884 résultats pour "citoyens"
- Que veut-on dire lorsqu'on parle du droit à la différence ?
- Athènes au Vème et IVème siècle av J.C
- ecjs
- Peut-on parler d'un droit a la différence ?
- L’évolution des régimes démocratiques
- Que veut-on dire lorsqu'on parle du droit à la différence ?
-
ROUSSEAU: Gouvernement et Fortune
par la corruption, et soumise au règne de l'argent. L'apologie sans nuances, aujourd'hui, de « l'économie de marché» n'est pas sans rapport avec la « vénalité » que Rousseau stigmatise. Et l'exaltation du règne des « gagneurs »,courante dans les sociétés capitalistes pudiquement rebaptisées « libérales », n'appelle-t-elle pas le jugementcritique formulé avec vigueur par l'auteur du texte lorsqu'il écrit « la considération se compte avec les pistoles » ?Les quatre dernières lignes du texte soulig...
- CIVIQUE, adjectif.
-
-
Le Régime Totalitaire
-Qu’est ce qu’une dictature ? L’origine du terme dictature date de la Rome Antique, elle désignait un état de la république romaine, au quel un magistrat (le dictateur) se voyait confier de manière temporaire et légale les pouvoirs en cas d’embarras graves. Plus général, une dictature se traduit par un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes ont entre leurs mains tous les pouvoirs de façon absolue et arbitraire, sans limite. La dictature est mise en place et se...
- Histoire (Partie 1) La Révolution Française Partie I 1774/1789 1774 : avènement de Louis 16 I) L'influence des révolutions d'atlantiques.
-
Peut-on tout attendre de l'État?
s'en occupe à sa place. La politique ne concerne l'individu que dans la mesure où elle lui permet de " bien vivre .. (Aristote) , c'est-à -dire de se réaliser en tant qu'indi vidu sur les plans du bonheur (vo1R FICHE 44), de l'existence et de la pensée. C' est dans la mesure où l' État parvient ainsi à satisfaire les intérêts de tous qu'il est pos sible de tout attend re de lui. 2. C 'est pour cela qu'il est également légitime de to...
-
LA CITOYENNETE DANS LE MONDE ANTIQUE
grâce à sa victoire contre les Perse. Et puisque Ath ènes domine la M éditerran ée, elle domine le commerce. Le signe d' égémonie ( Direction des op érations militaires par une cit é grecque faisant alliance avec d'autres ) est montr é par le transfert du tr ésors de Dellos à Ath ènes. II: Organisation politique : une citoyennet é ferm ée. a ) Qui est citoyen ? document 3 page 47 On a une r éforme : La r éforme de clisth ène Nous avons une citoy...
- Rousseau - Gouvernement Et Obéissance
- Commentaire de texte de Montesquieu
-
La République et la Nation
• « La nation suppose un passé ; elle se rèsume pourtant dans le présent par un fait tangible : le contentement le dèsir clairement exprimé de continuer la vie commune. !:existence d'une nation est[ ... ] un plébiscite de tous les jours , comme l'existence de l'individu est une affirmation perpétuelle de la vie. » • La nation est donc, pour Renan, un produit de la volonté humaine, l'expression d 'un vouloir-vivre-ensemble. Renan reconnaît toutefois...
-
Les hommes pourraient-ils vivre sans gouvernants ?
puissance supérieure sa liberté naturelle et ses droits. Ainsi Hobbes, armé de sa grille de lecture de la nature humaine, pose l’homme comme foncièrement égoïste dont le déploiement « naturel » ne peut que débouche r dans une multiplication de conflits locaux, à ce que le philosophe anglais décrit comme « Homo homini lupus ». Le recours à un gouvernement trouve sa justification dans l’instinct de survie, dans la recherche naturelle d’ une puissance extérieure et supérieure à tout...
-
-
L'exclusion des immigrés remet-elle en cause leur citoyenneté ?
le respect d’une loi religieuse. L’immigré, forcé d’exercer une certaine soumission à une nouvelle politique intérieure, développe souvent un sentiment de réclusion, en aucun cas favorable à son intégration. Vient ici le sujet se rapportant à l’exclusion de l’individu qu’il serait indiqué d’aborder. Si nous suivons la logique précédemment énoncée, selon laquelle certains étrangers perçoivent la naturalisation comme permettant l’intégration, il serait évident de penser que toute exclusion supprim...
