8651 résultats pour "chose"
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« La poésie montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement [...] Mettez un lieu commun en place, nettoyez-le, frottez-le, éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et avec la même fraîcheur, le même jet qu'il avait à sa source, vous ferez œuvre de poète. » Jean COCTEAU, Le secret professionnel. Éclairez par des exemples précis tirés de vos lectures ou par révocation d'expérien
exemple la variété de rythmes, les cadences imitatives, l'ampleur symphonique des Méditations poétiques et desHarmonies poétiques et religieuses. Se rappeler aussi le célèbre : « De la musique avant toute chose... De lamusique encore et toujours !... » de Verlaine (Art poétique, dans Jadis et Naguère). « Le chant naturel de l'homme est triste » (Chateaubriand). Aussi la poésie, depuis le Romantisme surtout, est-elle chant triste, expression de la douleur. « Les plus désespéréssont les...
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DIEU est-il créateur ou créature de l'homme ?
action, de toute et chaque activité, de tout et chaque vouloir, tous les hommes et tous les peuples ont unecertaine conscience de Dieu, de la substance absolue comme vérité qui est la vérité d'eux comme de tout, de toutleur être et de toute leur action. ». Transition : Ainsi Dieu serait le créateur de tout. L'homme ne serait que l'une de ses créatures lui devant tout, notamment unincommensurable amour. Toutefois, cette croyance en Dieu n'est-elle pas issue d'un besoin de croire ?...
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HOBBES: Nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes principales de querelles
Les éléments fondamentaux sont mis en place : · parce que l'homme est poussé par un insatiable appétit de domination et qu'il cherche aussi à se protéger contre les agressions d'autrui par des actions préventives, la situation (« état de nature ») qui précède la vie en société se ramène à une guerre perpétuelle ; · la paix entre les hommes ne peut être obtenue que si tout le monde se soumet à une autorité (« un pouvoir commun ») qui contraint (« les tient en respect ») l...
- Peut-on être sûr d'être libre ?
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
2 2 « Par le mot de penser, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous -mêmes ; c’est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est l a même chose ici que penser. » Cet acte de se penser soi -même est la réflexion. C’est le fait de savoir que l’on est, et de savoir qui l’on est. En ce sens, toute consci ence est acc...
- l'amour annule-t-il tout jugement ?
- cela, on tourne toute la puissance de son esprit vers
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Le savoir peut-il se passer du recours à l'expérience ?
première partie que l'expérience sensible est une condition nécessaire: sans expérience nous ne pourrions rien diredu monde. Toutefois, au regard de nos objections, serait-il encore fondé de dire que l'expérience nous livre laconnaissance de ce qui est objectivement? Peut-elle constituer à elle seule un savoir universel? Toutefois, l'expérience n'est pas une condition suffisante du savoir.Pour le sens commun, ce que nous connaissons le plus distinctement, est ce que nous livrent nos sens,...
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Par opposition à la science, à l'activité sociale, à l'esthétique, la philosophie ne vous apparaît-elle pas comme narcissisme stérile, barricadée dans un solipsisme qui prend ses désirs pour des réalités et aboutissant tout au plus à une « oeuvre » littéraire, donc esthétique, perdue parmi les autres ?
ce que la philosophie de Platon sinon le monde tel qu'il se réfracte à travers l'âme de Platon ? Par là s'explique ladiversité des systèmes : l'âme d'Aristote est aussi différente de l'âme de Platon que celle de Beethoven peut l'êtrede celle de Bach. Chaque philosophe crée son univers comme fait chaque peintre ou chaque musicien; c'est unmême univers sans doute, mais que chacun voit, entend ou comprend selon sa personnalité propre. Et certes on nepeut nier qu'il y ait de la beauté en ces gra...
- TEXTE: Correspondance, année 1647, A Monsieur CHANUT, 1er février 1647. DESCARTES
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Connaissons-nous par la seule raison ?
pour l'objectif [...] ; et ainsi il en vient à prendre le phénomène pour l'expérience et à tomber par là dans l'erreur, comme en une faute de l'entendement, non comme en une faute des sens.KANT3.Remise en question de l'a priori selon lequel toute connaissance commence par l'expérience :Cependant, percevoir, est-ce savoir ? L'enfant qui voit la mer sait-il qu'elle est bleue ? Et, même, la voit-il bleue ? Il est possibled'avancer en effet l'hypothèse que l'enfant ne reconnaît à la mer la caractér...
- Les sciences de l'homme doivent-elles s'inspirer des méthodes utilisées dans les sciences de la nature ?
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Peut-il y avoir une pensée sans mots ?
