aux prières d'Albine. La faute, pour Zola, est de la laisser mourir avec l'enfant qu'elle attend, car l'amour est la grande loi de la Nature. Le Soleil, force de vie et source de lumière, est le personnage essentiel de ce drame, auquel il donne son rythme. «Prodigieux poème hindou », selon les mots que Huysmans prête à Des Esseintes, la Faute de l'abbé Mouret, comme en marge des Rougon-Macquart, est aussi un...
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LA MALADIE D'UN ÊTRE VIVANT EST-ELLE COMPARABLE À LA PANNE D'UNE MACHINE ?
préalables erronées. La vérité ne s'atteint que par la réfutation d'erreurs, et l'histoire de la science en son progrèsest une longue et patiente correction d'erreurs. La vérité de la science consiste dans un véritable repentirintellectuel. Connaître, c'est connaître contre une connaissance antérieure. Nulle pensée scientifique ne démarred'un point zéro ou d'une table rase des connaissances antérieures. II. La maladie — En travaillant l'opposition pathologique-sain, on constate que l'...
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L'interrogation est-elle une force ou une faiblesse ?
peut très bien l'assimiler au doute. Et c'est par-là qu'action et connaissance se rejoignent. Carcomme si le doute, l'interrogation apparaît fondamentalement comme purement négative pourle sujet ainsi tiraillé : incapable de réfléchir, de dépasser son doute et ses propresinterrogations (existentielles par exemple), mais tout autant incapable d'agir ; le doute estalors signe de faiblesse absolue en cela qu'il empêche, fait obstacle à toute prise de position, àtout choix et donc a for...
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Pouvons nous connaître quelque chose ?
Cette phrase (« Je pense donc je suis ») apparaît au début de la quatrièmepartie du « Discours de la méthode », qui présente rapidement lamétaphysique de Descartes. On a donc tort de dire « Cogito ergo sum »,puisque ce texte est le premier ouvrage philosophique important écrit enfrançais.Pour bien comprendre cette citation, il est nécessaire de restituer le contextedans lequel elle s'insère. Le « Discours de la méthode » présentel'autobiographie intellectuelle de Descartes, q...
- L'Art Est-Il Inutile ?
- Rousseau
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désirs
Il faut tout d’abord connaître pour pouvoir juger. L’anormalité s’établit par l’évaluation d’une chose ou d’une action en fonction de sa conformité à une norme morale. Mais la nature fournit-elle des normes pour accréditer le jugement ? Pour juger moralement, il faut nécessairement comparer « ce qui « est avec une représentation de ce qui « devrait être » . Porter un jugement moral sur le désir de quelqu’un, c’est présupposer qu’il aurait pu faire « autrement ». On condamn...
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La loi est-elle la force des faibles ?
mêmes et de leur intérêt personnel que les faibles font les lois, qu'ils attribuent des louanges, qu'ils répartissent desblâmes. Ils veulent faire peur aux hommes plus forts qu'eux et qui peuvent leur être supérieurs. C'est pour empêcherque ces hommes ne leur soient supérieurs qu'ils disent qu'il est vilain, qu'il est injuste, d'avoir plus que les autres etque l'injustice consiste justement à vouloir avoir plus. Car, ce qui plaît aux faibles, c'est d'avoir l'air d'être égaux àde tels hommes, alo...
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