-
Peut-on être un individu en dehors de l'Etat ?
peut être fondée que sur un titre positif. >> (Rousseau). On ne peut alors garantir selon lui la liberté de chacun detous uniquement si l'on fonde un Etat républicain fondé lui-même sur la souveraineté populaire. Ainsi le peuple estsouverain, les lois sont l'expression de la « volonté générale » et sont votés par le peuple pour le peuple. Ainsi, enplus de pouvoir s'épanouir dans un Etat où l'ordre est établi, ou les lois sont adaptées aux citoyens, l'individu estégalement acteur à l'intérieu...
- La citoyennete dans le monde antique
- cité grecque
-
La citoyenneté à Rome
condition de sa mère. Néanmoins, dans un seul cas l’enfant né ho rs d’un iustum matrimonium ne suit pas la condition de la mère : c’est celui de l’enfant né d’une Romaine et d’un père étranger. Quant à l’enfant né de parents d’origine étrangère mais qui ont eux -mêmes bénéficié de la concession de la cité, il peut lui aussi être citoyen mais sous certaines conditions . En effet, l’enfant qui naît postérieurement à la concession...
-
Rousseau, disciple de Hobbes ?
Selon lui l'homme est une brute certes, mais une brute heureuse contrairement à Hobbes (où les hommes sont envahis par un sentiment d'insécurité et de méfianceconstante). Pour Rousseau la nature pourvoie à tous les besoins de l'homme, et celui-ci n'a pas de morale, de vices ou de vertu. Cependant à un moment de leur histoire, les hommes évoluent. C'est avec la naissance de l'âge d'or, qu'apparaissent des innovations techniques, le développement des langues, et l'utilisation de la raison chez l'h...
-
ROUSSEAU: On le forcera à être libre.
En désobéissant à la loi, je désobéis à moi-même, à une partie de ma volonté commune. Cela n'est possible queparce qu'il y a une différence entre « homme » et « citoyen » : « En effet chaque individu peut avoir une volontéparticulière contraire ou dissemblable à la volonté générale qu'il a comme citoyen. » Contrevenir aux lois, c'est faireprédominer sa « volonté particulière », son intérêt propre sur l' »intérêt général » qu'on continue d'avoir comme«citoyen ».Par exemple, il y a fort à parier...
-
Liberté, Égalité, Fraternité ?
La devise de la République française • Liberté, égal~é . fratern~é • est proclamée en 1789 et définitivement adoptée en 1848 . En 1880, elle est inscrite sur les frontons de tous les édifices publics. Reconnue et portée par tout un peuple, elle a rapidement pris une dimension sacrée et même, selon Jacques-Guillaume Thoure~ député du tiers état et penseur de la Révolution, un sens quasi religieux . Aujourd'hui, elle est universellement considérée com...
-
-
Cours de philosophie ancienne - De Socrate aux Stoiciens
La difficulté pour la philosophie de s'occuper du r éel c'est que la philo est le lieu o ù se d étermine les d éfinitions y compris des êtres contingents (l'homme, le bien, le juste) et cherchent à déterminer des valeurs, elles cherchent à proposer un énonc é général sur un domaine particulier. (l'humanit é et la justice) La politique doit mettre en œuvre ces valeurs en fonctions des situations. Dans une situation donn ée, l'homme politique doit composer avec des valeurs, certaine...
-
DROIT CONSTIT
CHAPITRE I : Question des origines dans l'aire géopolitique europ éenne SECTION I: LES PEUPLES D'EUROPE PARAGRAPHE I: LE PR ÉSUPPOS É D'UNE LANGUE ORIGINELLE Les peuples d'Europe sont issu d'un peuple souche commun gr âce au travail des linguistes, comme dans toutes les langues issu d'une langue originel commune on trouve des mots communs, indoiranien qu'on trouve en Iran et en inde, par les grecs, les celtes, les germains, les baltes, les italique, les slaves et les Arm éniens et albana...
- Citoyenneté Et Civilité
- La Democratie En Crise
- democratie
-
dissertation le droit est-il juste ?
objectivement injuste. II- Cependant, le droit peut conduire à des inégalités A) Le droit qui s'éloigne de la Justice alors qu'elle en est la finalité assumée 1) Élargissement du droit : l'ordre social Le droit est parfois déconnecté de la Justice, sans être injuste, le droit parfois ne se soucie pas de la justice. Son champ d’application est plus large, parce que la Justice n’est pas la seule finalité du droit, il y a aussi l’ordre social, donc certaines matières sont indifférentes à la Jus...