On comprend mieux dans ces conditions que Bergson définisse le mot comme un « voile ». Le mot jette sur la chose un obstacle qui ne la laisse qu'à demi visible. On ne peut plus que deviner la chose à traversle mot : la métaphore du masquage ajoute ici l'idée d'une dissimulation volontaire. Le langage renforce doncbien le système d'habitude des besoins. En quoi maintenant le mot obscurcit-il la chose ? Le langage n'estcapable de désigner que ce qui est utile à l'action, donc d'une chose il...
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L'hypothèse de l'inconscient est-elle immorale ?
conscience que sous une forme voilée, déformée, indirecte : le lapsus, le rêve, ou le symptôme maladif. Le symptôme est donc un compromis entre le désir inconscient et inavouable que je subis, et les normesconscientes et morales que j'accepte. « Le moi n'est pas maître dans sa propre maison » signifie que je n'ai pas conscience et que je ne maîtrise pas, ne contrôle pas une bonne part de ce qui se passe en moi-même, ce conflit,ce symptôme. L'hypothèse de l'inconscient est donc qu'une...
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La vocation de l'art consiste-t-elle nécessairement à rendre "durable"ce qui n'est que "fugitif" ?
La question au centre de notre travail sera donc de déterminer si l'art est un procédé valable pour pérenniser lessentiments et les existences fugitives. I. La vocation de l'art consiste nécessairement à rendre durable le fugitif a. L'art est dans le domaine de l' « œuvre », non du « travail » Nous commencerons par soutenir la thèse qu'il appartient à la nature même de l'art de rendre durable ce qui estfugitif, de sorte qu'il s'agit nécessairement de sa vocation....
- Vocabulaire: CHOSER2, verbe transitif.
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- De quelle manière peut-on définir le rêve?
- Peut-on définir l'être comme ce qui est ?
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LA VÉRITÉ, EST-CE LA COPIE DE LA RÉALITÉ ?
« On définit la vérité par la conformité de l'intellect et du réel. Connaître cette conformité, c'est donc connaître lavérité. » Saint Thomas, Somme théologique, 1266-1274. C'est la définition classique de la vérité comme correspondance avec la réalité, ou comme adéquation de l'esprit etde la chose. « Le recouvrement d'une chose par une représentation ne serait possible que si la chose était, elle aussi, unereprésentation. Et si la première s'accorde parfaitement à la seconde, elles coïncident...
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Nietzsche: un bouleversement radical des valeurs
interrogeant le sujet, ce qu'il en déclare, cad ses intentions. Le sujet dira pourquoi il a fait ceci ou cela.L'autre approche est celle qui s'efforce d'aller au-delà de la surface des choses (ou des gens), et du mêmecoup s'efforce d'atteindre la réalité. Dans cette démarche, on ne s'intéresse pas à ce que l'on saitspontanément, à ce qu'on voit. ON cherche à aller au-delà des déclarations, vers ce qui est non-intentionnel.Nietzsche distingue le superficiel du profond, le conscie...
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La liberté de penser consiste t'elle pouvoir penser tout et n'importe quoi?
· La description stoïcienne (Epictète, Manuel , « Pensées » 1 à 16) de la souffrance nous permet de comprendre comment l'idée de liberté de penser met en jeul'idée d'une coupure entre l'extérieur et l'intérieur, entre lepropre et l'étranger. Avec eux, on s'aperçoit que si lesévénements et les choses ne dépendent pas de nous, lejugement que je porte sur elle dépend entièrement de nous. Parconséquent, nous sommes les maîtres absolus de notre penséeet de nos jugements. La l...
- Individu et société (texte)
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Pourquoi étudier est-il important ?
La scission entre l'objet des études et les qualités requises pour un emploi b. Mais nous pouvons également distinguer une autre raison plus pragmatique pour affirmer qu'étudier n'est pas siimportant que nous sommes portes a le croire : parce que ce que nous apprenons est souvent étranger a ce dontnous avons besoin pour travailler. En effet, il apparait bien souvent que les employeurs se rapportent aux diplômesdétenus par les individus moins comme les indices que ces derniers détiennent u...
- À, AU, AUX, préposition.
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commentaire Hume "l'entendement humain"
L'accoutumance est le grand guide de la vie humaine 1 David Hume (1711-1776) 1 Un petit Essai vaut parfois mieux qu'un gros Traité. Bien des philosophes devraient ainsi méditer l'exemple de Hume: auteur précoce, certainement un peu pressé, David Hume commence à 23 ans la rédaction d'un imposant Traité de la nature humaine (1739-1740), dont il espère qu'il lui permettra de révolutionner la philosophie comme Newton la physique. Avec cette œuvre monumentale, Hume ambitionne d'importer la méthode...