-
CONTRAT SOCIAL (Du) ou Principes du droit politique
ANALYSE DU « CONTRAT SOCIAL » DE ROUSSEAU Les idées politiques de Rousseau me paraissent, je le dis franchement, ne pas tenir à l'ensemble de ses idées. Est-ildouteux que l'insociabilité soit le fond des sentiments et des idées de Rousseau ; que s'affranchir lui-même, etaffranchir l'homme, s'il est possible, du joug dur, dégradant et corrupteur que l'invention sociale a forgé soit sapensée maîtresse, cent fois exprimée ? — Eh bien, ses théories politiques ne sont nullement dans ce sens,...
-
ROUSSEAU: la volonté générale est toujours droite
puisque l'intérêt commun appartient effectivement aux individus, toute sommation partielle, ne rassemblant pas enune seule et même opération toutes les différences,produirait moins d'annulation de ces différences et masqueraitl'identité de la volonté générale.Rousseau retrouve ainsi en conclusion un thème déjà développé dans l'article « Économie politique' ». Le Contratsocial, qui ne doit plus rien à la volonté générale telle que Diderot l'expose dans l'article « Droit naturel » del'En...
-
- DÉMOCRATIE
-
A quelle condition la loi est-elle condition de la liberté?
société se ramène à une guerre perpétuelle ; · la paix entre les hommes ne peut être obtenue que si tout le monde se soumet à une autorité (« un pouvoir commun ») qui contraint (« les tient en respect ») les hommes à ne plus attenter à la vie d'autrui. Le passage de l'état de nature à la société se présente comme le remplacement d'une crainte par une autre. Dansl'état de nature, l'homme craint son semblable qui peut à chaque instant le tuer ou le déposséder. Dans la vie ensociété,...
-
Est-il valable de justifier une chose en utilisant la formule: "c'est naturel" ?
question, mais uniquement le pouvoir d'un gouvernement, toujours instable et critiqué. On ne peut donc considérerque l'homme est un être que la nature pousse à la moralité, car instinctivement, l'accord entre les concitoyens n'apas lieu : ne constate-t-on pas que chaque homme cherche à prendre le dessus sur son voisin et qu'uneconcurrence sans relâche existe entre les individus ?b) La réalité semble beaucoup moins sympathique. Reprenant les mots de Plaute, Hobbes nous rappelle...
- Histoire : Expliquez le lien entre les guerres médiques et le développement de l?impérialisme athénien.
-
pourquoi condamner les actes des autres ?
Nietzsche ou la morale des esclaves II. Si la société d'hyperconsommation encourage un individualisme de masse , qui nous entraîne à dissimuler derrière une pseudo-tolérance, un égocentrisme,une tendance à ne se préoccuper que de ces propres problèmes, la tendanceinverse qui consiste à condamner les autres peut aussi être une bonnemanière de ne pas affronter ses travers. En jugeant l'autre, je me dispense de me juger, je ne m'occupe plus de moi et m'évite ainsi d'être remis en question. Mais...
- Base de données de dissertations philosophiques - III
- L'Etat doit-il satisfaire l'opinion publique?
-
En quoi les lois sont-elles nécessaires à la liberté ?
G) Corrigé La typographie rend clairement apparente la structure du texte; en revanche le style peut se révéler ditfidle à expliquer. On portera donc une attention particulière à l'op position entre « faire ce que l'on veut » et «pouvoir faire ce que l'on doit vouloir ». 2. L'idée principale est que la liberté politique doit être soigneusement distinguée de l'indépendance qui consiste à faire ce que l'on veut. La liberté politiqu...
-
-
Histoire des idées politiques
Titre 1 : L'Antiquité La Grèce Antique est le berceau de la politique, on y trouve le fameux animal politique : être vivant fait pour vivre dans une cité, et donc toute la vie va s'organiser autour de cette cité. La pensée Grecque est essentielle, car elle a rendu possible la philosophie occidentale en matière de politique, et ce qui est essentiel est qu'elle a été reprise par les Romains, qu'elle a cherché l'universal...