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Quelle est la différence entre l'art et la technique ?
Mais ne peut-on proposer de l'art une définition plus spécifique, qui permette de le distinguer radicalement de latechnique? 11. Les différences entre l'art et la technique . La première différence entre l'art et la technique concerne le rapport à la science ou au savoir. Alors que latechnique consiste en la mise en application d'une théorie, l'idée vient à l'artiste au fur et à mesure qu'il crée. Parexemple, l'architecte conçoit et dessine sa maison avant de la construire. En revanche, «...
- Peut-on à la fois valoriser l'opinion et la combattre dans le travail de la pensée?
- Une oeuvre d’art peut-elle être périssable ?
- le fait
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Que signifie l'expression: mon corps ?
LE MONDE, L'HOMME, DIEU 277 " mère possessives "• par exemple -qui nous aideront à pren dre une conscience plus nette de la diversité des sens du " possessif » mon. A. Est dite " possessive» la mère qui, inconsciemment et sous le couvert de la tendresse, tend à faire de son enfant le moyen de satisfaire ses propres besoins affectifs, le considé rant en somme comme sa chose. Dans ce cas, le " mon » de " mon enfant » présente à peu...
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Les limites de la raison ?
Valeur et limites de la Raison La très ancienne définition de « l'homme, animal raisonnable » nous invite à penser que la raison a été considérée de touttemps par la philosophie comme l'instrument intellectuel par excellence et la plus haute valeur de la nature humaine. Cetinstrument n'est, pour, ainsi dire, jamais saisi par la conscience claire. Les principes de la 'raison, dit LEIBNIZ, sontnécessaires pour penser « comme les muscles et les tendons le sont pour marcher quoiqu'on n'y pen...
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Peut-on librement interpréter une oeuvre d'art ?
conscience une chose qui pense. Descartes établissait une sorte de parallèle entre la « chose étendue », le corps, et la « chose qui pense », la conscience. Husserl reste attentif à une propriété remarquable de la conscience : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Chaque fois que je pense, je pense bien à quelque chose. Cela veut dire que le « Je », la conscience vise toujours autre chose qu'elle-même. La conscience, si l'on veut, n'est jamais enfermée en ell...
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HEIDEGGER : Lettre sur l'humanisme; Être et Temps; Qu'est-ce que la métaphysique ?; L'Origine de l'oeuvre d'art
HEIDEGGER 283 l'édition de ses œuvres complètes : Wege, nicht Werke, « des chemins, non des œuvres », à garder en mémoire dans la quête d'une orientation qui donne le sens, lorsqu'on introduit à la question étrange et radicale de la vérité de !'Être. Ce cheminement n'est pas tant la métaphore de l'œuvre, que l'œuvre une métaphore de cette orientation toujours recherchée. Parmi les nombreux écrits qui visent ce pôle commun,...
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Qu'est ce que la vie en société apporte à l'homme ?
autres hommes des liens libres, libérés de tout enjeu vital.Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réalité naturelle, et surtout, qu'elle estantérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'homme n'est pas autosuffisant : il n'est qu'une partie d'un tout : la cité, comme la mai est partiedu corps. Pas plus que la main n'existe réellement sans le corps, l'individu humain n'existe sans la cité. C'est d'elle qu'il reçoit s...
- Misère et grandeur de l'homme chez Pascal
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Dictionnaire en ligne:
DÉSOLIDARISER, verbe transitif.
finalisme substantiel, il n'est pas seulement imprudent, mais peut-être machiavélique... VLADIMIR JANKÉLÉVITCH, Le Je-ne-sais-quoi et le presque- rien, 1957, page 209. Remarque : 1. " L'influence de l'antonyme a pu provoquer la combinaison « se désolidariser d'avec » qui n'est pas recommandable " (ENCYCLOPÉDIE DU BON FRANÇAIS DANS L'USAGE CONTEMPORAIN (PAUL DUPRÉ) 1972). Cependant on rencontre fréquemment cette construction chez les auteurs moderne 2. N'est attesté ni dans Dictionnaire de l'Ac...
- DISTINGUER, verbe transitif.
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L'art offre-t-il une autre vision du monde ?
façon de penser, de son appréhension personnelle. Chaque artiste présente une vision différente du monde etde la réalité : son approche est toujours personnelle, individuelle et originale. Elle est particulière mais cettedimension particulière atteint une portée universelle par le regard que les autres hommes portent sur sonœuvre. L'artiste ne donne pas à voir le monde, la réalité dans toute sa vérité, mais son monde, sa manière particulière d'appréhender le réel. Il ouvre la réalité...
- L'association de mots comme méthode d'exploration du dissimulé ou de l'inconscient. CARL JUNG
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Définition:
CADRER, verbe.