-
L'homme est-il par nature un animal politique ?
sans loi ni foyer et n'est pas homme, l'autre se trouve au-delà de la condition humaine et de ses aspirationspropres : il est plus qu'un homme, un Dieu. Ainsi, l'homme ne devient homme que dans la cité, c'est-à-dire au sein de l'espace politique. Cependant, nous n'avons pas encore éclairci notre premier point, à savoir quel critère appliquer pour distinguer l'homme desanimaux grégaires. Si les deux sont des donnés naturels, en quoi la cité spécifie-t-elle l'homme parmi les animaux...
-
J.-J. Rousseau, Du contrat social : la volonté générale
Rousseau, Du contrat social 45 Après avoir construit le fondement des sociétés politiques légitimes dans le livre un, le livre deux du Contrat social détermine ce qu'est le pouvoir souverain. Les deux premiers chapitres reprennent la caractéris tique du fondement mis à jour au livre un : le rejet de toute soumission au profit d'un pacte d'association. Lorsqu'ils développent le caractère inalié nable et indivisible de la souveraineté, ces deux...
-
Peut on contester la légitimité des lois ?
comme expression de la Volonté générale. Selon Rousseau, les hommes sont contraints de s'associer pour survivre. Leproblème est de « trouver une forme d'association qui défende et protège detoute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et parlaquelle chacun s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et resteaussi libre qu'auparavant ». Sa solution, c'est le contrat social. Rousseaul'énonce ainsi : « Chacun de nous met en commun sa personne et toute sapuissance...
- Thucidide et Pericles
-
Culture Générale Qu'est-ce qu'un chef en démocratie ?
Max Weber voit le char isme comme « la qualité extraordinaire d'un personnage qui est considéré comme doué de forces et de qualités surnaturelles ou surhumaines, ou au moins spécifiquement extra -quotidiennes qui ne sont pas accessibles à tous, ou comme envoyé par Dieu, ou comme exemplaire, et qui pour cette raison est considéré comme chef ». Il s'agit principalement d'individu ayant commis des actes héroïques et qui sont vus comme des sauveurs lors de crises. Ce serait, par exempl...
-
L'inaliénabilité de la liberté comme fondement du droit. Étude du Livre I, chapitre IV du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau
Dans le paragraphe suivant Rousseau reprend la même démarche pour critiquer cette fois-ci la thèse de l'hérédité del'esclavage. De la même façon que le fait de l'esclavage, c'est-à-dire l'existence d'hommes capables d'aliéner leurliberté, ne permet pas de justifier un tel acte pour un peuple entier et ne fonde donc en aucun cas un droit, lasoumission de certains hommes à un régime illégitime ne devrait pas maintenir une telle situation car chaque hommenaît libre et est libre de décider pour l...
-
Alain : la liberté; l'État; la justice.
On voit en fait que cette question de la liberté d'opinion.n'est qu'un exemple et que le problème, plus général, est celui de la possibilité d'un « droit sans limites », expression reprise par deux fois, à la troisième puis à la dernière ligne. Pour saisir véritable ment le cœur du raisonnement d'Alain, il faut également aperce voir la combinaison de deux termes voisins : le droit et la justice. C'est en faisant jouer ces deux...
-
-
Toutes les opinions sont-elles tolérables ?
- L'opinion face à la vérité scientifique.A propos du mot tolérer, le dictionnaire nous dit : "Ne pas user, souvent avec condescendance, du pouvoir, del'autorité que l'on détient pour interdire quelque chose, pour empêcher de faire quelque chose.". Or, si l'on examinele rapport entre le savoir et l'opinion, il semble que la quête de la vérité (incarnée par la démarche scientifiquemoderne) ne "tolère" pas les opinions. La science - armée de la méthode scientifique - dans un soucis de quête de...
-
Comment expliquer que la violence et les rapports de force subsistent dans les sociétés démocratiques ?
des inégalités de richesse et de condition qui font naître la jalousie et la violence. 3. C'est la nature violente de l'humanité qui est cause des inégalités de conditions et chacun doit d'abordessayer en lui-même de contrer cette violence Il semble donc que seule une société totalement égalitaire, où tous les individus aient les mêmes possessions et oùl'existence serait assurée et bonne pour tout le monde, pourrait enrayer la violence. Et pourtant cette idée n'estpas forcément vraie. Il sembl...