A.? Litt?raire, rare. 1. Placer en ajustant?: ? 5. Qu'un homme r?pande des larmes sans objet, (...) on l'enferme ? Bic?tre, parce qu'il ne cadre pas sa pens?e dans nos moules habituels. ERNEST RENAN, L'Avenir de la science, 1890, page 426. 2. D?limiter, d?finir?: ? 6. Le manuscrit de l'auteur, c'est la premi?re ?dition qui leur soit saisissable [aux philologues] (...). C'est de l? qu'ils commencent ? dater l'oeuvre. C'est de l? qu'ils commencent ? cadrer le g?nie... CHARLES P?GUY, Clio,...
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NADA
Où puis-je m'essuyer ?
C'est beaucoup, Nada,etjete remercie. NADA Ne meremercie pas.Carilparaît quel'un deces articles tedonne ledroit d'avoir taboutique, tandis que l'autre t'enlève celuid'yvendre quelque chose. L'HOMME Qu'est-ce doncquecela ?
- Le mode de production(1) de la vie matérielle domine en général le développement de la vie sociale
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La fortune est femme. Machiavel
216 / Fortune ruinerait toute la tentative machiavélienne, et plus radi calement tout essai de penser l'action politique et ses conditions. Ce chapitre s'inscrit donc au coeur de deux préoccupa tions-propres à Machiavel. D'une part, il s'agit comme dans tout le Prince de proposer les conditions d'une action politique efficace, et d'une stabilité politique qui fait cruellement défaut à l'Italie. D'autre part, Machia vel balaye toute différence e...
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Avons-nous besoin du désir des autres ?
sur quelque chose qui dépasse la réalité donnée, c'est-à-dire sur un autre désir. Chez l'homme la valeur c'est ledésir lui-même, car il est fonction du désir de la reconnaissance face à l'autre (humain), d'où cette volonté que l'onsoit reconnu par l'autre comme valeur autonome. La réalité de la conscience de soi ne peut émerger que par cedésir de reconnaissance, dans une lutte pour la vie, où l'homme risque sa vie afin de prouver à l'autre sa supériorité,sa valeur : « le rapport des deux conscie...
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freud sujet
On attribue a une personne un parle. En justice cela s'appelle l'imputation, on impute quelque chose a une personne. Quand je dis moi, c'est en rapport avec mon histoire, histoire garantie par la mémoire. Le problème d'imputer des actions ou des paroles doit s'appuyer sur l'imputation propre a chacun, si on a pas souvenir, on ne peut intégrer cette erreur ou cette action a soi. Ainsi se pose la question de la responsabilité. La conscience est coextensive à la mémoire, c'est-à-dire quelles ont l...
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Dictionnaire en ligne:
EMMERDER, verbe transitif.
CÉLINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, page 209 ). Thorez, je lui crache dessus, le gouvernement, je l'emmerde! (MARCEL AYMÉ, Uranus, 1948, page 225 ). Remarque : 1. Avec un souci de décence, le verbe et ses dérivés sont parfois écrits : emm... Le nom seul de mon roman [Salammbô] m'emm... jusqu'au fond de l'âme (GUSTAVE FLAUBERT, Correspondance, 1862, page 22). 2. On rencontre dans la documentation le participe passé adjectivé emmerdé. Synonyme trivial de embarrassé, ennuyé. Un petit secrétair...
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Le Ménon de Platon met en scène le dialogue de Socrate avec Ménon, élève du sophiste Gorgias.
mythe de la réminiscence : notre âme, lorsqu'elle vivait dans « le monde des Idées » (c'est-à-dire des vérités éternelles), a connu toutes les vérités. Mais, en s'incarnant dans notre corps, elle a oublié son savoir passé. C'est pour cela qu'à la fois nous pouvons ignorer ce qu'est la vertu et en même temps avoir l'idée de la chercher : parce que l'ayant connue, notre âme se souvient qu'il existe quelque chose comme « la vertu », même si elle a oublié ce qu'est la vertu. Ou encore : de la vertu,...
- Apparence et réalité
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- Qu'est ce que la conscience pour Sartre?
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L'unanimité est-elle un critère de vérité ?
La vérité, en art et en science, fait l'unanimitéToute loi scientifique est tenue pour vraie à partir du moment où l'ensemble de la communauté scientifique en reconnaît la validité. En art, ainsi que ledit Kant, «« Est beau ce qui plaît universellement sans concept » (Critique de la faculté de juger). Le fait que la satisfaction esthétique soituniverselle, valable pour tous découle de la première définition. En effet être sensible à la beauté relève d'une sensibilité purifiée de la convoiti...